Bonjour, je m’appelle Elodie. J’ai 24 ans.
Je suis seule depuis quelques mois déjà. Je suis plutôt ouverte sexuellement. Mais je n’ai pas eu la chance d’être satisfaite entièrement avec mes ex conjoints, j’enviais certaine!. Je jouis beaucoup plus "seule".
Je vis avec un chien. Un beau dalmatien, Piro. Il est jeune et toujours pas castré.
J’ai l’impression qu’être célibataire ouvre l’esprit sexuellement. Le manque "de bite" bouleverse tout mon corps et mon cerveau. Je deviens folle de sexe. Dans ces moments là j’ai envi de tout essayer, vraiment tout…
La zoophilie ne m’a jamais rien dit. Je pensais cela comme malsain, trop malsain pour y penser… mais un soir je décidais de m’y intéresser pour la première fois de ma vie. Après tout pourquoi pas être curieuse! un soir, rien qu’un soir.
Nous sommes un samedi soir, il est 19h30. Je suis rentrée du travail à 14h30. 19h30, c’est l’heure à laquelle je voulais être prête. Prête à m’intéresser à la zoophilie! Comme un rendez-vous important… je suis prête. J’ai mangé ainsi que Piro, me suis lavée, tout est rangé, personne pour me déranger. Un peu dérangé, je néglige Piro, oui tu es mignon mais j’ai un truc à faire!
Je ferme la porte du salon. Je suis assise devant le bureau, télé allumé. J’allume alors mon ordinateur. Quelque chose m’excite, je ne sais pas pourquoi mais je suis bien décidée. Arrivée sur mon navigateur je tremble, j’ai peur, puis j’ai le coeur qui bat fort. Incroyable ça fait comme une première fois, une première sodomie, une première masturbation, l’excitation monte intensément…
Après 2 heures sur la toile je me sens remplie d’idée, folle et toute excitée. J’ai pu lire des récits érotiques zoophiles excitants et troublants. Toujours plus loin j’ai pu voir des photos zoophiles mettant en scène des chiens et leur maîtresse, des fellations canines, des maîtresses prisent en levrette par des molosses! des éjaculations canines par ci et par là. Puis des vidéos, ces femmes ont l’air de prendre vraiment leur pied! Puis je bloque, m’interroge. Ca m’excite beaucoup mais je décide d’éteindre l’ordinateur. Je suis mal à l’aise mais j’ai surtout besoin d’une douche… Incroyable comme j’ai pu mouiller avec toute cette curiosité vicieuse et ce qui l’accompagne.
La douche me réveille. Je suis toujours intriguée par ce que j’ai pu voir et lire plus tôt. Je referme la porte et je rallume l’ordinateur. Toujours le coeur battant et excité. Tout ça m’excite. Je décide de faire un tour sur les forums. Je commence à être renseignée. Je cherche à en savoir plus, comme si je voulais pratiquer cela! non impossible… Du moins pas avec Piro. Je veux dire on se connaît, c’est mon chien, il a toute mon éducation, mon respect, mon amour. Alors je me dis pourquoi pas avec un autre chien… Et c’est là que j’ai envie, envie de me faire prendre par un molosse. J’imagine juste et ça m’excite, ce tabou m’excite, j’ai envi de franchir cette limite… Mais avec quel chien. Bon oublions…
Je prend soin de bien fermer encore la porte. Il est 22h et je me masturbe. Je me masturbe, je suis assise, affalée, là sur la chaise devant le bureau, l’ordinateur allumé. Je me masturbe le minou devant des vidéos zoophiles. J’oublie tout, c’est trop bon. Je continue, plus rien ne m’arrête. Je me doigte la chatte un moment avec deux doigts, puis je me tripote le clitoris… Pourquoi ça me fait jouir autant, pourquoi je mouille autant devant ces vidéos, encore plus quand je me met à me masturber devant ça. A cet instant là je jouis plusieurs fois. Toujours plus loin encore, je tombe sur une vidéo mettant en scène une maîtresse et un rottweiler… la bite du molosse est impressionnante, elle est géante! il semble éjaculer sans arrêt. Ca m’excite beaucoup. Dans mon délire ce liquide je le veux sur moi, en mois, je veux le lécher, l’avaler. Je veux sucer sa tige entièrement… Puis je veux me faire saillir… Ca m’excite trop, "putain" que c’est bon, je me masturbe encore mais plus vite, je mouille de partout, ça coule, je me doigte avec la moitié de tout mes doigts rattrapant au passage ma mouille abondante pour l’étaler sur mon intimité. Je saisie de mon autre main mon sein gauche, je titille le téton, je passe ma langue sur mes lèvres, je me laisse aller, je pose un pied sur le bureau, je me masturbe plus vite, j’essaie d’aller plus profond dans mon vagin, une grosse bite m’aiderai tellement puis… je ferme les yeux et j’entends depuis ces vidéos cette femme jouir fort, les bruits de la gestuelle du chien et de son souffle, je m’imagine être à la place de la maîtresse totalement humiliée et dominée… puis je jouis, cette fois ci je pousse un cri d’orgasme… je jouis fort m’accrochant à ma chaise… Mon dieu quel pied… par la suite Piro aboya. Chut! je suis occupé Piro!
Ce soir là j’avais envie d’être chienne. J’aurais pu continué à me masturber en regardant des vidéos zoophiles tellement c’était si bon, allant plus loin, en me titillant l’anus par exemple sur le lit avec l’ordinateur portable. Putain je voulais vivre ça, je voulais me faire prendre par un chien. Cette dernière vidéo m’aura bien excité et éveillé…
En culotte et débardeur je me levais. J’avais envie, tellement envie. Pas de baiser?, mais de me faire saillir. Alors: je me promenais dans l’appartement. Un côté de moi était chienne. L’autre côté plus sage me rappelait à l’ordre. L’autre m’invites à rejoindre Piro. L’autre à prendre une douche. Mon dieu, qu’est-ce que je deviens. Qu’est ce que je m’imagine. Non pas avec Piro, je risque de le regretter. Dans tout les cas j’étais trop folle et sonnée que je me dis… Cela ne peux pas tuer l’amour que j’ai pour Piro. Après tout… Pourquoi pas… Piro était allongé sur le carrelage chaud du couloir. Alors j’essayai, peu importe! je ne me lavas pas… je voulais voir sa réaction quand je passais devant lui en petite culotte, toute humide, de mouille, pas du tout agréable, enfin… Je dis d’une voix timide: – ça va Piro?, il s’étira et se leva, puis bailla. Puis il remua la queue. J’étais trop gêné. J’arrivais pas à parlé normalement et assez fort. Mon coeur tapait. Piro, cher Piro, désolé j’ai trop envie. Je me baladais dans l’appartement, il me suivait… ça m’excite. Je faisais semblant de me baisser… Je voulais l’exciter. Il renifla alors mon derrière. Je sentis son aspiration, son souffle, son museau posé un moment à proximité de mon anus, à travers ma culotte. Quelle étrange sensation, c’était agréable, excitant, mon coeur se mis à battre une fois de plus. Il semblait alors agité à ma grande surprise. Peut-être avait-il senti mon sexe, ma mouille…
Plutôt gêné je lui ordonnais de s’asseoir. J’avais envie de bite. Je me suis mise sur le canapé, assise. J’écartais les jambes. Piro me regardait! puis il pencha la tête… puis pleura, je dis chut! non mais… J’écartais bien comme il faut mes jambes, j’étais affalé. Je sortis mes seins pointus du débardeur. Je veux qu’on me prenne… j’en peux plus. Je touchais ma vulve chaude et humide. Je sentis des frissons dans tout mon corps. C’était une bonne levrette qu’il me faudrait pas une masturbation. Piro me regardais toujours, les oreilles levées. A aucun moment je n’osais regarder son sexe, de toute évidence il ne semblait pas être en érection. J’en pouvais plus, il se lécha les babines. Je me rentrais deux doigts dans ma chatte, je poussais des petits cris. J’insistais ainsi et d’un oeil je regardais Piro. Il pencha encore la tête. A t-il envie de me lécher ma grosse vulve ou bien il se soucie d’un truc. Zut… je tapais sur ma cuisse, allez viens Piro, viens voir de plus près maman jouir.
En disant cela j’imaginais plutôt "viens lécher la petite chatte mouillée à ta mère mon gros"
…