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Yohann: une femelle, en mieux! – Chapitre 1




La queue raide, je navigue depuis un moment sur le forum.la photo daccroche de ce petit passif tout mince est vraiment excitante, et son profil finit de me décider : 1m70 pour 53 kg, il nose même pas parler de ses mensurationsça doit pas être bien grand !

Je regarde un peu les autres images quil a laissé de lui : on voit un cul bien rond, très haut perché sur deux jambes fineset on aperçoit entre ses deux petites cannes une mini paire de couilles toutes lisses.

Je le contacte, je lui propose ma virilité en échange de son trou doux et humideça colle, il est ok.

Le jour et à lheure convenue, je suis sur la place à Nîmes, on a rdv au café Carré. Je ne mets pas longtemps à repérer ma petite tarlouze : il est là, appuyé à un lampadaire, hyper discret dans son short blanc et son teeshirt rose, dont la couleur est élégamment rappelée par ses baskets. Il a mise des lunettes de soleil façon pare brise, histoire dêtre encore plus repérable, et garde la bouche entrouverte , la tête légèrement rejetée en arrière. Il ne pourrait pas trouver de façon plus explicite de dire « je suce tous ceux qui en ont envie ! »

Histoire dêtre totalement certain, je lappelle : ma tapette glisse langoureusement une main dans son short pour en sortir son portable, et dune voix de salope : « allooooo ? » je suis déjà contre lui je lui mets ma main sur ses hanches : « tinquiètes, cest moi qui tappelle ».

Il est un peu surpris par la façon de laborder, mais ça lui plaît

Il est franchement gringalet, sa peau bronzée contraste avec son short blanc, et ses bras tout fins font vraiment de lui une femelle très attirante.

Yohann est vraiment mignon, il na pas des traits hyper fins, mais il a un visage très doux, dont il accentue le côté féminin en sépilant les sourcils.

On sassoit au café pour prendre un verre, il se pose délicatement dans un fauteuil quil a au préalable collé contre le mien. Lui qui me disait quon baiserait uniquement si je lui plais, jai limpression que je ne vais donc pas tarder à me vider les couilles !

Durant la discussion, il trouve sans arrêt loccasion de me toucher les avant brasune fois cest pour me montrer un mec qui passe et quil massure avoir déjà sucé (ça maurait embêté de ne pas le savoir), une fois pour regarder ma montre.une fois pour me faire remarquer que mes bras sont beaucoup plus épais que les siensce que je navais pas vu du tout !

Enfin, la petite tapette est en chaleur et a une idée fixeça tombe bien moi aussi. Dailleurs, jai une bosse très ostensible dans le jean, impossible de planquer ça, mais comme je men fous, ça ne peut que faire plaisir aux spectateurs !

On se dirige vers une librairie où il doit récupérer un livre : notre entrée ne passe pas inaperçue : il ondule du bassin et demande de sa voix efféminée son bouquin pendant que je lui mate le cul ostensiblement avec mon jean déformé par mon érection. Une fois sortis, on se dirige vers chez lui en se roulant des pelles,la porte enfin refermée, je lembrasse à nouveau, et jattaque très vite, je le caresse à travers la toile de son short : « Oh tu sais, cest vraiment pas gros, jespère que tu seras pas déçu ».

Le chéri à honte davoir une toute petite queue ! Je le rassure en me plaquant contre lui, je lembrasse dans le cou en lui soufflant à loreille « tinquiètes surtout pas, jadore les passifs avec des toutes petites bites ! », et pour vérifier ça tout de suite, le short tombe à ses petits pieds.un mignon petit string écrase son micro paquet contre son petit ventre plat, je lui enlève son teeshirt. Il ne pensait pas que ça se passerait aussi vite, un peu décontenancé il se tord les mains devant lui, ses bras de gonzesse enroulés lun autour de lautre. MIAM !

« Tu veux pas profiter du string ? »

« Je men fous de ton string, si tu savais ! cest ce qui est dedans qui mintéresse ! » et je vire son dernier bout de tissu.

Putain que cest beau ! Il est entièrement nu, je ne sais pas par où partir quand je le regarde : sa tête efféminée entourée de ses cheveux mi longs qui tombent sur ses épaules toutes fines : il est carré, mais sans la trace dun muscle, ses clavicules sont extraordinairement fines et délicates : ça dessine une virgule vraiment raffinée juste sous son cou mince et lisse

Sous ses épaules, il y a deux rondeurs surprenantes : il me jure que ça pousse naturellement sans prendre dhormones, mais il a distinctement deux petits seins qui pointent, sa taille est bien marquée et sévase pour rejoindre des hanches fines, son bassin lui aussi est très fin : même son squelette est féminin, et son ventre se termine sur un petit pubis épilé avec beaucoup de soin, un petit ticket de métro aux poils chatain coupés très courts.

Ses deux jambes sont toutes minces et très longues pour un garçon de cette taille, entre ses petites cuisses pend une miniature de sexe masculin. Deux toutes petites couilles sans lombre dun poil, un minuscule pénis qui fait la longueur et le diamètre de deux phalanges de mon index. Et la peau des couilles dessine deux petits plis tout mignons qui encadrent cette minuscule bite. Il a un prépuce tout rose et assez long, qui fait une sorte de pointe sous le gland. Je le retourne, il est parfait, ses longues jambes mettent en valeur son petit cul en pomme quil écarte à deux mains pour me faire les présentations :

« Tu vois, je suis tout épilé ! »

Cétait la réflexion intelligente qui manquait aux débats ! je le pousse dun mouvement sec sur le lit. Il tombe et je lécrase sous moi.

« Putain que tu me plais ma salope ! tes hyper bandant ! »

« Si jétais une fille, je serais hyper bien foutue, quest-ce que ten penses ? »

« Oui, tu ferais un trans de grande classe, mais tes très bien comme ça, ne change rien ! »

Je lembrasse, je le pétris dans tous les coins, je lui tiens son minuscule sexe prisonnier dans une de mes mains. Il soupire de plaisir, il ondule du bassin, il avance et recule ses hanches contre moile message est très clair.

Je me fous à poil en quelques secondes, il me regarde apparaître nu devant lui, je sens lexcitation monter dans son regard.cest lheure de la pénétration, il nen peut plus denvie, mais je sens quen même temps il aurait préféré un mâle qui fasse plus Cro-Magnon.tant pis, il aura ce qui est là et rien dautre.

Il veut me sucer, je lui réponds « la sucette, si tu savais comme je men fous ! ce qui mintéresse cest ce quil y a entre tes fesses ! »

Voyant ma queue bandée à mort, dun geste un peu inquiet il me dit : « tu mets touts ça dans une capote et tu lubrifies bien, ok ? »

« Tinquiètes, »

Je déteste voir ma bite dans du plastique, ça fait rouleau de printemps, cest moche, et au niveau sensations ça gomme pas mal de plaisir, mais tant pis, faut respecter la volonté du passif.

Une fois préparé, je lui palpe le sphincter avec mes doigts pleins de gel. Il commence à soupirer de plus en plus fort : jy vais franco, et le spectacle de ma main de mec posée sur ce petit cul androgyne me donne une pulsion irrésistible : je le retourne à plat ventre, je me mets à genoux entre ses cuisses, dune main je le plaque au matelas, de lautre je guide mon gland vers son petit trou lisse et légèrement entrouvert.

On voit quand même distinctement lanneau du sphincter : mademoiselle reçoit beaucoup de visites ! ça doit servir très souvent !

Effectivement, je pose mon gland sur la rosette, jappuie à peine et ça souvre, je regarde son trou avaler mon gland à moitié : je joue avec ce trou ramolli par les centaines et les centaines de sodomies annuelles. Il est là, en dessous de moi à attendre avec impatience que je le plante, il remue du bassin, il souffle fort, alors je me laisse tomber de tout mon poids sur lui : ma queue rentre entièrement en lui dun seul coup, il en a le souffle coupé et un « aaaaaaaaaahhhh » sort de sa bouche.

« Putain cest trop bon ! vas-y, vas-y, n’attends pas! ».

Je commence à faire des ronds avec mon bassin, du coup mon gland décrit des cercles à lintérieur de son boyau : il adore, il ferme les yeux, il a la bouche entrouverte sur le matelas, je le tiens pas ses cheveux de gonzesse, je lui lance « taimes ça enculé ? taimes sentir une bite te perforer ton cul de grosse salope», et je ponctue de coups de queue brutaux, je sors presquentièrement et je me replante en lui dun coup.

Yohann est complètement parti, il ne répond plus, il souffle, il geint, il prononce des sortes de « Ahouiiiiii, ahouiiiiii, ahencooooore, ahouiiiiiii »

Je me redresse, je le retourne sans sortir de lui pour le coucher sur le dos, puis je me couche sur lui, il enroule ses jambes fines autour de mes cuisses musclées. Pour moi cest hyper intense, cest pas un mec, cest vraiment une femme : il trouve instinctivement les postures, les gestes des gonzesses, il a la légèreté dune fille, les gestes dune fille, la bouche dune fille, il saccroche à moi pour que son mâle ne sorte surtout pas de son ventre.mais quand je me relève un peu et que je regarde en bas, je vois son sexe minuscule écrasé entre nos deux ventres, je vois sont tout petit bout perdu dans mes poils pubiens.

Le différence entre la virilité de mon bas ventre et ce petit paquet tout rose, tout lisse, tout mou me rend dingue, je le ramone de plus en plus fort. Il se cambre, il plante ses ongles dans mes épaules, il me griffe en gueulant quil est ma salope, quil appartient à ma bite que je peux faire de lui ma pute, quil a envie que je ne ressorte plus jamais de lui.

Alors je sens que ça monte un peu trop vite, je me plante à fonds en lui et je ne bouge plus. Il ne me faut plus aucun frottement entre mon gland et ses muqueuses anales, cest trop intense, sinon, je vais exploser.

Doucement ça se calme, alors je reprends conscience de ce contact : lintérieur de son conduit est brûlant, humide, glissant, et je distingue parfaitement la pression de mon gros gland sur ses muqueuses internes, je sens que son boyau stimule mon gland à mort, que malgré toutes les pénétrations quil se prend, mon gros gland est vachement à létroit en lui.

Lui non plus nen peut plus, alors, dans un demi sourire, en se mordant la lèvre inférieure, il plante son regard dans le mien et il commence à onduler du bassin en faisant des cercles de plus en plus grands. Mon gland frotte dans tous les sens à lintérieur de ce ventre de pédé en chaleur

« Putain quest ce que tu grossis là ! tes hyper dur, tu vas bientôt jouir ? »

« oui salope, je vais te féconder, je vais te gicler dedans »

« Ahouiiiiiii, vaziiiiiiii, jouis en moiiiiiiii ! »

Alors je me lâche, je sens les giclées de sperme qui sortent de ma tige, je sens tout mon sexe vibrer, et lui qui écarte ses cuisses au maximum, comme sil fallait faire le passage pour mon sperme.

Il est tout simplement dans le but ultime de son rôle sexuel, tout est tendu pour recevoir la semence des mâles, et là, il reçoit ma dose avec une sorte de soulagement, il est bien ma femelle, je suis bien son mâle.

Je reste en lui un bon momentpuis, je me retourne moi aussi sur le dos, alors il vient se lover à moitié sur moi : il est allongé tout recroquevillé contre moi, ses jambes fines, lisses et fuselées mélangées avec mes jambes poilues et musclées, il est bien il est heureux de sêtre fait saillir de façon bien bestiale.

Il me caresse le torse et les pecs avec un doigt, puisévidemment, il descend plus bas, toujours plus bas, il finit par refermer sa main sur mon sexe :

« Quest ce quelle est grosse ta queue, tu mas vraiment fait du bien ! jai encore envie que tu me prennes comme ça, de sentir ton sexe planté dans mon ventre ! .Laisse moi te sucer, jen enviejai envie de sucer la queue qui vient de ma baiser, laisse moi faire »

« Ok, si ça te plait tant que ça, vas-y, mais tu sais, je suis pas franchement accro, ne te vexe pas si ça donne rien »

Alors il se met à quatre pattes, il frotte son corps mince et lisse contre mes jambes poilues, puis il se relève un peu et sa bouche denculé cherche mon gland. En le regardant faire, japerçois ses deux petits seins en formation qui pendent sous lui : ça fait deux petites pointes mignonnes : un spectacle hallucinant avec ses cheveux de fille et loin en bas, sa minuscule queue et ses petites billes lisses. Je distingue son pubis épilé, je regarde ses membres minces, élancés, lisses, ambrés par le soleilet ça repart. Yohann est fier de sa fellation : « tu vois, ça a marché ». « Je veux pas te décevoir, mais cest de te regarder qui me fait bander, attends un peu."

Je le mets sur le dos, je lui relève les jambes, et mes ses chevilles sur mes épaules : tout en lui est féminin, je pose me queue en érection contre son mini sexe : le spectacle de ces deux queues, lune vraie, lautre en miniature, qui na jamais servi et qui ne servira jamais, la mienne turgescente, la sienne douce et soumise, je recule un peu, je pose mon gland face à son entrée et je marrête, je le regarde tendrement.

Il sattend à une déclaration damour à un truc bien doux, à une jolie promesse et à un baiser chaud et tendre : je ne dis plus rien, puis dun coup de bassin je me plante à fonds en lui : « Tiens prends ça ! »

Il en a le souffle coupé, les bras en croix sur le lit, il lâche un « ouiiiiiiiiiii, cest très booooooooon , ah vs-y, fais moi tout ce que tu veux, je suis à toi, vas-y ! »

Le cul ouvert par la pénétration assez brutale de tout à lheure, il na plus aucune dignité, il se laisse secouer sans broncher, son sexe est trop petit pour faire de grands mouvements, mais il se relève et retombe sur son ventre au rythme de mes coups de reins. On transpire et on glisse lun dans lautre, lun contre lautre, son cul est distendu, ça fait un bruit bien avilissant pour lui, un « floc floc floc » quand mon bassin tape dans ses fesses. Je ressors de lui pour regarder le travail : son sphincter qui na plus rien d’un sphincter lâche un pet énorme : je lui ai tellement baratté loignon que tout lair que ma queue lui a poussé dedans ressort dun coup.

« Tu me fais chier à vouloir une capote, ce serait 100 fois meilleur de te baiser sans caoutchouc »

Le prochain coup si tu veux, mais pour linstant continue comme ça, cest trop top !

Je repose mon gland sur son l’entrée molle et humide de son boyau, je pousse et je rentre en lui en glissant sans saccades, tout est ouvert, tout est lubrifié, tour est à vif: il sursaute, il tremble sous le frottement de mon sexe contre ses muqueuses internes.

Il mattire vers lui, je me couche sur ma femelle, de ses deux mains il enserre mon visage et me guide vers ses lèvres. On sembrasse, je sens ma queue faire des saccades en lui, je jouis, il saccroche à moi, soudés pendant que je me vide en lui

Je reste planté dans son ventre : il a les cuisses totalement relâchées sur le lit, il a les bras en croix, il a la tête sur le côté : plus aucune force, comme si cette seconde saillie lavait complètement épuisé. Je regarde son corps mince, tout luisant de la sueur de nos ébats, je regarde son mini pubis châtain, son sexe microscopiqueje crois bien que je pourrai facilement tomber amoureux de cette petite femelle : tous les avantages et aucun des inconvénients des gonzesses.

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