Mon téléphone sonne, zut, c’est encore Sandra, ça fait le troisième message qu’elle me laisse aujourd’hui. Il va falloir que je lui dise que c’est fini entre nous, je ne peux pas continuer cette relation, elle va finir par s’attacher à moi et moi je ne veux pas plus qu’un plan cul. Elle est bonne Sandra ; des rondeurs ou il faut, beau cul, beaux seins, elle baise bien et par-dessus tout elle a une voix… chaude, sensuelle, divine, à tomber… Rien qu’en me parlant elle pourrait me faire jouir, d’ailleurs on a baisé quelques fois au téléphone tous les deux, quand j’avais la flemme d’aller chez elle ou que j’étais tout seul en province pour mon boulot.
— Salut Sandra
— Salut beau gosse, alors tu m’oublie ?
— Non pas du tout, j’ai juste beaucoup de boulot en ce moment…
— Tu viens ce soir ? J’ai envie de toi… A nouveau le son de sa voie me faisait un effet délicieux et déjà ma queue reprenait vie dans mon pantalon.
— OK mais je ne resterai pas longtemps, je passe vers 20h.
— Je t’attends, je t’embrasse… Elle a raccroché. J’y vais-je la quitte gentiment et on en parle plus, faut surtout pas que je me laisse avoir une fois de plus me dis je en pensant à ma bite et en me disant que parfois mon cerveau n’a pas totalement le contrôle…
Le soir venu j’arrive chez elle à peine en retard, comme je suis un sentimental j’amène un petit bouquet de fleur que j’ai trouvé en chemin à la station service, je prends mon courage a deux mains, allez sois fort me dis-je, faut pas y aller par quatre chemin, elle va pleurer un bon coup comme les autres et elle s’en remettra.
A peine elle m’a ouvert la porte, je sens que ça va être compliqué, elle est vêtue d’une guêpière noire avec des bas et des talons aiguille, magnifique, je calme ma bite qui se réveille, je l’embrasse et entre dans l’appartement.
— Tien je t’ai amené des fleurs, Tu n’aurais pas du te mettre sur ton 31, je t’ai dis que je ne resterai pas longtemps.
— On va bien faire un petit câlin quand même, tu n’es pas juste venu m’apporter un bouquet ?
— Sandra, on va arrêter là toi et moi. On a passé de bons moments ensemble mais c’est fini, on peut rester copains si tu veux… Elle me regarde, incrédule, elle n’a pas l’air d’avoir compris, ses yeux rougissent.
— Qu’est ce qu’il y a ? Tu n’as plus envie de me baiser ? C’était chouette pourtant non ? je t’ai bien fais jouir je crois et toi aussi tu m’as bien fais jouir alors pourquoi on arrêterai ?
— C’est comme ça Sandra, ça ne s’explique pas, je n’ai plus envie de toi. Sur ces mots elle bondit sur moi et commence à essayer de me donner des coups au visage, de me griffer, de m’agripper, une vraie furie que j’ai du mal à contenir, j’arrive enfin à saisir ces deux poignets et à la calmer un peu mais elle me balance un coup de genou dans les couilles et la je vois trente six chandelles. Plié en deux sur le parquet je me tiens l’entrejambe, putain que ça fait mal. Sandra libéré se rue vers la porte, la ferme à clé et travers le salon en courant aussi vite que ses talons aiguilles le lui permettent.
— Non, tu ne me quitteras pas comme ça, et d’abord tu va me baiser ce soir. Hurle t’elle en jetant la clé de son appartement par la fenêtre grande ouverte.
Cette fille est folle me dis-je, elle vient de nous enfermer et de jeter la clé, l’entrejambe encore endolori je me relève et m’approche de la fenêtre, on est au troisième, pas question de sauter, me voilà dans de beaux draps. J’ai a peine le temps de me retourner que Sandra se rue à nouveau vers moi, un parapluie à la main et essaye à nouveau de m’atteindre au visage en criant.
— Salaud, pédé, tu ne me quitteras pas, on ne m’a jamais fait ça à moi. Elle crie, elle hurle, elle pleure en même temps, une vraie enragée.
J’arrive à lui enlever le parapluie et je l’attrape par la taille et la met sur mon épaule, direction la chambre, elle me donne des oups de poings dans le dos, des coupe de pieds, mais au moins mon entrejambe est il à l’abri. Je la jette sur son lit et allongé sur elle de tout mon poids j’attrape ses deux poignets que j’attache avec ma ceinture aux barreaux du lit. Elle tire dessus tant qu’elle peut, essaye de me donner des coups de pieds, envoie valdinguer ses escarpins, mais rien n’y fait elle est solidement attachée. Je la regarde, sa guêpière est en vrac, ses seins sont libérés, ses bas déchirés, ses cheveux en folie, elle reprend sa respiration et me regarde d’un air mauvais, mince qu’est ce qu’elle est bandante… Je m’approche tout en restant à distance suffisante, « ou sont les clés ? » lui dis-je. Elle me crache au visage et se remet à hurler et à gesticuler, quelle garce, je m’approche d’elle, lui saisie les chevilles et la retourne sur le ventre, je m’assoie alors sur ses jambes et commence à lui donner des claque sur ses fesses que ne protège pas la ficelle du string. Une bonne fessée, voilà ce que mérite cette sale gosse, plus je lui claque les fesses, plus ma main se fait lourde et mes coups violents. Ses fesses sont bientôt rouges et ma bite est raide dans mon pantalon, je ne pensais pas que cela pourrait m’exciter à ce point et j’en suis surpris… Sandra ne crie plus, seul le bruit de mes coups résonne désormais dans la chambre, elle gémit maintenant, sa respiration est haletante, et elle semble… oui, je ne me trompe pas, elle semble prendre du plaisir. Je m’arrête, elle me supplie :
— Continue, je suis une vilaine fille, donne moi une bonne fessée…
L’excitation me gagne moi aussi, je reprend mes claques sur ses fesses et finalement saisie le string que j’arrache d’un coup, je passe ma main entre ses cuisses, elle est trempée… quelle salope, je ne savais pas qu’elle était branchée la dessus. Mon doigt remonte plus haut et tente de s introduire dans son petit trou, nouveaux gémissement.
— Oh oui, baise moi, encule moi comme une chienne… Et toujours cette voix, suave, sensuelle, qui me fait défaillir une fois de plus. N’y tenant plus je sors ma bite, je la lubrifie un peu dans sa mouille et force l’entrée de son cul dans lequel je pénètre étonnamment facilement. Je l’encule, ma queue va et viens dans son cul serré, c’est trop excitant, trop fort, trop bon, je ne vais pas tenir longtemps, je la relève pour qu’elle se mette à quatre patte comme ça je peux la pénétrer plus profond, je la défonce, elle crie je ne sais pas si elle a joui mais ça déclenche mon plaisir et je largue mon foutre dans son cul dans de grands spasmes incontrôlés.
Je m’allonge à coté d’elle pour reprendre mes esprits, elle se tourne vers moi et m’embrasse, je ne refuse pas ce baiser et nos deux langues se retrouvent emmêlées.
— Tu en avais assez de Sandra la romantique ? Que dis tu de Sandra la salope soumise ? me demande-t-elle avec un grand sourire. Je crois qu’on va se donner une deuxième chance elle et moi pour explorer cette face cachée de nos personnalités…