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Mon épouse me trompe avec deux pompiers – Chapitre 1




MON EPOUSE ME TROMPE AVEC DEUX POMPIERS

Nous sommes au mois de décembre, période des vux et des calendriers.

Mon épouse Bernadette petite blonde assez fine de trente cinq ans ne travaillant pas le lundi matin, elle en profite pour faire la grâce matinée, il est onze heures, elle est en train de prendre son bain quand on sonne à la porte.

A travers la porte dentrée elle demande qui cest.

Cest les pompiers, cest pour les calendriers dit lhomme, mon épouse lui répond énervée et un peu sèchement quelle est en train de faire sa toilette, de repasser dans un quart dheure.

A travers la porte elle entend les deux types ricaner, encore une que lon dérange, je lui frotterais bien le dos à la dame dit un des types.

Moi, je suis en stage depuis quinze jours à huit cents kilomètres

La suite vous est racontée par Bernadette.

Jaccélérai ma toilette. Quand on sonna de nouveau, javais eu juste le temps de menvelopper dans mon peignoir de bain. Jouvris, curieuse de voir la tête des deux gars qui à travers la porte mavait paru assez jeune au son de la voix.

Pas mal pensais-je en regardant les deux types que jinvitais à rentrer.

Ils nétaient pas très grands, le plus âgé devait avoir dans les trente cinq ans, lautre était bien plus jeune, assez baraqués comme le sont les hommes qui pratiquent ce métier, ils souriaient en me regardant.

Je vis à leurs regards que si je les trouvais à mon goût, ils avaient lair dégalement de mapprécier.

Le plus âgé, un peu chauve avait des yeux coquins et aimait bien blaguer, lautre bien plus jeune paraissait un peu intimidé par la situation.

Par jeu ou par provocation, je laissai mon peignoir souvrir légèrement, les deux types avaient une vue plongeante sur mes seins qui sont assez petits mais assez fermes et particulièrement pointus, un peu comme une poitrine dadolescente avec des tétons assez gros.

Les deux hommes ne perdaient rien de ce que je leur présentais, surtout Jacques le plus âgé qui transpirait en ne tenant plus en place, quest-ce quil fait chaud dit-il en sessuyant le front avec son mouchoir.

Son collègue lapprouva en baissant la tête, il nosait pas me regarder.

Tandis que le plus jeune me présentait les divers calendriers quils me proposaient, Jacques narrêtait pas de mater mon cul, bien mis en évidence par mon peignoir assez fin qui moulait mes petites fesses bien fermes, une bosse sétait formée dans le pantalon de son uniforme.

Il faut que je vous dise avant daller plus loin que mon mari qui est en stage pour son travail nest pas rentré à la maison depuis plus de quinze jours.

Etant assez gourmande coté sexe, vous comprendrez que jétais en manque et que ce que javais lancé un peu par jeux, devenait au fil des minutes qui passaient, une évidente réalité !

Javais choisi mon calendrier, donné mon obole, nous continuions de discuter, les deux hommes debout devant la porte, ne bronchaient pas hésitant à partir, surtout Jacques qui lui avait flairé le bon coup. En baissant les yeux, dans leur direction je vis que deux belles bosses sétaient faites, ils bandaient tout en essayant de le dissimuler. Eric le plus jeune nétait pas très serein et nappréciait pas trop ce qui se passait, sûrement un petit jeune marié depuis peu, pensais-je en regardant son alliance toute neuve.

Même si de mon coté ce nétait pas visible, je sentais mon entrecuisses se liquéfier, javais des sueurs, je ne sais pourquoi, mais je leur avais dit que mon époux était absent depuis plusieurs jours et quil ne rentrait pas avant une bonne semaine.

Les deux mâles avaient bien compris mon allusion et linvite que je leur avais adressée, surtout Jacques, il voyait bien que jétais en manque.

Je ne sais quelle pulsion me tenaillait, mais javais envie de ces deux mâles, cétait la première fois que mon mari me laissait seule, et jallais le tromper pour la première fois mais loccasion était trop tentante.

Il était presque midi, ils mavaient fait part que leur tournée pour ce matin était terminée et cest tout naturellement que je leur offrais lapéro.

Un sourire illumina la figure de Jean, je les fis asseoir dans le canapé, et moi je pris place en face deux dans le fauteuil, après les avoir servi.

Tout en me rasseyant, je pris soin douvrir mon vêtement et de croiser assez haut mes cuisses, doù ils étaient ils ne pouvaient ne pas avoir descellé labsence de sous vêtement.

Je croisais et décroisais mes jambes plusieurs fois, les deux hommes transpiraient, ils étaient tous rouge et ne quittaient pas mes cuisses et surtout mon entrejambes des yeux essayant dapercevoir ma minette.

Nous avions vidés deux verres, je me relevais pour en servir un troisième en me penchant, ma tête tournait, javais terriblement chaud, Jean enfin se décida, au moment ou penchée devant lui, mes deux nichons étaient à quelques centimètres de ses yeux, il tendit sa main pour les toucher.

Il les palpait délicatement, pas mal dit-il à ladresse de son copain qui était écarlate.

Je le regardais en le laissant me toucher, ce fut le déclic, je posai ma main sur son sexe, ma main caressait son membre au travers du tissu. Il grogna et fit tomber mon peignoir à mes pieds. Jétais complètement nue devant ces deux types que je ne connaissais que depuis quelques minutes.

Ils détaillaient mon corps avec des yeux avides et plein denvie, ils désiraient me toucher, me sauter, je le voyais dans leurs yeux qui balayaient mon corps en bavant. Je magenouillai devant Jacques, baissai son pantalon, et caressai lintérieur de ses cuisses à coups de langues rapides. Je pris ces testicules, les suçai longuement tout en caressant ses fesses. Lhomme avait ouvert ses jambes et gémissait, appuyé contre le dossier du canapé.

Sa bite nétait pas très longue, mais assez épaisse, et memplissait totalement la bouche. Dix minutes sétaient écoulées quand il se retira pour éjaculer, et masperger entièrement la figure de sperme. Son collègue nous regardait avec des yeux brillants nosant pas participer.

Suivez-moi, leur dis-je, en les entraînant dans la chambre à coucher.

Les deux pompiers me regardaient les yeux exorbités.

Je mallongeai sur le lit, les jambes bien écartées, et je leur demandais de me sucer, Jacques sapprocha, se courba entre mes jambes, caressa longuement mon clitoris et mes lèvres avant denfoncer sa langue dans mon vagin tout luisant de cyprine. Eric sétait décidé à se déshabillé.

Il vint derrière moi et me présenta sa bitte pour que je le suce. Je donnais quelques coups de langue sur son gland, avant de prendre sa verge dans ma bouche. Ecartelée je sentis venir la jouissance.

Je sentais le besoin dêtre prise par une verge. Je masturbai celle du plus jeune des types, elle narrêtait pas de grossir sous mes caresses. Quand il fut en érection, je le fis asseoir et vins à mon tour me positionner sur lui, il me planta sa queue dun seul coup dans mon ventre. Les mains agrippées à ses épaules, je donnais moi-même le rythme de nos ébats. Jacques nous regardait, en se masturbant à deux mains. Quelques instants plus tard, je sentis que lhomme qui devait être au bord de la rupture, venait déjaculer en moi, je sentais ce foutre tiède qui me remplissait par petits jets. Son copain qui avait suivi la scène, dirigea son jet de sperme qui vint sécraser sur ma poitrine. Quand je regagnai enfin la salle de bain pour une toilette méritée, je peux dire que jétais couverte du sperme des deux hommes, sur mes cuisses de longues traînées blanchâtres sécoulaient de ma moule.

Les deux pompiers mavaient bien tringlés, ils se rhabillèrent à la hâte, sûrement que leurs épouses les attendaient pour déjeuner, et partirent en madressant un petit regard gêné surtout de la part du plus jeune qui nosait pas trop me regarder dans les yeux.

Jétais repue et heureuse et navais quune envie quil me laisse seule.

Je regardais ma montre, il était un peu plus de midi trente, cette partie de jambes en lair avait durée un peu plus dune heure.

Je nai jamais revue mes deux amants, jétais honteuse davoir trompé mon époux et rongée de remords.

Pour me libérer de ce poids qui me tenaillait surtout la nuit, quelques mois plus tard, je lui ai avoué mon écart, il a été un peu contrarié et a voulu que je lui raconte dans les moindres détails comment sa femme sétait donnée à ces deux inconnus et comment elle avait pris du plaisir en son absence …

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