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L'Ingénue Perverse – Chapitre 2




Hagarde, la jeune fille me suivit dans un recoin du grand salon sans protester, docile sous ma poigne ferme, et se laissa glisser dans l’un des gros fauteuils capitonnés.

Les jambes tremblotantes et dissimulée par un énorme vase de plantes exotiques, sa jupe toute remontée sur ses genoux, la jeune fille semblait perdue et hagarde.

A l’autre bout du salon, Clarisse et Hugues s’accouplaient maintenant sur un sofa moelleux et l’on pouvait entendre leurs soupirs excités et le bruit caractéristique des peaux mouillées de sueur et de plaisir. Ils s’arrêtèrent enfin et vacillants l’un contre l’autre, se dévorant de baisers, ils partirent ensemble dans les pièces du haut, probablement dans les chambres.

J’offrais un verre de très fort alcool à la jeune fille, mes regards coulaient le long de son corps et s’attachaient sur les membres fins et la poitrine délicate dont je devinais les pointes durcies sous le fin corsage.

Baissant les yeux elle n’osait plus dire un mot, elle n’avait eu que le temps de me glisser « Je suis Ingrid, la belle-fille de Hugues » avant de se laisser tombée dans le gros fauteuil. Seuls la musique d’ambiance et les rires venant du plafond découpaient le silence. Elle avala d’un trait la rasade d’alcool et les larmes tout de suite lui vinrent aux yeux. Secouée sûrement par la scène précédente, elle cachait son visage dans ses mains. Je m’approchais d’elle et doucement, caressais sa joue du bout des doigts, effleurant ses lèvres de la pulpe de mon index.

Ingrid ferma les yeux et renversa sa tête sur le dossier du fauteuil.

« Que m’avez-vous donner a boire ? demanda t’elle d’une voix un peu pâteuse.

« Un whisky pur avec un seul glaçon » lui répondis-je.

Je déposais de légers baisers sur tout l’ovale de son visage et baisais sa bouche de tendres baisers. Ses lèvres chaudes s’ouvrirent lentement et sa langue vint chercher la mienne, ma main remonta sur la pointe de l’un de ses seins et se glissa sous son corsage.

Ce que sa peau était douce et tendre.ma tête vint se nicher sur ses seins de colombe et doucement, je lapais et suçais un téton tremblant et rose en la mordillant un peu. Des petits soupirs étouffes s’échappèrent de ses lèvres.

Ma main entourait maintenant son sein et pressait doucement sa peau tandis que ma bouche continuait de sucer lentement son mamelon, Ingrid, enfoncée dans la profondeur moelleuse du fauteuil se laissait aller sous mes caresses buccales et ses jambes s’ouvrirent avec lenteur.

Ma main glissa le long de sa cuisse et remonta jusqu’à sa culotte déjà trempée de plaisir, et je glissais un doigt curieux sous le tissu. Ingrid sursauta sous la caresse et sa main essaya de repousser la mienne tandis que mon autre main malaxait son sein et que ma langue léchait toujours la pointe de son mamelon.

Ma bouche glissa sur son épaule puis son cou que je mordillais avec délices, « Laisse toi faire ma belle » lui glissais-je a l’oreille, « Vois comme c’est bon et comme ma langue et mes doigts te font du bien. ton petit sexe est déjà dégoulinant de plaisir et ton anus est lui aussi tout humide. Ouvres bien tes cuisses et laisses mes doigts te donner du plaisir »

La jeune fille, le rouge aux joues mais la jupe remontée sur la taille et le corsage entr’ouvert, se laissa faire sous mes caresses. Son sexe gourmand bavait de plaisir sous mes doigts inquisiteurs, la bouche ouverte sur des soupirs de jouissance Ingrid se faisait lentement baisée par mes doigts enfouis dans sa chatte juteuse, alors que j’approchais un doigt a l’orée de son anus, la voix de clarisse nous interrompit soudain.

« Mais que se passe t’il ici ? Qui est donc cette jeune fille ? Maxime ? »

J’arrêtais mes caresses sur le champ tandis que la demoiselle tentait de refermer ses cuisses sur ma main mouillée de jouissance. Rougissante d’être surprise par celle qui suçait son beau-père devant ses yeux un moment plus tôt, Ingrid bégaya « Je suis la.. la belle fille de Hugues. »

« Oh, fit Clarisse qui souriait maintenant c’est donc vous ! »

Feignant d’ignorer que la demoiselle était encore secouée par des frissons de plaisir, elle s’approcha d’elle la voix tendre :

« Vous vous êtes laisser séduire par ce joli cour de Maxime, n’est-ce pas ? Venez par ici mon petit, laissez moi vous arranger un peu avant que votre beau-père ne revienne, il est en haut en conversation avec un de ses associés »

Je réalisais que des ahanements de plaisir féroce bien distinctifs se faisaient entendre a intervalles réguliers depuis plusieurs minutes, le doute n’était plus permis, Hugues était certainement en train de se faire baiser par ce cochon de Louis dont la langue vicieuse avait dû se régaler de son anus quelques minutes plus tôt pour mieux le préparer.

Mon sexe gonflé de désir devenait trop douloureux, j’ouvris ma braguette et saisit mon vit a deux mains, entretenant ma bandaison je me branlais avec délices le regard accroché sur la bouche humide de la jeune fille.

Clarisse d’une main ferme, entraîna la jeune fille sur le sofa voisin et lui fit boire presque de force un autre verre de Whisky tout en la recoiffant d’une main maternelle.

«Ne vous en faites pas pour notre Maxime, son désir n’en sera que plus émoustillé. Laissez le donc se caresser tout seul, ce petit pervers adore la provocation. »

« Je comprends qu’il ait voulu vous séduire des votre arrivée, vous êtes réellement charmante ma chère. Laissez moi vous rhabiller avant que votre beau-père ne revienne » ajouta t’elle en passant ses mains sur les seins gonflés de la jeune fille tout en rajustant son corsage sur la poitrine offerte. Sa main s’égara sur les courbes juvéniles, elle effleura d’un doigt l’un des mamelons et le caressa doucement, comme par mégarde.

« Cette peau douce, ces cheveux soyeux. » Clarisse glissa ses doigts dans la longue chevelure de la jeune fille, sa main redescendit sur sa joue, ses doigts effleurèrent la bouche entr’ouverte d’Ingrid et elle ajouta d’une voix plus basse « Et cette bouche tendre et rose qui donne envie de la déguster. » Clarisse glissa un doigt dans la bouche de la demoiselle qui excitée par l’alcool et le plaisir le lui téta comme elle l’aurait fait d’un sexe gonflé jetant a Clarisse des regards lourds de désir.

« Hum, oui. soupira Clarisse en glissant un autre doigt qu’elle fit aller et venir dans la bouche baveuse d’Ingrid, la demoiselle est gourmande on dirait. »

Elle approcha sa bouche de la jeune fille et lui donna un long baiser tandis que ses mains redescendaient sur le corsage d’Ingrid. Pelotant les seins de la demoiselle entre ses mains douces et ses doigts inquisiteurs, Clarisse baisotait maintenant les lèvres de la jeune fille en tétant goulûment la langue pointue et rose.

Ingrid soupirait, les yeux fermés et offerte au plaisir, une main entourant le visage de Clarisse, elle ouvrit ses cuisses et je la vis glisser un doigt fiévreux dans sa chatte baveuse et caressais son clitoris de son pouce.

Mon sexe sur le point d’éclater je me branlais toujours en matant les deux femmes.

La prenant dans ses bras, Clarisse l’allongea sur le sofa, avant de glisser lestement son corps souple sous celui d’Ingrid.

« Hum, ronronna t’elle, viens sur moi ma douce et donne moi ton mamelon que je le tête bien »

Ingrid s’exécuta et faisant glisser un sein hors de son corsage léger, elle se pencha sur la bouche de Clarisse pour que celle-ci puisse le gober.

Soupirant tout en se maintenant au-dessus de la bouche de son amante, je pouvais voir le bassin d’Ingrid se trémousser avec douceur sur celui de Clarisse, cette dernière tout en continuant de téter tout entier le sein de la jeune fille, avait remonté ses mains sur la jupe de celle-ci. Elle la retroussa jusqu’à la taille, fit glisser la petite culotte et découvrit deux petites fesses qui frémissaient sous les griffures légères de ses ongles.

Mon sexe énorme et turgescent toujours au creux des mains, je me besognais avec délices en matant les deux femmes s’adonnaient a des plaisirs saphiques.

De ma place, je pouvais voir la chatte baveuse de la demoiselle en contact avec celle de Clarisse.

En appui sur ses mains, la bouche sur celle de son amante et les seins tendus de plaisir la jeune fille frémissante et honteuse de tout à l’heure s’était subitement transformée en vraie ingénue perverse. Elle baisait maintenant sans honte la vulve de Clarisse tout en bougeant son bassin en cadence, ses petites fesses écartelées par les doigts cochons de son amante dont les seins lourds et fermes débordaient du corsage.

« Oh oui, baise moi petite vicieuse, lui dit-elle d’une voix assourdie par le plaisir, je sens ta petite chatte bavant de plaisir sur la mienne, c’est bon ce que tu me fais, bouges bien sur moi petite gourmande, frottes ta vulve gonflée et inondes moi de ta jouissance.. hum.. oui.. han.. han.. c’est bon.. tu aimes ça hein, tu aimes me baiser ma vicieuse, prends mon sein dans ta bouche et tètes le bien cochonne pendant que ton sexe me baise, hum, han, han, oui.. »

La jeune fille la bouche ouverte et la langue dégoulinante de bave, léchait et tétait goulûment un des gros seins de Clarisse, tandis que celle-ci la pénétrait d’un doigt dans l’anus tout en continuant de se trémousser de plaisir sous la chatte baveuse de la demoiselle.

Leurs soupirs se firent plus sourds et excité par ce spectacle, ma queue se vida de jouissance entre mes doigts. Ingrid avait remonter l’une des jambes de Clarisse et tout en la doigtant d’une main léchait le clitoris gonflé de son amante a petits coups de langue gourmands. Clarisse déchargea dans sa bouche en criant de plaisir; la jeune fille insatiable et toujours excitée repositionna sa vulve sur la motte baveuse de son amante et se remit a la baiser lentement tout en lui pelotant les seins.

Apres un moment de repos, je m’approchais et glissais ma langue dans le petit trou d’Ingrid tandis que celui-ci se faisait baiser par le doigt de Clarisse. Son orifice étroit était tout baveux de plaisir et ses fesses écartées par les mains de son amante étaient pleines et offertes. Je baisais son anus en inondant de salive le doigt de Clarisse qui continuait de la besogner.

Cette petite traînée aimait le sexe avec une gourmandise effrénée, elle jouissait en parfaite cochonne en bavant de plaisir par tous les trous. En sueur, échevelée, et les seins offerts, Ingrid ahanait de plaisir sous les caresses. Ma langue s’enfonça encore plus profondément dans son anus et la baisa comme l’aurait fait mon sexe. Deux de mes doigts vinrent se fourrer dans sa chatte baveuse et brûlante.

La jupe complètement relevée sur la taille, Ingrid s’agitait sur la vulve gonflée de son amante en criant de plaisir.

« C’est bon ma cochonne, lui susurrait Clarisse en caressant les seins gonflés de la belle.. tu sens sa langue et ses doigts qui te baisent bien au fond.. hum.. continues de bouger sur moi je vais encore jouir…hum.. han..han.. ah.. oui..oh oui »

A ce moment précis, des bruits de pas se firent entendre dans la pièce.

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