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Le voisin est un pur-sang – Chapitre 3




Le lendemain matin, vers 6 H 30, il se leva. Comme nous étions serrés dans le lit, il me réveilla. Je le vit enfiler mon jean, trop petit pour lui et la grosse masse disparaître derrière la braguette qui accusait une belle bosse.

Je lui demandai à voix basse à quelle heure il aurait fini. Il me répondit qu’il en avait pour une heure et demie.

"Tu reviens, n’est-ce pas" ?

"T’inquiète" ! Et, joignant le geste à la parole, il porta la main à son sexe qu’il agita sous le pantalon. Puis s’approchant de moi, il me claqua la bise.

Je m’assoupis. J’émergeai à nouveau vers huit heures. Je décidai de réveiller Anne-So. J’eus du mal à la traîner vers la salle de bain où je lui imposais de se laver le cul. Pendant ce temps, Germain était revenu. Il s’était allongé sur le lit et bandait déjà comme un âne. J’allais m’allonger à côté de lui et j’empoignais mon sexe pour me branler. Elle vint aussitôt nous sucer alternant l’un l’autre, tenant chaque trique d’une main, passant d’un gland à l’autre. Les bites désormais déployées au quasi paroxysme de leur vigueur en demandaient plus. Germain se leva le premier pendant que ma queue touchait le fond de la gorge au cours d’une pipe magistrale. Il nous fit bouger un peu puis la prit en levrette pendant qu’elle continuait à me pomper. Pour ne rien perdre du spectacle, je me mis à genoux. Il accéléra le mouvement. Les coups de queue étaient tellement violents qu’elle ne pouvait quasiment plus me sucer en cadence. Les fesses claquaient et s’empourpraient.

"Viens, on change de côté".

J’obéis à cette invitation de Germain mais, pour une meilleure stabilité, je me mis debout au bord du lit, Anne-So aussi, le buste penché en avant sur la monstrueuse asperge de Germain qui était resté couché. J’attrapai un tube de gel que j’utilisais pour mes consultations et que j’avais planqué sous le lit, j’en lubrifiai deux doigts que j’enfilai immédiatement dans l’anus.

"Aïe" !

"Attends, je veux voir" dit Germain. Il se mit à côté d’Anne-So, puis, de ses deux mains, il écarta les fesses, à la fois pour m’aider et pour voir ma queue s’insérer progressivement dans le trou. Je réalisai un de mes fantasmes;

J’étais super excité. Je dus faire une pause pour ne pas jouir tout de suite. Nous en profitâmes lui et moi pour lui doigter à fond les deux orifices. Cependant la rondelle s’assouplit et je présentai mon gland sur l’anneau à la texture de caoutchouc. Il pénétra difficilement et, pour faciliter le mouvement, Germain, tout en se masturbant d’une main, titillait le clitoris de l’autre comme un forcené. Quand le gland fut passé, la hampe suivit d’un seul coup. Anne-So gémit un peu et j’enfonçai le pieu jusqu’aux couilles.

Je me mis à aller et venir au rythme qui flattait le plus les sensations de mon membre turgescent. Germain se remit à genoux pour se faire sucer et, de ses grandes mains, il massait les fesses, les écartant ou les resserrant autour de ma queue.

"Aller, à moi maintenant" supplia-t-il.

"Attends encore un peu bâtard. Je la chauffe et je la détends bien. Ton engin est tellement gros que tu vas me l’abîmer alors faut assouplir".

Il continua donc à la sucer tout en la bifflant de temps en temps.

"Aller, laisse-moi la place bon sang que je te montre comment on s’occupe d’un cul".

Je le fis patienter encore puis finalement lui cédai le terrain. Il mit deux doigts, puis trois puis, après avoir donné un grande claque sur le cul, présenta son dard et d’un coup, il l’encula. Elle avait beau être dilatée, il lui arracha un cri très fort et elle s’affala sur le plumard.

"Ta gueule ma jolie. Si tu veux savoir ce que c’est que de couiner, tu vas couiner".

Il la redressa et, l’attrapant par les hanches, il commença à lui détruire la rosette à un rythme effréné. Son corps était tellement agité par la cadence et la force des coups de pine que je ne pouvais qu’à peine insérer ma bite dans la bouche. Je décidai donc de m’allonger sous elle, tête-bêche pour peloter les nichons qui ballottaient sous la violence des chocs. Jamais les tétons ne m’avaient paru aussi gros, aussi durs.

"Bon, une double maintenant" !

Comment ne pas céder à cette proposition qui allait combler l’un de mes désirs les plus chers, jamais assouvi.

Germain s’allongea sur le dos. Anne-So vint se planter sur la colonne droite comme un i, face à lui. Je n’eus plus qu’à introduire mon pieu dans le cul. La sensation en fut très agréable, car la présence de la grosse bite de l’autre côté de la paroi remplissait bien le volume et me donnait l’impression d’un trou beaucoup plus serré. Je fis plusieurs va-et-vient mais la position était assez inconfortable pour Germain écrasé sous nos deux corps. Je me retirai donc, le temps qu’ils glissent tous les deux au bord du lit. Là en me tenant debout derrière le cul je pus le fourrer tout à mon aise. Germain, ainsi libéré, soulevait son bassin avec beaucoup de force pour faire sauter ma femme sur sa monstrueuse biroute. Au bout d’un moment, nous inversâmes les rôles. Dans la chatte je connus encore de nouvelles impressions quand Germain limait le cul à fond. Je sentais sa grosse courge aller et venir de l’autre côté à un rythme qui stimulait mon propre membre, à tel point que je bougeais à peine. Puis, sans prévenir il se retira et vint essayer de s’introduire dans le même trou que moi. Mais la chatte ne paraissait pas prête à se dilater autant pour des calibres d’une telle circonférence. Germain introduisit un doigt, où je reconnus l’habitude du travail au grand air, la peau sèche cornée, dure. Il se retira, s’enduit les doigts de gel bien que la chatte dégoulinante fût déjà complètement lubrifiée, et en replongeant deux. Je sentis la fraîcheur du gel sur ma tige, puis, quand il eut bien graissé le tout, il représenta son gland.

Il l’enfila millimètres par millimètres. Anne-So se mordait les lèvres et plantait ses ongles dans mes épaules. Son visage affichait une mélange de douleur et de plaisir. L’immense engin prit enfin tout le volume, me comprimant la pine jusqu’à la faire éclater. C’était hyper bon. Là aussi je le laissais faire. Ses amples mouvements m’excitaient au plus haut point. J’étais proche de jouir et je le lui dis afin qu’il arrête et me préserve d’éjaculer déjà. Mais, au contraire il accéléra puis, se bloquant tout à coup je sentis le suprême gonflement de sa bite et ses variations successives au moment où il déchargea. Un flot chaud inonda le vagin provoquant mon orgasme. Nos spermes se mélangèrent dans la chatte. Puis Germain se retira, Anne-So s’allongea à côté de moi. Le liquide blanc s’échappait du trou en flux lent et épais.

"on va recharger et après, ma belle, c’est ton trou du cul qu’on va élargir de nos deux bites".

La nuit avait été courte, l’effort intense, nous nous endormîmes tous. La bonne odeur du café vint nous réveiller longtemps après. Anne-So, levée la première, avait eu le temps de nous préparer un petit déjeuner bien qu’il fût largement plus de midi. Puis, cette collation prise, la fête reprit. Germain s’allongea pour un face-sitting. Tandis qu’il lui mouillait le cul avec la langue, debout au dessus je me faisais faire une très agréable branlette espagnole. Puis, se mettant debout, Germain la prit par derrière et l’encula un long moment pendant que je me faisais tailler une pipe. Puis ce fut à mon tour de limer la rondelle. Enfin je dus m’allonger sur le dos, ma femme vint s’empaler sur mon vit, face à moi, et Germain vint lui forcer le cul. Ce fut très difficile. Il était très étroit et ma queue le remplissait déjà bien. Mais rien ne résiste à Germain et, bientôt, nos deux membres énormément comprimés l’un sur l’autre dilatèrent ensemble le cul devenu de plus en plus élastique.

La lubrification avait été parfaite et la bite de Germain coulissait à toute vitesse sur la mienne. Il se retira pour se faire sucer. Je décidai alors de me placer debout à l’arrière et pendant qu’elle lui aspirait le dard, je perforais les deux trous alternativement. Germain vint en faire autant, puis nous nous retrouvâmes lui dans la chatte moi dans le cul pour une autre bourrade fantastique. Le fait d’avoir déjà baisé quelques heures avant nous avait rendu plus endurants et le pilonnage fut long. La piaule puait la sueur et la pine. Nous avions chaud, la transpiration nous rendait ruisselants. Anne-So s’épuisait sous les coups de queue qui lui donnaient des orgasmes à répétition.

Mais l’endurance a ses limites et je sentis que j’allais bientôt jouir et comme je l’exprimais tout haut, Germain me dit d’essayer de tenir un peu. Il me proposa de me retirer du trou du cul tandis que lui ramonait toujours la chatte. J’en profitai pour bouffer la rondelle, ma salive inondant les couilles de Germain qui s’affolaient en dessous et qui, parfois, me touchaient le menton.

Puis il se retira à son tour.

"Je suis prêt. A genoux".

Elle obéit et nous nous mîmes à astiquer nos manches en cadence au dessus de son visage. Il lui attrapa les cheveux pour lui tirer le tête en arrière.

"Ouvre la bouche, prends tes nibards dans tes paluches et serre-les", ce qu’elle fit sans discuter.

Mon jet fusa, sans doute moins fourni que je leusse voulu, mais il tomba entièrement sur le visage, sur les yeux fermés, sur le creux du nez, directement dans la bouche ouverte où j’introduisis mon gland immédiatement. Mais Germain me poussa vite en arrière pour que je lui fasse place et, la tige lancée vers le ciel, il expulsa toute sa crème, qui semblait aussi abondante que les fois précédentes. La fontaine de foutre retomba de part et d’autres du zob dressé, y compris sur les poils pubiens de l’heureux éjaculateur, alors que des gouttes plus lourdes tapissaient le visage de l’heureuse élue ou sinuaient entre les deux nibards. A plusieurs reprises, il ramassa ce qu’il put avec le bout de sa queue pour tout resservir dans la bouche gourmande qui se régalait manifestement d’un tel apport de protéines 100% bio. Mais, si gros que fut le gland, il ne parvint pas à collecter tout le liquide répandu sur les mamelles et le visage, aussi y mit-il les doigts, et, quand il eut collecté assez de sperme, il se mit à caresser la fente frénétiquement avec.

On était au début de l’après-midi et il dut repartir chez lui pour travailler. Comme il faisait très chaud et que cette matinée de baise l’avait retenu loin de son travail, nous linvitâmes à venir dîner avec nous ce dimanche soir dans notre jardin. Je lui demandai juste la permission d’aller piocher quelques morceaux de viande dans son congélateur pour faire un barbecue dans notre jardin. Il nous dit qu’il ne pourrait pas être là avant 21 heures. Je commençai donc à faire les préparatifs. La chaleur n’avait pas baissé et, comme notre jardin est entièrement clos, pas un souffle d’air ne passait. Anne-So se mit alors à poil, ce qu’elle ne faisait jamais d’habitude. J’en fit autant tout en commençant à bander un peu en devinant quels étaient ses desseins (et depuis quand nous sommes seuls ou avec Germain, nous vivons toujours à poil dehors). Germain nous rejoint quelques minutes après alors que nous avions terminé les préparatifs. Nous voyant nus, il s’y mit aussi et, pendant que je grillai la viande, au moment de l’apéro, il se fit sucer à côté de moi, tout en tapant la causette et en évoquant nos prouesses du jour.

Fort heureusement, mon tablier protégeait mon zgeg de la chaleur de l’âtre, sans quoi il eût fondu comme une saucisse. Mais le repas fut prêt et nous passâmes à table. Je notai que la verge de Germain ne dégonflait pas. Il faut dire qu’il la maintenait tendue par quelques coups de poignet bien sentis de temps à autre. Finalement, vers 22 H 00 il se leva.

"Bon, c’est pas le tout, mais avec la nuit et le journée qu’on a passées, il faut que j’aille me reposer si je veux être opérationnel demain… pour bosser". Ce faisant, il vint auprès de ma femme, lui pelota les seins et l’allongea sur la table, en poussant tout ce qui pouvait gêner. Je restai assis, contemplant la scène en bandant. Il se tenait debout, elle le cul au bord de la table, avait les jambes pliées sur les avants-bras poilus et musculeux du mâle. Il la troncha sans ménagement. Je fixai mon regard alternativement sur les nichons qui s’agitaient au rythme saccadé des coups de trique et sur la pine qui rentrait et sortait très vite dans l’antre humide. Il ne se ménagea pas. La table vibrait sous les coups et je dus enlever tout ce qui risquait d’en tomber et de se casser. Ma femme haletait et se retenait de ne pas crier pour ne pas alerter le voisinage. Elle finit par se masser les mamelons et se les pincer quand vint l’orgasme. Il jouit peu de temps après tout en enfonçant son pieu le plus profondément possible jusqu’à ce que jaillisse la dernière goutte. Il resta un court instant immobile, se retira avec lenteur et je me mis aussitôt à la place gluante et chaude. C’était la première fois que j’enfilais mon zob dans une chatte pleine de sperme. J’en trouvais la sensation agréable.

Germain regarda un peu, m’envoya une grande claque sur le cul, fit un monumental suçon sur l’une des tétines, roula un pelle magistrale à ma femme et nous dit :

"Profitez bien. A bientôt". Et il partit.

Je profitai longtemps du moment, tirai ma crampe méthodiquement, sans précipitation pour finir en montant sur la table pour éjaculer sur la poitrine. Quand je l’eus fait, je léchai mon propre jus, que j’avais déjà goûté lors d’un branlette en solo lorsque j’étais encore célibataire, puis, la bouche pleine du meilleur de moi-même, je recrachai le tout dans la bouche de ma petite chérie et nous finîmes par une galoche magistrale. Nous montâmes nous coucher ainsi, sans rien ranger, sans nous doucher, laissant cela pour le lendemain.

Nous nous aperçûmes vite par la suite que Germain était très demandeur, une bête de sexe. Il vint dès le lendemain et les jours suivants, d’abord timidement, demander si Anne-So avait du temps libre, avec ou sans moi. Ayant déjà pris une sérieuse addiction pour ce gros chibre, elle ne refusa que rarement. Puis, avec le temps, il ne prit plus de précaution. Il lui arrivait d’entrer dans la cuisine ou le salon sans frapper ou à peine et, si Anne-so s’y trouvait, il baissait son froc pour se faire sucer de suite. "Vide-moi les couilles" disait-il. "Elles sont lourdes"!

Nous le vîmes ainsi venir un nombre incalculable de fois et à chaque fois nous pensions que c’était pour baiser, ce qui n’était pas toujours le cas, quoique l’inverse fut rare. Il m’arrivait souvent, en rentrant de mes consultations, de les trouver tous les deux au pieu, sous la douche, dans le jardin ou n’importe où ailleurs. Parfois, la maison étant vide, j’allais chez lui. Plus d’une fois, je les surpris dans l’étable, le grenier, sa piaule, sur le tracteur… et, souvent je me joignis à eux, à moins que je fusse trop fatigué ou que j’eusse à faire. Les nuits du vendredi et du samedi se passaient souvent à trois et même, deux ou trois fois, à quatre quand il avait trouvé sur internet une petite nana qui acceptait ce type de plan. Mais nous n’en trouvâmes jamais de réellement satisfaisante au sens où il ne pouvait pas y avoir de complicité durable.

Un soir, il nous dit qu’il ne viendrait pas pendant trois semaines, du lundi 17 au vendredi 4 car il devait recevoir un stagiaire, qu’il ne connaissait pas, pendant ce laps de temps.

Nous lui fîmes comprendre que nous en profiterions pour nous amuser à deux, car depuis qu’il venait avec nous notre libido avait complètement changé, pour nous reposer un peu quand même (car tirer un coup tous les jours, et plusieurs fois par jours dans certains cas, cela peut être fatigant), recharger les batteries et mes couilles et qu’après ce serait un festival…

C’en fut un, pas comme nous l’avions prévu…

A suivre.

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