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Chroniques d'un employé modèle – Chapitre 6




Ce texte, comme les quatre premiers épisodes de la série, a déjà été publié sur un autre forum. Ecrit il y a trois ans, je l’avais un peu mis de côté car le contexte suggérait de le poster pendant la période des fêtes de fin d’année. Je suis un peu en retard, mais le voici tout de même…

***

Mon regard ségare quelques secondes dans son profond décolleté, dans la gorge formée entre ses deux seins fermes. On les devine sous le tailleur noir et le chemisier blanc que linsolente caissière brune a déboutonné jusquau niveau de son nombril. Je me surprends à envisager ma main répondant à linvitation et se frayant un chemin entre les deux globes bronzés. Je l’imagine prenant le soleil, nue sur la plage. Elle me sourit. Je rougis. Derrière moi, la longue file simpatiente. Le jour du repas de Noël, tout le monde se précipite à la même heure au restaurant dentreprise, à lappel du foie gras et de la bûche crémeuse. Je me saisis de mon plateau, rend son sourire à la coquine, et balaye la salle du regard à la recherche de mes collègues.

Ils sont déjà tous les quatre en train de manger. Géraldine préside, assise au milieu d’un côté de la table. Elle porte un tailleur pantalon bordeaux assorti, par un amusant hasard, à la cravate de Patrick qui se tient à sa gauche dans son costume noir. Face à la directrice Anne, la jeune femme qui partage mon bureau, et Aurélie, notre assistante, discutent en riant. Je viens minstaller à droite de Géraldine, complétant la tablée de notre petit Département des Ressources Humaines. Ils ont déjà bien entamé leur foie gras et je me mets en devoir de les rattraper. Les filles semblent de plus en plus samuser. Leur conversation bat son plein lorsque je remarque que Patrick se fige. Il se penche vers moi, et me regarde avec un pâle sourire interrogateur. Je le fixe, curieux, comme si une explication devait arriver. Je sens alors quelque chose remonter le long de ma cuisse droite. Une jambe armée dun talon aiguille, si jen juge par la petite douleur qui envahit brutalement mon entrejambe sous ses pressions répétées. Me voilà à mon tour figé et interrogateur.

Aurélie est cambrée, les mains cramponnées à sa chaise, afin de diriger au mieux les mouvements de son pied taquin. Sa poitrine sen trouve avantageusement bombée, dessinant la pointe de ses tétons dressés sous létoffe tendue de son chemisier de soie bleu roi. A sa gauche, Anne se tient à peu de choses près dans la même position dans son tailleur noir, se concentrant sur Patrick. Les deux canailles pouffent. Le bruit des escarpins qui tombent sur le sol me laisse deviner que ces dames viennent de se déchausser. Les deux talons dAurélie reprennent leur travail de massage sur mon intimité. La secrétaire rit en me sentant durcir. Jouvre fébrilement ma braguette pour laisser mon sexe se dresser entre les habiles pieds gainés de bas. Ils glissent de haut en bas. Le doux contact du nylon me fait trembler, mexcite. Agrippée à son siège, Aurélie se concentre pour assurer une masturbation régulière. Son visage sest fermé, et son sourire a laissé place à une moue déterminée. Mon regard se déplace sur Anne, à lévidence elle aussi très appliquée, puis sur Patrick, haletant, et enfin sur Géraldine. Les battements de mon cur saccélèrent : la veste de son élégant tailleur est ouverte, et elle masse au dessus de son plateau repas ses deux superbes seins dégagés de leur soutien-gorge blanc.

Géraldine semble apprécier ce qui se déroule sous la table et quelle doit se contenter dimaginer à travers lexpression de ses collaborateurs. En revanche, le spectacle de sa poitrine dénudée paraît attirer lattention des tables voisines. Elle est si tentante. Offerte. Je me tourne et avance une main vers elle. La directrice se laisse faire. Je soupèse la lourde mamelle qui se déforme sous la pression de ma paume. La soulève légèrement. Mes doigts se referment et senfoncent, se rouvrent et la caressent, glissent autour du mamelon sans oser le toucher. Patrick se laisse aller et entreprend à son tour le sein gauche entièrement laissé à sa disposition. Les deux allumeuses se sont redressées et nous observent, probablement fières de ce quelles ont déclenché maintenant que nos pénis ont échappé à leur emprise. Elles gloussent alors que les deux messieurs avec lesquels elles travaillent tous les jours s’inclinent, tels des nourrissons affamés pour saisir entre leurs lèvres les tétons de madame Leray. Ma langue glisse autour de la petite pointe, mes dents la tirent tout doucement puis la relâchent. Jaspire, javale ce sein de toute ma bouche.

"Allons messieurs, il est tard, mangez vos desserts et finissons-en". Elle se dégage, attrape le gâteau à la crème en forme de bûche qui reste sur son plateau et le coupe avec ses doigts en deux parts vaguement égales. Pousse son siège en arrière et écrase les deux morceaux de pâtisserie sur sa poitrine. La rumeur sintensifie autour de nous, mais ni Patrick ni moi ne semblons lentendre. Ce que nous avons à faire ne se discute pas. Nous abandonnons nos chaises pour tomber à genou et reprendre la dégustation de ces seins délicieux. Des morceaux de génoise couverts de crème tombent sur le pantalon de Géraldine. Mon menton et mon nez se couvrent de dessert. Je suce, javale encore. Ma main pétrit la chair généreuse, mes doigts glissent sur la peau luisante de cette femme élégante souillée par la bûche massacrée. Dun geste, la directrice me fait comprendre que je dois me relever : son index passe sous mon menton poisseux et cherche à me faire lever la tête par petites tapes impérieuses. Une fois redressé, je fais face à Patrick. Nos sexes pointent, fiers hors de nos pantalons sombres, vers le visage de Géraldine.

Je regarde ses seins sur lesquels les restes du gâteau sétalent en miettes et traînées de chocolat mêlées de salive. Ses mains nous empoignent. Nul doute quelle souhaite elle aussi déguster un peu de crème avant de quitter le restaurant. Ses doigts délicats nous branlent en rythme. Je regarde, hypnotisé, les ongles dont la couleur est assortie au tailleur aller et venir en dansant sur ma verge. Nos glands sentrechoquent, sa langue mutine et gourmande les titille. Le mouvement saccélère. Elle nous enfourne goulument lun après lautre. Des gémissements sétouffent dans sa gorge obstruée. Elle saffaire avec vigueur, passant de lui à moi, de moi à lui. Patrick serre les dents mais ny tient plus. Il jouit le premier dans la bouche grande ouverte. Je me dis que la blondeur des cheveux de notre chef tranche avec le rouge de ses lèvres, et avec le blanc qui coule maintenant dessus. La décharge de mon collègue achève de retourner mes sens et je ne puis retenir la mienne. Nos semences se mélangent en un nectar quelle semble apprécier. Sur sa poitrine, quelques jets ségarent en traces blanchâtres. Le dessert de Noël était un peu trop sucré à mon goût, et des lèvres se posant à cet instant sur ces seins plantureux apprécieraient certainement la petite touche damertume que nous venons dy déposer

La pression de mon sang chute dans mes tempes. Mon cur se calme un peu. Mon regard balaye la salle dans laquelle ne bruissent plus que quelques chuchotements. Tous les yeux sont tournés vers nous. Je crois apercevoir par ci, mal caché sous un pan de veste, un pénis dressé que des doigts charitables flattent, et par là une main baladeuse occupée sous un chemisier. Aurélie la brune et Anne la rousse se sont levées. Un sourire glorieux toujours aux lèvres, elles tirent sur leur jupe. Auraient-elles donné à Géraldine une démonstration de lagilité de leurs doigts entre leurs jambes alors que Patrick et moi étions si affairés ? A la caisse, en tout cas, la jeune femme au décolleté ravageur offre maintenant sans équivoque à la longue queue de ses clients des lèvres humides que sa jupe noire bien trop courte na aucune envie de cacher.

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