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Comment après avoir été féminisé et dressé par ma femme, suis devenu cocu – Chapitre 2




COMMENT MA FEMME M’A SOUMIS, FEMINISE ET DRESSE

La première fois où je suis devenu cocu (2). Evolution de ma situation

Je me réveille avec une drôle de sensation. Je me rappelle la soirée d’hier.

La tenue à Sandra (*), une tenue de pute.Ce mec inconnu qui arrive, qui la mate.

Qui ne tient pas longtemps avant d’aller la baiser.

Et qui remet ça après le repas.

Sandra s’est levée, avons pris le petit déjeuner sans qu’elle évoque une seule fois ce qui s’est passé. J’ai bien sûr Christian par mail.

Malgré ma situation de cocu et de soumis, j’essaie d’en savoir plus.

Il met un moment à me répondre.

Puis me dit simplement "que ça s’est bien passé", sans plus de détails.

Mes mails deviennent plus interrogatifs. Il voit que je cherche à en savoir plus, mais toujours pas de réponse.

Je reçois une réponse de lui. Il veut juste mettre au point "la prochaine rencontre". Le salaud !!

Non seulement il ne veut visiblement rien me révéler de leurs ébats, mais, en plus, il a le culot de carrément me demander quand il peut venir baiser à nouveau ma femme !

"Mercredi prochain, je suis libre".

Je lui réponds "je vais demander à ma femme".

Nous sommes vendredi, il n’attend même pas une semaine.

En rentrant du bureau, j’en parle à Sandra. Lui explique "qu’il veut revenir mercredi soir".

Elle me dit juste "que c’est d’accord".Elle ne me parle pas plus de ça. Juste un "c’est d’accord".

Le ventre à nouveau crispé, crampé, le lendemain matin, j’envoie un mail à Christian. "J’en ai parlé à ma femme, c’est d’accord pour mercredi".

Il est convenu que la rencontre sera exactement la même que l’autre fois : apéritif, repas.

Le week-end se passe, reprise du travail le lundi, la routine, quoi.

Sauf que je commence à angoisser. Je me surprend même à penser "après-demain."

Je repense à la première soirée. Il ne s’est jamais occupé de moi, ou de voir ce que je ressentais face à cette situation. De savoir si c’était dur ou difficile pour moi à supporter.

Non. Il est venu prendre SON plaisir. D’ailleurs, il l’a bien dit "ça fait du bien de tirer un coup".

Voilà ce qu’il m’a dit après avoir baisé ma femme. Comme si j’étais un de ses potes.

Il a l’air de voir et de comprendre que je suis soumis, il doit s’en rendre compte. Voilà à quoi je pense.

Et j’ai très très peur que Sandra lui raconte comment elle m’a soumis et dressé, mais surtout qu’elle lui parle de ma féminisation !

Dans ce genre de situation, les jours passent vite. Nous voici au mercredi.

Je rentre du travail, Sandra est déjà en train de se "préparer". Elle prend un bain. Ne parlons toujours pas de "ça".

Elle vient en peignoir. Puis se rend dans la chambre "C’est l’heure, je vais m’habiller".

Je ne me sens pas bien car l’heure approche et je vais encore subir "ça".

Sandra revient. Robe noire très moulante, décolletée, mi-cuisses, bas noirs, hauts talons.

Voir son épouse ainsi vêtue pour accueillir un autre mec avec qui elle va s’envoyer en l’air, ça vous donne un sentiment d’énorme malaise.

Heureusement, il ne reste plus beaucoup de temps avant "qu’il" arrive. Je préfère ne pas la voir longtemps en cette tenue.

Elle va se coiffer. J’entends ses talons claquer sur le carrelage.

Je réfléchis.

"Et puis je m’en fiche !", "Qu’elle baise avec puisqu’elle aime ça ! ", "Qu’ils fassent ce qu’ils veulent !", "Je m’en tape !".

Je vois bien que je suis énervé, défaitiste, je lâche prise petit à petit.

Si l’autre se rend compte de ça, il en profitera, c’est sûr, et viendra encore plus, prendra encore plus ses aises au sein de notre couple.

L’heure n’est plus à tergiverser. Coup de sonnette. Il arrive.

Nous allons l’accueillir.

"Salut toi !". Il enlace ma femme, l’embrasse longuement, la caresse.

Puis quand il a fini, il me serre juste la main. Nous entrons au salon.

Je sers l’apéritif. Nous parlons de quelques banalités.

Sandra se lève en lui tendant la main. "Tu viens ??".

Il arrive, prend sa main, l’embrasse dans le cou.

Ils se dirigent vers la chambre d’amis. Je me lève vite pour aller écouter.

J’entends des bruits de bouche. Ils doivent s’embrasser.

Il dit "Tu es belle, j’ai envie de toi"

Je ne sais pas ce qu’il fait, mais Sandra commence à gémir et soupirer.

Ca me dégoûte. Je retourne à la salle à manger.

Je me demande ce que je suis devenu pour accepter ça. Quel mec accepterait que sa femme se fasse baiser en sa présence, sous son propre toit ?

Et elle ? Apparemment la situation ne semble aucunement la déranger ! Que son mari soit cocu, elle s’en fiche ! Et autant lui montrer qu’il est un bon cocu en baisant sous ses yeux !

J’en arrive à me dégoûter moi-même. A ce moment, je commence à entendre les premiers râles, les premiers cris.

Un moment se passe.

Je décide d’aller voir.

Je manque de tomber par terre en découvrant le spectacle.

Il est debout, Sandra, entièrement nue, est empalée sur sa queue, les jambes serrées le long ses fesses, et le tenant par le cou, tandis qu’il lui donne le rythme en la tenant par les fesses.

Et il la baise comme ça, en cette position !!!

Incroyable de découvrir sa femme en train de se faire baiser dans cette position, je vous l’assure.

Je regarde un moment, littéralement tétanisé. Il la fait bouger, lui met de la bite.

Voilà que tout en se faisant baiser, elle l’embrasse !

Je m’en vais, j’en ai assez vu.

Les ébats durent encore un long moment.

Les cris. Sandra hurle.

Comme la fois précédente, il revient le premier, mais ne dit rien. Il me fait juste un geste en souriant, le pouce en l’air.

Pauvre con.

Sandra revient à son tour, je sers à manger, du saumon fumé, beurre, crème, citron, toasts.

J’ai bien compris la suite, mais je m’en fiche. Faites ce que vous voulez, je m’en fiche.

Effectivement, ils ne me feront pas mentir.

Une fois la dernière bouchée avalée, il se lève.

"Allez ma belle, un petit tour au lit !"

Elle sourit, se lève et le suit.

Décidément, il sait ce qu’il veut.

Il reste quelques heures, mange, et baise deux fois ma femme. Peut-être bien que je devrais le remercier, et qui sait le payer, peut-être ?

Je les entend rire. Puis la suite arrive imparablement.

Le bruit du lit, du sommier, au rythme des coups de bite.

Les cris, Sandra hurle.

C’est terminé. Je vais être enfin tranquille et ne plus subir ça.

Ils reviennent. Sandra en peignoir.

Ils s’embrassent. Il me serre la main. Il s’en va.

Pendant les ébats, j’ai débarrassé la table tout en prenant bien soin d’écouter. Mais je n’ai pas été voir, ça me dégoûtait. Il faut dire qu’avoir vu dans quelle position il la prenait, m’a fait mal, je ne sais pas pourquoi d’ailleurs. Sans doute parce que la position est très très intime et que je suis déçu d’avoir vu ma femme se laisser prendre comme ça.

Comme l’autre fois, nous n’avons pas parlé de la soirée.

Le lendemain, j’ai encore essayé de savoir ce qui s’était passé.

Avec le même insuccès. Il ne veut rien dire.

A un moment, il me dit "qu’il y en a assez de tous ces mails, et que ce qu’ils font au lit ne me regarde pas !".

J’ai le tort de répondre "Que Sandra, c’est encore ma femme !".

Ce à quoi il me répond "TA femme ?? Tu en es sûr ??".

"Tu crois que c’est encore ta femme ? Tu l’as entendue et vue s’envoyer en l’air avec moi ?? Tu crois qu’elle n’a pas besoin d’avoir un autre mec ??".

"Tu l’as entendue crier et hurler quand je lui fais l’amour ? A ton avis, si elle crie comme ça, c’est que tu ne lui donnes pas ce qu’il faut, alors ferme là un peu, tu veux !!"

"Ferme-là". La messe est dite. Voilà, il dit ce qu’il pensait réellement.

Un beau salaud.

"Tu crois que c’est encore ta femme ??". Qu’est ce qu’il veut dire par là ?

En fin d’après-midi, c’est lui qui me contacte.

Il me demande si nous sommes libre lundi.

Décidément, il ne pense qu’à baiser. Il ne va quand même pas s’installer chez nous, tant qu’il y est ?

J’en parle le soir à Sandra. Elle est d’accord, bien sûr.

Je lui envoie un mail pour lui dire que nous l’attendons lundi soir.

Il me répond "qu’il y aura du changement".

Il en a parlé avec ma femme, "il restera coucher, et passera la nuit avec elle !!".

Je lui réponds que non, qu’il n’en est pas question, etc

Il répond "que ça ne me regarde pas, que c’est une histoire entre elle et lui et que je n’ai pas mon mot à dire là-dessus !".

Quand je dis à Sandra que je ne suis pas d’accord, qu’il abuse, que je ne peux pas accepter une pareille situation, elle me rappelle que je suis soumis. Elle me remet en mémoire les séances de soumission, ma féminisation.

Et elle conclu sèchement : "t’as encore envie de prendre des godes dans le cul ?".

Je réponds que "non".

Elle me dit "alors, tu fermes ta g..et tu acceptes ta condition de cocu".

"D’ailleurs, tu vas dire demain dès ton arrivée au bureau à Christian que tu acceptes, qu’il est bienvenu pour passer la nuit avec moi, et surtout, tu t’excuses pour ce que tu lui as dis de désagréable".

Je tombe des nues !

Déjà lui dire que "j’accepte la situation", lui demander de passer la nuit avec ma femme !!!! Et encore pire, m’excuser ! Je dois présenter mes excuses à l’amant de ma femme ! Demander pardon à celui qui vient la baiser !!!!

C’est pourtant ce que je fais, la mort dans l’âme, le lendemain matin.

J’explique "que j’ignorais que cela avait été vu avec Sandra", "que bien sûr, il pouvait venir passer la nuit avec elle, qu’il n’y avait aucun problème", "que je m’excusais d’avoir mal compris".

Ce à quoi il m’a répondu très sèchement : "que maintenant il fallait être clair et qu’il allait mettre les choses au point une bonne fois pour toutes : non il ne me demandera pas mon avis quand il aura envie de baiser ma femme, et ça, il faut que je commence à bien me le mettre dans le crâne, et qu’il la baisera autant de fois qu’il en aura envie, même plusieurs fois dans la semaine si il faut". "Que les histoires de cul entre Sandra et lui ne me regardent pas, surtout que je reste à ma place et ne continue pas à m’occuper de leurs affaires".

Je compris alors qu’il n’en avait rien à faire de mon avis, et que mon statut de "mari", de "conjoint" lui passait par-dessus l’épaule.

Je n’ai même pas répondu.

Il a appelé Sandra plusieurs fois les soirs précédant le lundi. Les conversations duraient un moment. Sandra allait s’isoler dans la chambre d’amis. Je l’entendais rire quelquefois. Mais je n’ai jamais été écouter. J’avais ma dose quand il venait la voir !

Lundi arriva.

Sandra était prête de bonne heure.

Simple et sobre, mais terriblement sexy.

Pantalon blanc d’été transparent (on voyait le string), t-shirt moulant et décolleté, soutien-gorge, hauts talons rouges.

Je me prépare à une soirée encore plus dure que les précédentes.

Avant cette soirée, j’ai essayé de faire mon mea culpa. Après tout, peut-être que je ne m’occupe pas assez bien de Sandra.

Le fait que j’ai une petite queue n’arrange rien, en plus : j’imagine qu’elle prend plus de plaisir avec des mecs beaucoup mieux membrés que moi.

Et puis je crois que je n’ai pas assez de caractère. Elle l’a senti, puisqu’elle m’a soumis, féminisé, dressé, et le pire est que je me suis laissé faire.

Féminisé, j’ai subi de nombreuses séances de dressage et d’humiliations, sans oublier bien sûr comme elle a su me le faire remarquer, les "godes dans le cul".

Alors en ces conditions, comment ne pas "accepter" la situation qui est la mienne maintenant.

Accepter que ma femme ait un amant, et accepter qu’ils baisent quasiment devant moi.

Il arrive.

Une fois à la salle à manger il plaque Sandra contre le mur. L’embrasse, la touche partout.

Apéritif.

Il ne s’occupe vraiment pas de ma présence, on dirait que je suis transparent. Il discute avec Sandra.

Il se lève. "Viens, j’ai envie de toi".

Elle sourit, se lève, ils vont dans la chambre.

Comme toujours, j’attends que ça se passe.

10 minutes 20 30 L’explosion de jouissance.

Ils reviennent, je sers le repas.

Sandra ne s’est pas rhabillée, elle revient en peignoir, probablement nue dessous.

Je suis très très stressé à l’idée qu’il va rester là, qu’il va passer la nuit avec ma femme. Qu’elle va passer la nuit nue dans son lit. C’est la première fois qu’une telle situation m’arrive.

A la fin du repas, Sandra annonce "Nous on va se coucher. On te laisse la chambre conjugale". Elle éclate de rire.

"Allez, viens !", elle tire son amant par la main.

Il me reste à débarrasser la table, c’est mon rôle après tout. Je le fais vite.

Je constate qu’ils ont fermé la porte de la chambre, ils veulent être "tranquilles".

Je m’approche, j’ai du mal à entendre quelques bruits.

J’avoue que jeregarde par le trou de la serrure.

Il est allongé, Sandra est en train de lui sucer la queue. Elle excelle dans cet art de la fellation et il a l’air d’apprécier. Elle le pompe bien. Sors la langue, le lèche partout, reprend la queue en bouche.

J’avoue que la situation commence à me faire quelque chose.

Je ne vais pas rester là l’il collé à la serrure. Je vais me coucher.

De l’autre côté de la cloison, je commence à entendre les "bruits" caractéristiques : soupirs, gémissements, cris, bruit du sommier.

Je commence à me caresser, à me branler en les entendant.

Je comprends que je suis finalement complètement soumis : non seulement j’offre ma femme à un inconnu, et je suis là à me branler en les entendant baiser.

Vînt le moment où ils jouissent. Je m’endors après.

Jusqu’au moment où je suis tiré de mon sommeil. Les cris, le bruit du sommier.

Il est en train de prendre Sandra, encore.

Je regarde l’heure : 2 heures 15.

Je crois que je commence à y prendre goût Ma main fonce vers mon entrejambe.

Je me caresse, je me branle, je les imagine en des tas de positions.

J’entends ma femme crier, je l’imagine prenant la bite de son amant, je l’imagine en train de se faire bien défoncer par sa grosse bite, je l’imagine mouillant, prenant son pied.

Je pars en même temps qu’eux, en les entendant hurler, mais je me mords littéralement les lèvres pour ne pas faire de bruit.

Je reste allongé un moment les yeux fermés, haletant, les cuisses écartées, le bas ventre souillé de sperme.

Quand j’émerge de ma jouissance, je m’essuie avec un mouchoir en papier et me rendors rapidement.

Le matin, leur réveil sonne. Au bout de quelques minutes, j’entends parler.

Puis rire. Puis "bouger".

Je me lève vite. Je vais coller mon oreille à la porte de leur chambre.

Je n’arrive pas à trop entendre, car ils parlent et ne crient pas non plus.

Juste lui qui dit "Tiens ! Tiens ! Prends la bien !" et Sandra qui répond "Ah oui vas-y".

Je retourne dans la chambre, met mon peignoir et vais préparer le petit-déjeuner.

Je suppose qu’ils ont "terminé", car au bout d’un moment la porte s’ouvre.

Ils vont à la salle de bains ensemble, ferment la porte. Je les entends prendre une douche.

Puis nous prenons le petit déjeuner ensemble.

En tout, il a baisé ma femme quatre fois : avant le repas, au coucher, une fois dans la nuit, et au lever.

Chacun part travailler de son côté.

Et c’est la fin de cette histoire. Curieusement, Sandra ne le reverra pas. Bien après, alors que je lui poserai plusieurs fois la question du "pourquoi" elle a mis fin à cette relation, elle me répondra "qu’il devenait trop pressant et mettait notre couple en danger".

Lui a-t-il proposé de me quitter pour lui ? Satisfaite de ses "prestations", avait-elle peur de lui succomber et de tomber amoureuse de lui ? Je ne le saurai sans doute jamais.

Toujours est-il que je me rappelle de cette courte aventure avec délectation.

L’histoire date de 15 ans, mais elle est toujours aussi vivace dans mon esprit, et je me rappelle toujours aussi bien de ces soirées, surtout celle où il est resté la nuit.

(*) Les prénoms ont été changés.

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