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ma femme, le puceau et moi – Chapitre 1




ma femme, le puceaux et moi

Au bureau, le lundi suivant, à lheure de la pause du déjeuner, le minet avait souhaité de nouvelle exigence de la part de Claire. Cette dernière avait été stupéfaite par la désinvolture de son jeune collègue, lequel une semaine plutôt, était encore un timide puceau qui avait du mal à tenir une conversation avec elle sans sempêcher de bafouiller.

Ma quarantenaire, prenait plaisir à plaire tout de même, à un jeune minet. Et je le sentais, quand le soir venu, elle me contait fièrement son aventure du jour. Les yeux fermés, javais limpression dentendre Philippe jouir dans les entrailles mouillées de ma belle. Plus Claire se vautrait dans la débauche, plus je lappréciais. Cest con non ? Mais cest comme ça.

Jétais devenu son maquereau.

Ce vendredi, javais prévu de fêter tout ça, en tête à tête, elle et moi. Pour cette occasion, javais acheté quelques bouteilles de champagne et quelques fruits dont elle en était friante.

Quand Claire rentrant de sa journée de boulot, fit son apparition dans le salon, jétais assis sur le divan, devant le sceau où la bouteille baignait dans la glace. En retirant sa veste, elle ne manqua, comme par défit ou pour me rendre jaloux, de me dire que Philippe lavait baisée sur son bureau tout juste avant de partir.

Après mavoir embrassé, Claire voulut prendre une douche réparatrice, avant même de poser son cul pour prendre une coupe de champagne, mais je la dissuadais. Je linvitais alors de se retourner, et sans rien lui dire, elle moffrit ses fesses nues, sous sa jupe, dans une position la plus femelle qui puisse exister. Je restais interdit. Cétait la première fois que je voyais sa croupe ainsi ouverte. Le salaud lavait bien travaillée. Je métais guidé une main dans son intimité. Elle avait eu un gémissement.

Je magenouillais face à elle, et humais son odeur fauve qui montait dentre ses cuisses, avant de la retourner pour renifler entre ses fesses. Une fois sevré de tant de senteur, je fis sauter le bouchon de la bouteille, et emplis les verres sur la table basse.

Buvant le liquide à fines bulles, bien frappé, Claire me raconta fièrement pas à pas les deux baises quelle avait subies de la part de son charmant collègue, comme pour me donner leau à la bouche, comme si jen avais besoin.

Ma libido à son apogée, jai exigé quelle sallonge sur la table basse. Je troussais sa jupe jusquà sa taille et après mêtre saisi dune banane, que je pelais, je laventurais dans la tendre ouverture de sa féminité. Jemprisonnais la banane, comme pour que celle-ci, y soit assaisonnée par ses émanations les plus intimes.

Je lui relevais très haut les cuisses, jusquà ce que ses genoux reposent presque sur ses seins. De ma main libre, je fouillais ses entrailles avec laide de la banane, ouvrant ses lèvres, jouant même avec, pour son plus grand plaisir.

Jugeant le fruit assez macéré, je me le guidais en bouche, pour la sucer comme je laurais fait avec ma queue. Elle était merveilleuse dans cette position. Offerte de partout, depuis son sexe écarquillé jusquau puits de ses reins qui palpitait comme une bouche au milieu dun fin réseau de poils sombres et bouclés.

Le fruit ingurgité, je pris la bouteille de champagne posée sur la table et versais une rasade de ce liquide pétillant dans ses entrailles. Elle feula comme une jeune pucelle, ça lui piquait, ce plaignait-elle. À laide de deux doigts je me mis à touiller pour bien mélanger le champagne avec ses sécrétions et le sperme de son jeune amant.

Lopération effectuée, jai calé ma bouche grande ouverte à louverture de son sexe. Sans que jaie eu la peine de lui dire que ce soit, ma belle a effectuée une pirouette savante afin de me verser le contenu de son sexe dans la bouche. Claire a ouvert sa chatte à deux doigts en fourchette, pour lâcher avec plaisir la mare du cocktail, qui sécoula lentement dans ma bouche. Le breuvage était de bon cru. Je lai bu jusquà la dernière goutte, ceci faisant, je lai gratifiée dun léchage en règle qui la mena jusquà lorgasme.

Jai eu à peine le temps de me redresser, quelle se jeta déjà en arrière sur le divan.

– Baise-moi maintenant, énonça-t-elle, si tu veux que je tapprenne quelque chose qui ne te laissera pas indifférent. Elle eut un petit rire nerveux.

Elle posa la main sur mon pantalon enveloppant ma protubérance qui ne demandait quà cracher son venin.

– Jai horriblement envie que tu me défonces, roucoula-t-elle.

Cela était dit. Je me défaisais et magenouillais derrière elle, tandis que Claire se plaçait à quatre pattes.

– Tu en veux, hein salope ? Lui dis-je. Elle approuva de la tête.

Je rabattais sa jupe sur ses reins.

– Tu as vraiment un cul denfer, appréciais-je. Dune main passée entre ses cuisses, elle maida à me placer au bon endroit, juste contre lorifice palpitant de son anus. Je passais mes mains sous le pull, cherchant lagrafe du soutien-gorge que je relevais par en-dessous pour libérer ses seins. Je mintroduisais lentement, à petits coups de reins savants, tout en tortillant les pointes de ses seins. Claire sétait cambrée sur ses coudes pour mieux maider.

– Ouvre-moi, criait-elle. Ouvre-moi toute grande.

Dès que je fus au fond delle, je me couchais sur elle. Ses muscles intimes se refermaient sur moi comme laurait fait sa main. Je me mis à aller et venir avec des coups de reins de plus en plus forts. Claire se mit à crier par saccades. Tous les ingrédients étaient présents pour que je jouisse, et cela se fit, larrosant de mon sperme.

– Tu mas tuée, murmura-t-elle en se massant le cul doù mon jus coulait. Jespère que tu as gardé quelques réserves pour remettre ça.

– Tu vas pas me dire que tu en veux encore ? Tu es insatiable toi.

– Cest seulement que jai invité Philippe à passer prendre un café ce soir.

Elle me coula un regard en dessous.

– Histoire quil sympathise avec toi. Quen penses-tu ? Cest pas une bonne idée. Elle me regarda, attendant ma réponse, mais comme cette dernière ne venait pas, elle poursuivit.

– Réunir dans la même pièce, lamant et son mari, ce nest pas donné à tout le monde. Et sur ses paroles, elle alla prendre sa douche.

Effectivement, deux heures pus tard en sonna à la porte. Cétait le puceau. Un garçon de vingt-deux ans, au teint mat et aux cheveux noirs frisés. Pas très grand, mais lallure dun poids léger très costaud.

Pour loccasion, Claire sétait surpassée pour la tenue vestimentaire. Se voulant sexy, à fondre.

Elle sétait passé une robe, qui sarrêtait à mi-cuisse en voile en maille satinée, maintenue par bretelle. Une tenue follement indécente ma foi, pour recevoir un invité.

Les présentations faites, nous prîmes place au salon.

Quand Claire fit son apparition avec son plateau, moi et Philippe étions assis sur le divan. Elle assura le service, emplissant les coupes de champagne.

Elle sétait assise sur le bord du fauteuil devant nous. La robe sétait naturellement ouverte sur le devant, révélant ses cuisses gainées de bas de soie noirs qui se terminaient, en dessous des aines. Plus haut, elle avait un string bijou qui ne masquait rien de sa luxuriante toison de brune. Elle buvait carrément des yeux son collègue.

Nous trinquâmes. Je mis tout de suite Philippe dans de bonnes conditions, lui que je sentais tendu. Ma compagne veillait à ce que sa coupe ne soit jamais vide.

Lalcool aidant, la conversation se faisait moins sérieuse, et les blagues polissonnes fusaient.

Afin de nous servir un café cognac, Claire se pencha, nous exhibant ses seins nus. La salope sortait le grand jeu. Le service terminé, elle reprit sa place initiale, croisant haut la jambe, lexhibant. Lalcool, puis ce geste me donnaient chaud. Puis la discussion reprit son droit. De sa place, la coquine prenait bien soin décarter au maximum sa fourche. Je pus comme notre hôte percevoir les grandes lèvres baillaient.

Sen était trop, je ne tenais plus, il fallait que jose. Et jai osé.

– Claire, peux-tu me servir une tasse de café sil te plaît ! Et alors quelle sapprochait de moi, je lai saisie, la prenant par la taille et la guida jusquà moi.

Je me sentais devenir amoureux dun coup, à la voir sexhiber de la sorte. Je me mis à la caresser. Elle feintait de me repousser mollement.

– Non non pas devant Philippe voyons chéri…

Mais jinsistais, prenant même linitiative de déloger un sein de son nid. Je collais ma bouche contre la sienne, et mis à lair son deuxième nichon sous les yeux passionnés de son collègue.

– Philippe tu veux que te montre le cadeau de la St Valentin que jai offert à ma petite femme ?

Sans attendre sa réponse, je remontais le voile de sa robe. Prenant un pied pas possible à exhiber les charmes de ma protégée. Plus rien ne pouvait marrêter. Cette situation me comblait.

– Mais Alain tu ne penses pas que Philippe sen fout de ton cadeau.

– Mais, tout au contraire Philippe dis-lui à Claire que tu noses pas le dire, mais que tu apprécies le spectacle allez dis-lui merde.

Alors que je gardais le rideau bien haut perché sur le spectacle de son intimité, Claire laissa échapper un soupir de contentement.

Je sentais Philippe au plus mal, une bosse tendait son pantalon. Je navais jamais vu Claire dans une telle liesse, prenant son rôle au sérieux, une bonne comédienne qui se frottait tout de même à moi, comme une chatte en chaleur. Mon sexe était à létroit dans mon slip. Plus rien ne pouvait nous stopper.

Je demandais à ma belle ne reprendre sa place sur son fauteuil et de sexhiber, de nous faire saliver, moi et Philippe.

Elle sexécuta, disposa même chacune de ses cuisses sur les accoudoirs.

Mon hôte fixait lentrejambe, dont les grands pétales, sétaient ouverts, libérant les petites lèvres fripées, luisantes de rosées.

– Aller chérie, offre-toi, donne-toi du plaisir.

Dégageant son manteau de poils crépus luisants, elle fit jaillir de son capuchon sa myrtille rose du clitoris avant de faire disparaitre son doigt dans son intimité. Soutenant notre regard, elle le fit voyager. Prenant à un temps record du plaisir, poussant son ventre vers lavant de sa caresse en gémissant. Elle eut un orgasme en un temps record. Jen étais même jaloux.

La jouissance consommée, elle prit ses genoux dans chacune de ses mains, écartant un peu plus sa fourche. Proposant à qui voulait le voir une pose terriblement obscène, affolante. Son trou déserté par son doigt criait famine. Il pleurait même, des perles qui ruisselaient allèrent se trépasser, succombant sur les tries de son trou de balle.

– Alors, Philippe quen penses-tu ? Ça te plaît ?

– A en juger par son silence, Philippe napprécie guère ta dépravation, chérie je le comprends un peu. Une chatte si poilue nattire pas sa convoitise allez ma cochonne, tu peux tout remballer.

– Non mon chéri cela me plaît prolongeons si tu veux bien et tu sais si cela ne lui plaît pas, il na quà partir.

Puis la coquine se mit à couiner, en se touchant. Elle nen pouvait plus, la connaissant, elle désirait que lon soccupe de sa personne. De la guider jusquau 7émne ciel. Il était temps pour moi de défier le jeune homme, puisque quil nétait pas parti.

– Alors quest-ce que tu attends baise là

Le regard hagard, Philippe, nosait pas faire le premier pas. Et je le comprenais, prendre une femme devant son mari nétait pas une chose courante.

– Alors, lance toi elle ne te plaît pas ?

– Je la trouve très désirable, mais mais je ne peux pas.

– Ah bon, et pourquoi ?

Comme il restait silencieux, japostrophais Claire.

– Dis ma poupée, si tu désires te faire baiser, remue-le, veux-tu.

Elle ne se fit pas prier, relançant son jeune amant.

– Allez, viens Philippe, ne crains rien. Alain est au courant pour nous deux.

Cela le réconforta et enfin, le garçon daigna se lever et se positionner à genoux devant le fauteuil où ma femme lattendait impatiemment les cuisses grandes ouvertes. À laide de ses mains, elle attira la tête du rejeton le menant jusquà sa foufoune. Comme un vieux brisquard, il plongea sa langue dans les muqueuses, pompant la liqueur abondante de ma cochonne. Je me régalais dun tel spectacle. Cétait extraordinairement excitant.

Ma femme était, elle aussi, aux anges. La tête en arrière, en appui sur le fauteuil. Je me suis rapproché, pour savourer de plus près le léchage. Ma femme me voyant tout proche du débat, se mit en devoir de me commenter ce que je ne pouvais discerner.

– Il me mange il mavale ma chatte me pompe le jus oh, cest bon chéri ! Merci, merci mon amour.

Je collais ma bouche sur la sienne pour un baiser prolongé. Mais soudain Claire, se raidit, replia ses jambes sur les épaules du jeune homme, emprisonnant sa tête entre ses cuisses. Elle allait jouir dun moment à lautre.

– Oh, ouuuuuiiiiiii ! Oui encore, que cest bon, narrête pas continue oui, oui oui. Se mit-elle à crier.

Fier de lavoir menée au plaisir, le jeune homme se releva, il avait la bouche souillée de la jouissance de ma belle. Mon excitation était au summum, et je nétais pas le seul.

– Regarde ma cochonne par ta faute Philippe bande comme un âne. Il faut à tout pris que tu le soulages avant quil explose dans son slip.

Le saisissant par sa belle érection, elle lattira de nouveau vers elle. Comme laurait fait une infirmière, elle le désapa. La bite comprimée se détendit comme un ressort. Une belle queue, ma-foi. Ma femme la bécota, avant de lenfourner dans sa bouche. Je suivais avec intéressement le va-et-vient.

Le jeune homme feulait de bien être sous la caresse buccale de ma bien aimée. Quand je le vis saisir la tête de ma femme, je devinais clairement ce qui aller suivre. Et je ne me trompais pas. Il poussa un râle qui eut pour but de déformer son visage en une affreuse grimace.

Alors, que Philippe allait cuver son plaisir en sallongeant sur le divan. Claire quant à elle, vint à ma rencontre, pressa sa bouche contre la mienne, me faisant partager la sève du jeune homme dans un long baiser.

Un arrière goût de sperme dans la bouche, je demandais à ma belle.

– Retourne le pomper. Je veux que tu le refasses bander. Il est jeune, il récupère très vite vide le

Elle me sourit, sachant ce que javais en tête. À mainte fois aux cours de nos débats, nous avions imaginé ce qui allait suivre. Ma cochonne reprit le garçon en bouche, et sactiva à lui donner la forme. Le trouvant à son goût, Claire le chevaucha, et saccroupissait au-dessus de lui, plaçant sa chatte sur sa queue. Elle descendit dessus, sempalant lentement sur la hampe bien dressée. Elle ronronnait déjà, nuque pendante. Dès quelle le reçut au fond delle-même, elle se coucha sur son partenaire, me donnant accès à son anus.

– Je vais te préparer, lui soufflais-je.

Jai enduis ma queue de gel avant de lubrifier son petit orifice, alors que Claire déchainée comme jamais, allait et venait avec des coups de bassin de plus en plus forts sur le pénis du jeune homme.

Ne tenant plus, jajustais mon gland à la rondelle bien dilatée. Elle a râlé puis ma aspiré comme laurait fait sa bouche. Jai ressenti alors un plaisir que je navais connu. Je sentais contre la fine paroi de séparation la jeune queue dure de Philippe. Une sensation extraordinaire. Sans attendre je me mis à voyager dans son trou à merde. Jétais aux anges. Jaurais payé cher pour avoir une photo pour immortaliser le moment, là soudés lun à lautre, nous donnons mutuellement du plaisir. Je pense quà ce moment plus rien ne pouvait nous arrêter, pas même lécroulement de la maison. Je pense sans me tromper, que chacun de son côté appréciait linstant. Sans aménagement, nous lavons pilonnée, chacun de son côté.

Claire allait de jouissance en jouissance. Un violent orgasme ma secoué à mon tour. Jai badigeonné longuement les parois de mon jus. Claire avait son trou de balle béant, capable daccueillir deux queues sans problème. Il était souple et distendu. Jai attendu que Philippe jouisse à son tour pour me retirer du boisseau, dans un bruit de succion.

Nous avions bu une autre bouteille de champagne en parlant de choses et dautres, comme si rien de sétait passé auparavant. Philippe était plus à son aise, vous pouvez me croire.

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