Chapitre 8 : Le cul de Stéphanie
Le lendemain, après une nuit qui m’a paru agitée dans la chambre des filles, elles ne se quittent pas et sont sorties en ville toute la journée.
L’aventure de la salle de bain est toujours dans ma tête et je revois Stéphanie avalant mon pénis. Et ses seins ! Je me ferai bien masser la queue entre ses deux grosses mamelles.
Dès qu’elles sont rentrées en rigolant comme de petites folles, j’ai juste droit à un petit bisou de Marilyn sur mes lèvres suivi d’un autre de Stéphanie qui pousse sa langue une fraction de seconde entre mes lèvres. Pendant le dîner et le reste de la soirée je n’arrête pas de mater les seins de cette petite garce de Stéphanie qui a juste un haut très décolleté et sans soutien-gorge.
Ma nièce et Stéphanie se retirent dans la chambre de Marilyn, et elles ferment la porte derrière elles… Pour faire surement des choses inavouables à un gentil Tonton !
J’ai un mal fou à trouver le sommeil car l’image de ma petite Marilyn caressée par cette fille sexuellement agressive et contrainte à se soumettre à sa perversion ne me quitte pas. Ma bite restée en érection depuis le diner est ultra-sensible et la chatte toute chaude de ma nièce me manque pour me soulager.
Le bruit d’une chasse d’eau me tire de mes pensées et me donne envie de pisser. Je sors tranquillement du lit et je quitte ma chambre pour aller dans la salle de bain et soulager ma vessie. N’ayant aperçu personne, je retourne vers ma chambre mais du côté de la chambre de Marilyn, je vois une ombre bouger et une voix chuchote,
— Salut Tonton Jacques
À moitié cachée dans le coin du couloir, je distingue les grandes lignes d’un corps nu. C’est Stéphanie !
— TontonTu veux jouer avec moi ? Au chat et à la souris
Et elle disparait, mais je devine qu’elle descend l’escalier sans bruit.
Je la suis et je l’aperçois qui ouvre la porte du cellier et tâtonne à la recherche de l’interrupteur de lumière.
– Vous avez chaud Tonton Jacques
Stéphanie, taquine, descend l’escalier du cellier avec moi qui la suis derrière, dans une chaude poursuite, car les petits aperçus de son dos nu et de ses fesses musclées me fournissent toute la motivation nécessaire.
Quand j’arrive en bas, Stéphanie s’est placée sur le côté du cellier, dans une des zones la moins encombrée, juste derrière l’ampoule qui illumine faiblement cet espace. Stéphanie est nue, et elle ne fait aucun effort pour se cacher, au contraire, elle fait tout son possible pour s’afficher comme si elle posait pour une revue porno
Stéphanie tient la poutre au-dessus de sa tête avec ses deux mains, minaudant quand mon regard se promène sur tout son corps offert. Elle a un sourire gourmand quand elle voit mon pyjama déformé par mon érection. Elle a l’air moins gore sans le macabre ombre à paupières et son maquillage, mais je remarque à peine son visage.
Je suis figé devant elle et son corps nu. Stéphanie est en effet une fille très mince, plus encore que Marilyn, étroite du bassin mais avec une très grosse poitrine. Je peux surement entourer ses bras entre mon pouce et l’index, et je vois que Stéphanie a des tatouages de chaînes en dessous de ses épaules.
Avec ses bras levés, j’aperçois une épaisse touffe de poils noirs qui remplit les creux des aisselles de Stéphanie, et au lieu de trouver cela dégoutant ça m’excite encore plus.
Plus bas, se trouve la fierté de Stéphanie. Ses seins que Marilyn m’a déjà décrits, mais ses mots ne leur rendent pas justice. Les seins gigantesques de Stéphanie se détachent comme des ballons de football, et leur taille est accentuée par le fait qu’ils sont attachés à un torse mince et étroit. Son corps ne fait pas ses 19 ans, mais ses seins disent le contraire.
Je m’avance dans un état second, mes mains atteignent et saisissent ses seins incroyablement fermes et qui malgré leur taille massive ne présentent aucun signe d’affaissement. Ses tétons sur ses mamelons graisseux, tendus, s’incrustent dans mes paumes et je soulève ces globes énormes et lourds. Stéphanie se tord et se tourne comme si elle était sur un axe fixé à la poutre au-dessus d’elle.
— Ooooooh, Tonton, gémit-elle, mes gros seins te plaisent ?
— Muuummm OuiIls sont incroyables !
Dis-je en continuant de les pétrir de plus près et plus fermement.
— Tu veux gouter à quelque choseTonton ? Embrasse-moi et devine ce que j’ai mangé ?
Je l’embrasse et ses lèvres pleines se collent aux miennes alors que sa langue entame un combat avec ma langue et je me délecte d’une saveur excitante.
— Marilyn, je réponds quand notre baiser se termine.
— C’est bien, Tonton, et je parie que tu sais aussi de quelle partie d’elle vient cette saveur…
— Sa chatte ! J’ai l’impression de bouffer sa chatte quand je t’embrasse.
— Tu es très fort, Tonton, et tu as fait aussi du bon travail, cette petite chatte rasée est agréable, Tonton Jacques. Pourquoi ne baisses-tu pas ce pyjama pour que je vois une chose qui m’allèche.
Elle tire sur mon pyjama qui se coince sur ma bite mais qui finit par bondir en l’air quand elle force un peu.
— Muuummmmm… pas mal pour un vieux fusil.
Dit Stéphanie qui examine mon corps âgé de 51 ans qui, heureusement pour moi, est encore pas mal conservé pour mon âge.
— Putain de merde ! Ta queue est exactement comme Marilyn me l’a décrite. Et j’adore ta poitrine velue, Tonton. Les poils ne me répugnent pas. Ils m’excitent ! Et toi Tonton ? T’aime les miens ou tu veux me raser comme Marilyn.
Mes mains ont glissé de ses énormes seins pour passer dans la touffe de poils sous ses bras, descendre sur sa taille puis ses hanches et atterrir dans son entre-jambe.
Il m’est difficile de voir dans cette pénombre mais il ne fait aucun doute que Stéphanie a buisson de poils épais et sauvages autour de sa chatte. Ma main se perd dans cette fourrure épaisse mais soyeuse.
— Tu aimes ma fourrure, hein Tonton ? J’en ai aussi autour de mon trou du cul. Marilyn m’a dit que tu n’as jamais baisé en enculant une fille ?
Je ne peux que hocher la tête en silence.
— Je me suis sentie prête pour toi quand je t’ai entendu aller pisser. Mais il m’est impossible de croire que tu n’as jamais mis ce beau morceau de viande dans un gros cul !
Stéphanie regarde autour d’elle et apercevant un vieux fauteuil elle saute dessus à genoux, le cul en l’air en s’agrippant au dossier.
— Vas-y, sers-toi, vite et fort ! Le cul c’est mon truc ! Marilyn l’a déjà préparé avec ses doigts et sa langue.
Décidément la jeunesse d’aujourd’hui n’a rien à voir avec celle de mon époque.
Je me présente derrière elle et de mes deux mains j’écarte ses fesses, petites mais rebondies sur l’arrière.
Stéphanie a un tatouage d’aigle ou quelque chose de ressemblant sur son dos, je le remarque tout en faisant glisser ma bite dans la fente de son cul, qui est toute lisse et lubrifiée. Même dans la pénombre, je peux voir les poils qui poussent abondamment autour de sa chatte pour s’étendre jusqu’à son trou du cul, que la tête de ma bite trouve bientôt.
— Je la veux complètement en moi Tonton,
Grogne assez fort Stéphanie quand mon gland passe sans difficulté son sphincter et que ma queue pénètre un peu dans son trou du cul poilu.
Je pousse doucement mon pieu dans ce tunnel accueillant et brulant et Stéphanie gémit assez fort :
— Ouiiiii, baise mon cul ! C’est bon ton gland qui se fraye un chemin !
Crache Stéphanie au fur et à mesure que ma grosse queue rempli son rectum.
— Plus fort, vas-y à fond ! Défonce mon petit trou du cul.
— Tais-toi ! Petite Salope, je siffle avec colère, car même si nous somme au fond de la cave, je ne suis pas sûr que le bruit ne monte pas dans la maison silencieuse et bêtement ça me gênerait que ma nièce nous entende.
Une fois bien enfoncé dans son cul, je commence des vas et viens en prenant soins de faire glisser toute ma queue dans la chaleur de sa cavité qui, incroyablement pour moi, prend toute mon énorme bite, mais qui retrouve mon gland sans effort quand je glisse par mégarde hors de son trou du cul.
Mes poussées sont de plus en plus fortes et Stéphanie grogne chaque fois que je percute son cul avec mon pubis et mes couilles. Je voudrais bien attraper ses seins mais la position est assez inconfortable alors je me contente de la baiser comme un fou.
Je m’enfonce bien à fond dans son cul et je fais une petite pose en me recalant bien sur mes jambes qui ont tendance à glisser sur le sol de la cave. Cette garce de Stéphanie, sentant mes couilles qui danse la gigue sur ses fesses, passe la main entre, et après avoir massé mes couilles, ses doigts glissent sur mon scrotum et titille ma rondelle.
J’entends Stéphanie qui commence à pleurnicher un peu, et son trou du cul est pris de convulsions pendant qu’elle arrive à me dire d’une vois étouffée,
— Lâche-toi dans mon cul, vas-y ! Graisse-moi mes boyaux, Tonton
Une vraie pute cette môme ! Mes couilles comprimées par la main de Stéphanie, je n’ai aucun problème pour exécuter ses ordres et tire mes giclées de sperme au fond de son cul.
— Aaaahhhhh Tiens, enculée de salope prend mon foutre dans ton trou à bites.
Sous mon orgasme, Stéphanie jouit et grogne à chaque giclée de sperme que je projette dans son cul et ses genoux glissent sous la force de mes poussées. Je me retrouve sur elle mais je reste bien au fond de son cul si chaud.
Je sens les muscles de son cul qui essayent de repousser ma bite et je la laisse faire. Ma queue sortie, Stéphanie se sort de sa position inconfortable et se remet sur ses pieds.
— Muuummm, c’est bon. Et toiTonton Jacques ?
Me demande Stéphanie pendant que j’embrasse ses seins,
— T’as aimé me prendre dans le cul, n’est-ce pas ?
— Oooh, Ouii, j’adore ton cul !
— Je crois qu’on ferait mieux d’aller dormir, Tonton Jacques, dit doucement Stéphanie en embrassant mon cou. On va passer des journées et des soirées inoubliables, je veux que tu prennes Marilyn comme tu viens de me prendre.
— Je ne pense pas. Elle ne veut pas.
— Elle voudra, Tonton, déclare Stéphanie. Crois-moi et fais-moi confiance, elle va aimer çà ma petite chérie.
Stéphanie se dirige vers le haut des escaliers, et je la suis lentement derrière elle. Pas si lentement pour ne pas rater la vue de dos de Stéphanie qui monte les marches devant moi. Son petit cul rebondi ondule au gré de la montée des marches et sur l’intérieur de ses cuisses coule un jus qui vient de ma bite.
Cette petite salope est incroyable. Vue de dos c’est une petite adolescente, vue de face, c’est une femme aux seins incroyablement bien développés.
Un court passage par la salle de bain avant d’aller me coucher et je regagne ma chambre. Devant la porte entrouverte, j’aperçois Marilyn debout près de mon lit, nue, seule.
— Salut Tonton
Me dit Marilyn d’une voix douce qui me semble triste. Je me sens instantanément coupable comme si je venais de la tromper. Je m’avance vers elle et elle me regarde avec un brave petit sourire sur son visage qui ne cache pas ses sentiments. Je la prends dans mes bras et je la serre contre moi.
— C’était bon, Tonton Jacques ? Dit Marilyn d’une voix hésitante.
— Oui Marilyn, c’était bien.
Je préfère lui répondre honnêtement, mais son corps tendu réagi quand même. Alors j’ajoute,
— J’ai dit, bien mais pas aussi bon que lorsque je suis avec toi, mon bébé d’amour.
— Vraiment ? Chuchote Marilyn.
— Incontestablement. Tu es une fille très particulière et une amante merveilleuse.
Je porte mes mains sur ses seins et je caresse doucement ses petits bourgeons insolents.
— Surtout tu ne t’inquiète pas et gardes le moral. Tu es beaucoup plus belle et surtout plus sexy qu’elle ne l’est. Je l’aime bien, mais toi je t’aime. Tu es la petite fille de mes rêves et de tous mes fantasmes. Tu ne le sais pas encore ?
Marilyn hoche de la tête et a cette fois un vrai sourire malgré une petite larme qui coule sur sa joue que j’embrasse avant de quitter à contrecur ses petits seins.
— Va te coucher maintenant, va rejoindre ta copine, elle t’attend surement avec impatience.
— Bonne nuit, Tonton, je t’aime aussi, dit Marilyn quand elle sort de ma chambre.
Phantome