Valérie avait donc sauté le pas … elle était devenue Vanessa en ayant accepté de l’argent de son propriétaire … elle s’était caressée devant lui … elle connaissait le gout de son sperme.
Elle fantasma beaucoup (et se caressa longuement) en repensant à ce qu’elle avait osé faire et au plaisir qu’elle y avait pris. Elle se demandait souvent ce que penseraient ses amis étudiants – qui aimaient tant taquiner la Valérie timide – s’ils apprenaient qu’elle était devenue une pute.
Hervé relança rapidement Valérie pour une autre rencontre.
Valérie savait bien que cette fois il allait la pénétrer, enfin non il allait pénétrer Vanessa mais ceci était normal puisque c’est bien le travail d’une prostituée … donc elle accepta.
Toutes mes excuses cher lecteur mais Vanessa n’a pas gardé un souvenir très fort de cette première pénétration tarifée, l’acte sexuel en lui même n’est qu’un acte parmi d’autres et c’est le tout (se vendre pour du sexe) qui excitait surtout Vanessa.
Si vous voulez plus de détails sachez quand même qu’avec le recul Hervé était une assez piètre amant, mais il a été l’initiateur de Vanessa et sans lui peut être qu’elle ne se serait jamais prostituée du tout.
Durant quelques mois Hervé vint donc rejoindre Vanessa dans son studio, lui remboursant son loyer en échange de bons et loyaux services.
Il adorait voir Vanessa se caresser et l’entendre gémir, puis il sortait invariablement son sexe et Vanessa le prenait dans sa bouche jusqu’à ce qu’il soit bien dur en enfin il jouissait (rapidement) entre les cuisses mouillées de votre amie.
Vanessa de son coté avait généralement un fort orgasme surtout juste après son départ, encore imprégnée de son odeur et de l’odeur de son sperme, se caressant à nouveau en repensant à ce qu’elle venait de faire avec cet homme qui l’avait payée comme une vulgaire trainée.
Vous avez compris que sexuellement ce n’était pas le feu d’artifice mais par contre Vanessa restera toujours reconnaissante envers Hervé pour la véritable "féminisation" qu’il a initié sur elle (et la confiance en soi qui va de pair !). La femme d’Hervé (que Valérie croisait parfois lorsqu’elle allait payer son loyer "officiel" ) avait un look très bourgeoise raffinée et visiblement Hervé adorait ça.
Il incita donc Vanessa à se maquiller, à porter des tenues plus sexy et lui offrit même une paire d’escarpins à talons aiguille (qu’elle détesta royalement au début à force de trébucher avec eux … avant de les adorer une fois habituée).
Pour chaque rendez-vous avec son client Hervé elle essaya divers maquillage et diverses tenues (puisque maintenant elle devenait riche !) pour au final trouver ce qui lui plaisait, son identité de vraie femme (et de pute aussi bien sur). Vanessa se mit à aimer les rouges à lèvres rouge vif, tranchant bien entre sa peau relativement claire et la noirceur de ses longs cheveux … ses lèvres étaient toujours parfaites pour enserrer le gland de son client. Vanessa trouva un assez bon compromis afin de maquiller ses yeux verts afin qu’ils soient bien remarqués par les hommes et clients potentiels.
Elle shabitua (fort bien) à fréquenter une manucure afin que ses ongles soient longs et assortis à son rouge à lèvres, toujours cette même conscience professionnelle qui lui imposait de jolies mains lorsque Hervé avait envie d’être masturbé.
Ses passages fréquents à l’institut de beauté lui assurait une épilation parfaite, sauf au niveau de son pubis (naturellement très fourni) où elle épilait tout autour des lèvres mais par contre gardait au dessus son abondante toison (seulement coupée un peu plus ras).
Niveau tenues Vanessa commença à en acheter pas mal, des jupes toujours plus courtes et moulantes, de la lingerie surtout avec une grosse préférence pour les fins tissus transparents et les strings. Une fois les talons aiguilles domptés elle devint une fan inconditionnelle, les associant à toutes sortes de bas.
Son amant-client était ravi de ces transformations.
Une fois, très excitée à l’idée de cette expérience, Valérie sorti en pleine rue habillée et maquillée en Vanessa.
C’était une après-midi de printemps, le temps était doux … Valérie (que personne ne voyait dans la rue) fut subjuguée par le changement … pleins d’hommes la fixait, se retournaient sur son passage.
Elle revient chez elle avec 3 numéros de téléphones et se caressa longuement en pensant à l’envie quelle pouvait déclencher chez les hommes.
La suite vous vous en doutez.
La fin de l’année universitaire arrivée Valérie déménagea pour aller s’installer dans un studio plus grand, plus lumineux, dans une résidence plus chic et mieux placée.
Ses parents étaient étonnés de ce changement mais elle leur expliqua qu’elle allait assumer les frais supplémentaires car elle allait l’année d’après se lancer dans un nouveau travail … elle ne leur dit évidemment pas que leur petite chérie allait se lancer dans la profession d’"escort-girl" occasionnelle.