Cela faisait cinq mois maintenant que je vivais une vraie histoire d’amour. Camille était pour moi la femme de ma vie, j’étais incroyablement heureux avec elle dans cette relation secrète.
— Tu es si belle, lui dis-je sous la couverture, je n’avais jamais fait attention a cela…
— Merci.
On se relève enfin mais elle ne voulait pas que je parte comme cela.
— Attends!
Elle sort son téléphone portable et prend une photo avec mon sexe juste a coter de son visage. Elle était marrante cette petite au final.
— On se revoit quand? me demande-t-elle.
— On va se téléphoner, dis-je. Je t’aime.
Ma demi-sur était grande, châtain de cheveux et B de poitrine mais elle allait grossir encore. En cet instant, elle n’était pas encore enceinte mais cela ne me dérangeait pas: je voulais vivre une vie amoureuse maintenant. Dans trois ans, je m’installerais avec elle. Dans deux ans j’entamerais le divorce mais ma femme ne sera pas contraire. Il sera bientôt venu le moment de vous la présenter mais avant je souhaiterais vous présenter mes deux autres filles, mes jumelles.
Je signais la fiche de stage de ma « secrétaire » et elle me faisait une gâterie en même temps pour que je lui donne quelques points en plus et cela marchait bien il fallait le dire. Je sortais du bureau en recevant un sms de ma nièce, enceinte de notre premier enfant à ce moment-là. Elle menvoyait des photos de son écographie.
« Un bébé en pleine forme ! » écrivait-elle sur le sms.
« Je suis le plus heureux des hommes ! » répondis-je directement avant de monter dans ma voiture. Jallais donc chez ma mère où vivaient encore les jumelles. Je marrangeais avec ma mère pour être bien certain quelle serait absente ce soir-là, je voulais vraiment profiter sans prise de tête ou jalousie de ma mère qui ne recevait plus rien de ma part. Je me présente à la porte et je louvre avec la clef que je possède.
— Bonsoir les filles !
— Bonsoir papa ! dirent-elles en cur.
— Jespère que vous êtes dans ma tenue préférée ?
— Oui papa ! répondirent-elles.
Nicole et Natacha étaient de vraies jumelles, de vrais filles parfaites qui naspiraient quà une chose : faire plaisir à leur père et je comptais bien prendre tous les plaisirs le plus longtemps possible !
Jentre dans le salon et je vois les deux filles qui sont en train de jouer à un jeu bien connu : le twister. Elles adoraient ce jeu et surtout elles adoraient le pratiquer avec moi et moi avec elles. Le jouer avec une seule fille cétait chouette mais moins marrant quavec deux. Javais déjà difficile de rassembler deux filles de mères différentes alors ici cétait parfait.
— Papa !
Elles sapprochent toutes les deux de moi et se battent presque pour être la première à membrasser. Je réussi à faire mon bonjour aux deux qui sont totalement nues dans mes bras.
— Cest superbe de vous voir, dis-je.
— Tu viens nous voir si peu
— On dirait que nous passons les dernières
— Peut-être mais le meilleur pour la fin non ?
— Et pourquoi tu nas pas pu marier une de nous deux ?
— Oui, on voulait nous
— Mes amours, je lai déjà expliqué des dizaines de fois : officiellement vous êtes mes demi-surs. Je fais de mon mieux pour venir vous voir et massurer de votre bien être, mais je ne peux pas être partout
— On veut jouer au twister papa.
— Oh oui papa !
— On va jouer.
Jouer nu à ce jeu ajoutait vraiment quelque-chose dextraordinaire. On place la main dun coté, on place le pied de lautre et on a une fille qui vous présente son vagin. Il suffit dattendre le hasard de la bonne position qui me permettra de pouvoir porter mon sexe dans la bonne direction.
— Ouchpapaoh que cest bon
— Mais tu es bonne aussi, vous êtes bonne toutes les deux.
Les déplacements senchaînaient à une grande vitesse. Etrangement, même si le but était de prendre du plaisir sexuel, on jouait consciencieusement la partie et je voulais la gagner. Javoue que, mieux on jouait, plus je pouvais pénétrer mes petites chéries et javoue avoir de jolis va-et-vient avec elles quand les positions le permettaient.
— Cest si bon papa !!
— Je le saisvous prenez bien vos pilules hein les filles ?
— Oui papa ! dirent-elles en cur.
Je pouvais lâcher un peu de sperme dans le vagin, elles se protégeait contre les grossesses et voulaient me faire plaisir.
— Vas-y papa, profite de nous !
Je sautais une puis lautre, et encore une et puis encore lautre, cétait tellement extraordinaire de coucher avec deux filles exactement identique. Je malaxais les seins, je pénétrais et je me faisais sucer le sexe tout en embrassant lautre fille. Je mettais le sexe dans une, les doigts dans lautremais que dire de plus ?!
— Je voudrais te demander quelque-chose papa ? fit Nicole.
— Je técoute.
— Avec Natacha, on a beaucoup parlé.
— Et on est arrivées à vouloir te demander quelque-chose, fini Natacha.
— Je vous écoute.
Les deux jumelles se regardent avant de demander ensemble :
— On veut être enceinte de toi !
Je suis surpris et touché par cette demande. Je sens que Nicole tente de mamadouer encore plus en me masturbant aussi bien que possible et je vous assure que jai longuement hésité à leur répondre oui mais je devais refuser, les risques étaient si grands
— Mais tu pourrais le faire papa, insiste Nicole. On peut sélectionner des spermatozoïdes ou quoi
— Les filles, les risques sont trop grandsje suis désolé.
— Ooooh
Elles étaient visiblement déçues mais acceptaient la chose. Notre soirée se poursuivi avec la participation à dautres jeux que nous sexualisions. Même une simple partie de cartes étaient devenue pour nous un sublime moment.
— Et voilà le Valet de pique.
— Ah zut ! dit Natacha.
Je me levais de ma chaise, Natacha était sur moi et je la pénétrais. Elle avait le valet de pique, cétait donc Nicole que jallais pénétrer.
On terminait notre soirée dans le lit où nous faisons lamour à trois avec joie et bonne humeur, avec de multiples éjaculations, des draps pleins de sperme et de cyprinemes deux filles, mes deux merveilleuses jumelles, étaient pour moi très précieuses
Voilà mes amis lecteurs, vous avez maintenant découvert un échantillon des soirées que je passe avec mes filles, mes surs, nièces, Je vais maintenant vous présenter le dernier chapitre de cette histoire où je vais vous présenter ma femme, mais elle nest pas que ma femme.
