Je m’appelle Victoria et j’ai 46 ans. Fraîchement divorcée, j’ai une fille de 22 ans qui est partie faire ses études à Paris. Toute ma vie a changé grâce à mon divorce. C’est mon mari, Anthony, qui a pris la décision du divorce. Il avait trouvé quelqu’un de plus jeune qui lui redonnait la fougue de sa jeunesse. Pour lui notre mariage n’avait duré que parce que nous aimions notre fille mais maintenant qu’elle était partie nous n’avions plus rien à faire ensemble, nous nous ennuyons,nous n’avions plus de points d’intérêts commun. Sa liste d’arguments était longue,il me reprochait d’être rentré dans une routine sexuelle qui lui déplaisait,mais l’ironie était qu’il avait toujours refusé de sortir des sentiers battus, choses qui faisait avec sa jeunette,il me confia même aller dans des clubs particuliers sans rentrer dans les détails. La finalité de quelques mois de paperasse administratif était que je me retrouvais seule,divorcée, ma fille loin et complètement vidée. Ce qui fini par m’achever c’est qu’Anthony m’avoua toujours m’aimer tendrement mais ne plus aimer notre mariage.

Durant cette période difficile je métais rapprochée de mon patron,Yvan, qui était devenue un confident, un peu comme un grand frère. Et de confidence en confidence il m’appris qu’il ne vivait plus avec sa femme depuis quelques années. Ils avaient opté pour un mode de vie plus libertin. Chacun avait son appartement et vivait sa vie comme bon lui semblait, à côté de ça ils se réservaient une nuit par semaine et la moitié de leur vacances ensemble, et une fois par mois ils organisaient soit chez l’un soit chez l’autre, des soirées libertines. Je restais sidérée en apprenant la vie si peu catholique de mon patron. Il m’avoua que leur couple aussi avait battue de l’aile à cause de la routine écrasante et que malgré l’amour qu’il avait pour sa femme il ne s’imaginait faire certaines choses avec elle mais qu’il aurait volontiers fait avec une autre femme. Ils avaient fini par ce mettre d’accord sur un compromis et ils étaient très épanoui tout les deux.

De fils en aiguilles nos confidences devinrent de plus en plus intimes. Je lui expliquais que depuis quelques mois je ne savais commun me faire plaisir seule et que j’avais fini par acheter des sextoys. Je découvrais des plaisirs inconnus ainsi que des pratiques jusque là ignorées.

Un soir alors que je finissais des papiers,Yvan me proposa d’aller diner ensemble afin de clôturer la semaine autours d’un bon repas. Jacceptais car je ne souhaitais pas me retrouver seule et je ne voulais pas me faire à manger. Il m’invita dans un restaurant très chic où il avait l’habitude d’emmener les clients quand il finalisait des contrats. Le décor était très chaleureux, un feux de cheminé crépitait au fond de la salle et un photophore éclairait chaque table. Ce restaurant était trop romantique pour signer des contrats.

La soirée fut douce et c’était plaisant de se vider la tête avec un ami. Depuis mon divorce je n’étais pas sortie et cela faisait un bien fou de voir que ma vie ne sarrêtait pas à mon ex-mari.

Arrivé au café la soirée prix une autre tournure. Yvan souhaitait me faire une proposition particulière. Il avait un certain fantasme me ne trouvait pas la bonne personne pour lassouvir, il savait aussi que je souhaitais explorer ma sexualité avec de nouvelles expérience mais il ne souhaitait pas que sa proposition ai des conséquences sur nos relations au travail. Je lincitais du regard à dévoilé sa proposition, sentant bien qu’il était hésitant et qu’il prenait des pincettes.

"- Écoutez Victoria,ne me jugez pas s’il vous plait. Si vous refusez la proposition, ce que je comprendrais,je souhaiterais qu’on oublie cette conversation

— Yvan, je ne me permettrais pas de juger mais pour l’amour du ciel dîtes-moi car ce suspens deviens insoutenables."

Je me sentais humide dans ma culotte car je savais que sa proposition était purement sexuelle et que j’allais prendre un pied d’enfer comme je n’en n’avais pas pris depuis des mois.

"- je souhaiterais que vous deveniez ma soumise, avec nos propres règles, pour votre plaisir et le mien. Je souhaite vous posséder autrement qu’en tant qu’assistante. Vous donnez des ordres au travail est une chose,là je veux vous posséder entière."

Mon café avait du mal à passer, je ne comprenais pas tout. Il voulait que je sois sa soumise, cela signifiait-il qu’il voulait me fouetter, m’attacher? L’idée d’être attachée ne me déplu pas et je mouillais mon entre-jambes un peu plus. Mais je restait toute fois perdue

"- Victoria, je peux vous proposez d’avoir un aperçu se soir si vous souhaitez, et ainsi, si vous en souhaitez plus nous verrons ensemble comment nous organiser. Le tout c’est l’obéissance, si vous accepter il faudra obéir."

j’étais toujours un peu perdue, mon esprit essayait de faire les bonnes connections pour prendre la bonne décision. Mais depuis que l’image des menottes c’était insinuée en moi, j’avais terriblement envie que mon patron s’occupe de moi et de mon plaisir, qu’il m’oblige à avoir du bien. Le silence que je laissais devait faire penser à Yvan que j’allais refuser.

"-Bon oublions tout ça,ce fût une agréable soirée, gardons là en mémoire ainsi.

-Je veux bien essayer pour se soir, car j’ai,je dois l’avouer, envie de vous,et vous avez égayé ma curiosité.

— Alors allons chez moi, au moment où nous sortirons de ce restaurant vous serez ma soumise du moins pour la soirée, nous aviserons pour la suite plus tard si vous en voulez plus."

Il paya lédition et nous récupérions nos vêtements. Entre-temps il avait fait appeler un taxi par le restaurant. Nous l’attendîmes dans le froid de décembre une quinzaine de minute. Je portais un tailleur jupe noir cintré avec des escarpins noir. Mon manteau, lui aussi cintré avec une ceinture, mettais en relief ma fine taille. Je faisais du sport deux fois par semaine pour entretenir mon corps et ma santé.Malgré mon manteau et mes bas,le froid glacial glissa sous ma jupe, et vint titiller ma culotte trempée, jeus un frisson. Pendant l’attente nous ne nous étions pas échangé un mot. Un taxi noir arriva, c’était une grosse Mercedes. Nous montâmes à l’arrière et Yvan glissa son adresse au chauffeur. Le paysage commença à défiler doucement. Yvan vint alors me chuchoter à l’oreille

"-ouvres tes jambes et remontes légèrement ta jupe de manière à pouvoir accéder à ta culotte. j’étais désemparée, le jeux commençait ici et j’avais accepter d’y jouer, il était trop tard pour refuser. Je montais discrètement ma jupe jusqu’en haut de mes bas. Yvan souriais d’un air moqueur envoyant tout le mal que je mettais pour que le chauffeur de voit rien. Il mécarta les jambes en tirant sur la cuisse avec sa main.

-"Voilà qui est mieux."

Quelques minutes plus tard je voyait que le chauffeur jetais des coups dil rapide dans son rétroviseur en direction de mon intimité. Yvan avait du s’en apercevoir car son sourire moqueur ré-apparut. Il écarta un peu plus mes jambes et posa sa main sur ma culotte. L’excitation était montée d’un cran, me savoir soumise à Yvan, dans cette voiture, pendant qu’un deuxième homme profitait du spectacle me mettais dans tout mes états. J’aurais souhaité que ce deuxième homme soit mon ex-mari, qu’il me voit prendre du plaisir avec quelqu’un d’autre que lui et d’une manière qu’il n’aurait jamais osé faire avec moi. En sentant ma culotte toute mouillé, Yvan ne pu sempêcher un "mhhhh". Le chauffeur avait de plus en plus de mal à quitter son regard du rétroviseur. Alors que je souhaitais en recevoir plus de la part de mon patron, la voiture sarrêta devant une grande porte cochère. Nous étions arrivés. Alors que Yvan allait donner l’argent au chauffeur, ce dernier refusa et lui chuchota quelques choses,Yvan acquiesça:

"- Mais attention, juste un peu."

Le chauffeur se retourna de son siège, Yvan me demanda décarter de nouveau mes jambes. D’abord je refusais puis Yvan me rappela à l’oreille que nous avions fait un accort pour ce soir, je devais m’y tenir,j’obéis. Le chauffeur s’approcha de moi avec sa main, la posa sur ma culotte, que la main d’Yvan avait délaissé, et glissa un doigt en dessus du tissus. Mon corps fût parcouru d’un frisson d’excitation au contact de la main d’un homme.

"-allez stop ce sera tout."

L’homme retira sa main, un peu déçu, Yvan lui tendit quand même le billet qu’il avait refusé, et vint m’ouvrir la portière. Arrivé dans le hall de l’immeuble, il posa un baiser sur ma joue et me murmura

"- Ce qui vient de ce passer dans la voiture n’était qu’un aperçu de ce qui t’attend en haut, toujours partante?"

Oui je l’étais, j’étais excitée comme une puce, se soir je voulais jouir. De ça main il me présenta lescalier comme une invitation à continuer l’aventure, je le suivais sans me faire prier. Maintenant le tissus de ma culotte ne suffisait plus pour contenir la mouille de mon vagin, je sentais que ça coulait légèrement sur le haut de ma cuisse. Le fantasme de la soirée à venir mêlé au manque de rapports sexuels depuis des mois, et à lexpérience nouvelle du taxi mettaient tout mes sens en excitation. Que m’attendait-il là-haut?

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