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Vacances de rêve pour Théo et sa mère. – Chapitre 1




Chapitre 1 : présentation

Bonjour à tous, je m’appelle Théo, j’ai 18 ans, je vis dans le sud-ouest de la France, au nord du Pays basque. Je vis seul avec ma mère depuis mes 7 ans, mon père est parti de la maison du jour au lendemain avec une autre femme plus jeune que ma mère. Pourtant, je la trouve belle maman. Du haut de ses 45 ans, elle reste une femme très bien conservée. Elle est plus petite que moi (environ 1m66). Sa petite taille ne l’empêche pas d’avoir des fesses bien fermes et une poitrine rivalisant avec les jeunes filles de mon ancien lycée. Ancien ? ça me fait encore bizarre de le dire, car oui, pour moi, le lycée c’est fini. J’attaque l’année prochaine ma première année de médecine. Il est vrai que j’ai beaucoup stressé lors des examens finaux, mais au final, j’ai eu mon bac avec mention bien (je suis en S), à quelques centièmes de la mention très bien. Le stress, ma mère l’a bien ressenti. Elle m’avait d’ailleurs promis des vacances d’un mois si je réussissais bien mes exams.

Chose dite, chose faite. Ma mère n’a qu’une parole. Dans la famille, on est très sportif : entre piscine, vélo, course à pied, on s’entraîne pour des triathlons chaque année. Nous les faisons ensemble, je partage beaucoup de choses avec elle, depuis le départ de papa, c’est vrai qu’on s’est beaucoup rapproché, surtout quand j’ai pris conscience de la situation (vers 14-15ans). Elle n’a jamais refait sa vie, elle ne veut pas revivre de désillusion une fois de plus. Pour ce voyage, c’est moi qui ai choisi la destination : direction la Grèce. Je ne vous raconte pas tout le voyage dans l’avion, je vais surtout vous expliquer le programme de nos vacances : chaque matin, pour ne pas perdre de notre physique, ça sera du sport, on louera sûrement les vélos sur place si l’occasion se présente. Puis l’aprèm, ça sera détente sur la plage, bronzette, sauna, piscine ou autre : des vacances de rêve. Arrivés à l’aéroport, on attend un taxi, il nous emmène dans un endroit un peu à l’écart de la foule.

Nous sommes partis sans valise, juste deux trois rechanges dans des sacs et de l’argent. Nous n’avons pas réservé d’hôtel, en ces périodes, nous aurions peut-être dû…

Chapitre 2 : Premier regard

Après une heure de recherche sur Google, nous trouvons enfin un endroit sympa. Par chance, le gars à l’accueil parlait français. Il y avait de la place, vue sur mer, tout semblait paradisiaque. Il était presque 20 heures et nous n’avions toujours pas mangé. On allait pour s’installer dans notre chambre, mais le gars de l’hôtel nous interpella : « que faites-vous ? », ma mère rétorqua que nous montions dans nos chambres. Puis l’hôte dit : « on ne vous a pas dit que c’était un camp naturiste ? » Nous essayons de voir si c’était une blague ou non, il était sérieux. Je vous passe les détails, en gros, si on ne se mettait pas nu en public, on ne restait pas. Surpris par cette dernière nouvelle, nous montions les marches pour aller dans notre chambre. Ma mère était étonnée, elle décida donc que nous allions quitter ce centre dès demain. La chambre n’était heureusement pas publique, on pouvait rester habillé à l’intérieur.

Ma mère me rappela qu’il fallait aller manger, compliqué dans cette situation. On prit la décision d’y aller habillés, mais avant, petite douche rapide pour nous deux, ça nous fera du bien. On parlait quand j’étais sous la douche :

Quelle drôle de mésaventure quand même, s’esclaffa ma mère, tu penses qu’ils nous acceptent au restaurant, habillés ?

Franchement, je ne sais pas, lui dis-je, si tu veux je peux commander un truc ?

Ici ? Mais c’est perdu, on est loin de tout ! Je vais téléphoner à l’accueil pour qu’il nous monte quelque chose à grignoter.

D’accord, vas-y, maman, tu peux me passer mon caleçon propre s’il te plaît, j’ai tout laissé sur mon lit !

Tu es naturiste ou tu ne l’es pas Théo, dit ma mère sous le ton de la rigolade. Elle prit mes affaires, me les apporta. Elle alla ensuite se doucher, je l’attendais sur le canapé, puis elle sortit avec sa serviette autour de sa taille. Elle me demanda de me retourner pendant qu’elle mettait sa culotte. Je me retournais et vis un miroir qui reflétait en plein sur ma mère. Je regardais curieusement, elle enleva sa serviette, elle était encore plus belle nue. Ses cheveux blonds tombaient jusqu’à sa belle et voluptueuse poitrine. Je pouvais enfin voir qu’elle entretenait bien son pubis : bien rasé en ticket de métro, magnifique. Deux belles lèvres qui donnent envie de les sucer. A quoi je pense ? C’est ma mère quand même ! On appelle la réception, pas possible d’être livré en chambre, il faut descendre. Alors que nous nous dirigeons au réfectoire, les images de ma mère ressurgissent, je commence même à avoir une érection. Le même gars de tout à l’heure nous confirme que le restaurant est public. Ma mère fait demi-tour, le gars tente le tout pour le tout et nous informe que le resto est vide ce soir, je regarde ma mère, sa décision est prise, on mangera mieux demain. C’est donc le ventre vide, mais la tête bien pleine que je m’endors sur mon lit simple, la main dans mon caleçon.

Le lendemain, alors que nous sommes sur le départ, Léonard (le mec de l’hôtel) a quand même voulu nous tenir un petit speech sur le naturisme :

Vous savez, on a tous été timide la première fois, mais avec le temps, on s’habitue et notre façon de regarder l’autre change… etc., etc., etc. Je ne m’y intéressais pas trop, mais ma mère semblait changer d’avis au fur et à mesure. Elle me regarda avec des yeux remplis de questionnement.

T’en penses quoi ? On pourrait tester Théo non ? Une nouvelle expérience entre mère et fils ?

D’abord surpris par ce retournement de situation, je compris qu’il fallait que je tranche…

Eh bien, c’est un peu gênant de se retrouver nu face à toi maman… franchement, je ne sais pas, c’est bizarre. Puis me rappelant du spectacle d’hier :

Si tu veux, oui on peut essayer juste une journée, on aura juste à pas trop sortir de la maison finalement.

Léonard, ravi, nous remonta nos bagages, lorsqu’il se leva de sa chaise, on remarqua rapidement que lui aussi était nu de la tête au pied. Ma mère tourna la tête pour ne pas voir, ce qui fit rire Léonard. Il était devant nous, ses fesses à quelques centimètres de nos têtes. Arrivés dans notre chambre, ma mère me regarda puis elle me dit d’un air fébrile :

On se lance ?

On se lance ? répétais-je.

Et bien, avant d’affronter le regard des autres, il faut bien que l’on se découvre entre nous non ?

J’allais de surprise en surprise, la situation m’échappait totalement, j’étais presque paralysé.

Je te vois très gêné, je te comprends après tout, je vais commencer, un habit chacun, ça te va ? me dit-elle.

Je hochai la tête, aucun mot ne sortait de ma bouche. Elle enleva doucement son t-shirt et était devant moi en brassière. Je reprenais petit à petit mes esprits, j’enlevai moi aussi mon t-shirt. Elle enchaîna et enleva son jogging bien moulant, il lui restait seulement ses sous-vêtements. J’enlevais à mon tour mon bas, par chance, j’avais encore mes chaussettes, elle était pied nue. Elle me regarda, hésita quelques secondes puis décrocha sa brassière. Ses deux obus étaient lâchés, je pouvais les admirer, j’en salivais tellement que je sentais un début d’érection, et merde…

Elle me fixait, d’un air de dire « à ton tour ». Je lui souris, puis j’enlevai mes chaussettes, je pus lire de la déception sur son visage. Il ne lui restait que sa culotte, elle l’enleva petit à petit. Son ticket de métro apparaissait puis elle la lâcha subitement. Je l’observais, je la regardais, je la fixais, mais ma mère ne semblait pas gênée, au contraire : elle s’approcha de moi pour que je puisse mieux voir. J’étais en train de bander dur, j’ai tout de suite enlevé mon caleçon, fier de montrer mon érection, ma mère ne lâcha pas ma bite des yeux puis soudain…

BIP BIP BIP, ce putain de réveil se mit à sonner. Tout ça n’était qu’un rêve ? Oui. Je me levais pour aller prendre une douche dans la salle de bain, mon sexe au garde à vous. Sous la douche, je pensais encore au rêve sublime que je venais de faire, je commençais à me caresser, ses seins et sa chatte me reviennent à l’esprit : je me branle sur ma mère. Au moment fatal, ma mère toque à la porte :

On s’en va dans 10 minutes, un taxi arrive et nous dépose dans un vrai hôtel cette fois !

Ca marche m’man, je m’habille et j’arrive !

Le trajet se fit en silence, je regardais ma mère avec un regard différent que d’habitude, après, tout ça reste une femme comme toutes les autres… Je voulais la revoir nue, j’en voulais encore, j’en voulais plus.

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