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Toutes des petites salopes – Chapitre 5




Je suivais le petit cul de Magalie des yeux à chaque marche qu’elle descendait. Ses jambes en collants me rendaient littéralement avide de sexe. Même si je m’étais vidé en elle il y a moins d’une heure, je sentais déjà la pression sanguine affluée de nouveau dans mon membre. 

Arrivés dans la cuisine, nous vîmes ma mère s’affairer comme une folle à la préparation du repas. Elle courait partout, alternant couteaux, épluches légumes, plats et torchons dans les mains. 

—         Vous avez besoin d’un peu d’aide madame euh Jessica je veux dire ? 

Ma mère esquissa un sourire : moitié exaspérée, moitié amusée. 

 

—         Non t’inquiètes pas ma belle, j’ai quasiment fini : le rôti est dans le four, les pommes de terre rissolées sont en train de rissoler ! Il me reste plus qu’à éplucher la salade et ce sera tout bon.  Ah si, je veux bien que tu mettes la table avec ton amoureux s’il te plaît. 

—         Pas de soucis je m’en occupe. 

Magalie pris les assiettes que ma mère lui tendait dans les mains par-dessus le bar de la cuisine. Je la vis se pencher outrageusement, le cul tiré en arrière pour bien l’exposer devant mes yeux. La trique commençait à monter, ça allait être difficile à camoufler. 

Elle se retourna et me les tendit en venant coller son genou sous mes testicules ! Elle me regarda avec un regard aguicheur et se lécha la lèvre inférieure. Je lui pris les assiettes des mains et me retournais tellement vite que je me cognais contre la table. 

—         Ça va mon chéri ? 

—         Oui maman, dis-je en geignant. J’ai juste glissé.

—         Quel maladroit, comme ton père décidément. 

 Ma mère adorait pouvoir critiquer mon père dès que l’occasion se présentait, chaque détail susceptible d’être utilisé pour le descendre était bon à prendre. 

Magalie me rejoignit pour finir de dresser la table. Ma mère avait sorti son beau service avec ses verres en cristal, ses couverts en argent, etc Magalie faisait figure d’invitée d’honneur aujourd’hui. 

Ma mère entreprit de couper le rôti qu’elle venait de sortir du four. Elle saisit le couteau taille 3 et s’attaqua minutieusement à la découpe. S’apercevant que je la regardais, elle me lança :

—         Tu veux bien aller chercher ta sur s’il te plait ? Je sais pas ce qu’elle fait

Elle fut interrompue par Jenifer qui dévalait les escaliers rapidement. 

 

—         C’est bon j’suis là M’man. C’est prêt ? 

Ma mère m’adressa un regard énervé, mais elle dût se rappeler de notre conversation d’hier. Elle voulait récupérer la complicité avec sa fille. 

 

—         Oui ma chérie, répondit-elle adoucie. Va t’asseoir, je vais servir. 

—         Cool. 

J’en voulais souvent à Jeni de se comporter comme ça avec notre mère, mais bon encore une fois, sa tenue apaisait les reproches que je pouvais avoir à lui faire. Sa petite jupe rose plissée, pas forcément moulante, mais en tout cas ultra courte, me rappela à des visions heureuses. Elle ne portait ni collant ni chaussettes, j’avais tout loisir d’admirer ses longues jambes à nues. Son haut était relativement sage, un petit débardeur blanc, à travers lequel on pouvait apercevoir un soutif rose de sport. Ses seins avaient l’air bien moulés mais rien de trop provocant. Ma mère en sembla presque ravie en la détaillant de haut en bas. Par rapport à d’habitude, ce n’était pas si mal avait elle dû se dire. 

Nous prîmes place à table et nous commençâmes à manger en silence. Ma mère nous avait copieusement servis, comme à l’accoutumée. On ne mourrait jamais de faim avec ses bons p’tits plats. Mon seul regret fut que je ne puis pas apporter une bonne sauce blanche dans l’assiette de ces dames. Pour une prochaine fois me dis-je. 

Magalie sortit soudain du silence. 

—         Alors Jeni, tu es dispo pour venir avec nous cet après-midi ?  

—         Non désolé Magi, je vais chez des copines. On doit réviser les maths pour demain. J’ai beau être en coiffure, les maths font toujours partie de l’équation, s’amusa-t-elle.

—         Ça sert toujours d’apprendre l’algèbre, intervint ma mère. Tu ne seras que plus intelligente à suivre quelques cours hors de ta spécialité. 

—        Ta mère a raison, approuva Magalie. Je suis sûr que c’est une bonne chose, même si tu n’en vois pas l’utilité, et puis au moins tu peux retrouver tes amies d’école. 

—         Ce ne sont pas mes amies, elles sont seulement contentes que je vienne les aider à bosser un peu. 

—         Dis pas ça, répondis-je. Tu es la fille la plus intéressante, la plus cool et la plus sérieuse dans les études que je connaisse 

—         sans offense, repris-je en souriant à Mag. 

—         Ton frère a raison, ajouta Magalie. Tu verras, les amies ça va ça vient, bientôt tu n’auras même plus besoin de les chercher, c’est elle qui graviteront autour de toi quand elles verront qui tu es vraiment. 

 Et là, comme un vicelard, je ne pus m’empêcher d’avoir l’image de Jenifer allongée au milieu de la cour de son école, entourée de dizaines de filles qui quémandent pour lui lécher la chatte.

—         Tu aurais fait une parfaite grande sur pour ma Jeni, complimenta ma mère à l’adresse de Magalie. 

Magalie la remercia et nous continuâmes le repas en discutant largement de toutes nos études respectives. Une fois fini, tout le monde s’attela à la vaisselle et au rangement de la cuisine, même Jeni, une fois n’est pas coutume. 

Elle remonta néanmoins rapidement dans sa chambre pour finir de se préparer. Je résistai à la regarder gravir les marches de l’escalier, et concentrai ma vue sur le corps de Magalie. Elle avait mouillé son haut blanc pendant la vaisselle, je soupçonnais qu’elle se soit éclaboussée exprès tellement elle était arrosée, même le haut de son décolleté perlait de quelques gouttes d’eau. En tout cas, son plan avait fonctionné, je bandais comme un taureau lorsque je me suis collé derrière elle, essayant de transpercer son petit cul avec ma bite dressée, malgré nos vêtements. La tentation était bien trop forte, j’avais besoin de la prendre maintenant, sans plus attendre. Je la sentais remuer allègrement son cul lorsque ma mère ne nous avait pas dans son champ de vision. Il me fallait trouver une diversion. 

—         Maman ?! Laisse-nous finir, tu as déjà tout préparé toute seule tout à l’heure. On va terminer, monte te préparer tranquillement, on se charge de tout.  

—         Oh c’est gentil mon chéri mais j’ai presque fini. 

Je me décollai momentanément de Magalie, contrôlant ma bite bandée du mieux que je pouvais. 

 –         Allez, repose-toi un peu, insistais-je auprès de ma mère en lui prenant le torchon des mains. 

Je sentis dans son regard qu’elle allait capituler. 

—         Très bien, je rends les armes, rigola-t-elle. Vous voulez qu’on parte à quelle heure faire les magasins cet après-midi ?

—        Il est 13h, dis-je en fixant ma montre, dans 30 minutes ça te va ? Histoire qu’on arrive pas avant 14h, sinon il y aura peut-être des endroits encore fermés. 

—         D’accord, prêts à partir tous les 3 pour 13h30 alors.

Elle nous adressa un sourire et monta à l’étage en chantonnant. 

Dès que je la vis disparaître de mon champ de vision, je me retournai brusquement et me jetai sur Magalie. La petite salope avait déjà pris l’initiative de redresser sa jupe et de baisser ses collants pour que je puisse la prendre. Je ne me fis pas prier ! C’est d’ailleurs à ce moment que je pris conscience qu’elle ne portait pas de dessous, elle mouillait directement sur les collants de Jenifer. Ma bite se dressa encore plus haut à cette idée. Je la sortis de mon bermuda, et vint me placer derrière elle pour lui fourrer sa petite chatte. 

Je saisissais ses fesses à deux mains pour les remonter et je lançais ma queue directement dans son antre déjà noyée de cyprine. Elle poussa un gémissement profond tandis qu’elle recevait mon premier coup de pine. Je savais que le temps nous était compté, Jenifer pouvait descendre à tout moment, ma mère aussi, et hors de question qu’elles nous surprennent. Magalie aussi en était consciente car elle tentait de m’exciter le plus possible pour que je la besogne sauvagement et que je me finisse rapidement. 

—         Haaan ! Vas- y oui ! démonte ma petite chatte, me susurrait elle à l’oreille. 

—         Espèce de petite garce ! Tu voulais te faire prendre encore une fois avant de sortir hein ? 

Son corps était projeté en avant de plus en plus fort au rythme de mes mouvements de bassin. Je la martelais aussi fort que je pouvais. Je dus même lui mettre une main devant la bouche pour éviter qu’elle hurle son plaisir. 

 

—         Tais-toi sale chienne ! Tu vas ameuter toute la baraque. 

Je lui relevai une jambe sur le comptoir pour pouvoir la prendre plus aisément et lui doigter le clito, mais au bout de quelques secondes, l’orgasme la saisit si brutalement qu’elle se laissa tomber au sol, les jambes flageolantes. Elle jouissait carrément sur le carrelage de la cuisine, ça mouille dégoulinait au sol. Cette image me fit venir à mon tour. Je m’abaissai un peu pour avoir ma queue à hauteur et me branlai comme un dératé pour lui envoyer plusieurs jets de foutre au visage. Un premier vint lui éclabousser la joue droite, le deuxième atterrit plus haut vers son il qu’elle gardait fermé, et se prolongea jusque dans ses cheveux. Les suivants finirent directement dans sa gorge quand elle enserra avidement ma queue avec sa bouche. Je lui pris la tête à deux mains et la forçait à avaler ma bite en gorge profonde. 

Une fois la pression relâchée, je lâchai son crâne, et je la vis ouvrir un il. Elle esquissa un sourire en me voyant encore saisi par ma jouissance. Un filet de bave et de sperme s’échappa alors de ses commissures et vint atterrir sur sa cuisse gauche, tâchant les magnifiques collants de Jenifer. 

J’étais ravi de salir les affaires de ma petite sur par le biais de Magalie, c’était comme si je les souillais toutes les deux…

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