Elle a débarqué comme ça sans prévenir. Il était tard, elle était trempée par la pluie, j’étais seul, elle était désespérée.
— Comment tu me trouves Ivan ?
Je la fait entré tout en étant très perplexe, je fronce les sourcils et tout… interloqué c’est le mot.
— Comment ça comment tu me trouve ?
Léa me regarde comme si je ne voulais pas comprendre…
— Je te trouve.. Très belle…
Elle l’est, grande brune, teint mâte, là devant moi couvert d’un imperméable bleu marine. Nous venons de nous quitté il y a moins d’une heure d’un pot de départ d’un ami, enfin de mon ami qui est aussi l’ex de Léa.
— Ecoute Ivan, j’ai tout fait, il s’en fout de moi, j’ai tout fait ce soir, tout les signes qu’il avait encore ses chances avec moi.
Cet ami part parce qu’il a trouvé du travail en Allemagne et accessoirement, qu’il a rencontré quelqu’un mais ça Léa ne le sais pas.
— Vous êtes resté longtemps ensemble (environ 4 ans), vos allez mettre du temps à passer à autre chose c’est normal mais tu dois le laisser partir Léa…
— Il a quelqu’un c’est ça…
— …
Un silence qui en dit long malheureusement. Et des larmes sur ses petite jouent qui perlent de ses yeux noirs… Je la prend dans mes bras. Me retrouve trempé à mon tour. Elle s’écarte… Enlève son imperméable qu’elle laisse à terre… Me regarde.
— Regarde ce qu’il perd…
Elle a le regard remplit d’orgueil lorsqu’elle prononce ces mots. Puis elle poursuit…
— Tu serais resté, toi hein ?
Elle fait glisser le zip de sa robe placé latéralement, une robe noire d’où ses belles jambes drapée de bas foncés en sorte mises en valeur et la robe tombe à terre à son tour… Elle porte un ensemble dentelle noir, bas résille… Mon coeur bat comme des coups de marteau sourds…
— Euh… Ecoute… je ne peux pas…
— Si on peut, on a le droit et j’en ai envie…
Ses joues sont encore humide même si elle ne pleure plus… et malgré toute la volonté du monde, je ne peux m’empêcher de regarder sa belle poitrine gonflée par la lingerie fine et par endroit… transparente…
Elle enfouit son visage au creux de mon épaule, je l’enlace et mes doigts viennent vibrer à même la peau de son dos, entre son soutien-gorge et sa taille… là… dans le creux… Elle sent la vanille… Ma respiration devient profonde… je regarde par dessus son épaule et je vois son impeccable fessier trôner fièrement là-bas, àa sa place, en bas de son dos.
"Boum Boum… Boum boum" Le sang circule dans tout mon corps et je devient dur… Je sens qu’elle commence à le sentir sur son ventre… Je dois écarter ce corps de rêves de mon étreinte… vite !
Je pose les paumes sur sa taille, presse entre mes mains pour amorcer le mouvement… C’est bien Ivan, t’es un vrai ami, tu ne profiteras pas de la faiblesse d’une amie, d’une ex d’un ami…
— Ivan, tu dois me faire l’amour, je te le demande comme une faveur…
Je sais ce que je dois faire… Mes mains… glissent inéluctablement en bas de se reins et j’ai maintenant… ses deux fesses dans chacune de mes mains… Elle me regarde et sourit… C’est trop tard… nous le savons tous les deux… Et nos lèvres se rencontrent alors…
Bistrot parisien, un début de soirée d’été, il me l’a soufflé à l’oreille : "Je me suis perdu dans ses yeux noirs". J’ai pas compris tout de suite, alors j’ai suivi son regard, ouai ben moi aussi mais je ne lui ai pas dit. Je ne me le suis probablement pas avoué à moi-même. Depuis ce moment où il l’a rencontré et pendant ces mois qui ont suivis où il l’a séduite et ces années qu’ils ont passés ensemble, je ne me suis plus perdu dans ses yeux noirs. Elle est le fantasme du début et après l’amie proche, confidente et la petite amie d’un proche. Ce soir où nous nous sommes rencontré, j’ai découvert qu’elle ne se laisse pas faire, j’ai entendu sa voix cassée répondre sèchement à toute approche un peu misogyne, je l’ai entendu rire et elle m’a fait rire aussi beaucoup. Là c’est plus drôle.
"Je me suis perdu dans ses yeux noirs". Lorsque nos lèvres se quittent, nous nous regardons et je pense à cette phrase. Elle est cette fois moins confiante qu’à son habitude, elle est même vexée par l’attitude de son ex. Elle est ici pour se venger. Je me laisserai donc devenir l’objet,c’est une femme forte et elle ira sans doute au bout si elle l’a décidé. Je m’écarte et je sens encore frotté sa peau sur mes doigts lorsque quitte son corps de rêve, des mains mais pas des yeux. Elle joint nerveusement les mains, pose un pied sur sa cheville. Elle semble moins sure d’elle et j’ai encore plus envie d’elle. Je n’en reviens pas de la voir dans cette tenue. Je vais nous servir à boire. De l’eau… froide… Mais elle me suit partout et quand elle marche, elle ondule…. Et je manque de faire un AVC… Je boit le verre que je me suis servi. Elle m’enlace et se colle à mon dos, ses mains sur mon torse.
Elle respire, caresse mon torse et se déhanche contre moi, je ne vois rien je sens tout. Ses formes se pétrir contre mon dos et même mes fesses (c’est bien la première fois que je parle de mes fesses dans un récit). Elle aborde maintenant les abdos puis agrippe ma chemise pour la relever et me toucher à même la peau. Je crois qu’elle se frotte le visage contre moi et son souffle chaud se condense à travers le tissus. Inutile de vous dire à quel point je profite de ce moment en essayant très fort de ne penser qu’à cela.
— J’ai juste envie qu’on fasse l’amour Ivan… c’est tout.
Ah bah si c’est que ça…. Elle pose maintenant ces mains entre mes jambes et elle commence à rire. Elle tâte le terrain pour savoir si je suis de la partie ou non… Elle rit plus encore quand elle sait que… ben que je suis hétéro parce que franchement je ne vois pas d’autre explication à un fléchissement à cet instant… Non non tout va bien Léa, tu m’excites… Je réalise que c’est une position que j’adore mais que c’est elle qui tient mon rôle. C’est une femme forte assurément mais je dois réagir. je me retourne et je veux lui asséner un baiser… pas un baiser..LE baiser. celui où tu pose ta main sur sa joue, où tu la serre contre toi au niveau de la taille, où vos bouches sont béantes et vos mouvement de langues enflammés… puis tu finis par lui embrasser langoureusement le cou et tu la sens faiblir… Tu la retiens plus qu’elle ne tient debout… Elle te fait confiance… elle est à toi… Mais elle vient te poser une main sur ton sexe et ton érection est à son paroxysme.
Le baiser m’as rendu fiévreux, j’espère que elle aussi. Elle me masse et me regarde en souriant tandis que je la maintien tout contre moi. Je passe derrière elle en la plaçant à ma place, face à la table et moi derrière elle. Je veux donner l’illusion que je contrôle mais je ne maîtrise plus rien. Sa tenue me donne envie de la possédé debout comme ça, moi derrière elle. Comme je dois déboutonner mon pantalon, elle attend que ça se passe, sachant très bien ce qui va suivre et attendant toujours de façon un peu espiègle que je passe à l’acte. Je sors mon sexe de sa cage… Je baisse sa culotte juste sous ses fesse, entre la ligne de ses bas et la plissure de son entre jambe. Et précisément entre ses cuisses, je me place… je cherche du bout du gland… j’avance et m’enfonce en elle,car comme espéré, elle était prête pour ça. Et sa réaction, son sourire qui disparaît et ses yeux qui se ferment et prennent un air grave. Et quand je la pénètre je sens nos souffles s’accélérer, ses cheveux s’agiter sur ses épaules et sa peau frissonner et enfin le son de sa voix qui perce enfin. Je regarde entre ses fesse pour pouvoir me voir la traverser et puis je regarde tout son corps qu’elle a choisi de m’offrir ce soir. J’ai besoin de la sentir plus encore.
Je me colle à elle, chemise ouverte, mon torse épouse son dos et je passe un bras autour de ses épaules. Mes baisers dans le cou décuple l’expression de sa jouissance. Et je lui prend un sein, je lui prend l’autre, je les serre dans mes mains et en use pour la maintenir contre moi. Elle lève les deux bras pour m’attraper les cheveux, bombant son torse…. Je me rend compte que je touche ses seins pour la première fois….
Mes mouvements sont vifs, profonds, rapides, et nos cris sont animales, purs. Je sors sa poitrine de sa dentelle noire, je l’empoigne encore plus fort, je grogne… Mes coups de reins sont brusques et j’arrive à sentir la délicatesse de ses tétons dans mes paumes… Comment on en arrive à assaillir une telle beauté…. Et en même temps ça la rend encore plus belle… Je suis trop romantique…
Je dois faire une pause… j’ai envie que ça dure. Baiser une fille magnifique en fine lingerie par derrière debout contre une table c’est fait… mais ça demande un peu d’endurance. J’ai chaud je quitte mes vêtements. Elle e a choisi d’écarter les cuisses sur la table, face à moi et de se caresser en me regardant faire…
Je me souviens de cette soirée où nous avons fait ami – ami. Il y a quelques temps de cela. Ils sortaient ensemble depuis un moment, peut-être plus d’un an. nous nous étions bien sûr côtoyer par l’intermédiaire de mon ami. Mais ce jour était un peu spécial, une remise de prix concernant le travail de mon ami, Léa et moi ne connaissions personne. Nous avons échangé, ris, appris à nous connaître et nous étions à la fin de cette après-midi/début de soirée, ami sans intermédiaire. Elle était habillée d’un haut vert, couvert d’un gilet blanc, la sangle de son sac passant entre ses seins et un pantalon blanc moulant ses hanches avec ostentation. Si on ne pouvait manquer ses formes, elle n’en demeurait pas moins élégante et son sourire du sud, sa chevelure et ses yeux noirs profonds nous transmettent une certaine magie…
Maintenant elle là devant moi en train de se masturber avec vitesse et force… elle tremble… Elle n’a pas quitté sa culotte qui et resté en haut de ses cuisses, pas tout à fait remise en place, les jambes écartées ainsi, l’élastique se tord et la dentelle s’élargit… mais cela ne semble pas l’importer pour l’instant… Elle e fixe du regard et elle semble anxieuse… mais ce n’et pas ça… elle a le regard qui correspond à son état d’excitation… Moi je suis debout et je me branle aussi, pointant sur elle la forme épineuse de mon désir qui s’élargit, s’agrandit… l’odeur dans la pièce est forte, l’air est moite, nos peaux sont humides…
Si je me souvient si bien de ce jour où nous nous sommes rencontrés, où nous sommes devenus amis, c’est que quelque part j’ai toujours eu envie d’elle et quelque part, j’ai toujours été jaloux de sa relation avec son ex… mon ami… Je retourne près d’elle… et je partage maintenant le sentiment de revanche qu’elle doit ressentir… quand j’arrive à son niveau, elle dégage sa main pour me laisser la place… un esprit de revanche… Je passe mon sexe entre les jambes, les élastiques de sa culotte pour déposer mon sexe contre le sien… Le même état d’esprit partagé, le même désir… Quand je la pénètre, elle bascule sa tête en arrière en fermant les yeux, jambes écartées, tendues vers le ciel… offerte totalement à mon étreinte… elle est volontaire… elle ne m’attendais pas moi, mais elle attendais cela… Je me penche et dépose de larges baisées généreux au dessus des sa poitrine, sur sa gorge, elle s’agrippe à ma nuque…. Il n’y a plus de lutte, je peux y aller fort.. je ne sais pas si elle pense à quelqu’un d’autre… je m’en moque… c’est à moi… mon moment… Mes mains sous ses cuisses les maintiennent écartées… Et elle laisse jaillir d’entre ses lèvres de petits cris, d’une voix usée, lent… long… des "ooohhhh", reprenant sa respiration en petits sifflements chuchotés… "sssssss"… Mon visage près de son torse, ces petites exclamations discrètes me paraissent amples, très fortes et très proches… Nous sommes sur la même longueur d’onde et la sensation lorsque j’écarte mon sexe de son intimité est si puissante qu’elle manque de me faire cracher en elle… Lorsuqe je la pénètre à nouveau, je suis de nouveau envahi de spasme dans tout mon corps et tous mes muscles se contractent. Je me relève, pose une main sur le visage de la déesse qui m’accueille entre ses cuisses et la fixe du regard…. J’accélère…
Chacun de mes coups de reins lui fait vibrer les cheveux, les seins, les joues, les cuisses… Comme la fréquence s’intensifie, elle commence à fermer les jambes, elle reprend le regard grave qu’elle avait lorsqu’elle se caressait… Je commence à pressentir qu’elle va jouir… Ses cris sont courts maintenant et vif, de plus en plus fort… elle ne respire pas vraiment, elle suffoque… elle cri de plaisir lorsque je la touche au fond, que son cul et mon bassin s’entrechoque et ça arrive vite, fort et fréquemment. Je me dis "allez Ivan, laisse la venir, tu veux la voir jouir"… Ses jambes m’entourent la taille, elle commence à trembler, elle se recroqueville dans mes bras, contre mon torse, elle me prend les fesses entre ses mains… Et je la tasse, je ne peux plus me dégager.. maintenant elle hurle, elle a des frissons et son bassin vibre et moi à l’intérieur, je contracte tous les muscles de mon corps pour ne pas jouir….
Ses mèches sont mouillées comme si elle sortait de la douche, nos peaux perlent et nous sommes essoufflés… je sort d’entre ses jambes… Elle me regarde, me parle : "c’était trop bon…" Pose une main sur mon sexe constatant que je suis plus dure que de la pierre…. "oh t’as pas jouit ?!". Elle se lève, m’enlace, m’embrasse et me branle, me dressant entre nos ventres… Elle me branle fort, elle veut que je jouisse et je m’apprête à lui livrer ma jouissance mais elle me parle encore : "Tu veux que je te suces ?". Quelle tendresse dans cette demande… je retiens et j’acquiesce…
Je prend sa place sur la table… Elle ne se mettra pas à genoux… elle restera jambes tendues, elle penchera sur moi, basculant son torse magnifique en avant, et sa langue tirée se dépose sur mon gland enflammé… Je sursaute de plaisir à ce premier contact… elle est toujours essoufflée… elle écarte les lèvres et prend mon sexe à pleine bouche. j’entend le bruit de sa succion efficace et et intense et ses doigts me branle en suivant les mouvements de sa bouche, de sa tête, de ses épaules…. Elle va vite…. Et une pipe post coït est la meilleurs chose qui me soit arrivé… la sensation est incroyable et mon corps ne résiste plus… je me relève, elle aussi, je la serre contre moi, l’embrasse et à nouveau nos langues s’entremêlent mélangeant nos fluides, et sa main me secoue violemment… A mon tour de fléchir et de gémir comme un animal lorsque mon sperme est éjecté sur nos peaux entre ses doigts de fées pendant que je lui empoigne ses superbes fesses… Quelques jets puissant puis elle recueille les derniers émois entre ses doigts, je me relève. Ma semence blanche nous a éclaboussée, elle semble ébahie et j’adore ça… elle l’exprime… "waoh, c’est super chaud…" Sa respiration s’emballe et elle continue ses mouvements le long de mon membre. Elle essuie même mon gland sur sa peau près de son nombril… et sa culotte est toujours sur ses cuisses, négligemment baissée. Elle me presse littéralement le sexe de ses doigts… Et ma vigueur persiste…
Il y a quelques mois de ça, il m’annonçait leur séparation. Quelques temps que ça battait de l’aile et l’envie pour lui de changer d’horizon. Tout de même, j’ai jamais compris comment on pouvais laisser filer une fille pareille. EN même temps les relations… Je crois que ça me fait bizarre de voir comment les choses évoluent.Hier elle était la copine de mon ami, aujourd’hui je suis nu contre elle, je viens de jouir éclaboussant sa peau mâte… Nous pensons la même chose au même moment, je le sens… elle parle :
— Je suis désolé Ivan, je me suis un peu servi de toi pour me venger de lui…
Je ne me sens pas pour autant non moins responsable et en fait je suis même heureux de ça. Peut-être que je devrais travailler sur mon amour propre… Mais je ne veux pas en parler, pas encore…
Je sens de la tristesse dans ses yeux, je l’étreint, dépose mes lèvres sur son cou, sens autour de mon sexe ses doigts se serrer, ça me donne envie de la toucher, je lui caresse le dos, puis les fesses, je les serre, je les malaxe, les fait bouger dans toute les directions, elle me masturbe… respire fort… je lui dis que j’adore son corps… elle trouve ça étrange comme réflexion… mais je m’en moque… Mon doigt atteint son petit anus.. j’appuie… elle cesse de coulisser ses doigts… Elle m’écarte… me regarde…
Elle a un air grave mais c’est celui de la fille dure qui aime le sexe qui dure… Elle attrape ma main, plonge mes doigts dans sa bouche, les lèche… J’adore sentir sa langue autour de mes doigts puis je les sors, tout trempés, je redépose avec son consentement ma main sur son fessier sublime, je retrouve le chemin que j’arpentais il y a un instant…. J’appuie mon index sur son petit trou et me voilà à l’intérieur de son cul…. Les mouvements ont repris sur mon sexe… Je joue avec son anus et elle avec mon membre et nous nous regardons un peu éperdu par le plaisir… Et puis nous nous relâchons…
Elle tient à retirer le reste du tissu précieux qui, sans vraiment l’habiller,soulignait ses formes… Et elle rejoint le lit. Et bien sûr je la suis…
Le jeu de se regarder se toucher chacun dans son coin recommence. Elle s’allonge sur le ventre et bombe son fessier, sa petite chatte rose dépasse de ses lèvres vaginales et bientôt un rideau de doigts vient modeler cette matière sublime et sensible qu’elle a entre les cuisses, elle passe par en dessous et son visage tourné vers moi, elle me regarde…
Moi je suis debout et je me branle comme si je la regardais sans qu’elle ne me voit, j’ai l’impression d’être un voisin sadique qui l’épie. Elle commence à gémir, je vois ses jambes s’agiter, ses pieds se planter dans les draps, et surtout sa magnifique croupe onduler sous ses caresses. Moi aussi je finis de modeler l’épaisse protubérance qui trône en bas de mon ventre…
Je m’approche…
Je commence par m’avancer comme un félin, faisant de petits pas silencieux sur le lit histoire de ne pas déranger la tigresse qui s’agite devant moi. Je suis au niveau de ses pieds, et je pose une main sur sa cheville, je remonte et mon geste forme une caresse… J’atteins sa cuisse… je pose l’autre main sur son autre cuisse…. Puis je remonte… Je domine ce monticule de chair… Elle toujours face au matelas m’offre au regard la splendeur de son derrière… Ses doigts entremêlés qui massent les plis de son sexe qui ruisselle…
J’ai juste mes paumes qui dessine des ronds sur la peau qui enveloppe la chair tendre et rebondie de mon amie…. je regarde… je sens son odeur… je l’écoute gémir doucement de sa voix enraillée… J’ai envie de m’approcher encore plus près… Je pose mon visage contre sa fesse droite. Les doigts de ma main gauche s’enfonce un peu dans sa chair, je commence à empoigner son cul. Je dépose mon premier baiser et très vite ma langue vient lécher sa peau. Je n’ai qu’à suivre le déniveler pour m’immiscer doucement sur son intimité… Elle hôte ses doigts, je peux ouvrir la bouche, sortir ma langue, l’écraser lentement contre sa chatte, arpentant sa fente du bout de mes lèvres. Mes mains continue de masser son cul. Plus j’appuie ma langue contre sa vulve, plus sa mouille m’inonde la bouche, plus sa voix porte dans la pièce… alors je continue… J’ai mon nez contre son anus, je passe en bas contre son clitoris, remonte en titillant, elle frétille, moi je suis dur comme de la pierre et je sens le contact des draps contre mon sexe qui pend d’entre mes cuisses, lourd, pesant de mon corps en position d’animal affamé… Je pointe ma langue à l’entrer de sa chatte que je ne peux que pénétrer brièvement puis je remonte et goûte à son petit trou portant de gros coups de langue… Là elle pousse des petits cris de surprise, et quand mon pousse vient prendre le relais de ma bouche contre son sexe, ses cris s’intensifient… Puis je continue ma dégustation et suit le sillon d’entre ses fesses sublimes et arrive en bas de son dos.
Son goût salé ne quitte pas ma bouche alors que j’arpente le long de sons dos et quand j’atteins enfin son cou, qu’elle dégage élégamment en faisant passer sa chevelure par dessous son épaule en penchant la tête, le bout de mon sexe tendu touche du gland sa vulve, fruit juteux dégoulinant de ma salive, de sa mouille, de notre désir mutuel. Ma main qui n’a cessé de la masser en vue de la faire se vider de sa mouille la quitte un instant histoire de guider ma queue et de la planter tel un piquet dans son con… Une fois fait, ma main s’appuie sur son cul et je n’ai qu’à basculer le bassin… Je dépose un baiser doux sur sa joue, pendant que mon corps vient peser contre son dos, et que je la baise enfin à nouveau renouvelant l’expérience de ses parois se frottant aux flans de mon pieu. Plus je la pénètre, plus je me redresse, plus je me sens épais en elle. Ce que j’aime sentir le choc de son cul contre moi, j’aime voir trembler sa chair. Je suis un animal, je la besogne maintenant comme tel, elle crie toujours, fermant les yeux et fronçant les sourcils… Je vois ma queue dont les veines saillantes en dessine les pourtour entrer et sortir vivement de sa chatte dont les lèvre me ceinturent… Puis je ralentis… elle souffle un peu…
Je masse son cul tout en la bourrant doucement, mon pouce s’aventure contre son petit trou. Caresse innocente, je pousse, elle ne dis rien, je pousse encore, j’écarte son anus en plongeant un phalange dans son cul toujours aussi beau… En la tassant comme je l’ai fait, je l’ai positionner allongée à plat ventre et moi je la chevauche quasiment assis sur ses cuisses… La pénétrant par deux de ses orifices. Je trouve le jeu encore innocent… Je renouvelle mes assauts mais je tiens son cul avec mon pouce planté dedans cette fois et j’ai le droit à un "Ah putain… c’est bon comme ça, vas-y continues"…. Je continue et c’est vrai que c’est bon comme ça… je sens mon pouce, comme ma bite, comme aspiré en elle, comme si elle me bouffait le corps…
Quel plaisir de posséder un tel corps, quel sentiment de domination. Je me sens très mâle. "Je vais te prendre le cul chérie", je lui dis cela dans un souffle. Elle sourit.
— Tu m’as appelé chérie ?
— Ca te dérange ?
— Non c’est drôle…
J’ai déjà sortie mon sexe de sa chatte et déposer mon gland contre son cul, mon pouce continue de lui caresser l’anus de l’intérieur pour le préparer.
— Et que je te dise que je vais t’enculer, ça ne te dérange pas non plus…
Large sourire.
— Tu fais ce que tu veux de moi…
Elle essaie de joindre son regard au mien, mais la position n’est pas évidente. Elle pose ses deux mains sur ses fesses, les écartent…
— Allez, vas-y "chéri", baise moi le cul puisque tu en as envie…
Sur ses mots et sur son anus écarté, je dépose un épais filet de ma salive que j’étale du bout de mon sexe. Puis je pousse contre lui pour enfoncer mon gland. Je sens l’étreinte serrée autour de ma queue. Je sens à ses petits grognements qu’elle trouve ça plus rude. Je sors et rentre doucement la pénétrant que du bout de ma verge. Chaque mouvement me fait gagner un peu de terrain, elle a repris son air grave, ses gémissements sont saccadés et elle ne respire pas régulièrement, moi je pousse, je suis dur, excité… je m’emballe, je pénétré, j’ai chaud, j’avance et recule… Je la sodomise…
— Tu aimes ?
Elle ne répond pas, j’accélère, elle plonge sa tête dans l’oreiller. Je l’encule fort, j’ai envie de l’entendre me le dire..
— Tu aimes ?
Elle relève la tête, reprenant sa respiration…
— C’est trop bon, vas-y, encule-moi fort !
Je me penche sur elle, et use de mon poids pour la pénétrer profondément avec force et vigueur… Je n’ai presque pas envie de jouir, juste de continuer comme ça pendant des heures… je me demande combien de temps je peux tenir avec une telle vigueur de mon membre ou combien de temps elle peut supporter un tel membre dans son cul…
Oh son cul, je le revois moulé dans ce pantalon blanc, parfaitement formé, je n’aurais jamais cru pouvoir le défoncer comme je le fais à cet instant… Je suis maintenant allongé à nouveau contre elle. Je sens ses doigts me toucher maladroitement les testicules pendant qu’elle se touche la chatte… Je sens son corps vibrer, elle se branle frénétiquement, elle crie à gorge déployée, et je me contente de bouger timidement au fond de son cul. Mais ses vibration me font monter le sperme.. Je me retiens, je commence à gémir, l’orgasme monte en moi. Je quitte son anus et je jonche à ses côtés. Elle se retourne vers moi, m’embrasse… Et me demande "tu veux éjaculer contre mes seins ?" Je sourie, l’embrasse… Elle descend le long de mon corps m’embrassant le torse et empoignant vivement, je tremble. Elle me masturbe contre son sein, se frappant littéralement le téton avec ma queue. Elle va vite… elle sait comment bien branler un homme… Je défaille.. le sperme gicle de mon corps par la pointe de mon sexe qui semble explosé contre sa poitrine… De larges trainées blanches se répandent contre sa peau foncée. Je suis encore sous le choc de mon orgasme, j’ai crié comme un animal et maintenant je bredouille des choses incompréhensible complètement vaporeux…
Elle continue doucement ses va et viens m’embrassant le ventre. Puis elle me rejoint, sur mon épaule, je lui caresse les cheveux, nous sommes essoufflé, elle me caresse les couilles et le sexe qui devient peu à peu un simple bout de chair tendre humide et chaud… ça semble lui plaire…
— J’ai envie de dormir maintenant mais j’aurais peut-être encore envie de ta queue durant la nuit, t’aimerais te faire réveiller en te faisant sucer ?
J’adorerais.
Le lendemain matin, je me suis en effet réveiller avec une petite main tout enroulée autour de mon sexe qui renaissait tranquillement de sa torpeur nocturne. Léa se tenait là, sur moi, assise sur mes jambes, se caressant d’une main et faisant coulisser mon prépuce gentiment autour de mon membre qui se mettais à durcir sûrement… elle tenait mon sexe près du sien et la vision de cette double masturbation rapprocher m’enchantait au plus haut point. Je l’ai laisser faire en attendant que mon sexe soit dur et bien dressé, elle semblait très concentrée et très douce aussi… Profiter encore de sa douceur.. Je ne savais pas combien de temps encore, combien de fois je pourrais revivre ça avec elle…
Je sens mon corps se réveiller comme elle tire sur ma queue. Mes mains jusqu’alors sur ses cuisses, rejoignent ses hanches. Comme ses deux bras se rejoignent au centre de mon corps et du sien, ses seins se compressent l’un contre l’autre et c’est magnifique. Je sers les doigts et enfin elle me regarde, elle me sourit… Elle me dit :
— Ça te plait ?
— Beaucoup…
Elle commence à perdre son souffle, ses doigts ont l’air aussi efficaces sur elle que sur moi…
Elle se lève, nous nous quittons un instant puis elle s’assoit sur mon visage puis se penche sur le bas de mon ventre… J’ouvre la bouche et prend son nectar sur mon palais, elle ouvre la sienne et gobe mon bout pour le sucer avec délectation… Comment décrire le goût de sa chatte ou les replis de sa vulve si ce n’est de dire que je me régale en travaillant ma langue entre ses cuisses, en appliquant mes lèvres pour la lui pincer et l’embrasser comme s’il s’agissait de sa bouche onctueuse. Comment décrire le goût de mon sexe dont elle semble se repaître, je ne peux bien sûr pas le dire à sa place. Ce que je peux dire c’est que si c’était possible, le plaisir que je lui donne lui donne plus faim encore et la rend encore meilleure à me sucer la queue comme ça, de la même manière que l’incroyable sensation émanent de mon entre jambe semble décupler mon appétit et me donner accès plus facilement à son plaisir… Bientôt elle tremble et tout en me branlant frénétiquement et alors qu’elle ne m’avait plus dans la bouche, elle crie de plaisir, sa chatte compressée contre ma bouche, chatte que j’embrasse à pleine bouche jusqu’à ce qu’elle ondule doucement, basculant ses fesses somptueuses.. j’en ai plein le visage et je vais lui en mettre plein la bouche… La voilà de retour sur mon cas et maintenant, elle me branle et me suce en même temps. Je ne tarde pas à exploser et mon sperme à se rependre entre ses joues…
Nous nous sommes préparé comme un couple complice mais nous sommes séparer comme des amis, et nous avons poser nos lèvres les unes contre les autres pour savourer une dernière fois notre chair.