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Ma femme a une drôle d'idée de l'Education / réécrit – Chapitre 15




Céline est la narratrice…

— L’ordure !! Le petit salop !! Sous-merde !!

Cela ne servait à rien de crier comme une folle dans ce cellier, où j’étais toujours attachée, crucifiée au propre comme au figuré

Dans le noir, avec un bandeau sur les yeuxseule, seule, seule tellement seule !

— SEULE, bordel de merde !

Ils étaient revenus 4 heures après m’avoir laissée, m’avaient-ils dit, pour me donner un verre d’eau et soulager des fonctionnalités naturelles

Revenus avec une laisse de chiende « chienne », plus exactement pensais-je

L’ « accessoire » indispensable !

Je m’imaginais qu’ils allaient la passer dans l’anneau de mon collier de soumise, me trainer à quatre pattes dans la maison, me faire entrer dans la voiture, avec la tenue SM que je portais, et m’emmener vers la débauche

Une boite à partouze où je serais offerte à tous les hommes et femmes présents ?

Une boite SM, où je serais attachée sur une croix de Saint Andrée et fouettée, humiliée en public, subissant des « sévices » tels que pinces sur les seins ou autres parties sensibles

Une banlieue mal famée, où je serais « prêtée » au caïd, local qui me ferait « séquestrer » dans une cave d’immeuble, pour être offerte à toute une bande de jeunes hommes vigoureux et bien montés

Eh bien non, c’était pire que tout celaparce que dans les 3 cas de figure, que mon imagination enfiévrée avait formulés, j’avoue que toutes ces idées m’avaient fortement excitée.

Être prise par des inconnus/ues, forcée, soumise, humiliéej’en rêvais depuis longtemps.

Je voulais ressentir la profusion des sexes masculins ou féminins, la multitude des caresses

ÊTRE le CENTRE d’intérêt des autresêtre UNIQUE, le centre de l’univers

ÊTRE INDISPENSABLE rien que ces notions me comblaient de jouissance !

Eh bien non !!

Damien je te hais, je te conchie !

SALAUD !!!

Au moins ce petit porc de Damien ne m’avait-il pas laissé me pisser dessuscertains maitres le faisaient, avais-je lu

Quand ils m’avaient rattachée, éteint la lumière et refermé la porte, j’avais hurlé :

— NOOOOONN ! Je t’en supplie Damien, tu ne peux pas

Ma voix s’était éteinte en un sanglot pathétique.

Je savais que sa décision était prise et qu’il serait impitoyable. La sentence était appliquée, elle n’était pas négociable.

Car vous vous êtes sans doute imaginé pleins de trucs plus ou moins salaces un gang bang avec des gens immondes, une séance de SM très dure, voire sanglante, avec brulures etc

Un rapport zoophile en publicet quoi d’autres… l’esprit humain est insatiable et immodéré, lorsqu’ il s’agit de trouver des punitions à caractère sexuel !

Eh bien non, mon salaud de fils m’a infligé ce qui est le pire pour une nymphomane comme moi,toujours avide de sexe, de nouvelles expériences sexuelles plus ou moins morbides.

L’ABSTINENCE SEXUELLE

Pendant 15 jours

Il m’aurait fait saillir par un chien, ou tout autre animal, après un dégout bien légitime, je pense que j’y aurais pris du plaisir.

Pareil s’il m’avait livrée nue, dans une cave de banlieue mal famée, ou entre les mains d’un groupe de clochards.

J’aurais été caressée, baisée, peut-être humiliée, mais je l’aurais fait pour l’amour et la satisfaction de mon Maitre, Damien, mon fils dont je suis folle !

Mais là non, j’étais sortie de son amour.

Je me souviens que lors d’une conférence historique à laquelle j’avais assisté, le conférencier qui présentait les armes de la Légion romaine et expliquait avec forces détails, et anecdotes véridiques, l’histoire et le fonctionnement de cette armée, avait raconté le fait suivant.

Lors de la guerre civile entre César et Pompée, dans les années 40 avant Jésus Christ, une légion avait trahi le grand général.

C’était sa préférée la X° « Equestris »

Quand son subordonné demanda que faire des rebelles, s’il fallait les exécuter, le grand Jules répondit simplement :

— Non ils sont sortis de mon amour, c’est largement suffisant

En entendant cela les légionnaires se mirent à pleurer !

Moi aussi j’étais sortie de son amour et moi aussi je pleurais

Le contraire de l’Amour, ce n’est pas la Haine, c’est l’Indifférence

Je le ressentais dans mon cur, mes tripes, mon sexe, et cela brulait comme un feu de Bengale.

J’aurais préféré être marquée au fer rouge d’un S gothique, pour signifier mon ultime soumission !

SEULE, SEULE, SEULE abandonnée …

Il y aurait un avant et un après, je le sentais bien, nos relations ne seraient plus les mêmes.

Je l’avais déçu et lui, m’avait rejetéeje ne le regarderai plus de la même façon et lui non plus.

Pourquoi avais-je déconné à cette partie de tarot, bon sang et si Damien n’avait pas eu la vid

Bon sang, la vidéo de mes ébats avec les copains de mon mari !

Comment l’avait-il eue ? Ses copains ne savaient pas que j’allais venir, donc ils étaient hors du coup.

UNE seule personne avait eu la possibilité d’envoyer cette vidéo à Damien, et de la tourner : Guillaume, mon mari !

Oui, mais comment avait-il fait pour enregistrer la scène ?

Il avait un dispositif caché sur lui, puisque j’avais eu son Smartphone entre les mains.

Mon mari était fervent amateur de toutes ces technologies d’espionnage et de prise de vidéos furtives, il voulait d’ailleurs m’exhiber et me filmer à l’insu d’autres protagonistes.

C’était l’un de ses plus gros fantasmes ; or j’avais toujours refusé, à cause de ma pudeur, de me livrer à de tels jeux pervers d’exhibition en public

Mais alors s’il avait prémédité tout cela, il savait que j’allais me foutre à poil et baiser avec ses copains.

Mais non !

Comment aurait-il pu prévoir ma réaction, il en été resté à la Céline Frigide et peu encline au sexe

Certes je l’avais provoqué, lui disant que j’étais nue sous mon pardessus, mais il aurait dû prendre cela pour de l’esbroufeor non il savait que j’allais le faire cela signifiait que que

MON DIEU ! Il sait tout !

Je ne sais pas comment, mais il sait tout, mon intuition me le hurle à présent !

Il sait que je suis devenue une grosse salope, une perverse sexuelle !

Il sait, depuis qu’il est revenu de son voyage d’affaires aux USA

Son manque d’agressivité, quand je l’ai repoussé, et que je lui ai dit qu’on faisait dorénavant chambre à part, aurait dû me mettre la puce à l’oreille.

Il est trop porté sur le sexe pour être resté zen, comme il le fait depuis 3 semaines.

Et il n’a même pas bronché quand je l’ai humilié devant ses copains !

Il a quand même vu sa femme se faire partouzer, sous ses yeux, et rien, rien !

Je pensais qu’il allait leur casser la gueule ! Mais non, il avait toujours son putain de sourire aux lèvres. Il était stoïque, comme si rien de ce que je faisais ne l’étonnait.

Et quand je me suis exhibée, les orifices grands ouverts devant lui, pour qu’il me prenne, j’en avais vraiment envie à ce moment-là, il a décliné la propositionchose impossible, pour un homme toujours en manque comme mon mari.

De plus le spectacle auquel je me suis livrée, aurait dû le pousser à se jeter sur moi, quand je lui en donnais l’occasion, mais non rien !!

Il m’a laissé faire toutes mes turpitudes comme si comme si

Merde il a une expression favorite quand des collègues véreux, veulent l’arnaquer : « laissez leur tresser la corde pour se pendre ! »

Il m’a laissé faire toutes mes turpitudes, m’a laissé me trainer dans la fange, car je suis sûr qu’il sait pour mes rapports incestueux avec mes fils

Mais comment pourrait-il savoir ?

Merde, des camérass’il en portait une minuscule sur lui, à la partie de tarot, je ne vois vraiment pas pourquoi il n’en aurait pas truffé la maison !!

Je me sentais comme la tête prise dans un étau, l’air me manquait, je sentais que j’allais défaillir, devant les conclusions auxquelles j’étais arrivée.

Malheureusement mon processus de pensée me paraissait logique, implacable.

Je me mis à pleurer, à hurler à la mort.

Je vivais avec deux salops, mon mari et mon fils ainé :

L’un m’avait poussé à la dépravation la plus honteuse, et l’autre avait laissé faire, en connaissance de cause, pour accumuler des preuves contre moi.

J’étais faite comme un rat.

A la rigueur si vraiment comme je le pense, le ressort est cassé avec Damien, j’aurais pu, en minaudant et en insistant sur le sexe, reconquérir mon mari. Mais là, si vraiment il sait tout, il ne me pardonnera jamais.

Et je le comprendrais, après toutes les horreurs auxquelles je me suis livrée.

Mon Dieu ! Et s’il en parlait à mon père, mon industriel de pèreil serait capable de tous nous déshériter, mes fils et moi.

Sa fille qui couche avec ses deux fils, et trahit par adultère son mari, sous son toit !

Il ne me le pardonnera jamais.

Plus d’héritage, la maison lui reviendra je pourrais même perdre mon boulot !

Je me voyais déjà faire le trottoir à part le sexe je ne voyais vraiment pas comment je pourrais m’en sortir !!

— NON pitié Mon Dieu, faite que je me sois trompée ! Aidez votre pauvre petite Céline toute seule, si démunie, si abandonnée !

— Pauvre, pauvre, pauvre petite Céline

Demandez et l’on vous donnera, cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira Luc 11 : 9.

Tu pourrais au moins te souvenir des leçons de ton catéchisme, ma pauvre petite fille de famille bourgeoise !

C’était la voix de mon mari, Guillaume qui me susurrait à l’oreille.

Ce furent les derniers mots que j’entendis, écrasée par l’angoisse et le stress, je tombai dans les pommes.

Une grande giclée d’eau froide dans la figure me réveilla, je n’avais plus de bandeau sur les yeux et j’étais aveuglée par la lumière.

J’étais toujours attachée, quasi nue sur la croix.

Quand mes yeux se furent réhabitués à la luminosité, je vis Guillaume installé à califourchon sur une chaise à l’envers, un sourie goguenard aux lèvres et en train de fumer une cigarette :

— T’en veux une mon amour, vu que je sais d’après tes exploits de « Sharon Stone » que tu t’es mise à fumer

D’ailleurs tu ne prends pas que des clopes, j’ai pu voir que tu as aussi une grosse prédisposition pour la « pipe » !

Que dire devant tant d’évidences ? Guillaume savait tout

Enfin peut être pas tout, j’allais essayer de jouer serré, avec un peu de chances je pourrais peut être retourner la situation

— Oui bon d’accord, tu sais, mais comment ?

— J’avais laissé trainer un dictaphone dans le salon, en partant à ma partie de tarotau cas où et j’ai pu entendre tes exploits de salope perverse et incestueuse avec tes deux fils !

Purée, il n’avait pas mis de cameras comme je l’avais d’abord pensé tout n’était peut-être pas perduje jouais mon va-tout !

— Bon OK, j’ai déconné ! Tu m’avais tellement énervée que j’ai un peu trop bu de bourbon, cela m’a tourné la tête.

Et comme je me sentais si délaissée et que je m’étais passé « Basic instinct » la veille, j’ai voulu savoir si je pouvais encore plaire à un homme, puisque tu ne me regardais plus…

Et comme j’étais trop saoule pour sortir, j’ai exercé mes charmes sur mes fils, mais à part une exhibition, cela n’a pas été plus loin !

— Bon alors donc si je comprends bien, c’est de ma faute OK admettons !

Et ta partouze avec mes potes ?

— Tu comprends Guillaume il fallait te faire réagir ! Tu ne voulais plus de moi.

Regarde quand je t’ai dit qu’on faisait chambre à part, pas de réactions.

Tu aurais dû me supplier !

Et quand je suis allé me refaire faire les seins à Tunis, ton plus grand fantasme, dont tu m’avais maintes fois parlé, tu n’as eu aucune réaction à mon retour

J’aurais tant voulu et espéré que tu viennes dans ma chambre, forces ma porte et me baises comme j’en avais envie !

— Quand je t’ai énervé en disant que je ne portais rien sous mes vêtements, tu n’as eu aucune réaction,..

Pareil quand j’ai fait plein de sous-entendus, en essayant de t’expliquer que j’allais m’exhiber devant tes copains ; rien non plus.

Si j’ai couché avec tes copains, c’est de ta faute tu m’y as poussé !

Mon dieu j’ai tellement honte, moi une honnête épouse et mère de famille !

Regarde ce que tu m’as poussé à faire !

Devant son air chagrin, je sentais que je reprenais la main, j’étais en train de lui retourner le cerveau, je me serais fait des bisous tellement j’étais forte à ce jeu-là !!

— Mon Dieu, j’aurais poussé ma petite femme chérie à la dépravation bien malgré moi ? À cause de mon ego surdimensionné et de mon individualisme trop masculin ?

Mon Dieu pauvre petite chérie, comme tu as dû souffrir de te donner à ces hommesSi tu savais comme je m’en veux !

J’avais un doute, était-il sincère en disant cela, j’avais bien joué, mais là, je trouvais que sa réaction était trop mièvre

— Et ça ?

— Quoi ça ?

— Le donjon SM, la croix de Saint-André, tu vas essayer de me faire croire que tu as réquisitionné la salle de Damien, que tu y as monté ton donjon SM et que tu t’es toi-même suspendue sur la croix ??

Si tu as fait ça toute seule, tu es beaucoup plus forte que je ne le pensais et dans le noir et avec un bandeau sur les yeux en plus !

Le grand Oudini est battu !

Tu devrais peut-être proposer ton numéro à Patrick Sébastien ! Je crois que cela lui plairait beaucoup !

— Mais mais mais si je peux, rien de plus facile, il suffit d’un peu d’entrainement !

— Je suis bluffé et bien donc si tu peux t’attacher seule, j’imagine que tu peux faire l’inverse ?

— Quoi l’inverse ?

— Et bien si tu veux me prouver tes dires, et m’éviter de me conforter dans la conviction que tu me prends pour un con, tu te détaches et tu descends de la croix.

Cela même le Christ ne l’a pas réussi !

Merde, il fallait que j’y arrive. Je me contorsionnais, roulais des épaules, tirais sur les liensjusqu’à en perdre haleinepeine perdue, je restai entravée.

— Ah, on dirait que le numéro phare du « Plus grand Cabaret du monde », connait une défaillance.

Vite, vite trouver autre chose !

Je me fis allumeuse, aguicheuse.

— Mais non mon amour, je préfère rester entravée devant toi, à ta merci

N’as-tu pas envie de me prendre sauvagement, de me faire l’amour bestialement ?

Peut-être pourrais-tu jouer avec ces merveilleux ustensiles sur la table derrière toi ?

Tu pourrais caresser mes courbes sensuelles avec le cuir, me fouetter un peu, me tirer des gémissements de douleur et d’extase qu’en dis-tu ?

Une expérience sadomasoune splendide soumise en ton pouvoir, prête a toutes les perversions.

Rien que pour mon petit mari que j’adore ! »

Il prit un martinet en vérifia la solidité des lanières, fouetta l’air deux fois avec, à proximité de mon sexe et commença à me porter des coups

Mollement, 4 petits coups de martinet sur ma cuisse gauche, à peine des caresses. Je l’encourageai !

— Plus fort mon amour, mon Maitre ! Faites-moi jouir sous le fouet, punissez-moi comme je le mérite !

— Comme tu le mérites !

Aurais- tu des fautes à me dissimuler ? Fautes dont tu voudrais laver ta conscience ? »

Le ton était doucereux, trop ! Cela me mit en alertemais trop tard.

Une gifle magistrale vint me prendre au dépourvu !

— Bon alors maintenant Céline, tu arrêtes tes conneries, depuis 10 minutes tu me prends pour un conje sais tout, j’ai tout vu et je peux te le prouver ! »

Alors je me mis à pleurer, à chaudes larmes, à gémir comme une petite fille.

J’espérais réveiller son instinct de mâle protecteurnormalement aucun homme ne résiste aux pleurs d’une femme :

Ma dernière stratégie féminine !

Mais quand il me passa sur son Smartphone un diaporama de captures d’écrans, où l’on me voyait avec mes fils en fâcheuse posture, résumé de 3 semaines d’intenses parties de sexe extrême, je tombai des nues et arrêtai de pleurer.

Là, cela devenait sérieux.

Il y avait même des photos de nous dans la chambre de Tunis, ainsi que chez cet affreux chirurgien allemand à sa clinique !

Je me demandais comment il avait pu réaliser cela !

— Hé je te félicite Céline, je crois que tu as toutes tes chances pour l’oscar de « Miss salope 2017 » !

A part la zoophilie et un gang bang, je ne vois vraiment pas ce que ce petit pervers de Damien a oublié de te faire faire !

— C’est ta faute ordure, tu m’as poussée dans ses bras. Tu m’as trompé avec ces deux femmes lors de ta soirée d’entreprise.

J’étais une honnête femme avant celaje me suis sentie tellement humiliée, tellement honteuse, devant cet adultère dégueulasse !

Tu as couché avec deux lesbiennes sur ton lieu de travail et tu as laissé trainer la vidéo pour que tes enfants le sachent.

Je te hais, tu es un monstre.

Si j’en suis là aujourd’hui c’est de ta faute !! »

Ça y a est, j’avais joué ma toute dernière carte : l’inversion accusatoire !

Il faut dire que je jouais très bien le rôle de la femme bafouée, trahie par l’adultère de son mari.

Il fallait absolument que je surjoue l’humiliation, la détresse la colère, lhorreur de se sentir trahie et salie par un mari volagec’était la seule solution pour atténuer le poids de mes propres turpitudes !

Et cela marchait, guillaume se rembrunit, se détourna de moi et sortit du cellier.

Il revint quelques minutes plus tard avec sa tablette tactile :

— Tiens je vais te montrer la « preuve de ma turpitude », d’après ton cher fils ainé ! »

Et il fit défiler la fameuse vidéo avec ses deux collègues au bureau, qui se terminait par la vision érotique et dantesque de mon mari, qui se précipitait entre les cuisses grandes ouvertes de Coralie, nue, assise sur le bureau.

— Alors tu vois que tu es une ordure, comment as-tu pu me faire ça, avec cette trainée qui te tournait autour depuis si longtemps !

J’aurais dû demander le divorce tiens !

— Tais-toi et regarde la version non expurgée ! »

Et là, je revis la même scène, sauf que mon mari ne cédait pas aux avances de Coralie, son pantalon était toujours impeccable, il tournait les talons, sortait de la pièce un peu fébrile et claquait la porte derrière lui !

A nouveau au bord des larmes, devant l’horreur de ce que signifiait cette deuxième vidéo qui me paraissait authentique, je bredouillai :

— Mais je je je ne comprends pas, pourquoi n’ai-je pas vu la fin ?

— Tu devrais peut-être le demander à ton fils ainé !

Bon on a à parler sérieusement de plein de choses.

Tu vas m’expliquer comment tu as réussi à te faire manipuler de cette façon par ton fils, toi une femme intelligente et fidèle.

Mais d’abord je te détache et tu vas dans ta chambre retirer cet accoutrement et revêtir une robe de chambre »

J’acquiesçai de la tête, comme une petite fille prise en faute, qui comprend que la punition infligée par son père ne sera pas si terrible que cela.

Et devant la commisération de mon mari, son calme, les mots gentils qu’il avait prononcés dans ces circonstances difficiles, « femme intelligente et fidèle », je fondis en larmes.

Et cette fois c’était pour de vrai, foin de manipulation et de stratégies féminines !

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