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Itinéraire d'un voyeur – Chapitre 4




Chapitre4 : Ma très chère Tante me comble.

Comme je l’expliquais précédemment, les soirées de la semaine et les vendredis après-midi j’avais ma Tante pour moi. Je pouvais passer du temps avec elle, l’observer, fantasmer sur son corps. Depuis l’épisode de la plage et surtout de la vague, j’essayais par tous les moyens de profiter de son corps, de voir sa nudité. Ce n’était guère évident. Comme elle me l’avait dit, elle faisait attention maintenant. Mais il m’arrivait parfois de passer à coter d’elle et de pouvoir poser mon regard dans ses décolletés ou bien d’admirer son délicat fessier pendant qu’elle faisait la vaisselle.

Ce que je préférais c’était de la regarder passer l’aspirateur. Je me cachais dans un coin et sans qu’elle me remarque. Je pouvais la mâter à moitié penchée.

Cette position mettait en valeur sa croupe et faisait ressortir ses fesses. Elle me permettait aussi d’avoir une vue plongeante sur ses seins.

Souvent elle ne portait pas de soutien-gorge et je pouvais alors admirer ses deux beaux gros tétons qui sous l’effort se dressaient fièrement.

A chaque fois je bandais très fort. Parfois j’allais dans ma chambre pour me soulager. Mais les jours passant je commençais à me branler en la regardant. Le fait d’être surpris rajoutais de l’excitation. J’adorais ça. Je jouissais souvent très rapidement.

Le matin aussi était un moment propice à l’espionnage. Je me levais un peu après elle. Puis j’essayais d’assister à son temps de préparation.

Une fois en me réveillant, sans le faire délibérément, il fallait que j’aille assouvir une forte envie. Ne pouvant plus retenir ma vessie, je me précipitais aux toilettes. J’ouvris la porte. Qu’elle ne fut pas ma surprise quand je vis Catherine assise sur la lunette faisant son affaire. Elle était belle. Je voyais son string descendu sur le bas de ses cuisses et quelques poils foncés de son vagin. Je n’avais jamais été aussi près de cette partie de son corps et j’entendis l’urine couler. J’humai son odeur. J’en fut tout excité.

Elle m’observa à son tour et me demanda ce que je faisais là. Je m’excusais et lui dit alors que j’avais trop envie de pisser.

Je devenais tout rouge et ma queue grossissait à vue d’il. Comme Catherine était assise, mon excroissance se retrouvait juste devant ses yeux. Alors, avec un sourire narquois, elle s’exclama :

« Dit donc  vu comment ton petit oiseau grandit, tu ne risques pas de pouvoir faire pipi !! »

Puis sans gêne, elle prit une feuille de papier et s’essuya le vagin devant moi. Je vis alors les deux lèvres s’écarter légèrement et j’aperçus (ce que j’apprendrais plus tard s’appeler) le clitoris.

Je n’en revenais pas. Elle était vraiment belle. Elle avait une toison taillée en triangle retourné et des lèvres pas trop prépondérantes. Ça donnait envie d’y toucher.

Elle remit son string et alla dans la salle de bain. En partant je regardais ses fesses se dandiner. J’étais aux anges. Je fermais la porte des toilettes, me masturbais rapidement en pensant à ce que j’avais vu. J’éjaculais comme jamais.

La tension sexuelle redescendue, je pus uriner tranquillement.

Les jours qui suivirent je voulais réitérer l’expérience. Malheureusement, à chaque fois la porte des toilettes était fermée. Je n’avais d’ailleurs pas plus de chance avec la salle de bain. Dommage.

Mais les moments les plus longs avec ma Tante s’était les vendredis après-midi. Comme je le soulignais précédemment, mon oncle ne rentrait que tard dans la soirée. Je passais donc de nombreuses heures juste avec Catherine.

Justement, un vendredi où nous étions ensemble et où le ciel était nuageux, elle m’interpella :

« Vu la météo, cette après-midi je n’ai pas envie d’aller à la plage. Mais si tu en as envie ne t’en prive pas pour moi. Tu n’es pas obligé de rester tout le temps avec ta vieille Tante.

_ Merci, mais non merci Cathy, lui répondis-je. Je me sens un peu barbouillé et je vais rester à la maison me reposer. Et en plus tu n’es pas vieille mais plutôt très belle. »

Je ne me rendis compte de ce que je venais d’affirmer bien après l’avoir dit. J’étais confus. Je commençais à rougir.

« Merci mon cher neveu. Venant d’un jeune homme s’est toujours flatteur. Me dit-elle en me fixant et en me souriant. »

Puis elle s’affaira à nettoyer la cuisine. Moi qui était assis à la table je voyais tout. Elle portait un short ultra moulant qui laissait apparaître la forme du string et la fente de ses fesses. Son haut, un petit débardeur à bretelle avait du mal à contenir ses seins libérés de tout sous-vêtement. Lorsqu’elle frottait avec l’éponge sa poitrine bougeait avec ses gestes.

 Je sentis le trouble s’emparer de moi Je pris donc la décision de monter dans ma chambre. Elle me souhaita une bonne sieste et me demanda de venir l’embrasser comme à l’accoutumer.

Je me retrouvais avec le sexe bandé et à l’étroit dans mon bermuda, frôlant les fesses de ma tante et l’embrassant par derrière sur la joue.

Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’elle se recula. Ma verge se retrouva en contact direct et au beau milieu de ses fesses.

Je restais immobile ne sachant que faire. Elle abrégea mes souffrances en se décalant d’elle-même. Je me précipitai alors dans mon antre pour me masturber furieusement.

Je n’avais jamais monté aussi vite les escaliers. Lorsque j’atteignis ma chambre, je soufflai un grand coup, descendis mon bermuda et hottai mon tee-shirt.

Une fois en caleçon, je m’allongeais sur le lit. Machinalement ma main caressa mon sexe par-dessus le tissu. Ma verge était bien dure, j’avais l’impression qu’elle avait grandie depuis mon arrivée à Montalivet.

Je la sortis et la caressa plus sérieusement. Mon gland était bien gros et rouge, la tige bien courbée et toute dure. J’étais excité comme jamais. Je recouvrais mon sexe de ma main pour l’agiter vivement de bas en haut et de plus en plus vite. Je sentais ma sève intime montermontermonter. D’un seul coup, j’éjaculai successivement 5 jets de sperme.

Ce fut ma jouissance la plus importante autant sur le plan du bonheur que de la quantité.

Le problème : J’en avais partout sur le torse. Il fallait que j’aille m’essuyer dans la salle de bain. Malheureusement quand je voulus ouvrir la porte elle était fermée à clef. On entendait derrière l’eau de la douche coulée. Je pris alors mon tee-shirt pour me laver grossièrement. Puis, je remis mon Bermuda.

C’est alors qu’une envie irrésistible me vint. Je voulais absolument voir Catherine nue. Mon obsession de ces deniers jours devenait obligatoire.

Je me mis à la recherche d’un poste d’espionnage. Je rentrai dans sa chambre et scrutai les lieux minutieusement. Je vis son paravent blanc. Il était assez grand et n’avait pas de pied. Je pouvais m’y cacher derrière sans être vu.

Je m’y glissai. Je pus constater que des petites ouvertures étaient présentes avec les jointures et les pliures des volets. Je pouvais donc l’observer sans me faire remarquer. Enfin je l’espérais.

Le stress montait. J’avais une boule de plus en plus forte dans le ventre. Mais je ne pouvais et surtout ne voulais pas faire machine arrière.

Elle rentra.

Vêtue d’un peignoir blanc ostensiblement ouvert, elle était vraiment très belle. Je distinguais nettement ses deux gros seins pulpeux. La marque du maillot tranchait avec le bronzage de son ventre. Qui certes n’étais pas plat mais se mariait amoureusement bien avec l’ensemble de ses formes. J’eus aussi l’opportunité de mieux apercevoir son bas ventre et me régalais de ses douces lèvres et ses poils bien plus foncés que ses cheveux.

Elle ouvrit son armoire et en sortit un ensemble string et soutien-gorge noir à dentelle qu’elle posa sur le lit. Elle y ajouta des bas, une petite jupe légère également noire et un petit chemisier d’un rouge vif qui tranchait avec le reste.

Devant son lit elle retira son peignoir. Elle était en face de moi. J’adorai contempler son corps.

 Elle était vraiment charnelle. Sa poitrine volumineuse bien maintenue, ses hanches pulpeuses, je ne savais plus où donner de la tête. Je la mâtais de haut en bas. Tout me plaisait : Son regard, ses lèvres, son corps, sa chatte.

Cette situation si intense fit dresser mon sexe à son maximum. Je commençais à le cajoler par-dessus mon bermuda. Mais dans l’agitation je fis chanceler le paravent.

La peur m’empara. Tout d’abord j’ai cru qu’il allait tomber. Mais il resta sur ses bases. Puis, comme ma tante regardait dans ma direction, j’étais persuadé qu’elle allait me déloger de ma cachette. J’appréhendais sa réaction et surtout je ne voulais pas qu’elle le dise à mes parents.

Cependant, elle ne bougea pas.    

Catherine tout en regardant le paravent, vint près du lit et s’assit sur le bord du matelas bien en face de mon lieu d’observation. Elle écarta les jambes.

Je voyais parfaitement bien sa vulve. Elle commença à caresser sa poitrine. Ses seins lourds trahissaient son excitation avec leurs deux tétons qui se dressaient fièrement.

Elle prit le droit, l’embrassa, le mordilla, le suça. Puis elle agrippa le second et fit de même. J’étais aux anges.

Je reprenais mes caresses sur mon sexe tout en fixant ma tante qui ne cessait de regarder dans ma direction.

Puis elle descendit sa main droite vers son vagin. Elle passa délicatement ses doigts dans sa fine touffe de poil bien entretenue.

En continuant son exploration, elle commença à masser ses deux lèvres. Au bout de quelques minutes, son clitoris fit son apparition. Elle écarta bien ses deux lèvres et me laissa contempler cette excroissance qui fait vibrer les femmes.

Elle faisait des petits cercles dessus. Elle gémissait. Elle accéléra et ses murmures furent remplacer par des cris :

« Oh oui humm c’est bon, oh oui ..oouiiiii ».

Je voyais ma tante se caresser et se donner du plaisir. Elle jouissait devant moi en me regardant (enfin en fixant le paravent).

J’allais jouir aussi. Je le sentais.

C’est alors qu’elle s’allongea sur le lit. Tout en gardant les cuisses bien ouvertes, elle rentra tes rapidement deux de ses doigts à l’intérieur de sa vulve.

Elle semblait détrempée. Sa mouille lui servait de lubrifiant naturel. Et, après quelques allers-retours elle y ajouta un troisième et un quatrième.

Elle avait maintenant quasiment toute sa main dans sa chatte. Je profitais sans vergogne de ma tante se pénétrant au maximum.

Elle hurlait littéralement son plaisir :

« OUIIIIIII !!!!! OHHH OUIII.HUMMMMM J’ADORE ETRE UNE SALOPEOHHH OUII, OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII »

Le mot salope me troubla et j’éjaculai au même instant qu’elle jouissait. Mes jets sortaient en symbiose avec ses spasmes de plaisir.

Une fois calmée, elle se releva et passa à moins de 30 centimètre de ma cachette. Je retins ma respiration.

Elle enfila son string, son soutien-gorge, ses bas et le reste de ses vêtements. Le fait de la voir s’habiller me redonna une érection mais j’essayais au maximum de rester calme. Elle sortit de la chambre. Le moment était venu de faire de même.

Avant de partir, je regardais les dégâts. La moquette était maculée de grosses tâches de sperme. Il y en avait jusque sur le paravent. Je n’avais pas le temps de nettoyer et me précipitais dans ma chambre.

Dix minutes plus tard ma tante, cria dans l’escalier qu’elle sortait en ville faire des courses. Je refusai de l’accompagner. Mais je vins à son encontre pour lui faire la bise.

Sentir son parfum après ce que j’avais vu me troubla.

Elle me prit dans ses bras, me sourit et me dit que j’étais mignon. Puis, en caressant mes cheveux, elle se retourna et partit en ville.

Je courais alors vers sa chambre pour nettoyer. Mais là, en arrivant je ne vis aucune trace de mes sécrétions. Ma tante était passée avant moi.

J’avais honte. Mais étant encore très excité, je m’allongeai sur son lit pour me branler jusqu’à jouir de nouveau.

(J’espère que ça vous a plus. Ma tante va-t-elle garder le secret ? Vais-je pouvoir encore profiter d’elle. Quelles seront mes prochaines découvertes de voyeur ? la suite au prochain chapitre.)

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