Il est sept-heure et demi, Antoine vient de partir de l’appartement, Maryse n’a plus qu’à attendre une paire d’heures avant de recevoir Sophie, l’amie de Marcel. Elle en profite pour se préparer et se mettre dans une tenue sobre, mais aussi un peu provoquante afin de convaincre sa peut-être future responsable d’entreprise.
Il est neuf-heure et demi, la quadragénaire sonne, l’épouse d’Antoine vient d’un pas pressé pour lui ouvrir la porte. Les deux femmes s’installent dans le salon, puis discutent des modalités du contrat. Dans un premier temps, Maryse effectuera l’entretien de la maison de Monsieur Bouteille, un homme de soixante-cinq ans, veuf, il faut y faire le repassage, le ménage dans la maison et faire la préparation du repas du midi.
Le tout trois heures par jour. L’après-midi, pendant deux heures, il faudra effectuer un peu de repassage et d’accompagnement auprès de Monsieur Dubois. Cela constitue donc un contrat de vingt-cinq heures par semaine payé au SMIC.
Sophie l’invite donc à visiter les deux maisons. Elle accepte sans aucun souci. Les deux femmes montent dans le véhicule de société, puis arrivent au bout d’un quart d’heure chez Monsieur Bouteille. La maison ressemble à une ancienne ferme, elle est d’une taille classique, et il y a un beau jardin.
Beau, car il est entretenu avec passion visiblement. Les fleurs sont d’une beauté incroyable et l’agencement est plutôt bien fait. Il y a à présent une toute autre ambiance. Lorsque l’homme ouvre la porte de son domicile, une odeur assez nauséabonde pique nos narines.
Il les invite dans la cuisine, il y a un bazar monstrueux, les assiettes ne sont pas nettoyées, il y a des tasses de café un peu partout et c’est la même chose concernant les bouteilles en verre. Maryse sent que demain, elle va avoir un travail complètement fou.
Par la suite, le monsieur montre sa chambre, sa salle de bains ou un tas de vêtements jonche le sol, les sanitaires puis nous terminons par la salle à manger où il y a tout un tas de bibelots rempli de poussière.
Les trois personnes retournent dans la cuisine, Sophie demande à monsieur Bouteille si Maryse lui convient, et répond que oui. Lorsque les deux femmes quittent la maison, l’homme les regarde partir depuis le pas de sa porte avec un regard assez lubrique, voir même pervers.
Elles remontent dans le véhicule de société, puis partent en direction de la maison de Monsieur Dubois. L’homme ouvre la porte, l’odeur qui sort de son domicile est beaucoup plus agréable. La visite se fait sans aucun souci, et tout le monde valide le contrat. Maryse a le cur qui bat la chamade, elle est satisfaite de sa réussite au cours des entretiens.
Il est presque midi, Sophie lui propose de déjeuner dans une brasserie, elle ne refuse pas. La responsable d’entreprise se lance alors dans un monologue, elle explique à l’épouse d’Antoine que le premier client, monsieur Bouteille, est un peu lunatique, mais qu’en général, la présence d’une femme semble le soulager plus qu’autre chose. Il est veuf depuis cinq ans, mais il n’a jamais su garder ses assistantes de vie plus de six mois.
Maryse s’inquiète concernant cette information, mais n’en tient pas rigueur. Monsieur Dubois quant à lui, c’est la bonne patte, le mec qui a toujours un mot pour faire, rire ou détendre l’atmosphère. Les deux femmes terminent de déjeuner, puis vont en direction du bureau principal de la société, les contrats sont signés, les produits d’entretien sont fournis et la tenue de travail aussi. Il s’agit ici, d’un tablier avec le nom de l’entreprise dans le dos. Il est bientôt quatorze heures, Maryse rentre à son domicile.
Elle y fait le ménage, puis passe une soirée agréable avec son époux. Ils regardent ensemble un film à la télévision, puis vont se coucher. Le lendemain matin, le réveil sonne, il est sept-heure trente, Antoine part travailler dans l’entreprise de boucherie du côté de Bazas, il ne manque pas d’encourager son épouse avec une accolade et un baiser langoureux.
Maryse se prépare, puis part en direction du domicile de monsieur Bouteille. Au bout d’un quart d’heure, elle sonne à la porte. L’homme ouvre, la même odeur piquante envahit les narines de la femme. Ce dernier lui propose de boire un café, cette dernière est un peu hésitante étant donné le manque d’hygiène, mais par politesse, elle accepte tout de même cette proposition.
Les deux adultes se retrouvent dans la cuisine, discutent brièvement de l’actualité, puis au bout de dix minutes, Maryse commence son chantier. Elle va en direction de la salle de bains, enfile sa tenue de travail, puis retourne en direction de la cuisine.
Elle y fait la vaisselle, met en poubelle toutes les immondices accumulées, remet en état la cuisinière. Elle met bien une bonne heure pour effectuer cette prestation. Ensuite, elle part en direction de la salle de bains, la remet aussi en état. Il est à présent onze heures, il va falloir préparer le repas.
Elle se met donc à la recherche de monsieur Bouteille afin de savoir ce qu’il souhaite déjeuner. Elle regarde à travers la fenêtre, mais personne dans le jardin, la salle de bains est vide, et c’est la même chose concernant la salle à manger. La dernière pièce a visité est la chambre, elle hésite longuement avant d’ouvrir la porte. Est-il en train de dormir ? De lire ?
Elle toque, mais aucune réponse. Ayant une conscience professionnelle, Maryse ouvre la porte. Elle se retrouve, bouche bée.
Monsieur Bouteille est tout simplement en train de se masturber dans son lit, en regardant une revue pornographique. La femme est prise de peur, pousse un cri de stupeur, ce qui met l’homme mal à l’aise, mais qui ne l’empêche pas de poursuivre son activité.
Elle sort de la pièce, ne sachant que faire, elle va en direction de la salle à manger afin de dépoussiérer les bibelots. Au bout d’une demi-heure, Roger part à la rencontre de Maryse, il se morfond dans des excuses. Cette dernière lui indique que ce n’est pas grave, qu’elle comprend tout à fait la situation, mais qu’il serait plus judicieux de le faire lorsqu’elle n’est pas présente dans la maison au moins par pudeur.
L’homme grogne un peu, mais accepte tout de même cette remarque, il promet qu’il se tiendra plus sage. La femme n’y croit pas trop, et repose à nouveau la question concernant le repas du midi. Monsieur Bouteille lui indique qu’aujourd’hui, il souhaite des pâtes avec deux steaks hachés.
Maryse part donc à la cuisine, puis commence à préparer ce repas classique. Elle ne met pas trop de temps, puis appelle l’homme. Ce dernier n’a plus qu’à s’asseoir à table et déjeuner. La femme d’Antoine lui explique qu’elle va devoir quitter son domicile afin de s’occuper de son autre client.
Ils se serrent la main, puis elle quitte le domicile du sexagénaire. Elle prend la décision de prendre un sandwich dans une boulangerie, et repense à ce qu’elle a vécu ce matin. Il est treize-heure trente, la pause repas se termine, et elle prend la direction du domicile de monsieur Dubois.
Lui aussi est sexagénaire. Mais, il a un avantage par rapport au client précédent, puisqu’il est plutôt blagueur. Du coup, la séance de repassage se déroule assez rapidement, et elle prend donc sa deuxième heure afin de permettre à ce monsieur d’avoir de la compagnie.
Maryse demande donc à l’homme ce qu’il souhaite faire. Il sort une boutade un peu graveleuse, en disant qu’il aimerait bien faire l’amour. Elle fait un sourire coincé, et explique à monsieur Dubois qu’elle est mariée. Et qu’elle est totalement comblée par son époux. L’homme lui propose alors de faire un rami.
Les deux adultes jouent, puis l’heure arrive. La femme serre la main de son client et part en direction de chez elle. Sophie téléphone à Maryse aux alentours de dix-sept heures. Elle demande à cette dernière si le déroulement de la journée s’est bien passé. La femme d’Antoine répond par l’affirmative et signale les deux incidents qu’elle a connus avec les sexagénaires.
La responsable d’entreprise lui indique que les deux hommes ont pour l’habitude d’avoir ce comportement lorsqu’une nouvelle personne intervient à leur domicile. C’est un peu une sorte de test. Elle m’explique alors que l’une de ses anciennes employées a eu quelques relations sexuelles avec monsieur Bouteille.
Et visiblement, cette dernière a apprécié cette aventure. Maryse est surprise par la tournure de la discussion, en fait part à Sophie, en lui indiquant que cette dernière est mariée et qu’elle ne tentera rien du tout avec ses clients.
La responsable de l’entreprise apprécie cette réponse, les deux filles raccrochent leur téléphone. Antoine fait son apparition dans le domicile conjugal. Le couple discute de tout et de rien.
Ils préparent ensemble le repas puis se posent devant la télévision. Ils ont certes la trentaine, mais ces habitudes pantouflardes exaspèrent Maryse. Elle aimerait que son époux soit un peu plus avenant. Elle a enfilé sa nuisette la plus sexy et se blottit contre le torse nu de son mari.
Elle lui fait quelques papouilles, tente une approche sensuelle en direction du sexe d’Antoine, elle glisse même audacieusement une main sous le pantalon. Elle commence à le masturber. Son visage se crispe, esquisse un sourire joyeux et laisse sa femme faire.
Il soulève un peu son bassin enlève son vêtement. Son sexe est en érection. Maryse lui fait une fellation, mais à encore en tête celui de monsieur Bouteille. Serait-elle troublée ? Intéressée ? Le mystère semble entier dans son esprit. Elle tente de se concentrer sur ce qu’elle fait à présent. Sa bouche englobe la verge d’Antoine. Elle lèche la tige de chair de haut jusqu’en bas, aspire son gland puis lui caresse les testicules.
Elle soulève le bas de sa nuisette, écarte les jambes et les positionne autour du bassin de son époux. Elle se frotte brièvement au membre de son partenaire, puis d’un coup s’empale sur le sexe.
Elle fait des mouvements divers et variés. Embrasse son époux dans le cou afin de le stimuler encore plus. Ce dernier prend les fesses de son épouse et lui donne à présent des coups de butoirs beaucoup plus virulents. Il tente de lui glisser un doigt dans son petit trou. La chaleur ne cesse d’augmenter dans le salon.
L’homme positionne à présent sa femme sur le ventre, soulève le bassin de cette dernière puis la pénètre ainsi. Il lui donne des petites fessées, cette action excite énormément Maryse. Antoine profite de cette position pour glisser une nouvelle fois, deux doigts dans l’anus de son épouse.
Elle grimace dans un premier temps, puis grogne son plaisir comme jamais. Pour preuve au bout de dix minutes, des spasmes parcourent son corps, et la propulsent dans une jouissance énorme à tel point que la verge de son époux est complètement trempée suite à l’expulsion abondante de cyprine.
Son époux profite de cette situation. Il prend un maximum de liquide afin de préparer le petit illet de Maryse. Il y glisse sa langue, la doigte sans ménagement, puis présente son sexe à l’entrée de la grotte étroite. Il y rentre avec prudence et délicatesse. Son gland ouvre la porte, puis petit à petit entre entièrement.
Sa femme est muette, puis il entame les mouvements avec son bassin. Son épouse commence à soupirer fortement, puis il passe à la vitesse supérieure. Ses gestes sont beaucoup plus puissants.
Au bout d’un quart d’heure, l’homme sort des entrailles de Maryse, et se masturbe au-dessus de ses fesses. La pression est tellement à son comble qu’il explose totalement. Elle a du sperme sur le bas du dos, et entre les fesses. Le couple s’embrasse, se douche, puis se couche.
Pendant le sommeil, Maryse repense encore une fois à monsieur Bouteille, repense à la masturbation qu’il faisait lorsqu’il était dans sa chambre et elle se surprend puisqu’elle porte sa main sur son vagin et masturbe son clitoris. Elle essaye de faire un minimum de bruits possible et arrête son activité avant d’avoir un orgasme.