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Le mâle Alpha – Chapitre 3




LE MALE ALPHA. 3

Un homme ne connaît réellement sa femme que lorsqu’il l’a vue faire l’amour avec un autre.

(Arthur Miller)

T’as aimé avoir ma bite dans ton cul ? Ça t’a fait mal ?

Oui, j’ai aimé et ce n’était pas si terrible que ça. C’était bon… Ta grosse bite dans mon cul… Oui, c’était trop bon de l’avoir bien profond…

Suite.

Plusieurs fois, il est venu chez nous, mais un jour, j’ai gaffé, je lui ai dit que mon mari adorait ce que nous faisions. Il s’est fâché et m’a forcée à tout lui révéler, les caméras, la fascination de Sébastien de me voir prendre par une grosse bite et même son envie que je me fasse sauter par deux hommes devant lui. Je ne sais pas s’il reviendra et je suis triste si j’ai perdu un si bon partenaire sexuel.

L’amant

Je n’aime pas être mis devant le fait accompli, ce n’est pas l’histoire d’être filmé, je ne suis pas un perdreau de l’année. Mais par principe, je n’accepte pas que l’on se joue de moi. Je pourrais ne plus la revoir, mais je préfère lui jouer un tour à ma façon.

Audrey et Pierre, un couple d’amis que je retrouve dans des parties fines, m’ont parlé de leur fils qui paraît-il, a la plus grosse queue de toute la région. Je vais lui demander s’il ne voudrait pas m’accompagner chez Corinne et son voyeur de mari. On va bien rigoler…(lire le mâle dominant)

Elle

Jean, mon amant, m’a recontactée, il vient ce soir, ouf… J’avais peur qu’il ne me rappelle jamais.

Ça sonne, je vais ouvrir… Je suis surprise, car Jean est accompagné d’un jeune homme boutonneux, est-ce son fils ? Je n’ose rien dire et les accueille chaleureusement. Jean me fait les présentations.

Claude, je te présente Corinne, notre hôtesse, elle m’a avoué l’autre jour qu’elle aimerait être prise par deux hommes, c’est la raison de ta présence. Tu es toujours partante, Corinne ?

Je ne sais quoi dire, mais je ne peux plus reculer. Je ne sais toujours pas qui est cet ado trop vite poussé en graine, il n’est pas plus grand que moi, ne peut pas me faire grand mal… Je les conduis donc jusqu’à la chambre.

Je me sens un peu mal à l’aise, mais Jean me demande de me dévêtir d’un ton autoritaire qui ne laisse pas place à la discussion. Je me résous donc à lui obéir et passe outre ma pudeur devant mon invité surprise qui me complimente sur mon corps de rêve, ferme et généreux à la fois.

Je suis terriblement gênée, implorant du regard mon amant, mais Jean me donne l’ordre de le prendre en bouche comme si nous étions seuls.

Montre lui ce que tu sais faire !

Je me mets à genoux et obéis sans un mot, pompant sa verge, usant de toute ma science en l’enfonçant au fond de ma gorge, puis reculant de quelques centimètres avant de l’enfoncer à nouveau sans répit pendant de longues minutes jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche.

Jean me traite comme une pute, mais il me domine et j’aime ça.

Le jeune inconnu est dans un fauteuil et contemple la scène comme si ça ne le concernait pas.

Jean, après un moment de récupération, vient de me prendre la chatte et va-et-vient en moi avec de plus en plus d’entrain. Sa bite remplit très bien son office et me procure du plaisir, son regard posé sur moi me met en émoi. Je suis en travers du lit, la tête dans le vide. Je ne le quitte à aucun moment des yeux quand je le vois faire un signe de la tête au jeune homme qui se lève et se déplace dans la pièce pour débrancher toutes les caméras.

Lui

J’ai les yeux rivés sur mon écran. Corinne n’est pas suivie par un, mais bien deux hommes. Cette vision me donne le vertige. Elle ne m’a pas prévenu, mais était-elle au courant ? Ou est-ce que son amant lui a fait la surprise après ses révélations de ma présence ? Mais Corinne ne semble pas être dérangée outre mesure par cette configuration.

Pendant un long moment, le jeune homme ne fait que regarder quand soudain, je le vois se lever et couper les caméras les unes après les autres. Je suis fou de rage, frustré de ce qu’il vient de faire.

Il va se passer plein de choses dans la chambre et je ne vois plus rien. Je suis désemparé, que faire ?

Il n’y a qu’une seule possibilité, je prends mon courage à deux mains et me dirige vers la chambre conjugale.

Quand j’ouvre la porte, ma femme est toujours dans la même position, la bite de son amant entre les cuisses, mais en plus, elle a devant la bouche la verge de l’invité mystère. Je reste à la porte sans bouger.

L’amant tourne la tête vers moi et m’injurie :

Alors mec ! C’est ton trip de mater ta femme se faire défoncer ?!?! … Alors tu réponds ?

Comme je ne réponds pas, Corinne prend ma défense :

Laisse-le s’il te plaît… Il veut juste mater … Je t’en prie… Ne fais pas attention à lui… Viens, baise-moi encore…

Après un instant de tension insoutenable, l’amant reprend la parole :

Alors comme ça tu adores quand ta femme se fait une « grosse bite » et ton rêve et de la voir tronchée par deux mecs ? Tu vas être servi… A toi Claude ! Fais plaisir au petit vicieux !

Claude, puisqu’il s’appelle ainsi, a entre les cuisses une verge qui pend entre ses cuisses, aussi imposante que celle de l’amant. Elle le regarde, surprise, et moi mes yeux restent bêtement bloqués sur ce membre surdimensionné, une lueur de jalousie dans le regard, n’osant pas bouger. Je savoure juste cette vision fantastique. Tout doucement, la verge commence à se redresser. Il dit enfin ses premiers mots :

Tu vas me faire jouir avec ta bouche sans les mains, suce-moi la queue !

Stupéfaite et les yeux exorbités, Corinne regarde sans voix ce qu’elle a sous les yeux. Il pose une main derrière sa tête et l’autre sous la mâchoire de ma femme en la forçant à descendre la tête entre ses jambes. Elle résiste à peine et se retrouve les yeux devant la monstrueuse queue, à quelques centimètres de son visage qui commence à bander.

Ouvre la bouche et lèche ma teub comme une glace et tu vas t’appliquer, c’est bien compris, maintenant, sors ta langue et lèche mon gland.

Avec application, Corinne obéit, mais le godelureau introduit dans sa bouche son pal. La verge devient de plus en plus dure et de plus en plus grande à chaque mouvement dans la bouche qui s’en trouve bientôt déformée. L’organe est maintenant d’une taille exceptionnelle et Corinne manque de s’étouffer à plusieurs reprises tandis que sa salive coule en abondance au coin de ses lèvres, mais elle ne proteste à aucun moment, semblant au contraire l’encourager entre deux respirations.

Le petit merdeux tient toujours la tête de ma femme et fourre la totalité de son sexe dans la bouche accueillante. Je n’en reviens pas… Je me suis approché et je vois gonfler la trachée à chaque pénétration de cette gigantesque queue.

Je me surprends à imaginer le plaisir ou la douleur qu’elle doit ressentir à se faire pénétrer par ce monstre. Je rêve des sensations que pourrait procurer une si grosse queue dans la chatte de Corinne.

L’amant continue à troncher ma femme presque en pilotage automatique, les yeux rivés sur son complice.

Eh le mari ! Filme l’exploit et toi Claude, ne jouis pas en elle, fais-en profiter les autres.

J’ai sorti mon sexe douloureux et me branle tout en filmant la scène. L’amant rend les armes en premier et se retire pour éjaculer sur le bas-ventre de mon épouse. Mais le jeune coq continue encore une ou deux minutes avant de retirer son engin de la bouche de ma femme.

Putain ! sécrie l’amant. Ta mère ne m’avait pas menti, elle fait combien ta queue ? Je fais petit garçon avec mes dix-neuf centimètres !

Vingt-six et cinq et demi de diamètre.

Que devrais-je dire avec mes malheureux douze centimètres ? J’ai des sentiments mêlés, de jalousie et de frustrations et d’être humilié par l’amant de ma femme, et de plaisir jouissif d’être autorisé de la voir se faire baiser par d’autres hommes.

Au bout de quelques minutes, le jeune se retire de la bouche de Corinne et se branle avec vigueur en lui ordonnant :

Mets-moi un doigt dans le cul et avec l’autre main, pétris-moi les couilles !

Corinne s’exécute et quelques secondes plus tard, il décharge sur elle. Mais nous sommes trois à ne pas en croire nos yeux. Son éjaculation est dantesque et très abondante, l’amant toujours entre les jambes de Corinne reçoit lui aussi le foutre du jeune homme sur son corps tellement la puissance de ses jets est énorme. Comment peut-il réaliser un tel exploit ?

Les jets se suivent couvrant maintenant Corinne de son sperme de la chatte à sa poitrine avant qu’enfin la source ne se tarisse.

Ben mon cochon ! éructe l’amant. Je commence à comprendre ta réputation mon salaud ! Comme on dit : Ce n’est pas le flacon qui compte, mais ce qui est dedans, mais toi tu es le premier dans les deux catégories ! Et toi le cocu ! Viens nettoyer avec ta bouche le corps de ta femme !

A suivre…

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