La seule solution en période chômage et de sarranger. Jai trouvé la solution à mes problèmes. Un soir, en prenant un café au bistro du coin jai rencontré une femme disons entre deux âges. Elle portait bien ses quarante et quelques années. Mon sourire lui a plus. Pourquoi refuser quelle me paye le café. De là tout est parti. Jhabite juste au dessus : je nai pas eu à forcer pour quelle monte avec moi. En entrant elle a frôlé mes lèvres. Sa chaleur sest communiquée à mon corps. Je lai prise dans mes bras, elle sy est coulée. Jallais la caresser, cest elle qui ma cherché la queue. Quelle science, quelle façon de traire la pine. Je laurais laissé aller jusquau bout. Et soudain :

-Baises moi, mets-moi là.

-Où ?

-Où tu veux salaud, mon salaud, baises.

Quand on me parle gentiment jobéis. Je nai pas eu le temps de la déshabiller : elle était nue avant que je commence. Je sentais ma queue sortir du pantalon. Jai eu le bonheur de la sentir prendre ma queue dans sa bouche. Je pensais que ce nétait que pour mexciter encore un peu ou lexciter elle. Sa langue savait bien lécher, elle a été jusquau bout, jusquau moment de léjaculation. Quand elle ma lâché, javais encore un peu de sperme sur la queue. Jallais débander quand elle a pris la bite dans une main, elle ma caressé pour que je ne débande pas. Elle ma fait coucher sur le lit, est venue sur moi, ses jambes me tenant entre elles. Accroupie comme elle était elle sest laissé descendre sur la queue qui entrait facilement en elle. Le plaisir en moi sagrandissait comme le sien certainement. Jai senti son sexe se serrait autour du mien. Je sais quelle a jouit longtemps, bien plus que moi. Elle sest laissé aller sur moi, ma longuement embrassé en disant merci, sest relevée, rhabillé pour partir avec un petit signe de la main.

Je ne lai jamais revu.

Par contre jai retenu la leçon. Au lieu de chercher des filles de mon âge, pas ou peu performante, je ne cherchais plus que les cougars. A croire quelles se connaissent toutes, se refilent les coordonnées de garçons comme moi. Jarrive à trouver toujours une nana prête à senvoyer en lair avec moi: ce doit être écrit sur ma figure. En plus elles sont gourmandes, très gourmandes, à croire que dans leur jeune temps elles ne baisaient pas assez, ou linverse. Alors jen profite. Jai pu faire la comparaison lautre nuit avec une de mon âge. Elle aimait baiser, daprès elle : un aller et retour dans le cul elle était satisfaite, pauvre fille, alors que normalement elles me prient pour les enculer longtemps : et jaime bien ça, cest plus étroit quun con. En plus la plus part se branlent en même temps, ajoutant à leur plaisir de la sodomie.

Je trouve des compensations financière avec des petits cadeaux. Jaccepte toujours après les avoir faite jouir. Si je suis en panne de femmes, je me touche la queue le soir ou le matin dans mon lit. Je pense à celles qui se sont branlées devant moi, pour me faire plaisir au début et pour leur seul plaisir à la fin. Jaime faire aller et venir ma main sur la queue, jaime me caresser les couilles et le cul à la fois. Il marrive de le faire devant ce genre de femmes. Elles me regardent avec envie : elles savent quelles vont déguster mon jus. Je regarde leur main aller et venir sur leur chatte Jadore les voir jouir de leur seule main.

Une nuit, une des nanas ma emmené chez elle. Jai eu droit à une fellation extraordinaire. Elle me léchait la bite, me regardait avec des grands yeux verts. Ses lèvres arrivaient à venir presque sur le pubis. Je sentais mon gland buter sur ses joues. Elle me tenait les fesses à deux mains, les caressait lentement. Mes mains posées sur son crâne la guidaient à peine. Elle sest lentement tournée, me donnant sa fourche. Mon nez se perdait dans ses poils entiers. Ils me chatouillaient un peu. Sa poitrine appuyait sur mon estomac. Quand elle ma lâché, elle faisait de grands mouvements de masturbation de plus en plus rapide. Ma langue allait et venait dans sa raie. Ca ne la pas empêcher de prendre son gode pour le mettre dans le con.

Je ne faisais que ce quelles veulent. Je continue pour mon seul plaisir alors quelles pensent que cest pour leurs beaux yeux (des fois). Je commande toujours pendant lamour, de rares foi je me laisse aller à obéir à leurs désirs souvent bizarre. Par exemple, branler sur la route, elles au volant. Cest jouissif de donner son plaisir à une fondue de la baise qui se fait masturber sur la route, aux yeux et vues de tous. Jai du enculer une de ses femmes une fois sur la bande darrêt durgence sur lautoroute. Jentrais plus que facilement dans un cul habituée à la sodomie. Elle appelait son mari au secours, la garce. Après mon orgasme, je men fiche, je suis un toysboy.

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