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De Hervé à Vanessa, chienne soumise – Chapitre 20




08h00, le réveil est des plus charmants. Je sens des langues sur mes lèvres. J’ouvre mes yeux et je vois mes deux amantes chéries. Je me pose sur mes coudes et c’est à mes seins qu’elles s’attaquent. Je les laisse faire. Malika m’empoigne la queue et me branle. Ma réaction m’étonne. Bien sûr, je bande, mais pas de jouissance aussi foudroyante qu’hier. Je la laisse donc, profitant de la douceur de sa main. On s’embrasse à trois, notre jeu de langue finit de nous réveiller. On se câline un petit moment quand Théna dit qu’il serait bon de ne pas trop traîner au lit et d’aller prendre un copieux petit déjeuner.

On arrive dans le salon où nous attendent les trois surs. Comme dans un grand resto, elles nous tirent les chaises et nous font nous assoir. On se jette tous sur le café, les viennoiseries, le jus d’orange et autres délices.

— Alors mes chéries, bien dormi ? Demande Émile en descendant de la passerelle.

Il est habillé d’un pantalon de toile bleue, d’une chemise blanche et d’un spencer bleu avec des galons dorés aux manches.

— Oui, Émile et toi… Lui répondis-je.

— Très peu, Vanessa, très peu…

— C’est sûr, elle est bonne la petite Axiana ?

— Elle manque de caractère, je préfère les trois surs, mais elles étaient occupées avec Maria. Lui répondit-il sur un air amusé.

— Qui parle de moi. Bonjour les enfants.

Elle aussi est habillée comme Émile, enfin presque puisquau lieu du pantalon, c’est une jupe plissée bleue.

— Bonjour Tatoune. Nous répondons collégialement.

Elle nous sourit et sert Émile qui, comme un prince, lit son journal. On se regarde tous les trois et l’on se met à rire. Puis il lève son nez, sur lequel sont ajustées lunettes de lecture.

— Alors pour votre folle journée, on a décidé de vous octroyer un peu plus d’indépendance, c’est pourquoi voici vos cartes de crédit. Elles sont plafonnées à 100 000 euros. Vanessa approche s’il te plait. Il te manque quelque chose pour sortir librement de ce bateau…

Je le regarde bêtement.

— Voilà, ma belle…

Il sort un passeport et une carte d’identité grecque.

— Bienvenue, chère compatriote…

Il n’a pas le temps de finir sa phrase que je viole littéralement sa bouche. Il en est heureux, ça se lit dans son regard pétillant. Les effusions de joie sont interrompues par l’arrivée de Caro et David, eux aussi apprêtés elle dans une jolie robe à grosses fleurs bleues et de jolies sandales de la même couleur, lui dans une jolie chemise Hawaïenne rouge, un jean et des tongs. Tout l’équipage est aussi en tenue. À mon regard plus qu’interrogateur, Émile me dit qu’il reçoit d’importants clients, qu’il ne pouvait pas les recevoir à poil. David et Caro profiteront avec nous de l’annexe. Adélia nous déposera à la capitainerie et ramènera les clients. Choses dites et expliquées, David nous donne rendez-vous dans notre cabine, après le petit déjeuner. Dans l’entre-fait, arrive Domi, habillée à l’identique de Maria.

— On est au mouillage "trois", Émile. Dit-elle.

— Parfait !

" Monsieur Émile est demandé à la passerelle pour communication téléphonique".

— Skatà…

— ÉMILE !!!

— Oups, pardon. Merde… Hihihi.

Cinq minutes plus tard, il revient pour nous annoncer que la liaison ne se ferait plus à 14h00, mais à 11h00. Il nous invite donc à aller nous préparer, il est 08h50.

Je récupère mes papiers et on file comme des folles dans notre suite. David, Caro et Domi nous emboîtent le pas.

— Vous n’allez pas assister à nos ablutions quand même ! ! ! Leur lance Théna.

— Et vous ? Vous n’allez pas sortir comme cela ? Répond David en montrant nos ceintures ?

On rigole et les trois adultes se placent derrière nous et nous ôtent nos pansements. Ça colle un peu mais le résultat est magnifique ! On a toutes les trois la même marque sur notre pubis, une marque écrite en grec et donc incompréhensible pour les néophytes. Ce "tatouage" fait 10cm x 5cm, écrit sur deux lignes. Ravissant et érotique à souhait. Domi est fière de son travail, elle reçoit nos félicitations baveuses.

Nous prenons une douche appliquée, nous faisons notre lavage anal, nous maquillons et nous parfumons. Pour ce qui est de la tenue vestimentaire, ça se complique. Les filles sont habillées à l’identique. Un large Marcel, une jupe plissée noire tombante à mi-cuisse, des mules à talons plats. Verte pour Théna, rose fuchsia pour Malika. Quant à moi, je revêts ma tenue que j’avais lors de notre arrivée à bord, c’est-à-dire le short minimaliste rose fluo et mon Marcel rose fluo également. Les sous-vêtements se résument à un string noir en dentelle quasi transparente pour les filles et moi un tanga blanc, pour y ranger Popol, qui déborde sur mes fesses. Pour ce qui est des chaussures, Maria les ayant jetées par-dessus bord sur le quai lors de notre départ, je suis pieds nus. David me prête une paire de ses tongs, seule paire à ma taille, du 43 !

On remonte plage arrière. Émile nous attend à la coupée. On lui montre notre marque, il nous touche toutes les trois. Au contact de ses doigts, j’ai la chair de poule.

— Mesdemoiselles, n’auriez-vous pas oublié quelque chose ?

On se jette tous à son cou et l’embrassons.

— Bien que j’apprécie votre marque d’affection, je ne parlais pas de ça, mais de ça ! ! !

Les trois surs, en tenue d’équipage, nous tendent nos sacs à main. Confuse, on rit bêtement.

— Puisque l"on ne peut pas vous faire confiance, je vais vous faire chaperonner.

Nos mines sont, à cet instant, déconfites.

— ADELIA, REMONTE ET VA TE CHANGER. Axiana, descends prendre la relève.

Adélia n’a jamais dût remonter la coupée aussi vite, c’est essoufflée qu’elle arrive devant Émile.

— Je te les confis. S’il leur arrive quoi que ce soit, tu seras tenue responsable. Compris ! Dit-il d’un air faussement autoritaire.

Pour toute réponse, il reçoit un salut militaire et part en courant vers la plage avant.

— NE COURREZ PAS ! ! ! L’interpelle Maria.

Mais elle a déjà tourné dans une coursive menant à sa chambrée. On attend un quart d’heure et la belle réapparaît. Jupe plissée tombante au-dessus du genou, chemisier blanc et tennis de toile blanche. L’absence de marque trahit son non-port de sous-vêtement. Caro et Davis nous attendent dans la petite vedette. Axiana met les gaz.

— Demain matin je dois aller vous chercher. À 11h00. Nous précise Anxiana.

On est sur le quai de la capitainerie, on est accueilli par le maître du port, on ne s’éternise pas, notre taxi est là. Je ne me rappelle plus de son prénom, mais c’est le même qui m’avait emmené à l’institut. On se sépare de David et Caro. Il nous demande où nous emmener. Malika lui dit de passer chez "Christine Laure". Notre chauffeur nous emmène à allure de sénateur. Ce n’est plus son monospace de la dernière fois, mais d’une "Mercédes classe G". Un gros 4×4 noir aux vitres teintées.

À l’intérieur de la boutique, personne, mise à part une femme la cinquantaine, trop habillée, trop maquillée, trop parfumée pour ces chaudes journées.

— Mesdemoiselles…

— C’est pour moi, lui dis-je.

— Que cherchez-vous ?

— Ça, en lui montrant les tenues de Malika et Théna.

— Mais bien sûr, suivez-moi.

— Adélia, viens avec moi. Les deux autres filles nous ayant lâchés pour flâner dans les rayons.

— Pour les jupes c’est ici, pour les hauts, là-bas. Les cabines d’essayage sont au fond à droite.

— Tu fais du combien, Alexia ?

— Du 36-38 Pourquoi ?

— T’occupe, on va avoir un succès de dingue habillées toutes pareil. Hihihi.

Elle me sourit. Je prends deux mini-jupes et deux hauts identiques que les filles portent, je me demande si Malika n’a pas acheté leurs tenues ici et le fait de nous y avoir emmenés direct, la coquine. Je me dirige vers les cabines d’essayage. Elles sont assez vastes pour que l’on y rentre à deux. Adélia va pour refermer le rideau, je l’en empêche.

— Non, laisse-le ouvert. Tu n’as pas vu comment elle nous reluque depuis qu’on est rentrée ?

— Euh, non…

Je me déshabille, Théna me suit. Comme je l’avais prédit, elle est entièrement nue et moi avec mon tanga. La proprio nous regarde discrètement dans le miroir de la cabine. Elle est à deux rayons et ne peut voir mon sexe. Je me sers à ma belle du moment et l’embrasse à pleine bouche. La dame se pince les lèvres et se penche en avant.

— Elle se branle !!! Lui murmurais-je à l’oreille.

— Tu ne vas pas quand même te la faire.

— Non, pas assez belle, mais toi.

— Non !

— Je plaisante, Adélia, je plaisante.

On part dans fou rire qui résonne dans toute la boutique. Un "cling-cling" raisonne, ce qui veut dire que nous ne sommes plus seules. La patronne, à son grand regret, se dirige vers l’intrus. On enfile les deux jupes, les deux hauts. On dirait deux surs, mise à part la coiffure. Elle avec sa grande crinière blonde et moi mes deux millimètres. On récupère nos vêtements et on se dirige vers la caisse.

— Sophie, veuillez vous occuper de ces deux jeunes filles.

Malika et Théna nous rejoignent et éclatent de rire. Elles nous disent qu’elles avaient acheté ces tenues l’année dernière et s’étonnent de leur présence dans les rayons. Je paie avec ma carte de crédit, le code m’a été donné par un post-it. On sort, je vais pour jeter mes fringues et celles d’Adélia dans le taxi, que les yeux de notre chauffeur sortent de leur orbite en en nous voyant, toutes les quatre, ainsi court vêtues.

— Et, Oh ! !! Tu ne vas pas nous faire une crise d’apoplexie mon grand ? Lui lance Théna.

— Euh, non, non, mademoiselle, mais vous êtes…

— Bronzée. Lui dis-je.

Il nous ouvre le coffre, on y jette nos anciennes tenues.

— Attendez-nous au phare, lui dit Théna, on va se sustenter.

Sans aucun mot, il monte dans le gros 4×4 et démarre. Après être allé voir le magasin de chaussures et acheté les mêmes que nos copines (jaune pour moi, bleue pour Adélia), nous voilà au phare, célèbre restaurant de Palavas-les-flots. On y mange un succulent plateau de fruits de mer dont certains, parait-il, aphrodisiaques.

On discute, on rigole, on s’amuse un peu bruyamment. Tous les yeux sont tournés vers nous, surtout ceux des hommes. Malika règle l’addition, que je trouve salée. Quoique nous avons fait ripaille au champagne et pour un plateau, normal.

On est dans le taxi et on lui demande de nous emmener dans un bar-glacier.

— Je connais le "NEXXT", c’est un bar Lounge à cette heure-ci.

— Va pour la Neext. Dit Théna.

On mange, on dévore toutes les quatre un banana-Split. Je vous passerai de la façon que les bananes sont avalées… Hihihi. Je crois qu’il y a plus d’une braguette de ces messieurs qui ont dû exploser. Que dire du regard d’une jeune fille de bonne famille qui léchait amoureusement sa petite cuillère, vite reprise par sa mère.

— Dites, les filles, il y a un endroit où j’aimerais passer.

— Bin, dis-nous. Me dit Malika.

— A mon ancien studio.

— Tu veux absolument y aller ? Me demanda Malika.

— Un désir d’Emile.

— Soit, mais on te déposera à cent mètres. Tu dois y aller seule. Me dit Théna.

On se retrouve donc à cent mètres de mon ex-appartement. Je suis seule, et je passe devant José qui détourne à peine le regard. Je rentre dans le tabac tenu par sa femme. Elle me sourit, comme à tous ses clients.

— Des Marlboro light longues, s’il vous plait…

Aucune réaction, je paie je sors. Je vais vers mon studio et à vingt mètres de mon but, je fais demi-tour et cours vers le taxi. Trop dur, trop de souvenirs que je veux définitivement oublier.

De retour dans le taxi. Il manque Théna. Malika me fait signe de regarder devant. La salope elle taille une pipe magistrale à notre chauffeur. Je me penche en avant pour mieux voir. Le chauffeur a le pantalon descendu à mi-cuisse. Il a une verge de taille respectable sur laquelle coulisse la bouche de Théna. Elle s’arrête.

— J’en pouvais plus, il me fallait une queue. Hum, je me régale.

Elle repart à la besogne. Le pauvre chauffeur a les yeux révulsés. Sa respiration est calquée sur le rythme imprimé par la jeune salope. Il sert son volant d’une main. De l’autre il caresse la tête de sa pompeuse. Je lui prends cette dernière et la pose sur la nuque de Théna.

— Force-la, elle adore ça. Lui dis-je à l’oreille.

— Hum, je vais venir… Dit-il dans un murmure.

— Laisse-toi aller, elle va te boire.

— ARGH, HUM… Putain de salope…

Théna, à son d’habitude, conserve toute la semence de son mâle en bouche et comme elle est partageuse, elle se relève et m’en fait cadeau d’une partie dans un baiser passionné. Le chauffeur n’en revient pas.

— Tu es délicieux. Lui dis-je en lui faisant un petit clin d’il.

— C’est la première fois que je suce un mec dont je ne connais pas le prénom.

— Gérard.

En me rasseyant entre Malika et Adélia, ma jupe remonte, et montre une belle érection.

— On ne va pas le laisser comme cela ? Demande Malika à Adélia.

— Non…

Sans que puisse dire quoi que soit, elles entament une fellation à deux bouches. Leurs langues tournoient sur mon gland. Je gémis comme une femelle recevant un cuni. Le chauffeur, Gérard, se retourne et quand il voit la scène, il s’étrangle, il n’en croit pas ses yeux.

— Putain quelle queue elle a vot’ copine… Quel… Quel canon !!!

Malika me suce la rondelle, Adélia joue avec mon gland et se régale de mon jus séminal. Entre l’excitation de ces caresses buccales et le fait d’être découverte, offerte aux yeux ahuris de Gérard me fait partir dans une transe inouïe. Je jouis, toujours sans éjaculer.

— Tu la veux ? Demande Théna à Gérard.

Sans attendre sa réponse je le tire par la queue. Il passe difficilement entre les sièges avant, mais il y arrive en tombant sur moi. Je l’embrasse à pleine bouche. Je ne suis qu’une chienne en chaleur. Il me caresse les seins, m’agace les tétons en tirant sur mes anneaux. C’est la première fois que je vais prendre une bite dans cette position. Je le dirige vers mon anus qui a été bien préparé par la bouche de Malika. D’ailleurs, Malika et Adélia jouent avec mes seins, pendant que Théna lèche le cul de Gérard. Il n’en peut plus et s’enfonce en moi jusqu’à la garde. J’ai la bouche ouverte et les yeux grands ouverts. L’extase, la plénitude totale. Il me lime dans un rythme effréné. Il m’embrasse comme une bête, nos salives ne font plus qu’une. Gérard a fermé les yeux et se concentre pour ne pas venir trop vite. Je ne peux pas sortir un mot, un son. La jouissance est extrême et j’éjacule sur mon ventre. L’odeur est pestilentielle pour un néophyte, mais terrible aphrodisiaque pour nous. Il se raidit et gicle en moi. Je suis femme, chienne et salope à la fois. Il se retire et retourne sur son siège, épuisé. Les trois filles sautent sur les reliquats de sperme qui me maculent le ventre et l’anus. Je reprends mon souffle.

— Les filles, je vais vous emmener… PFIOUFFF… Chez moi afin de vous refaire une beauté. Dit Gégé.

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