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Ce que l'on peut faire par amour – Chapitre 17




Deux mois après leur premier rapport intime, Manon et Johann formaient un jeune couple heureux. Les cours à la fac ayant repris et en raison de leurs différents emplois du temps, les deux tourtereaux se voyaient chaque week-end et appréciaient toujours leurs retrouvailles qui se déroulaient de manière plutôt physique. De plus, afin de lui démontrer l’amour qu’il ressentait pour elle, Johann n’avait cessé d’offrir fleurs et chocolats à Manon. La jeune femme avait insisté plusieurs fois auprès de ses parents pour qu’ils considérassent ces attentions comme des preuves de la fiabilité de son petit ami. Malheureusement pour elle, ceux-ci campaient toujours sur leurs positions et elle avait fini par se faire à l’idée que la seule et unique façon de faire entrer Johann dans la famille était de lui faire passer ces épreuves auxquelles Roger et Solange tenaient.

Exaspérée par les jugements tenaces de sa famille à l’égard de Johann, Manon décida de profiter d’une rencontre avec le jeune homme pour lui raconter en détail la situation. Après avoir fait l’amour, comme à leur habitude, la jeune femme se blottit dans les bras de son petit ami.

— Mon chéri, il faut que je te parle de quelque chose.

— Tu m’as l’air inquiète. Ce n’est rien de grave, j’espère ?

— Non, mais il faut que tu saches quelque chose. C’est à propos de ma famille.

— Je sais qu’ils ne veulent pas me voir mais nous n’avons pas besoin de leur permission pour être ensemble.

— Je sais mais cette situation me fait énormément de peine. J’aimerais que mes parents te voient comme je te connais. Tu es quelqu’un de bien et je sais que tu m’aimes sincèrement mais mes parents refusent de le voir.

— Ce sont tes parents et ils s’inquiètent pour toi. Laisse-leur un peu de temps. Au bout d’un moment, ils verront qu’on est toujours ensemble et ils penseront notre couple solide.

— C’est beaucoup plus compliqué que ça. Si toi et moi, on compte se marier à la fin de nos études, ils tiendront mordicus à te faire passer leurs épreuves.

— Des épreuves ? J’en déduis qu’ils veulent me voir, en fin de compte.

— Oui, mais ce ne sera pas pour prendre le café. En plus, leurs épreuves seront particulièrement tordues.

— Tordues ? Comment ça ?

— C’est justement de ça que je voulais te parler mais, avant, il faut que tu saches quelque chose sur moi.

— Sur toi ? Je t’écoute.

— Cela fait plusieurs mois que je suis tombée amoureuse de toi. À l’époque, tu courais encore les filles et je n’avais encore aucune expérience sexuelle. J’ai donc voulu acquérir cette expérience qu’il me manquait pour pouvoir espérer avoir une chance avec toi.

— C’est plutôt réussi puisque tu me rends très heureux dans tous les domaines.

— Je suis heureuse de le savoir mais il faut que tu saches comment j’en suis arrivée là.

— D’accord.

— Pour trouver un mec capable de me prendre ma virginité, j’ai cherché sur internet mais je n’ai trouvé personne. Je me suis ensuite confiée à mon frère et

— Et quoi ?

Manon sentit sa gorge se nouer. Elle savait qu’elle s’apprêtait à révéler à Johann une information qui risquait de mettre fin à leur couple, voire plus selon sa réaction. Cependant, si leur amour était aussi fort qu’elle le pensait, cette bombe ne lui causerait que peu de dommages.

— Manon ? Qu’est-ce qu’il y a ? Tu t’es confiée à ton frère et après ?

La jeune femme prit une inspiration et se lança dans sa confession.

— Comme il avait lui aussi quelques conquêtes à son actif, j’ai insisté auprès de lui pour qu’il me forme sexuellement.

Johann jeta un regard abasourdi à sa copine. Il ne s’attendait absolument à ce qu’elle lui expliquât une telle chose. Dans son esprit, l’inceste était un acte que l’on ne voyait que dans les histoires publiées sur les sites d’histoires érotiques.

— Tu me fais marcher ? Tu n’as pas vraiment couché avec ton frère ?

— Si. Au début, il ne voulait pas mais il a fini par céder parce que je lui ai dit que je voulais être une bonne partenaire pour toi. Tout ce que j’ai fait avant notre première fois ensemble, c’était pour toi.

— Pour moi ? Tu as agi comme ça à cause de mon ancienne réputation ?

— Oui. Et c’est aussi pour ça que mes parents veulent t’imposer des épreuves.

— Tes parents ? Si j’ai bien compris, Florent t’a formée sexuellement. Mais qu’est-ce que tes parents ont à voir là-dedans ?

— Ils ont tout découvert. Florent et moi, on leur a expliqué pourquoi on faisait ça et ils ont voulu m’aider à leur tour.

— Tu as aussi couché avec tes parents ?!

— Avec mon père, oui. Ma mère m’a appris à utiliser un gode-ceinture.

Pour la deuxième fois, le jeune homme fut pris au dépourvu. S’il commençait tout juste à digérer la nouvelle de l’inceste entre Manon et son frère, il ne pouvait concevoir que des parents se joignissent à ce genre de « petit jeu » avec leurs enfants.

— D’accord Je comprends mieux comment tuas fait pour avoir autant d’expérience. Avant qu’on aille plus loin dans notre histoire, je veux savoir une chose : est-ce que tu couches encore avec ton frère ou l’un de tes parents ?

— Non, plus depuis notre première fois. Je te l’ai dit : tout ce que j’ai fait avec ma famille, c’était pour être avec toi. Maintenant que je t’ai, je ne ferai rien qui puisse changer ça.

— Je te crois, Manon, mais je t’avoue que je me demande si je suis sûr de vouloir rencontrer tes parents.

— Je comprends ce que tu ressens, mon chéri. Mais il faut que tu le fasses pour moi.

— Je sais que cette situation te fait de la peine mais avant de prendre ma décision, j’aimerais savoir à quel genre d’épreuve m’attendre avec tes parents.

— En réalité, mes parents veulent que tu sois mis à l’épreuve par eux, mon frère et Rosalie, sa copine.

— Whaou ! J’ai vraiment toute ta famille contre moi.

— Je sais mais toi et moi, on va leur prouver qu’ils se trompent. Par rapport aux épreuves, je ne peux pas te renseigner précisément parce qu’ils ne veulent rien me dire mais je te conseille de t’attendre à des épreuves tordues. Donc, si tu veux réussir leur test à la gomme, fais ce qu’ils te demanderont et ils nous ficheront enfin la paix.

— Tordues ? Tu veux dire « sexuelles » ?

— Possible. Je ne sais rien de précis mais, avec mes parents, tu peux t’attendre à tout.

— D’accord. Même si je trouve le concept complètement ridicule, je vais relever leurs défis pour toi.

Un flot de reconnaissance envahit le cur de Manon qui serra son petit ami de toutes ses forces contre elle en l’embrassant avec tendresse.

— Merci, Johann ! Je suis vraiment désolée de t’avoir choqué avec toute cette histoire mais il fallait que tu saches tout pour qu’on puisse avancer.

— Ça ne fait rien. Au moins, tu as été honnête et tu ne m’as pas trompé. Donc, aucune raison de te quitter.

— Je vais parler à mes parents pour leur dire que tu es prêt à les rencontrer.

Les deux amoureux se rhabillèrent et, après avoir échangé un dernier baiser, partirent chacun de leur côté. En arrivant chez elle, Manon s’empressa de trouver Solange, occupée à lire une revue dans le salon. En voyant l’expression déterminée dans les yeux de sa fille, cette dernière sentit que quelque chose s’était passé.

— Bonjour, ma chérie. Comment ça s’est passé avec ton amoureux ?

— Très bien. Il est prêt.

— Prêt à quoi ?

— À passer les épreuves stupides que vous comptez lui faire faire, Papa, Florent, Rosalie et toi.

— Baisse d’un ton, jeune fille ! Si nous faisons ça, c’est pour toi.

— Pour moi ? Si vous vouliez vraiment faire quelque chose pour moi, vous auriez accepté Johann comme vous l’avez fait avec Rosalie.

— Tu sais très bien que la réputation sulfureuse de ton copain l’a précédé. À lui maintenant de nous prouver qu’il est assez bien pour toi.

— Il est très bien pour moi et il va vous le prouver une bonne fois pour toutes.

— Puisque tu es sûre de toi Appelle-le et dis-lui qu’il peut venir quand il veut pour que je lui fasse passer mon épreuve.

Sans répondre, Manon composa le numéro de Johann. Celui-ci répondit au bout de deux sonneries.

— Tu as parlé à tes parents ?

— Oui, à ma mère. Elle dit que tu peux passer quand tu veux pour qu’elle te fasse passer son épreuve.

— D’accord. Aujourd’hui, ça va pour elle ?

— Aujourd’hui ?! Tu es sûr de vouloir faire ça ?

— Oui. J’en ai assez de te voir en peine. Donc, autant en finir le plus rapidement possible.

— Tu as raison. Je vais lui dire.

Manon jeta un regard interrogatif à Solange qui hocha la tête en signe d’acquiescement.

— C’est bon pour elle.

— Très bien. Dis-lui que j’arrive. Je t’aime.

— Je lui dis tout de suite. Je t’aime aussi.

La jeune femme raccrocha et informa sa mère de la venue de Johann.

— Parfait. Maintenant, va dans ta chambre. Il ne faut pas que tu interviennes durant les épreuves. Ton petit ami devra se débrouiller tout seul.

Manon répondit par un soupir exaspéré et sortit du salon pour gagner sa chambre. De son côté, Solange prépara le terrain pour son défi. Alors qu’elle s’était remise à lire sa revue, la sonnette retentit. Elle alla ouvrir et fit entrer Johann.

— Bonjour, jeune homme. Tu dois être Johann. Manon m’a beaucoup parlé de toi.

— Bonjour, Madame. Manon m’a aussi beaucoup parlé de vous.

— Viens seulement avec moi au salon.

Johann suivit Solange qui l’invita à prendre place sur un fauteuil. Au du ton employé par le jeune homme pour s’adresser à elle, Solange comprit que Manon lui avait possiblement raconté certaines choses. Elle devait donc manuvrer prudemment afin de l’inciter à passer son test.

— Johann, ça fait maintenant deux mois que Manon et toi êtes en couple. Elle me dit qu’elle est heureuse avec toi. Mais toi, l’es-tu avec elle ?

— Oui, Madame. Bien sûr.

— Vraiment ? Ça ne te manque pas de coucher avec les filles que tu veux quand tu le veux ?

— Non, parce que j’ai trouvé beaucoup mieux avec Manon.

— Plutôt bonne réponse mais cela ne fait que deux mois et je pense qu’un coureur de jupons comme celui que tu étais ou que tu es peut-être toujours ne se met jamais longtemps en couple avec la même femme. Tu comprendras donc, qu’en tant que mère, je souhaite m’assurer que tu sois l’homme qu’il faut pour ma fille.

— Je comprends vos réserves, Madame, mais je suis prêt à vous prouver que j’ai changé.

— J’admire ta détermination mais, avant de commencer, je souhaite savoir ce que Manon t’a raconté à notre sujet.

— Elle m’a expliqué que vous, votre époux et votre fils l’avez initiée au sexe et qu’elle a fait tout ça pour moi.

— Je vois qu’elle a eu assez confiance en toi pour te révéler la vérité. Que comptes-tu faire maintenant que tu sais cela ?

— J’ai compris pourquoi elle a fait tout ça et je veux d’autant plus être avec elle.

— Belles paroles mais tu ne comptes pas raconter ça à tout le monde ?

— Non, parce que je sais que ça ferait énormément de peine à Manon et je ne veux pas qu’elle souffre.

— C’est ce que je voulais entendre mais les paroles ne valent rien sans les actes. Tu es en conscient ?

— Oui, Madame.

— Très bien. Dans ce cas, si tu es prêt, nous pouvons commencer ton premier test.

— Je suis prêt. Demandez-moi ce que vous voulez et je le ferai.

Solange sourit intérieurement. Elle avait parfaitement mené son entretien et elle pouvait désormais disposer de Johann comme elle le souhaitait.

— Bon, dans ce cas, commence par te déshabiller. Je veux voir ce que ma fille peut bien te trouver.

D’abord surpris par cette demande quelque peu abrupte, Johann voulut refuser mais il se souvint de la mise en garde de Manon concernant ses parents. Il lui avait promis de passer ces épreuves pour elle et c’était ce qu’il avait l’intention de faire. Le jeune homme s’empressa de se dévêtir, offrant son corps nu aux yeux de Solange. Honteusement, le jeune homme sentit sa verge prendre de l’ampleur malgré la situation de soumission dans laquelle il se trouvait et le sourire de Solange à la vue de ce spectacle ne lui disait rien de bon.

— Eh bien, dis donc ! Très belle pièce que tu as là. Je comprends mieux ton succès auprès des filles. Bon, passons. Je suis un peu fatiguée. Va me préparer un café. Tu trouveras tout ce qu’il te faut dans la cuisine.

Sans se poser de questions, Johann obtempéra et revint quelques minutes plus tard avec la boisson demandée sur un plateau. Sur un signe de son examinatrice, le jeune homme posa le tout sur la table basse du salon. Afin de se mettre plus à l’aise, Solange retira T-shirt et pantalon, ne conservant que ses sous-vêtements. À la vue de la poitrine généreuse et des courbes de la mère de famille, il sentit un nouveau flux de sang passer dans sa verge. Il tenta tant bien que mal de dissimuler son trouble et attendit patiemment les instructions de Solange.

— Merci pour le café, Johann, mais j’ai beaucoup marché ce matin pour faire mes courses d’un bout à l’autre de la ville. J’apprécierais donc beaucoup que tu me fasses un massage.

Johann s’agenouilla devant Solange et commença par lui masser les pieds tandis qu’elle buvait tranquillement son café. Le jeune homme s’appliqua à faire des mouvements circulaires le long des jambes de son examinatrice afin de lui procurer une sensation la plus agréable possible. Lorsqu’il parvint à la naissance des cuisses, il sentit une odeur qui lui était familière. Solange était bel et bien excitée par la situation et cela se traduisait par un flot de cyprine qui inondait sa petite culotte.

La mère de famille se réjouit du trouble du jeune homme.

— Tu as vraiment des mains très agréables, Johann. Elles me font beaucoup de bien mais, comme tu le vois, cette situation m’excite énormément et laver une petite culotte pleine de cyprine prend beaucoup de temps. Ce serait donc très gentil de ta part de sécher tout ça.

Sur ces mots, Solange retira sa petite culotte, laissant Johann admirer son intimité bien fournie. Un nouveau flot de sang vint irriguer la verge du jeune homme. Sans se poser de questions, il plaça son visage entre les cuisses de son examinatrice et avala toute la cyprine qui s’écoulait de son sexe.

— Très bien, Johann. Je suis à nouveau sèche mais, maintenant, je veux tester ta résistance. Mets-toi à quatre pattes par terre. Je reviens tout de suite.

Johann adopta la posture exigée tandis que Solange allait s’équiper de son gode-ceinture. Dès qu’il sentit l’objet le pénétrer sans la moindre lubrification, le jeune homme émit un gémissement de douleur, ce qui amusa Solange.

— Eh bien, je vois que tu n’es pas vraiment habitué à te faire prendre mais, ne t’en fais pas : je vais y remédier.

Solange entama une série de lents va-et-vient dans l’arrière-train de Johann jusqu’à ce que celui-ci s’adapte progressivement à la présence du gode puis elle accéléra ses mouvements jusqu’à en être épuisée. Lorsqu’elle se retira, Johann se massa le petit trou pour tenter d’atténuer sa douleur.

— Apparemment, ça n’a pas l’air de t’avoir plu.

— Ce n’est pas ce que je préfère, Madame.

— Eh bien, il va falloir songer à aimer ça parce que ma fille apprécie beaucoup de sodomiser ses partenaires. Elle ne te l’a peut-être encore jamais demandé mais elle le fera un jour. Et si elle le fait, tu accepterais pour être avec elle ?

— Avec elle, je peux tout accepter.

— Parfait. Maintenant, finissons-en.

Solange alla dans la cuisine et en revint avec un verre qu’elle tendit à Johann.

— Branle-toi et éjacule là-dedans. Cela fera un cadeau en plus de ta part pour Manon.

Gêné, le jeune homme s’exécuta à contrecur. Honteusement, il se prit à prendre le corps de Solange pour support à sa masturbation. Il repensa à ce que la mère de sa petite amie lui avait demandé. Il se rappela ses mains massant son corps, sa langue léchant son intimité puis il s’imagina jouir sur ses seins.

Grâce à ce fantasme, Johann finit par répandre sa semence dans le verre au bout de quelques minutes. Solange lui reprit le verre des mains et l’autorisa à se rhabiller.

— Ce sera tout pour aujourd’hui. Tu peux t’en aller. Mon mari entrera en contact avec toi dès demain pour te parler de l’épreuve qu’il compte te faire passer.

L’espace d’un instant, le jeune homme pensa à demander à Solange s’il avait réussi son épreuve mais, devant le ton cassant de celle-ci, il se ravisa et s’en alla sans demander son reste. Il avait passé cette première tâche et en avait retenu un sentiment étrange mêlant excitation et humiliation. Préférant en faire abstraction, Johann décida de se préparer psychologiquement au défi que Roger allait lui lancer.

[ à suivre ]

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