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HEUREUSE ET SANS REMORD – Chapitre 1




Ce jeune homme allongé nu près de moi est en effet Alain mon fils de 17 ans. C’est bien lui que, nue moi aussi, je caresse avec autant d’amour et de désir. Mais me diriez vous comment en êtes-vous tous les deux arrivés là?

Le plus simple est surement que je vous raconte tout depuis le début qui remonte déjà à quelques mois.

Je m’appelle Florence, j’ai un peu plus de 52 ans, je mesure 1m68 et je pèse 71kg (et oui je sais il y a bien 2-3kg de trop, mais ce n’est pas vraiment moche). On me dit plutôt jolie. Rousse à reflets dorés, les yeux verts, je fais encore, malgré ma cinquantaine, un certain effet sur les hommes. Pourtant depuis plusieurs années je n’ai plus de relations physiques avec un homme. Je suis en effet célibataire depuis toujours sans pourtant être frigide car j’ai, dans ma jeunesse et jusqu’à encore il y a quelques années, eu une activité sexuelle toute à fait remplie. Sans que je puisse me l’expliquer, à l’âge de 34 ans j’ai ressenti l’envie et même le besoin de faire un enfant. Un de mes compagnons de passage joua, sans le savoir le rôle de géniteur et il avait quitté depuis longtemps ma vie lorsque je donnais naissance à mon fils Alain.

Les années passèrent, mon petit garçon devint un bel adolescent sportif qui montrait à sa maman une affection et une tendresse quelque peu ambiguë. J’avais alors cessé, par lassitude de ce genre de vie, toutes relations épisodiques et me contentais d’agréables masturbations dans le secret de ma chambre. Néanmoins, j’avais donc remarqué que les regards et les attitudes que mon fils avaient à mon égard, prenaient une tournure plus tendre que celles que la majorité des fils ont en général vis à vis de leur maman. J’en fus d’abord surprise puis légèrement inquiète, d’autant que malgré ses presque 17 ans mon fils ne sortait jamais. Pourtant je m’habituais à cette situation et j’avoue qu’au bout de quelques semaines j’attendais avec une certaine impatience ses baisers tendres sur mes joues ou dans mon cou pendant qu’il enserrait ma taille dans ses bras aux mains caressantes. De mon côté, il m’arrivait, au creux de mon lit, de me donner du plaisir en pensant à mon fils chéri. Je luttais bien sur contre ce sentiment mais je me rendis bien compte que cette lutte serait vite perdue.

C’est hier soir que je rendis les armes et que les choses se précipitèrent:…

"Je viens de rentrer d’un après midi de shopping, le temps de déposer mes paquets, quelques minutes plus tard je me rends au salon où curieusement je n’entend pas le son de la télé qui est pourtant presque continuellement allumée. Je trouve mon fils prostré sur le canapé, les yeux pleins de larmes, un papier froissé sur le sol à ses pieds.

Me doutant de ce dont il s’agit je me précipite vers Alain et m’asseyant près de lui je le prends par les épaules et l’attire contre moi.

— Ta candidature au centre de formation de foot a été refusée c’est çà mon chéri?

Alain fond en larmes cette fois et j’essaie de le consoler autant que je le peux en le câlinant tendrement. Ses sanglots se calment un peu et son visage est maintenant posé sur ma poitrine. Le contact de mes seins, calme mieux que tout le chagrin de mon fils chéri et presque sans y penser il frotte doucement sa joue sur ma poitrine généreuse (100D). Je le laisse faire et je commence à ressentir une douce chaleur qui m’envahit le bas ventre. Alors mue par une folie érotique je glisse ma main dans mon décolleté et prenant soin de ne pas écarter le visage de mon fils je déboutonne les boutons de mon chemisier. Les mouvements de mon grand garçon finissent d’ouvrir en grand mon chemisier ce qui permet à Alain de déposer des baisers sur le haut de mes seins.

— Attends mon amour maman va t’aider.

Je passe mes mains dans mon dos et dégrafe mon soutien gorge dont les bonnets glissent sur la ceinture de ma jupe. Bien sur mon fils chéri se jette bouche ouverte sur mes tétons aux larges aréoles roses et commence à me les lécher avec application mais une certaine brusquerie.

— Va doucement mon chéri! Tu vas faire du bien à maman, mais il faut que tu sois plus doux. Embrasse les, lèche les doucement, tourne autour avec ta langue, prends les doucement dans ta bouche et tète les comme quand tu étais bébé.

— Oh maman je t’aime!!!

— Moi aussi je t’aime mon trésor! Continues s’il te plaît lèches bien mes seins. il y a si longtemps qu’on ne m’a pas caressé comme çà. Oh oui c’est bon mon chéri, tu me fais beaucoup de bien mon amour.

Soudain je me raidis et je pousse un cri dans un orgasme mammaire foudroyant. Alain arrête ses caresses et me lance un regard interrogateur.

— Ne t’inquiète pas mon chéri tu viens de me faire avoir un orgasme. Dis moi mon fils chéri, as-tu déjà fait l’amour à une femme ?

— Non maman, jamais. C’est toi que j’aime.

Je me lève du canapé, prends la main de mon fils et je me dirige vers ma chambre en lui disant

— Ce qui va se passer entre nous doit rester tout à fait secret, et si tu le veux je vais t’apprendre à faire l’amour. Tu es d’accord mon trésor?

— Oh oui maman! Je te jure que personne ne le saura jamais.

Je pousse la porte de ma chambre et j’entraîne mon fils chéri jusqu’à mon lit où je m’assoie.

(La suite demain peut-être ?)

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