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Secret de famille – Chapitre 2




Une belle journée de printemps, le soleil brille et l’air est chaud. J’ai choisi une jupe courte à volant en dentelle et un top assorti. Une petite veste accompagnait ma tenue et permettait aussi de couvrir les épaules laissées nues par mon vêtement. Le soleil caressait mes jambes encore blanches, j’avais en effet choisi de ne pas mettre de collant.

Nous sommes samedi et je me dirige vers le parking de la gare.

La semaine dernière, après le baiser, je me suis écartée en lui disant qu’il valait mieux que je m’en aille. Il n’a pas cherché à me retenir, mais m’a proposée de me reconduire jusqu’au parking. J’ai refusé et il n’a pas insisté, mais avant de refermer la porte derrière lui, il m’a dit qu’il m’attendrait au même endroit, à la même heure la semaine prochaine. Et  nous étions à nouveau samedi.

Toute la semaine, je n’arrivais pas à me concentrer, il me fallait en savoir plus sur cette liaison entre ma mère et son oncle. Je n’avais rien répondu à son invitation à revenir le samedi suivant, mais lui comme moi, nous savions que je viendrais. En effet, j’étais curieuse et voulais savoir pour ma mère, mais aussi pour moi, curieuse de savoir jusqu’où je pourrais aller.

Je repensais à ce baiser, il m’avait embrassée avec gourmandise, mais ses mains étaient restées sages. Il m’avait bien entendu pris dans ses bras, mais il n’avait rien tenté d’autres que ce baiser que je lui avais d’ailleurs rendu sans aucune résistance. Pourtant j’avais pris peur !

L’attitude de Jean n’étais pas l’origine de cette crainte, l’inquiétude était plutôt de ma réaction. J’avais déjà anticipé le baiser avant qu’il me le donne et l’avait espéré sans me l’avouer quand il me l’a proposé. Je me demande même si quand j’ai lu son message, le soir de l’enterrement de mon grand-père, je n’avais pas déjà eu envie de le revoir et pas seulement par curiosité. Certes, le désir de connaitre  le pourquoi de cette quarantaine depuis si longtemps était réel, mais malgré son âge, il avait une prestance, une aura j’avais envie de mieux le connaitre, même si je connaissais le risque.

Et maintenant, je sais ce qu’il veut, je ne peux me le cacher et j’avance quand même vers ce parking.

De ce qu’il m’avait dit la semaine dernière, j’en ai déduit la conclusion qu’elle était devenue sa maitresse, pourtant, il ne me l’avait pas explicitement exprimé j’étais impatiente de savoir si j’avais raison, même si ce qui s’était passé entre lui et moi ensuite me donnait déjà une réponse allant dans ce  sens.

Il me fallait un prétexte pour le revoir, pour me donner bonne conscience, mais en y réfléchissant bien, vouloir qu’un « ancien amant » de ma mère me raconte leur exploit, n’était pas forcément plus « moral » que ce que je m’apprête à vivre avec lui.

Quand je suis arrivée, il m’a fait la bise comme la semaine précédente, mais rien de plus, un simple geste tout à fait normal entre une petite nièce et un grand-oncle. Dans la voiture, il m’interrogea sur ma semaine, comment les cours se passaient ? enfin des banalités qui n’auraient jamais laissé croire que le samedi précédent, nous avions un peu flirté ensemble.

Ce n’est qu’à l’appartement qu’il me fit un compliment sur ma tenue.

–    Enlève ta veste, tu seras plus à l’aise.

Et en découvrant mes épaules nues, il ne put taire son admiration.

–    Tu es à croquer.

J’ai alors pris conscience que ma tenue était peut-être un peu trop « sexy ». Je ne voulais pas me faire provocante et je suis venue surtout pour entendre la suite de son histoire avec ma mère.  C’est en tout cas ce que j’aime m’entendre dire. Le matin, j’ai vu le soleil poindre son bout de nez et j’étais heureuse de pouvoir en profiter le weekend sans aucune autre arrière-pensée. Le printemps est une saison que j’apprécie et j’aime flatter la journée en choisissant de m’habiller d’une tenue légère. Je n’avais d’ailleurs pas pris encore la décision de venir le voir. Oui j’y avais pensé toute la semaine, effectivement, il n’y avait pas beaucoup d’incertitude, mais cela n’était pas certain à 100%… même si j’ignorais ce qui aurait pu me faire changer d’avis, l’option existait.

Enfin, les mots cajolent la réalité pour la rendre plus présentable et j’affirmais ainsi ce que je voulais me persuader.

Et maintenant j’étais chez lui.

–    Vous n’aviez pas terminé

–    Oui, je sais et bien avant de commencer, veux-tu boire quelque chose.

Le café apporté, il s’installa dans le canapé, à côté de moi et commença son récit.

–    J’en étais où ?

–    Ma mère avait eu peur du cheval

–    Ah oui… elle était donc toute couverte de paille, j’ai commencé à frotter ses vêtements, mais en nettoyant l’arrière de sa robe, je n’ai pas pu résister à la tentation de ces fesses offertes à ma main.

En apprenant ensuite à le connaître, je sais maintenant qu’il a beaucoup de mal à résister aux tentations, il adore d’ailleurs citer Oscar Wilde : « Le seul moyen de se délivrer d’une tentation, c’est d’y céder » était devenue sa propre devise.

–     le petit geste insignifiant pour débarrasser le vêtement des quelques brins de pailles est ainsi devenu une caresse de son postérieur. Marie ne s’en est pas rendu-compte tout de suite, mais comme ma main, non seulement s’attardait sur son popotin, mais le pressait assez pour guider son corps vers le mien, elle se tourna vers moi pour protester, mais en se retrouvant dans cette position, face à moi, elle est devenue toute rouge et n’a pas osé prendre la parole.

Ce passage me fit penser à ce que j’avais vécu la semaine dernière. Je m’étais aussi retrouvé face à lui et moi non plus je n’avais pas su résister. Je me doutais donc de ce qui allait se passer.

–    Je savais déjà avant cet instant qu’elle était attirée par moi, mais j’en ai eu la confirmation en la voyant rougir sans dire un mot et surtout sans chercher à se dégager de mon étreinte.

Mon autre main s’est alors à son tour posée sur son derrière, un peu comme un danseur de Java un peu audacieux. Nous nous faisions face, je la regardais, elle regardait ses pieds.

Il s’arrêta de parler et me regarda. J’évitais son regard et mes joues commencèrent à rougir.

–    Tu n’es pas trop choquée ?

–    Non.

Dis-je d’une voix timide.

Il s’est un peu rapproché de moi et caressa doucement ma joue.

–    Regarde-moi, que je puisse voir si tu me dis la vérité.

Après une petite hésitation, mes yeux croisèrent les siens. Un sourire se dessina sur son visage.

–    Voilà qui est mieux que tu es belle.

Mes joues me brûlaient maintenant, je devais être rouge comme une pivoine. Il continua à parler, mais j’avais du mal à me concentrer pour l’écouter vraiment. Mon esprit revivait la scène, mais ne savait plus si face à lui c’était ma mère ou moi.

J’ai quand même réussi à capter quelque brides, il l’avait embrassé, elle avait répondu à son baiser, puis il lui avait dit qu’ils étaient fous tous les deux

–    Tu ne m’écoutes plus ?

–    Si, si

–    Qu’est-ce que j’ai dit ?

–    Que vous vous êtes

Il ne m’a pas laissé finir la phrase, ses lèvres sont venues se poser sur les miennes et nos langues se sont une nouvelle fois liées.

Sa main glissa sous ma jupe, mais s’arrêta quand elle se trouva au niveau de ma petite culotte.

–    Bon, ne nous laissons pas distraire, sinon tu ne connaitras jamais la suite.

Il prit ma tasse de café et me l’offrit pour me permettre de terminer de la boire. Il bût la sienne d’une traite.

–    Après ce baiser, elle est partie et nous ne nous sommes plus parlés de la journée. Il me fallait m’occuper des chevaux et elle est rentrée à la maison, je ne sais pas ce qu’elle a fait en m’attendant. Le soir, après le repas, elle a été se coucher et je lui ai dit que je l’imiterai plus tard car j’avais encore deux ou trois trucs à faire.

Quand enfin je suis monté, je me suis arrêté à la porte de sa chambre, je l’ai doucement ouverte, je suis entrée à pas de loup pour ne pas la réveiller et je l’ai regardé dormir, puis après quelques minutes je suis sorti pour me diriger vers ma chambre.

Le lendemain matin, j’ai préparé le petit-déjeuner, je l’ai posé sur un plateau et je suis monté pour le lui apporter.

J’étais encore troublée par ce baiser, mais me concentrais sur son récit. J’étais un peu perturbée par son attitude, il m’embrasse puis continue son récit comme si de rien n’était. Il était vraiment étrange ce grand-oncle.

–    En arrivant dans sa chambre, elle dormait encore, j’ai posé le plateau sur sa table de nuit, je me suis assis sur le lit et j’ai enlevé les couvertures pour mieux admirer son corps. Elle avait une longue chemise de nuit, mais celle-ci était remontée assez haut et je pouvais voir ces belles jambes blanches.

En disant cela, il posa sa main sur ma jambe et commença à la caresser. Puis il s’aventura une nouvelle fois sous ma jupe, mais cette fois, ses  doigts écartèrent l’obstacle de dentelle pour taquiner mes lèvres intimes. Un petit gémissement s’échappa de ma bouche sans que je puisse le retenir. Il se pencha vers moi et m’embrassa. Ce baiser fut plus ardent et long que les précédents, mon corps bascula en arrière, le sien en avant et se trouva presque totalement sur moi. Sa main abandonna mes cuisses pour se glisser sous mon haut et caresser mes seins.

J’ai su à cet instant que si je voulais avoir la suite de mon histoire, il me faudrait revenir le voir.

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