Le lendemain Michel surveille la maison de sa fille. Pas déclats de voix, il rentre faire son ménage. Dans la matinée, il aperçoit Catherine qui lui fait un petit signe.
— Ça va ? lui crie-t-il.
— Ça va merci.
Rien que de très normal, il est soulagé. Un peu après Annie sort balayer la terrasse. Il admire un instant la jeune fille en t-shirt moulant et short effrangé qui met en valeur ses cuisses fuselées. Une douce chaleur monte dans son bas ventre. Cette fille est un morceau de roi pense-t-il. Marco a bien de la chance de pouvoir en profiter. Il en serait presque jaloux. Depuis que la veille avec Catherine il a rouvert une porte généralement interdite, le tabou de linceste ne lui fait plus peur. La différence dâge malheureusement
Nempêche, il faudrait quil parle à sa petite-fille. Il ne veut pas quà cause delle sa fille à lui souffre.
Pendant tout le repas quil prend seul à son habitude, il réfléchit. Que lui dire ? Comment la convaincre de faire attention ? Doit-il révéler que sa mère lui a tout raconté ? Oui, cest la meilleure tactique, elle ne pourra se dérober et sera plus perméable à ses conseils
Il sort une tasse de café à la main. Annie allongée sur un transat, bouquine. Elle porte la même tenue que ce matin, t-shirt et short effrangé.
— Tu te reposes Annie ?
— Oui Papy.
— Tu ne voudrais pas venir ici ? Jaimerais parler un peu avec toi, il y a longtemps quon ne la plus fait.
— Tout de suite Papy.
Elle se précipite à lintérieur pour ressortir une minute après en robe légère.
— De quoi veux-tu parler Papy ? annonce-t-elle en entrant dans le salon.
— Pourquoi tes-tu changée ?
— Tu naimes pas ma robe ? sétonne-t-elle en tournant pour la faire admirer.
La souple corolle se soulève et dévoile au-delà des genoux les cuisses bronzées.
— Oh si ! Elle est très jolie et te va à ravir. Tu ne membrasses pas ?
Elle se suspend à son cou et lui inflige deux gros baisers sur les joues. Il la serre contre lui, pas dattache de soutien-gorge dans le dos, pas de bourrelet sous le tissu de la robe, serait-elle nue dessous ? Malgré lui sa queue grossit à cette évocation. Il sécarte brusquement et pousse un soupir de soulagement car Annie ne semble sêtre rendue compte de rien.
— Viens tasseoir là, indique-t-il en montrant le canapé.
— A tes cotés ?
Il hésite, la proximité nest pas une chose à tenter, puis il se calme.
— Je ten prie.
Il prend place. La jeune fille se love contre lui.
— Que voulais-tu me demander Papy ?
Pendant le repas, il avait affuté ses arguments, mais maintenant, le parfum de sa petite fille lintimide et il ne sait plus ce quil doit faire.
— Ta mère ma dit pour hier, se lance-t-il après un long silence.
— Ah ?
— Oui, elle ma révélé ce qui sétait passé entre elle, toi et Marco.
Annie se renfrogne et grogne entre ses dents :
— Elle ne pouvait pas le garder pour elle
— Que dis-tu ?
— Rien Que veux-tu que je te dise : oui, elle nous a surpris Marco et moi et au lieu de partir et de nous laisser terminer en paix elle sest approchée. On a bien vu quon lui faisait envie et on en a profité.
— Quand même A la rigueur Marco a des excuses Ta mère est une belle femme qui fait tourner bien des têtes, mais toi
Annie se fait câline contre son grand-père. Malgré lui sa main caresse le dos de sa petite-fille.
— Tu men veux Papy ?
— Je ne comprends pas comment toi, tu as pu en arriver là.
— Tu sais Papy, les garçons mattirent, je ne peux le nier, mais les filles aussi
— Ah ?
— Oui, et quand jai vu hier maman si belle si désirable, je nai pas pu résister Cest si mal que ça ?
— Je ne veux pas que ta mère souffre de tes lubies, sinon tu auras affaire à moi !
Annie se redresse une lueur espiègle dans le regard.
— Ah ? Et quest-ce que tu me feras ? Une fessée ?
— Tu la mériterais !
— A ta guise !
Elle soulève sa robe et se couche sur les genoux de Michel, le cul nu.
— Je suis prête, tu peux y aller !
Vexé, il assène une maîtresse claque sur les gobes joufflus.
— Aouh ! Tes pas fou ?
— Ben cest ce que tu voulais non ?
— Euh Pas comme ça, pas si fort.
— Comme ça alors ?
Michel caresse la fesse rosie par la gifle infligée. Annie ne dit plus rien et laisse les doigts glisser sur les rondeurs, suivre la raie, tenter doucement de sintroduire sans forcer.
— Oh Papy ! Tu bandes !
— Jai des excuses non ? Tu as un si joli cul.
— Et tu aimerais te le faire.
— Ne dis pas de bêtises.
Il la fait descendre des genoux.
— Allez, tiens-toi convenablement. Quest-ce cette mode de se trimballer cul nu ? Tu veux que jaie des ennuis avec les voisins ?
— Je voulais te montrer ma nouvelle robe et je nai pas eu le temps denfiler des dessous. Tu es fâché ?
Elle se met à tourner à toute vitesse, la corolle senvole jusquà la taille dévoilant les fesses roses, le ventre plat et une touffe brune de poils follets. Un peu essoufflée elle sassied à coté de Michel et jette un coup dil intéressé à la bosse qui a grossi. Tout à coup elle fait basculer son grand-père, sinstalle entre les genoux et descend le short.
— Annie ! Que fais-tu ?
— Ben tu le vois, je contrôle ton état dexcitation Oh ! Ce nest pas raisonnable Papy, tu risques linfarctus ! Il faut faire quelque chose.
— Annie, voyons ! Je ten prie, cesse
Malgré ses dénégations, Michel ne lempêche pas de descendre le vêtement. Annie se place tête bêche à califourchon.
— Relève la robe, sil te plait.
Machinalement il obéit. Le splendide fessier attire son regard et ses doigts. Elle attrape la verge frémissante et la porte à ses lèvres.
— Caresse-moi Papy, tu sais faire ?
Oui, ça il sait faire ! Il tire sur le bassin pour le rapprocher de sa bouche
Annie est une experte en sucette, sachant allier léchage de la tige, du gland et pénétrations dans la bouche. Elle sent quand la jouissance monte et la ralentit par de douces pressions à la base de la hampe. De son coté Michel nest pas en reste et déploie toute sa science pour amener sa petite-fille à lorgasme. Il est tout fier dy parvenir avant de lâcher prise. A la fin ny tenant plus, il veut se retirer, mais Annie nest pas de cet avis.
— Hon ! Hon !
Elle le tète jusquà ce quil éjacule dans la bouche, déglutit soigneusement et termine par un léchage coquin du gland et de la tige.
Reprenant place à ses cotés sur le canapé elle linterroge.
— Alors Papy ? Tu es calmé ?
— Ben toi alors ! Tu peux dire que tu men bouches un coin ! Où as-tu appris ces vilaines choses ?
— Ça ta pas plu ?
— Oh si ! Cétait Cétait merveilleux Merci ma chérie Merci.
— Tu nétais pas mal toi non plus, jai rarement autant joui dans un 69.
Michel se lève péniblement.
— Où vas-tu ? demande Annie.
— Chercher à boire, nas-tu pas soif ?
— Si mais reste ici, je sais où se trouvent les boissons.
Il se rassied.
— Merci, sers-moi un pastis bien corsé, jen ai besoin.
La jeune fille fait le service et ouvre pour elle une boite de coca
— Ah ! Ça fait du bien, dit-elle en essuyant la bouche du revers de la main.
— Oui, ça fait du bien Dis, tu mexcuseras dinsister mais je ne veux pas que tu fasses du mal à ta mère.
— Sois tranquille Papy, je ladore Maman et il nest pas question quelle souffre par ma faute, surtout maintenant que nous nous sommes trouvées un point commun.
— Ah ? Lequel ?
— Ben notre goût pour les caresses féminines, car je tassure, elle a apprécié hier.
— Cest ce quelle ma dit. Mais je ten prie soyez prudentes. Il ne faudrait pas que cela parvienne aux oreilles de ton père.
— Oh Papa ? Jen fais mon affaire, dailleurs il na rien à redire.
— Pourquoi ça ?
— Car il me saute lui aussi.
— Oh !
— Ça te choque ?
— Euh Non, tu fais ce que tu veux, tu es majeure Euh Tu étais majeure quand ça a commencé, jespère ?
— Tout à fait ! Cest même le cadeau quil ma fait pour mes 18 ans.
— Ton cadeau ? Ce nétait pas plutôt un cadeau pour lui ?
— Non, non je tassure cest un vrai cadeau quil ma fait Tu sais Papy, je nétais déjà plus vierge, deux ans de cela que javais perdu mon pucelage. Mais les garçons me décevaient. Pout ! Pout ! Pout ! Terminé ! Ce nest pas ça qui me faisait grimper aux rideaux. Cest à ce moment que jai commencé avec les filles. Avec elles au moins on prenait son temps Jai eu de belles jouissances
Michel la laisse senfoncer dans ses souvenirs.
— Pour ne pas passer pour une pimbêche et une gouine, jai accepté de sortir avec des garçons mais la plus part du temps jai réussi à limiter leurs prétentions à des sucettes et fellation, parfois un 69
— Cest de là que vient la science dont tu as fait étalage tout à lheure ?
— Tu as deviné Avec Papa, le jour de mon anniversaire, ça a été autre chose. Il ma fait découvrir le plaisir. Cest dans ses bras que jai ressenti mon premier orgasme vaginal. Ça oui cétait un cadeau, le meilleur cadeau pour mon anniversaire.
— Parce que le mien de cadeau était moins bon ?
Il est un peu vexé car comme à son cousin Marco avant elle, il lui avait payé les leçons de conduite pour passer le permis. Elle saute à son cou et lembrasse sur les deux joues.
— Mais si ton cadeau était sensationnel Papy, mais cest pas pareil.
— Non, en effet ce nest pas pareil. Et depuis tu fais souvent lamour avec ton père ?
— Ça dépend, ce nest pas régulier.
— Et depuis avec les garçons ? Jai limpression que cela ne marche pas trop mal avec ton cousin non ?
— Lui est potable Puis mes partenaires actuels ont grandi eux aussi
— En somme pour toi coté sexe tout baigne.
— Tout baigne !
— Et coté cur ?
— Là cest le calme plat. Lannée dernière javais le béguin pour un étudiant, mais ça na pas duré Trop con
— Jespère pour toi que tu trouveras lâme sur à laquelle tu pourras sans crainte te raccrocher.
— Oh je ne suis pas pressée Dis, je peux retourner à la maison ? Maman doit se demander ce que je fiche Puis Euh
— Quest-ce quil y a encore ?
— Je sais que cet après-midi elle est seule et je voudrais en profiter pour quon se caresse à nouveau Tes pas daccord ? ajoute-t-elle devant le froncement de sourcil.
— Si bien sûr, mais promets-moi de ne pas insister si elle refuse.
— Promis !
Michel la regarde en souriant traverser lintervalle entre les deux maisons. Ce nest pas avec une telle petite-fille que ses envies dinceste vont se calmer
A suivre