{ Note de l’auteur : Merci à tous pour vos commentaires sur le chapitre 1 de cette histoire, ça me fait plaisir et me pousse à vous raconter la suite de cette histoire avec ma sur, Emma. Bonne lecture à vous ! }
Je lui dis d’aller se laver, et de se préparer pour la suite de cette soirée qui ne fait que commencer ..
Alors que Emma entre sous la douche, je sors quelques accessoires pour plus tard. Je me dirige vers la salle de bain attenante à ma chambre, toujours nu, je rejoins ma sur qui m’accueille avec un sourire et un baiser langoureux. J’ai envie de m’occuper d’elle, alors sans rien lui dire, je la retourne, je prends ses mains pour les placer devant elle sur le mur, légèrement au-dessus de sa tête. Avec mes mains, je lui intime l’ordre de se cambrer un peu vers moi.
D’une main, je touche ses fesses pendant que l’autre caresse ses seins, cette même main descend lentement vers son ventre pour se diriger vers son entre-jambe. Je la doigte d’abord avec un doigt, puis deux, et j’insère un troisième et dernier doigt. Je continue ce traitement pendant quelques minutes. Finalement, mes deux mains viennent sur ses fesses, descendent vers ses jambes en même temps que je m’accroupis derrière elle.
Je dépose un baiser sur sa cuisse, je fais traîner ma langue sur sa cuisse qui remonte légèrement vers sa chatte, l’eau de la douche qui coule se mélange à la cyprine qui sort de sa chatte. Au fur et à mesure que ma langue monte, je la sens avoir des frissons, je vois aussi qu’elle se cambre un peu plus pour que j’arrive plus rapidement vers son intimité.
Arrivé au but, avec mes deux mains, j’écarte ses fesses et je lui donne enfin le plaisir qu’elle attendait tant, je commence à lui faire un cunnilingus qui, à ce que j’entends, lui fait beaucoup de bien. Je donne quelques coups de langue sur son clitoris, parfois, je l’aspire un petit peu, je regarde ses réactions, j’essaie de voir ce qui lui plaît et ce qui lui fait de l’effet.
De temps à autre, j’alterne entre son vagin et ses lèvres, je vois que ses hanches commencent à bouger, ses mains se crispent, elle penche la tête en arrière et finalement, pour son plus grand plaisir et ma joie, la voilà prise d’un orgasme.
— Thomas .. c’était .. incroyable.
— Merci p’tite ! Dis-je en remontant vers elle, accompagnant cette parole d’un clin d’il. Je te laisse reprendre ton souffle et tes esprits, rejoins-moi vite.
Le temps qu’elle se remette de ce qui vient de se passer, je descends rapidement à ma cuisine boire un jus de pomme, j’ai été pris d’une envie de sucre soudaine. Je me pose cinq secondes sur mon canapé, je me conditionne pour la suite. L’eau de la douche se coupe, je remonte.
J’entre dans la salle de bains pendant qu’elle se sèche le corps avec une serviette, je la regarde en souriant, elle est magnifique. Elle voit mon regard et me sourit en retour. Elle se met devant le miroir pour sécher rapidement ses cheveux, je viens derrière elle lui faire un bisou dans le cou, puis un deuxième, mes mains caressent ses bras, ses hanches, son ventre.
D’une main, je saisis ma bite pour venir la bloquer entre ses jambes, au niveau de sa chatte. Elle ne s’y attendait pas, mais elle commence à faire frotter sa chatte contre mon membre bien dressé. Elle tourne la tête et me dit :
— Tom’ chou, pas encore, laisse-moi un peu plus de repos s’il te plaît.
— Tu crois vraiment que tu as ton mot à dire ?
Ma phrase terminée, j’écarte ses jambes, je la cambre de force et je la pénètre d’un coup sec, sans prévenir. Elle pousse un gémissement, qui voulait à moitié dire qu’elle n’en pouvait plus, mais aussi qu’elle voulait prendre tarif. Pour ne pas tomber, elle prit appui sur le lavabo. Une de mes mains saisie sa hanche pour bien bloquer la position, de l’autre, je tire ses cheveux en arrière tout en restant doux, mais ferme, qu’elle comprenne que ça ne sert à rien de se plaindre et que je fais ça pour son plaisir. Et là, je commence un va-et-vient sur un rythme lent. À certains moments, je recule tellement que je suis à quelques millimètres de sortir ma bite de sa chatte, à ces moments-là, je la sens essayer de la faire rentrer à nouveau, mais dès qu’elle le tente, je la bloque de ma main libre et lui tire un peu plus les cheveux, elle n’a pas son mot à dire.
Pour qu’elle comprenne que je peux tout arrêter quand je le veux, je retire entièrement ma bite de sa chatte, elle gémit de déception.
— Non ! Remet-la-moi, par pitié, prends-moi ..
— Alors laisse moi faire et tu la boucle.
Elle gémit d’approbation. Je me réinsère en elle, et au bout de deux ou trois aller-retour, j’accélère le rythme, rapidement, je lui donne de grands coups de bite, a tel point qu’elle manque de tomber plusieurs fois. Je lui lâche les cheveux pour la prendre à deux mains, elle se met à crier, parfois, c’est mon prénom qu’elle dit à haute voix. Ce que j’apprécie énormément.
Très souvent, elle se regarde dans le miroir qui se trouve juste devant elle, au-dessus du lavabo. Et elle y cherche aussi mon regard, mais je vois rapidement que la voir se faire prendre, ça l’excite beaucoup.
Toujours en tapant plus fort, je me colle à elle et je passe une main sur sa gorge, sans la serrer, je la recule vers moi pour l’embrasser.
— Tho-mas .. je .. vais ..
Et avant de pouvoir finir sa phrase, elle est prise d’un violent orgasme, à tel point que ses jambes fléchissent et elle tombe à terre. Pas question de la laisser à terre, j’étais à deux doigts de jouir. Je la mets à genoux devant moi, je me branle au-dessus de son visage, elle me lance un regard de salope, un regard d’affamée. Elle est fatiguée, épuisée, je le vois dans ses yeux, mais elle en veut encore. Quand je sens que ça monte, je lui dis d’ouvrir la bouche, ni une ni deux, elle prit ma bite dans sa main, me branla un peu en me mettant dans sa bouche, et je jouis en elle qui ne tarda pas pour tout avaler.
Je m’assois devant elle.
— Tu vas bien ? Pas trop k.o ?
— Je suis crevée Tom, c’est la première fois que je me fais prendre aussi violemment et autant de fois .. autant d’orgasmes .. c’est incroyable.
Je souris, je lui fais un bisou sur le front. Je l’aide à se relever, elle s’assoit sur le lit, je descends lui chercher un coca pour éviter une carence en sucre. Une fois son coca terminé, elle me regarde et me sourit.
— Prépare-toi, la nuit n’est pas terminée.
Elle ouvrit grand les yeux, comme pour me dire "Quoi ?! Encore ?!" ; mais avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit ..