Stéphanie était fille dune petite famille bourgeoise dune localité française. Son grand-père puis son père dirigeait une entreprise locale très connue sur le plan régional et même national.
Elle a été élevée dans un environnement très bcbg, plutôt stricte. Elle était le 3e enfant du couple, précédée par 2 garçons. Lainé étant bien sur destiné à reprendre lentreprise, avait toutes les faveurs, le second aussi, elle, clairement devait faire un bon mariage. Sa mère lavait toujours éduquée en ce sens.
Sa mère avait des convictions dun âge ancien sur les « jeunes filles », mais un grand caractère faisait que Stéphanie se mettait au pli. Ainsi elle a toujours fréquentée des écoles privées de jeunes filles, jusquà son entrée au lycée où là, cétait mixte mais toujours dans le privé. Et jusquau lycée elle a toujours portée un uniforme, chose qui plaisait à ces parents, détestant ces filles modernes qui portent le pantalon !
Au lycée il ny en avait plus, mais sa mère lui expliqua quune femme nest pas faite pour les pantalons. Ce que Stéphanie admis très bien ayant toujours porté des jupes. A 18 ans sa mère lui dit qu’il fallait plus porter de collants, elle devenait une belle femme, que les hommes naimeraient pas ce genre de choses, elle la fit porter des bas, des vrais bas, mais tenus avec des portes jarretelles de grand-mère !
Stéphanie ne se rendais pas compte, elle se donnait à ces études autant que possible, bien que limitée. Elle eut son bas avec difficulté. Mais pensant ne jamais travailler personne ne lui mettait beaucoup de pression, elle ne put qu’intégrer ensuite une école privée pour faire un BTS de secrétariat de direction.
Entre temps elle était devenue une superbe jeune fille. Les cheveux châtain, les yeux verts, une poitrine volumineuse sur un corps fin et svelte qui la faisait encore plus ressortir (80D), un joli petit derrière, mais elle nétait pas très grande.
Entre temps aussi elle sentait les choses changer autour delle, son père travaillait de plus en plus, une fois son diplôme dingénieur en poche, son 2e frère alla travailler dans une grande entreprise mais pas avec leur père, puis son premier frère venait de quitter lentreprise aussi. Ses parents revendires la demeure familiale, trop grande à leur gout. Avec son BTS elle se fit embaucher par son père qui la catapulta responsable achats. Elle était bien entourée et ses collaborateurs la respectée, son nom aidant.
Un beau jour, sa vie pris un choc quand son père lui annonça quil venait de revendre lentreprise, car il était proche de la faillite. Il était ruiné, et honteux il irait vivre avec sa mère dans une toute petite maison dans le sud de la France. Il avait obtenu du repreneur, quil la garde au moins pour 6 mois
Peu de temps après lhomme arriva. Il changea vite plusieurs choses. Et lentreprise changea très vite. En effet, le repreneur est un homme assez jeune, la trentaine, mais par contre avec un management bien différent du paternalisme de mon père. De plus cet homme est misogyne, ainsi depuis son arrivée on ne compte pas le nombre de femmes licenciées ou parties delles même. Autre trait notable de caractère, il avait de fortes saute dhumeur et des colères quil valait mieux éviter. Il était très autoritaire, et pourtant entre son père et sa mère elle avait été à rude école !!!
Stéphanie se demandait quoi faire, mais la place quelle avait ici compte tenu de son diplôme, elle ne trouvera jamais mieux. Elle restait donc, il fallait ravaler sa fierté parfois avec les remarques de cet homme, mais bon ça allait. Et maintenant elle avait son appartement, elle ne vivait plus du coup chez ses parents, cétait nouveau, difficile aussi, mais agréable.
Elle était une femme coquette, avait pas mal dépensée en habits lorsquelle vivait chez ses parents. Cétait plus dur maintenant, son salaire ayant était baissé de 30% à la reprise.
Ma mère étant plus loin, javais aussi relâchée ses bons enseignements et diversifiée ma garde robe avec un ou deux pantalons, des collants. Rien de délirants, mais parfois être plus confortable cest sympa aussi.
3 mois plus tard, dans une réunion de management, elle appris
— Mlle Stéphanie, vous êtes en charge des achats ?
— Oui
— Oui qui ?
— Oui monsieur
— Voilà qui est mieux ! Et vous avez un diplôme, une formation dans cette branche ?
— Euh nonmonsieurmais ça fait maintenant
— Donc vous êtes incapable de faire ceci correctement ! ?
— Jeeuhsi
— Moi, je vous dis que non ! par contre vous avez de la chance, vous êtes une jolie femme et grâce à ceci et surtout votre superbe poitrine je vous offre le poste dassistante de direction.
— MaisMartine ?
— Je lai virée ce matin ! vous prenez ? sinon
— Euh oui !
— Très bien, prenez une chaise à larrière et prenez les notes, mais avant allez chercher dans mon bureau, il y a votre remplaçant, je vais le présenter à léquipe.
Humiliée, je regardais les autres, le sourire en coin. Et jobéissais
Trois jours plus tard, un autre exemple de ses capacités !
Là encore, en réunion, il me prit à parti car jétais habillée avec un pantalon (un pantalon de tailleur que la vendeuse mavais chaudement recommandée car il mallait très bien). Il me dit clairement que si je revenais une seule fois en pantalon, il me virerait. On aurait dit ma mère (qui me disais la même chose sur les pantalons qui nétaient pas fait pour les femmes). Il me fit partir chez moi pour me changer immédiatement !!!
Humiliée en public une nouvelle fois, cest la tête baissée, ne voulant pas voir le sourire des males en présence que je sortie de la salle pour rentrer chez moi me changer. Sur le trajet jentendais encore ses mots. Javais envie de pleurer.
Deux jours plus tard, les choses se compliquèrent encore plus
La dernière fois ? il y a 2 jours, javais filé mon collant. En mappelant dans son bureau il le remarqua immédiatement et, sans gêne, il me le fit remarquer :
— Mlle votre bas est filé, veuillez en changer rapidement svp.
— Euh, javais remarquée, merci, mais je nai pas de collant de rechange ici Msr
— Alors on a 3 problèmes Mlle !!
o 1, je déteste la nourriture en emballage sous vide, et les collants ça me fait penser à ça, donc je ne peux pas imaginer que vous en portiez ici. Vous êtes une femme, portez des tenues de femme bon dieu !! Des bas cest pas compliqué, à la limite des dim-up !!
o Deuxièmement, comment pouvez-vous remarquer que votre tenue nest plus parfaite et ne rien faire ?
o et troisièmement, il faut savoir prévoir dans la vie. Si un client vient, et vois ma secrétaire ainsi, que va-t-il penser, quelle image vous donnez de vous, mais aussi de ma société ? PITOYABLE ! Vous avez de la chance, je dois aller faire une course à midi, je vous rapporterais quelque chose !
Et il le fit !
Il revint avec une vingtaine de boites de bas, il avait dévalisé le super marché ! Il avait parfaitement trouvé ma taille. Mais cétait tous des vrais bas. Donc immettables sans rien pour les tenir. Je nosais le lui dire de peur de provoquer une nouvelle fureur menant à une humiliation. A ma surprise il avait un autre sac, et il en sorti un ensemble de lingerie, soutien-gorge, porte-jarretelles et string ficelle. « Tenez, maintenant vous pourrez être féminine. » Là encore il avait vu juste sur les tailles ! Voyant son regard je compris que je devais aller me changer sur le champ sans plus attendre. Javais un peu honte aux toilettes mais pas le choix. Il me fit ranger toutes les boites de bas dans mon armoire du travail
Quelques jours plus tard, un beau matin de printemps, me voici de bon matin marchant dans la rue, chaussée de tes escarpins qui frappent le sol. Les mêmes gestes répétitifs que je fais chaque jour, déambulant dans la rue mon déhanché fais se retourner plusieurs hommes, ainsi que ma poitrine se ballotant. Ca fait plaisir ! il est vrai que ce coté de ma vie est vide, je ne my donne pas. . je me dit intérieurement « Ah.si je pouvais prendre un peu de bon temps ! Méclater avec un type Mais il faut que jaille bosser pour ce con, beau gosse, mais arrogant au possible qui croit quil peut tout obtenir sur un simple claquement de doigts . Quel connard ! »
Jarrive au travail, le gardien minterpelle : « Mademoiselle Stéphanie !! Le big boss en personne ma dit quil voulait vous voir personnellement dans son bureau dès votre arrivée » . « Que veut-il encore ?, il va me voir toute la journée »
Me voilà à notre étage. Jai peur de sa nouvelle crise, quand il est comme ça ce nest jamais bien bon.
Jarrive à mon bureau, pose mon sac, et je vais frapper à sa porte par la porte donnant à son bureau directement depuis le mien
TOC TOC TOC
— Entrez !!!
Timidement jouvres la porte
— Bonjour Monsieur, vous souhaitiez me voir nest-ce pas ?
— Effectivement ! Suite aux différents concernant votre tenue vestimentaire ; je voulais massurer que vous aviez bien pris en compte cette consigne. Votre tailleur est nickel, en revanche ce sont des bas ou des collants ?!
— Euh..
— Ma question est pourtant claire, je ne me suis pas « ruiné » en vous achetant ce quil vous fallait afin de les utilisés pour batifoler à lextérieur Mademoiselle ! Alors répondez !!
— Des bas Monsieur .. Une de ces paires que vous mavez fournies
— Très bien. Comme le contrôle est de rigueur dans cette entreprise, montrez-moi ça !!
— Pardon ?
— Vous avez très bien entendue, ne mobligez pas à me répéter.
— Mais Monsieur.
— Je crois que nous avons un problème de communication tous les 2, ne suis-je pas claire ?!
— Oh si Monsieur. Mais cest intime, privé (je le vois sénerver je me dis quen montrant à peine les hauts de mes bas il sera content)euh ici ? Maintenant ?
— Évidemment, pas dans 3 heures !!!!!
— Mais Monsieur, vous ny pensez pas .
— TOUT DE SUITE !!!!!!
Devant cet « consigne » on ne peut plus claire, je saisis le bas de ma jupe afin de le remonter lentement jusquen haut de la couture de mon bas. Ma jambe est légèrement pliée, et mon patron se délecte de ce spectacle accrochant un léger rictus à son visage. Gênée, humiliée encore, je pries intérieurement pour quil me dise de remettre ma jupe normalement. Ces secondes me paraissent interminables..Soudain il reprend la parole :
— Bien et le porte-jarretelles ?! Aller relevez plus haut je ne vois rien
Je le sais, cela ne sert à rien de discuter avec ce type : je mexécute une nouvelle fois ; je relève ma jupe un peu plus haut encore laissant apparaître lagrafe de mon porte-jarretelles.
— Voilà qui est mieux Mademoiselle . Détendez vous, nous sommes entre adultes nest ce pas ?!
— Oui Monsieur.
Je me demandes intérieurement « où veut il en venir ? », jai un peu peur de la réponse !
Soudain il se lève de son fauteuil en cuir noir, fait le tour de son immense bureau toujours bien rangé et sapproche de toi .
— Je ne vous apprendrais rien en vous disant que vous êtes désirable..
— Je euh
— Nayez pas peur, je ne suis pas un monstre (le ton est plus apaisé et il se rapproche de plus en plus )
Il sapproche de moi, je recule, jusquà toucher son bureau. Je ne suis pas rassurée, il se colle à moi.
— Mais Monsieur ! Que faites vous ?!
— Ne fais ta mijaurée, tu sais très bien où je veux en venir (sa main passe derrière ta tête pour la rapprochée de la sienne ; tu te débats )
— Laissez moi !!!!
— Arrête ça !!!!! (rétorque t il ) Je vais te baiser et tu vas adorer !!!! Nimporte quelle connasse de ton genre rêve de baiser avec un mec comme moi, alors sois plutôt honorée !!
Je tente de le repousser, mais il est plus fort et je suis coincée, je ne veux pas le laisser faire, mais en vain ; il est plus fort et commence à membrasser dans le cou.
— Arrêtez !!! Je vous prie !!!!
— Ta gueule !!!
Il me gifle et je sens son sexe durcir dexcitation contre moi. Il me tire les cheveux pour amener ta tête en arrière :
— Stéphanie !!! Je sais que tu en as autant envie que moi, alors ne moblige pas à être désagréable
Je panique complètement. Je connais son bureau, je sais quil est parfaitement insonorisé, et que même si je crie, personne nentendra. Quand bien même, personne ne risquerai sa place
Je le regarde, il est parfaitement calme, sûr de lui, il sait que je suis moins forte et que jai très peu de chance de lui échapper.
— Aller petite putain, tu ne vas pas me faire croire que tu as acceptée de mettre ces jupes, cette lingerie pour moi sans savoir ce que je voudrais ensuite !!
— Non jamais !
— Ne fais pas lidiote, ne me prends pas pour un idiot, de plus tu es intelligente, tu as bien compris la place dune femelle ici ! si tu préfères jouer ceci à la dure, il ny a pas de problème, je sais faire aussi et jy prendrai autant de plaisir crois-moi !!
Sur ces mots, en un seul coup, il me retourne. Je suis dos à lui. Immédiatement il colle son corps au miens, son sexe entre mes fesses. Je le sens très bien. Il me parait énorme !! jai peur. Il me tient toujours les cheveux de sa main gauche, plaquant mon visage sur son bureau, de sa main droite, il viens fouiller dans mon SG. Sans précaution il glisse sa main dans mon chemisier, force quand quelque chose résiste (un bouton vole), glisse sa main dans le bonnet du SG et en fait sortir mon sein. Là maintenant il est à sa disposition, et sans ménagement il commence de pincer mon téton.
— Hummm, tu es bien une belle salope, tes tétons sont déjà durs comme du bois !! (il continu de les travailler, les malaxer sans ménagement, de les pétrir et de les pincer. Jai honte, je sens mon corps machinalement répondre positivement à ces attouchements.). Taimes ça hein sale pute ?!
— Nonjemais( Ma tête refuse ce quil se passe, mais mon corps lui pas du tout, je me rends compte que mes tétons sont tendus et durs, et surtout, que ma chatte mouille abondamment, comme jamais même je dirais !). Jai terriblement honte. Et a chaque fois quil me parle crûment je sens mon excitation monter encore !
— Oh salope quelle paire de seins tu as. Ouah !
Il me lâche la tête, je nose pas bouger, sa main viens vers ma jupe, et la relève lentement. Puis sa main vient se glisser entre mes cuisses.
— ECARTES !
Et jobeie.
— Cest bien ma belle(sa main viens sur mon string, caresse ma chatte, puis se glisse dessous et sans peine se glisse entre mes lèvres trempées) ..et bien, pour quelquun qui ne veut pas, tu mouilles beaucoup ! dis donc, cest pas une chatte, cest un lac ma salope ! (il vient denfoncer un doigt dans mon vagin)
— Oooh doucement
Jentends le zip de sa braguette.
— Allez viens me pomper ma pute.
— Oh monsieur non je naimes pas ça
— Je ne tai pas demandé si tu aimais, tu es là pour me servir, tu es ma chienne, ma pute, mon vide couilles, cest ton job ! et si tu le fais bien, alors je vais tentretenir et te donner beaucoup de plaisir. POMPE MOI !
Je me retourne, je remarque quil est en train de me filmer avec son téléphone, il magenouille face à son sexe. Je nai pas une grosse expérience côté sexe cest vrai, jen ai vu quelques uns, mais jen ai jamais vu daussi gros. Jai à peine le temps douvrir ma bouche que déjà il senfonce dedans et fais des va et viens pour « baiser » ma bouche.
Je le regarde pour voir si il aimes.
— Oh ma salope tu es belle avec ma queue qui te déforme la bouche, allez pompe moi comme si cétait une sucette ! Creuse tes joues ma pute !
Jobeie et immédiatement je le vois prendre du plaisir, je vois son corps se tendre, ses yeux se fermer. Jai peur quil jouisse, mes copines mayant toujours dit à quel point le sperme est degueu.
— Mes c couilles ! caresses mes couilles et branle moi en meeeemmme temps..ouiiii
Encore une fois je suis sa demande, je caresse et presse un peu ses couilles de ma main gauche et avec la droite je branle ce qui nest pas dans ma bouche. Lui va et viens dans ma bouche, par des coups de reins rythmés, parfois très profonds, allant au fond de ma bouche et presque dans ma gorge, jai honte mais il me remplie tellement ma bouche que je bave ne pouvant plus trop avaler ma salive.
Très vite je lentends râler très fort, pousser son sexe et là je reçois dans ma bouche une forte giclée !
Nosant avaler je la garde en bouche, une autre arrive, encore plus grosse, ma bouche est pleine, nayant pas le choix javale, mais le goût nest pas si terrible, jaime bien même ! mes copines ny connaissent rien !
Sans men rendre compte, je pompe pour en avoir dautres et lui continue de gicler dans ma bouche. Je ne me rends même pas compte que moi aussi je gémie fort de plaisir en recevant tout ce jus.
Puis les giclées se font plus petites et puis plus rien ! Mais il reste dur.
— Oh putain quelle suceuse tu es ! ouah, jai jamais giclé aussi vite !
Je le regarde, je reste avec son gros sexe dans ma bouche, attendant quil se retire, mais jaime bien avoir ce monstre en moi. Il se retire lentement, un filet pend entre mes lèvres et son gland.
— Alors salope, tas aimée, je tai entendue gémir comme une chienne, taime ça le foutre ?
— merci oui
— parles moi correctement sale pute !
— merci monsieur, cétait très bon. Oui jai presque jouie rien quen recevant., oh jaime etre votre pute !!!
—
Et là je réalise ce que je viens de dire !!! il y a un blanc, on se regarde, lui se dit que je vais me rattraper et me contre dire.
Je réfléchie très vite dans ma tête. Dois-je dire que je me trompe ?
En même temps voici un homme superbe, charmant. Un homme qui vient de me donner du plaisir et me donner envie comme jamais jai pu ressentir ça. Certainement quelque part cest ce que je cherchais sans le savoir. Peut-être ai-je enfin trouvée et que ce quil me faut cest être ainsi dominéela chiennela pute dun Homme.
Je le regarde et ne contredis pas mes parolesjai toujours son sexe dans ma main droite et lentement je caresse son sexe encore raide en le regardant dans les yeux
— Voilà, tu vois ce nest pas la mer à boire . En plus je maperçois que tu aimes ça et que je suis en train de te faire découvrir ton côté caché.. Alors, continuons dans ton éducation.
— Non Monsieur, sil vous plaît, oui jai aimé cest vrai mais restons en là ..
— Décidément vous avez beaucoup de mal à comprendre ce que je vous dis. Je ne tai pas posé de questions là. Tu es à moi maintenant et cest tout. Et si jamais lenvie te prend de parler ou de partir, jai cette superbe vidéo que je diffuserais largement ici et même à tes parents !
Il me relève, ma main lâchant son sexe encore durcit de cette merveilleuse pipe, il me fais signe de masseoir sur son bureau immense. Je massois appuyée sur mes coudes, il me bascule en arrière, enlève mon string Contre toute attente il se penche et sa bouche sapproche de ma petite chatte trempée, sa langue sempare de mon clitoris pendant quune de ses mains tire mon pubis en arrière afin de bien dégager ma fente; jappuie mes talons appuient sur ses épaules.
— Non Monsieur il ne faut pas.Hummmmm comme vous lécher bien. Oh Oui !! Encore !
— Tu vois que tu aimes quon te bouffe la chatte ! tu es une salope comme les autres, je ferai de toi ma plus belle recrue
— Monsieuuuuur ! Je crois que je vais jouir, oui, léchez moi encore ..
— Ne tinquiètes pas je te boufferai le minou aussi longtemps quil le faudra et tu jouiras grâce à ma langue.
Sa langue fouille les moindres recoins de ma chatte, je mouilles encore et toujours à un point que je me cambres complètement en gémissant de plaisir .
— Ohhh Oui !!! Jaime ça, je suis une salope
Je sens maintenant ses doigts venir se glisser dans mon vagin en faisant des vas et viens :
— Ohhhh Monsieur, Oui encore allez y, plus vite je vais jouiiiiiiiiiiiiiiiir .Oh cest trop bon ce que vous me faites vous êtes..Jamais on ne mavait fait cet effet là
Il stop juste avant mon plaisir, se redresse ; je le regardes une nouvelle fois sans savoir comment réagir, lui ne se pose pas de questions ; il prend son membre et viens le placer contre mes lèvres..
— Et maintenant ma jolie je vais te prendre » dit-il en saisissant mes cheveux
— Non sil vous plaitIl suffit !
— Ta gueule ! Espèce de trainée, je vais te baiser comme jamais on ne tas baisée et puis tu as déjà oublié ce que tu mas dit tout à lheure : « jaime être votre pute Monsieur » . Alors tiens toi prête . »
Je suis allongée sur le bureau, offerte.
Je sens son sexe venir contre le mien, je sais que ma chatte est trempée et quil ne vas pas avoir beaucoup de mal à entrer en moi. Par contre je suis plus inquiète par rapport à la taille de son sexe, nen aillant jamais eu de pareil. Je me demande si ça va faire mal et si je vais avoir du plaisir
Ma réponse arrive vite, son sexe peine à entrer, ma chatte nayant jamais connues de sexe de ce volume, mais vu que je mouille comme jamais, son sexe glisse sans difficulté en moi. Et cest là que je me rends compte que je suis vaginale.
Ce sexe énorme menvahie, dilate mon vagin, et au fur et à mesure quil me pénètre lentement mais surement, centimètre par centimètre jusquà cogner au fond de mon intimité, une onde, une vague de plaisir me submerge !
Une fois au bout il ressors et reviens à nouveau, toujours lentement, je tends mon corps pour mieux te recevoir, je gémie très fort, je ne suis déjà plus moi-même !!
Je prends tes mains et les posent sur mes seins, tu ne tarde pas à les malaxer et à jouer avec mes tétons.
Il nen fallait pas plus pour déclencher mon premier orgasme !
Mon premier ????!!!!
Oui, mon premier, jamais eu du plaisir avant, mais jamais ça. Là cest une vague qui memporte, qui dure longtemps, mon cur bat à 200, tout mon corps frissonne de ce plaisir, et je ne me rends pas compte que je hurle en lencourageant avec des mots que je nai jamais oser dire !!!
— Oh oui salop, oui défonce moi avec ta grosse bite
— Tiens salope prends ça
Et le voilà qui accélère le rythme. il sens ma mouille couler, affluer dans ma chatte. Son sexe est luisant et coulisse facilement en moi.
— Ça te plait hein ma salope de te faire baiser par ton patron ?
— Oh oui encore vas y !
— Oh ne tinquiète pas ma pute, tu vas en prendre plein la chatte !
— Ouiii vas y baise moi je suis ta pute !!!
Il se met maintenant à accélérer comme un fou faisant à nouveau remonter mon plaisir.
Il mentends gémir de plus en plus, moi je glisse ma main vers son sexe et presse ses couilles.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, alors que nous sommes tous les deux bien partis, il stop et ressort de mon intimité.
il me fais me relever, et une fois que je suis debout il me fait me retourner et me pencher en avant, me faisant appuyer les coudes sur le bureau et creuser mes reins.
— Quel beau cul tu as ma pute !
Jai peur de ce quil va faire dans cette position. Je sens son gland contre ma cuisse, il est humide de ma mouille. Il prend son sexe et le fais se balader entre les lèvres de ma chatte et dun coup senfonces en moi complètement !
Ses mains viennent saccrocher en haut de mes cuisses avec mes jarretelles. Il fait des mouvements amples, sur toute la longueur de son sexe, cognant fort quand il arrive au bout, son ventre claque contre mes fesses. Mes seins ballottent dans le vide au rythme de ses coups de rein.
Et peu à peu il accélère le rythme, sa main gauche quitte ma cuisse pour venir attraper mon seins gauche et mon téton quil torture, me faisant crier de plaisir.
Moi je glisse mon bras droit sous mon corps et viens avec mon pouce et mon index serrer et branler la base de son membre et avec les autres doigts de ma main attraper et presser ses couilles bien pleines.
Je lentends alors gémir et râler, je sais que son plaisir monte aussi. Je nattends que ça, ses doigts se serrent, tes coups deviennent plus rapides et désordonnés et tout à coup il se colle à moi dans un dernier coup puissant et je sens ton sexe gicler en moi déclenchant mon orgasme.
Nous jouissons ensembles et il me dis en même temps :
— Tiens sale pute prends mon jusaaaahhh je vais te remplir salooooope !
Effectivement, ton sexe nen finit pas de gicler en moi, je sens plusieurs jets dans mon vagin.
Ne tenant plus, dans un état second causé par le plaisir, lenvie de reboire son jus est trop forte, je me dégage de son étreinte, je me retourne et maccroupie, et là une nouvelle giclée sort, « balafrant » mon visage du menton jusque dans mes cheveux, je saisie son sexe et le guide dans ma bouche.
Il est luisant du mélange de son sperme et de ma mouille. Je referme mes lèvres dessus et pompe fort. Et là je reçois les deux dernières giclées, puis plus rien. Je men délecte, je navalent pas tout de suite, je garde le sperme en bouche avec sa queue encore bien raide. Un coctail sperme, mouille salive se forme dans ma bouche.
Machinalement je continue de sucer et pomper, et même avec ma main droite je te branle.
Tu mencourage. Je suis surprise !
— Oh vas y salope ouiii, vas y pompe moi ça revient.alleeeeezzzz..oh putain jai tiré le gros lot avec toi tes une vrai pompe à foutreoui pompe allleeez oui mes couilles caresse les, aaahhhh, etc
Curieuse, obéissante, je continue et après 5 minutes de ce petit jeu, tu es secoué de spasmes et une grosse giclée de sperme cogne au fond de ma bouche, puis deux autres plus petites !!
Lui sent mes doigts serrer son sexe et de lautre main serrer fort sa cuisse, il voit mes yeux se fermer, et mentends gémir ! Oui, il nen revient pas (et moi aussi), mais il est bien certain que je viens de jouir en recevant et avalant son jus !!!
Très vite je sens son sexe ramollir dans ma bouche, jen profite pour lavaler entièrement et le nettoyer complètement. Il se dégage lentement et je le regarde pendre, luisant de ma salive et parfaitement propre.
Ce dont je ne me rendais pas compte, cest que dans cette position accroupie, ma chatte, complètement dilatée par le passage de son gros membre, souvre et laisse séchapper sur le sol tout le jus quil a giclé dedans. Perdue dans ma pipe je ne men rends pas compte.
Par contre il le voit et sen amuse tout en me regardant lui nettoyer le sexe.
Une fois que jai terminée, il me dit :
— Maintenant ma salope, il ne faut pas laisser ce précieux jus se gâcher ainsi par terre, lèche mon foutre par terre, le sol est propre ne tinquiète pas !!
— Oh oui maitre, merci cest trop bon.
Je réalise que je viens de tappeler Maître naturellement.
Il est estomaqué par mon changement en si peu de temps. Il se dit quune soumise sommeillait en moi et quil a eu beaucoup de flair, et quil vas bien pouvoir samuser tout en méduquant.
Je me retourne, et quand je vois la quantité au sol, jen ai des frissons, mon cur bat fort dexcitation !!! Une vague de plaisir me parcours, mes tétons durcissent à nouveau. Je me dis que je suis folle !!! A genou au sol, dos à toi, je viens lécher ce sperme.
Il me regarde, étonné que jaie acceptée ça sans rien dire, il mentend pousser de petits gémissements de plaisir au fur et à mesure que je lèche son jus. Il voit ma croupe offerte, mon petit trou, ma chatte ouverte par le passage de ton membre, encore gluante de sperme. Il voit aussi une coulée de sperme gras qui pend de ma chatte dans le vide et dautre qui maculent mes cuisses..
Il mordonne de me relever, et mécarte sur le côté pour regarder.
— Cest pas mal ma chienne, il en reste très peu
Avec son pied il prend ma jupe noire et comme une serpillère, essuies les dernières traces au sol.
Puis il la ramasse, et me dis douvrir, décarter largement les jambes. Je ne comprends pas mais sans réfléchir je tobéie.
Il passe sa main dans ma jupe, prends le coté nayant pas touché le sol, et viens essuyer ma chatte avec ma jupe !! il insiste bien, et même essaye de la rentrer en moi !!!
Je le regarde réfléchir en me regardant.
A ce stade il voit deux choses à faire, soit finir de prendre possession de moi, cest-à-dire prendre possession du dernier orifice quil na pas « visité » (il se doute que compte tenu que je savais à peine sucer un homme, que de ce côté-là aussi il sera le premier), ou bien aller en ville, me faire épiler comme tu le souhaite, et surtout faire des achats de tenues et lingerie à son gout et en rapport avec mon nouveau job et ainsi commencer mon éducation ! .A suivre