Récit de Jacques
Dans l’air pur du Jura, papa, maman, Louis et moi débarquons à l’hôtel du Lion d’Or, dans le fond d’une vallée où les sapins embaument, après une semaine où nous avons partagé nos joies dans les baignades du merveilleux lac de Joux ou dans des promenades dans le Risoud.
Avec Louis, un copain de l’école on a pu louer deux bécanes et nous avons fait le tour du lac, environs 30 km, on est arrivé crevé, mais c’était bon. Il faut dire que nous sommes assez différents physiquement, je tiens beaucoup de mon père, une stature lourde et épaisse, d’aspect presque brutale, alors que Louis, c’est tout le contraire, une silhouette fine, presque efféminée, mais avec des muscles à tout épreuve.
Lors de nos baignades, je voyais maman qui souvent, rêveuse, regardait Louis quand il sortait de l’eau, encore tout ruisselant, elle aimait bien lui tendre le grand linge de bain et le sécher pour pas qu’il prenne froid, elle a un très grand sens des responsabilités que je pensais, parce quavec moi, c’est plutôt démerdes-toi.
Papa nous a expliqué qu’il devait rentrer à Genève, pour régler certains problèmes de son entreprise. Il nous a proposé de rester encore une semaine à l’hôtel et qu’il réglera depuis Genève. Il a pris l’autocar, puis le train pour rentrer. Pauvre papa, cela lui fait presque autant de temps que d’aller à pied.
Dans le restaurant, nous avons fait connaissance avec Mike Rochat, il nous a recommandé de partir à pied en ballade dans le Mont tendre et de profiter des chalets de club pour passer la nuit. Mais finalement, nous avons préféré prendre la tente pour aller la ficher dans les verts pâturages et finalement rentrer à pied en une semaine. Nous avons donné le congé à l’hôtel où l’hôtelier nous a souhaité bien du plaisir.
Sur les haut des Bioux, on a passé dans des endroits qui sentait bon la secte, La Samarie, Jérusalem, etc..
Après une longue marche de 3 heures, où évidement, c’est moi qui me suis coltiné la tente, en suivant des routes bien entretenues, nous arrivons aux Grands Plats de Bise où nous posons nos sacs et nous nous installons.
Récit d’Oswald, le père
On a passé une bonne semaine à se détendre, j’en avais besoin, mais maintenant que les batteries sont pleines, je vais redescendre, je leur donne une semaine supplémentaire, afin de pouvoir m’éclater avec la mère de Louis. C’est un génie mon fils d’avoir invité son copain pour me laisser le champ libre. Cette femme divorcée, c’est autre chose que mon épouse, je me sens revivre quand je passe une soirée avec elle, quelle fantaisie elle a. Dire que cette salope m’a proposé de faire venir un de ses copains pour une partie triangulaire, elle aimerait bien vivre cela. C’est sûr qu’on va lui en boucher pas qu’un coin.
Récit de Marlyse la mère.
Quelle belle semaine nous avons eu avec mon mari et les enfants, faite de baignades et de récoltes de myrtilles, c’est vraiment un plaisir ce petit hôtel, un peu dommage qu’il soit au bord de la route, ma foi bien assez fréquentée et les gens, les Combiers, horlogers dans l’âme, d’un premier abord très froid et distant sont des gens absolument délicieux. Mais nous voici parti dans l’aventure avec l’idée de finalement rejoindre Genève à pied.
Mes deux enfants, je dis mes enfants, même si maintenant, les deux me dépassent d’une tête, s’entendent comme deux larrons en foire. J’ai toujours un petit pincement quand je vois Louis, il est tellement beau, fin, un peu l’opposé de mon mari qui est cependant très doux, mais dans lui on voit la force brute et si longtemps, je l’ai appréciée, cela ne me trouble plus du tout.
Je vois ces deux garçons devant moi, et je vois leurs fesses, serrées dans une culotte, se balançant à chaque pas. Une fine et une large. C’est un drôle de tableau. Voilà, fin de la rêverie, on est arrivé aux Grands Plats de bise, on va passer au chalet d’alpage pour demander la permission de passer la nuit et acheter du lait, du fromage, du beurre de montagne, on a pris assez de pain, on ne va pas mourir de faim. Tout est OK et le vacher (cow-boy en anglais, mais sans chevaux) nous assigne un coin très sympa pour nous installer.
Récit de Louis.
Incroyable, je crois que j’ai le béguin avec la mère de mon copain, cela va un peu se compliquer, quand on est les deux, on fait nos petites affaires, sans problème, mais là, on va être trois dans la même tente avec sa mère qui me regarde avec des yeux de chien qui quémande la caresse. D’autre part, je l’aime bien, toujours sympa avec moi, une vrai mère poule. Elle aime bien me presser contre son corps de sportive et moi aussi j’aime bien me presser contre son corps, même si je vois son mari froncer les sourcils. J’espère qu’avec Jacques, on aura quelques instants d’intimité, on aime bien se caresser, se branler mutuellement, voire de se sucer, là, avec la mère, cela va pas être facile, mais avec cette marche, je sens mes pruneaux qui débordent. On a fini de monter la tente qui est vraiment beaucoup plus grande que j’aurai pensé, on sera bien là-dedans. Je vais chercher du bois pour faire un petit feu, comme on le fait aux scouts, en fait c’est là qu’avec Jacques, on a commencé à se tripoter la nouille . Le feu a bien pris, j’ai bien fait attention de prendre du bois bien sec et les flammes montent harmonieusement en direction du ciel. Marlyse a placé la marmite avec la soupe sur le foyer que l’on a construit avec des pierres des environs. Quand on a fait une longue marche, c’est fou ce que la soupe est bonne. J’en ai jamais mangée de si savoureuse. La soirée est terminée et nous nous couchons dans la tente, mais en altitude, il fait frais, on a intérêt au moins au début de bien s’habiller pour la nuit. Nous laissons Marlyse se préparer pour la nuit et nous à notre tour, dans une tente sombre nous nous changeons.
Récit de Marlyse.
Me voilà embarquée avec ces deux garçons pour notre première nuit ensemble, je me mets dans un coin pour leur laisser la place. Une fois qu’ils sont couchés dans leurs sacs, je me penche sur chacun et leur souhaite une bonne nuit en les embrassant tendrement, mais dans le noir, j’ai l’impression que j’ai dû heurter une excroissance juvénile qui ne me laisse pas insensible, c’est fou ces jeunes, un rien les fait bander.
Je ne suis pas si fatiguée que cela et j’ai un peu de la peine à m’endormir, j’écoute mes deux jeunes discuter entre eux.
— Tu es bien Louis,
— Oui, fais-moi un peu de place, je suis un peu cougné. (serré en français de France)
— Si on mettait nos sacs de couchage en commun on aurait plus de place, J’espère qu’on ne va pas réveiller ma mère.
— Au fait, quand elle m’a fait la bise, avec son coude, elle a heurté ma bite, sans faire exprès, j’ai cru que j’allais exploser. Elle me fait un effet terrible, quand je suis proche d’elle, je n’arrête pas de bander.
— Montre voir, c’est vrai, je ne t’avais pas encore vu si excité. Tu veux que je te soulage ?
— Ce serait volontiers, mais cela va faire du bordel. On na pas prévu les kleenex.
— Il reste la bouche. On l’a déjà fait. Si tu veux on se met en 69 et ni vu ni connu on se décharge de la tension de nos bites. Cette situation, Satan l’habite !
Là-dessus, j’entends un certain remue-ménage sous les sacs de couchage assemblés. Curieuse, je tends la main où je pensais se trouver la tête de Louis et je me heurte à la tête de Jacques la bouche prise par le sexe de Louis.
— Vous faites quoi les garçons ? M’inquiétè-je ? Il faut que je vous sépare !
D’autorité elle ouvre son sac de couchage et le lie aux deux autres et se place entre les deux garçons. Mais les deux garçons frustrés de leur partie de plaisir, ne l’entendent pas de cette oreille et reportent leurs câlineries sur la femme qui les sépare.
— Tu savais Maman que papa te trompe avec la mère de Louis, il l’a vu sortir de sa chambre et je pense que ce n’est pas le seul cas.
— C’est pas vrai, vous me faites marcher !
— Si c’est vrai, je l’ai demandé à ma mère juste après, elle m’a fait comprendre que son salaire serait un peu juste pour payer le loyer et qu’il lui aide et que de cette façon elle le remercie de sa gentillesse.
— Arrêtez, dit Marlyse, ce n’est pas possible, sans toutes fois être très convaincante, ce que sentent parfaitement les deux compères qui n’en continuent pas moins leurs chicaneries.
Ils se serrent contre Marlyse en frottant leurs sexes contre ses cuisses et Louis se loge dans le creux de ses bras le nez sur le bord de ses seins, il laisse promener ses mains sur le ventre de la mère de Jacques. Elle ne réagit pas à ces caresses qui deviennent de plus en plus audacieuses, le voilà qui commence à empaumer un sein doucement et Marlyse dans ses pensées.
« Je suis paralysée et je me laisse faire, me trouver sous cette tente avec deux jeunes gens en rut, cela ne la laisse pas indifférente et je me sens toute troublée, surtout avec cette histoire d’adultère qui me tourne dans la tête et aussi quand j’ai senti cette gaule en pleine succion. Je ne sais pas trop que faire, se montrer prude alors que depuis une semaine je rêve de Louis ! Mais il y a mon fils, je ne peux pas décemment me payer Louis avec Jacques juste à côté. »
Discrètement Marlyse laisse descendre son bras le long du corps de Louis pour tâter à son tour, quand elle touche un autre bras, passant par-dessus son corps sans qu’elle le remarque, le dit bras se terminant par une main qui a saisi la bite de Louis. La main de Marlyse suit le bras, jusqu’à la main et tout d’un coup la main se retire et elle se retrouve avec la pine de Louis dans la main. Que faire ?
Laissez faire la nature et écouter son corps qui réclame ce jeune homme pour elle ?
Mais après leur longue marche, on ne s’est même pas lavé. Que vont-ils penser ? Surtout son fils après cela, comment gérer la situation ? Mais les caresses de Louis sur son sein agissent de plus en plus comme un anesthésiant de sa volonté et son petit buisson est de plus en plus accueillant.
« Purée, mais c’est quoi cette main qui se faufile sous ma culotte, c’est pas celle de Louis, mais de Jacques, il ne manque pas de culot. Il joue avec les poils de mon pubis. Non, mais c’est pas vrai, maintenant il a pris mon clito entre son pouce et son index, je ne peux pas résister et j’ouvre mon compas pour lui faciliter l’accès plus bas. Voilà que Louis retire son bras et commence à changer son corps de place, mais il est bien embêté, je le tiens par la queue et il ne peut faire ce qu’il veut, il enlève ma main, moi qui pensais que je lui faisais du bien.
Mais qu’est-ce qu’il fait, il dirige sa tête vers mon bas ventre et je vois arriver ses jambes à côté de ma tête. Son sexe, juste sous le nez, on voit que Jacques l’a bien nettoyé, il ne pue pas trop, mais qu’est-ce que je vais en faire. Rien, je vais attendre pour voir jusqu’où ils vont aller. Moi je suis prête à suivre, on ne vit qu’une fois. Louis monte sur moi et plonge sa tête entre mes cuisses en éjectant la main inquisitrice de Jacques, il me lape comme un chien, Il n’est vraiment pas dégoûté avec toute la transpiration de la marche, mais Dieu que c’est bon, mais avec ce gourdin, juste sous le nez, je pense que je vais devoir lui rendre la pareille. Je lui attrape la queue dans la main, la flatte un peu, caresse les prunes qui pendent à la racine de sa tige de vie et finalement, je lui fais un petit bisou sur le bout du sexe.
Mais cela n’a pas l’air de lui suffire, il manifeste son désir de vouloir l’introduire dans ma bouche. Je vois la chose, je vais me retrouver avec la bouche encombrée pleine de jus de pruneaux sous peu. Mais bon, ce n’est peut-être pas une mauvaise chose. Surtout la façon qu’il me lèche me fait tellement de bien, je vois qu’il n’a pas une grande expérience des femmes, c’est d’autant plus touchant. Je suis en train de venir, surtout qu’entre temps, Jaques a repris le massage de mes seins.
Je sens que le sexe que j’ai dans la bouche commence à chanter la chanson de léjection, pour ne pas dire l’éjaculation. Cela vient, ouaf ! Quelle ration, Mes amis de Morges, si je n’avais pas soupé, je n’aurai pas besoin de complément. Pas mauvaise sa crème fraîche de jeunes couilles. Il se relève Oh non, moi je suis en panne. Tiens, mais c’est Jacques qui se met en prolongement de moi et remonte le long de mes cuisses, la langue en avant pour me lécher. C’est la complète, mais je ne devrais pas l’admettre, c’est quand même mon fils et c’est horriblement pervers, je ressers mes cuisses, non cela ne va pas. Pas trop fâché, il remonte sa tête vers mon oreille. »
— Maman, cela fait trop longtemps que j’ai envie de toi, tu ne peux me refuser maintenant, tu as la bouche pleine de la semence de Louis, je veux te goûter, te lécher et finalement te pénétrer, je suis trop excité pour rester dans cet état.
— Tu veux que je te suce aussi ? Fils dépravé !
— Non Maman, je vois que tu n’as pas profité complètement de Louis et j’aimerai lécher ton sexe.
— Mais je ne me suis pas lavée ce soir ! Cela doit être horriblement épicé.
— Raison de plus pour me laisser te nettoyer la crapette. Tu me connais, j’aime les plats épicés.
C’est alors quemporté par la passion, je me laisse aller complètement et ouvre mes cuisses à mon fils unique. Le gredin, c’est qu’il sait s’y prendre, son lichage qui part du trou du cul jusqu’à mon bouton d’amour me déstabilise tout à fait, Je n’en peux plus d’attendre une bonne queue qui me ramone bien profond. Heureusement que j’ai pris mes précautions la pilule, je n’ai pas oublié.
— Viens mon fils, je n’en peux plus d’attendre, bourre-moi fort, Je veux te sentir en moi.
— Oui, mais Louis ? Réplique-t-il,
— Il attendra son tour. Je lui ai déjà fait le premier service. Mets-toi sur le dos, je vais te chevaucher, je le préfère au missionnaire que je pratique trop.
— Marlyse, tu me laisses m’occuper de ton entrée de service, on pourrait faire une double ? J’ai lu sur internet, qu’il n’y a pas meilleure pour une femme.
– Vous êtes des pervers et moi une grosse cochonne. Vas-y on verra ce que cela donne.
Après avoir puisé dans la réserve de nourriture une noisette du beurre qui était enveloppé dans une feuille de gentiane, il l’appose sur mon illet et après avoir bien enduit son index à l’étage supérieur, doucement masse les bords du trou avant d’introduire l’entier du doigt qu’il est obligé de faire suivre, lors des montées et descente de Marlyse dans sa chevauchée du diable.
— Tu peux doubler la dose, cela ne va pas me gêner. Annonce Marlyse, déchaînée du cul.
— Éventuellement je peux en mettre 3 avant de présenter cocotte dans le nid.
— Oui, fais-le, mais seras-tu assez dur pour y pénétrer, je t’ai déjà vidé ta réserve de têtards.
— Tu peux sentir la pureté de mon dollar. Je veux dire la dureté de mon polar, des fois j’ai la langue qui fourche, ce dont se plaignent rarement les femmes.
Avançant la main, entre deux oscillations, elle lui prend la pine en main.
— Il n’y a rien à redire, c’est fin prêt, mais vas-y doucement, cela fait longtemps que je ne l’ai pas fait. J’aime bien la texture de la peau de ta pine, il faudra que tu me la donnes plus souvent pour en profiter. Jaques, tu peux un peu ralentir qu’il puisse s’ajuster, je vais me pencher un peu en avant pour que ce soit plus facile.
— C’est ça maman, penches-toi un peu que je puisse te téter un peu, cela fait trop longtemps que je ne les ai plus eu pour ma bouche.
— Cochon, fais ! Ce soir, je m’éclate, d’une part parce que cela me démangeait et d’autre part pour me venger de mon mari qui va chercher chez la voisine, alors qu’il a tout ce qu’il faut à la maison. Il n’y pas fini de promener ses andouillers et tant mieux pour nous.
— J’y suis, je vais entrer lentement, dit Louis, en présentant son cigare à l’entrée des pas perdus,
— Vas mon enfant et ne te perds pas. Dit Marlyse en reprenant son galop avec ses deux trous occupés. Tu as raison, c’est divin de se sentir aimer de tous les côtés. L’endroit comme l’envers. J’ai l’impression de tricoter, une maille à l’endroit, une maille à l’envers.
— C’est bon de te prendre le cul Marlyse, comme disait ce brave roi Dagobert, l’envers vaut bien l’endroit.
— Dis-moi Louis, ta queue elle a quelles dimensions ? Et tu pèses combien ?, tu mesures combien ? J’ai oublié de les mettre dans la présentation, le reste je compléterai.
— C’est pas urgent. On mesurera demain à la lumière.
— C’est vrai, continue ! C’est mon rêve et fantasme le plus profond, je suis au Paradis avec deux jeunes étalons que pour moi. Puis-je rêver mieux ?
— Maman je n’arrive plus à tenir, je sens que je viens, ta moule est si accueillante, je peux gicler dedans ?
— Oui mon trésor, j’ai pris mes précautions, sans vouloir l’avouer, je supposais qu’il y aurait peut-être une ballade avec surprise.
— C’est bon, je t’arrose, tu sens la puissance de mon jet et pourtant, cela remonte, un peu comme le jet d’eau de Genève.
— Viens mon fils que je fasse ta toilette, maintenant que je t’ai vidé tes bonbonnes.
— Mais Maman, on ne s’est pas lavé !
— Tu sais que tu n’es pas le seul à aimer les plats épicés, avec ta queue, cela va être un drôle de mélange, la salive de Louis, ma mouille et ton sperme. C’est mieux qu’une salade grecque.
Pendant ce temps-là Louis, toujours fiché dans le cul de Marlyse, continue d’un mouvement régulier à pilonner la place forte. Son premier vidage lui donne une résistance incroyable, mais il aimerait aussi goûter le côté pile.
— Marlyse, que dirais-tu si je prenais la place de Jacques, pour aussi tremper mon pinceau dans ta moule ?
— Oui, mais vient d’abord que je nettoie un peu ton instrument, je n’ai pas envie d’avoir des infections utérines dues aux bactéries du colon. (Je sais, que ce n’est pas un vocabulaire habituel, mes excuses)
— Laisse faire Jacques, il aime bien la crème au chocolat.
Se mettant sur le dos, Marlyse qui veut aussi changer de position pour reposer son dos qui en a pris plein avec la charge du 3ème régiment de la cavalerie, lui saisit la barre à mines pour une nouvelle ronde. Rapidement, elle grimpe aux piquets de la tente, à défaut de rideaux et part dans un orgasme foudroyant même si le ciel est complètement dégagé, rejointe par Louis qui lui envoie pour la seconde fois une bonne rasade de sperme frais.
— Jacques, va essuyer un peu ta mère, si tu en as la force, moi, je suis lessivé.
C’est ainsi que Jacques a eu un supplément de souper avec une bonne escalope à moustache bien arrosée, mais bientôt, Marlyse, épuisée jette l’éponge, ne désirant pas remonter sur le ring pour une ronde complémentaire.
Le lendemain matin, les deux jeunes sont réveillés par une bonne odeur de café frais.
— Ta mère est une perle dit Louis, comment elle fait pour nous faire du café.
— Comme les arabes, en laissant le mars au fond du pot.
— Alors mes enfants, vous êtes réveillés ? Vous avez bien dormi ? Je vais vous faire des tartines au Cénovis. (spécialité suisse de pâte à tartiner)
— Super, j’ai une faim de loup, après notre nuit si agitée.
— Ne m’en parle pas, j’ai honte de m’être ainsi laissée aller.
— Tu n’as pas aimé mam ?
— Si, c’est bien là le problème, j’ai trop aimé !
— Alors, on va recommencer !
— J’en ai bien peur. Parce que l’essayer, c’est l’adopter, mais je m’imagine notre retour à Genève, comment faire pour ne pas se trahir ? Même si je n’aime plus mon mari, j’aime bien l’aisance qu’il me procure.
Le soir du deuxième jour….