La première fois c’est comme si c’était hier j’étais en short et chemisette et jétais assis sur le siège passager de son tracteur mes deux genoux contre son siège. Habituellement il posait sa main sur mes genoux et en exerçant une pression comme une pince avec son pouce et son index juste pour me taquiner ou me sortir de ma rêverie du au bruit et aux vibrations du tracteur. A chaque fois quil me faisait cela, nos regards se croisaient affectueusement. Moi jaimais bien cette sensation de la main dun homme sur mes genoux et je me faisais souvent la réflexion que mon père ne me touchait jamais.
Ce jour la sa main sest posée sur mon genoux, bien à plat il ma caressé en remontant sur ma cuisse, voyant que je ne disais rien, il s’est aventuré sous mon short en caressant avec deux doigts mon petit sexe au travers de mon slip. Petit frisson mais j’ai fait comme si rien se passait et jai fait semblant dêtre encore dans ma rêverie, mais il ne pouvait pas être dupe de mon état car j’ai bandé rapidement! Et c’était bon!
De par mon éducation je savais que ce n’était pas bien mais j’étais déjà un peu porté sur la chose et je me branlais souvent, c’était donc une nouvelle sensation pour moi. Et cela a été le début d’une multitude d’attouchement et à chaque fois de prétexte pour qu’il me passe la main sous mon short et très rapidement sous mon slip, souvent en tracteur mais aussi quand il maidait à grimper sur les remorques de foin ou il avait toujours une main sous mon short quand il me propulsait au sommet des ballots, il trouvait toujours des prétextes pour me faire monter sur une échelle ou par aller récupérer des objets dans des coins peut accessible pour un adulte et ces moments la lui permettait de me caresser les fesses quand jétais à 4 pattes sous une remorque ou me caresser les cuisses et lentrejambes quand jétais couché sous une voiture ou autres meubles..
Au début pas de contact visuel juste sa main sur mon sexe et mes fesses puis après il a eu quelques envies que j’ai accepté tout de suite. Sa première demande a été que je retire mon slip et que je ne porte que le short quand je venais chez lui, c’était plus facile pour me toucher. Pour me donner confiance au début, il mavait incité à me cacher pour le retirer, soit dans les toilettes de la maison ou dans le poulailler et je devais lui remettre mon slip car il disait que personne ne sen apercevrait si mon slip était dans sa poche !
Et puis un jour de forte chaleur alors que je navais que le short et mes tennis, il n’a pas pu résister à me demander de me mettre tout nu. Nous sommes donc montés en haut du tas de foin dans la grange et il a étalé sur le foin une bâche qui servait à protéger les chevaux en hiver et il ma demandé de me retirer juste le short. Je crois que malgré ma première gène, jétais aux anges, je me souviens de voir mon sexe droit comme un I, dur et décalotté, il ma longuement regardé comme si il voulait me faire bien prendre conscience que jétais nu et surtout comme si il voulait également me dominer.
Il sest allongé et ma demandé de venir me blottir contre lui. Je me souviens quil voulait que je pose ma tête sur sa poitrine et que je me mette en chien de fusil avec une jambe au dessus des siennes.
Au début nous sommes resté comme ça longtemps, moi jétais prêt à éclater mon sexe contre sa cuisse lui avait posé sa main contre mes fesses et il me caressait doucement la croupe.
Au bout dun moment il sest mit à me caresser partout, il m’a beaucoup embrassé, léché et il ma fais pour la première fois éjaculer comme jamais je lavais fait dans mes branles en solitaire.
Je crois quà partir de ce moment il a eu une emprise encore plus forte sur moi, il ne ma même pas demandé de garder le secret, à 15 ans javais compris que cela resterait entre nous.
Dans les jours qui ont suivi nous avons souvent recommencé et chaque fois un peu plus et un peu plus longtemps, je crois que j’ai du prendre toutes les positions presque tous les jours nous passions un moment dans la grange soit après le déjeuner sous prétexte de faire la sieste avant les travaux de l’après midi soit quand il pleuvait fort on pouvait y passer jusqu’à trois heures.
Mon corps n’avait plus de secret pour lui il me connaissait mieux que moi! et moi je ne connaissait que ses mains, sa bouche et bien plus tard son sexe qu’il a sorti un jour de son pantalon pour me le faire gouter et me donner ma dose de "vitamines" comme il disait.
A part mes copains, je navais jamais vu de sexe dun adulte, Au début je le trouvais mal foutu un peu gros à limage de la chanson de Pierre Perret sur le zizi du routier.
Puis il ma proposé de le caresser, il me parlait de son sexe comme un objet de culte. Il avait beaucoup de respect pour son sexe, Tout comme pour le mien, il en parlait avec douceur et gentillesse. Je me suis pris daffection pour lui. Je le caressais doucement avec mes doigts sans appuyer sans le brusquer. Quand il est devenu tout dur et très grand mes souvenir me font lestimer entre 18 et 20 cm en érection, jai senti quil viendrait à éjaculer alors le lai léché comme il faisait pour le mien, jaimais bien son liquide légèrement salé, transparent et à force dinsister il a éjaculé en partie sur mon visage mais surtout sur son ventre.
Jai voulu faire comme lui avec mon sperme quand il me nettoyait mais jai eu du mal car autant jaime le pré sperme autant je naime pas le sperme (cela me rappel trop les huitres avec lesquelles jai été malade, à la fois pour le gout et pour laspect).
Son pré sperme est devenu ma dose de vitamines et minéraux et son sperme est devenu ma pommade, nous aimions bien qu’il éjacule sur mon ventre ou mon sexe et je me massais avec son sperme comme une pommade à faire pénétrer.
A la fin de la première période de vacances je ne lavais toujours pas vu nu ! Ensuite nous sommes rentrés avec ma famille pour lannée scolaire.
La deuxième année jétais en troisième et après mon brevet mes parents nous pouvant pas partir avant le mois dAout, javais proposé de partir avant et dêtre hébergé chez mon ami agriculteur. Tout le monde fut ravi de cela, mes parents car ils navaient pas à soccuper de moi, la tante de mon ami car je pouvais laider à faire les foins et la paille et nous deux car nous allions pouvoir continuer nos petits moments intimes.
Et cest avec quelques affaires que je suis arrivé chez lui. Un nouvel été de plaisir en perceptive.
Il avait du beaucoup fantasmer pendant cette année de jeun et quand je suis arrivé, il avait déjà bien programmé nos petits moments.
Dabord il a trouvé que j’avais encore grandi et que mes poils était plus nombreux cette année pour me dire que mes poils du sexe étaient trop long (je crois qu’il en rajoutait car je n’avais pas souvenir d’avoir plus de poils pubien, jétais déjà bien fourni lannée précédente).
Nous avons du user de beaucoup de stratagème pour vivre ce moment de rasage de mon sexe mais aussi de mes jambes pour éviter les remarques de sa tante et des voisins agriculteurs. Nous avons eu également de la chance car il a fait très chaud au mois de juillet un temps de canicule et plutôt de la pluie quand mes parents sont arrivé en aout. Ce qui fait quen juillet jétais souvent en short et torse nu et en aout le jean et tee shirt, mes parents nont rien vu.
Il a commencé à me raser avec son rasoir à main (blaireau et savon en pot). Jétais lisse cela faisait ressortir mon sexe surtout quand jétais en érection, Seul mes bras nétaient pas rasé mais tout le reste oui y compris les trois poils sur me orteils.
Comme lannée précédente, nous passions beaucoup de temps à nous caresser et avec un plus cest que je logeais chez lui !.
Le soir nous attendions que la vielle soit couchée, ma chambre était à coté de la sienne alors que mon ami avait une chambre dans un petit bâtiment à coté. Jallais donc le retrouver tous les soirs dans sa chambre.
Chose curieuse, il ne m’a jamais pénétré avec son sexe moi je ne mimaginais pas lépoque quon pouvait le faire et lui ne me la jamais demandé mais souvent il me mettait un doigt dans mon anus surtout quand j’étais allongé sur le dos et ma tête sur ses genoux. Je pense avec le recul quil me massait la prostate car javais énormément de pré sperme qui coulait de mon sexe même quand je nétais pas en érection, je sais quil trouvait ce la sympa.
Nous avons de temps en temps essayer dautres stimulations notamment avec les animaux de la ferme ; Il aimait se faire sucer par les veaux et ses chiens de bergers, jai aussi essayé jai pas beaucoup aimé les veaux car la langue est râpeuse et quils donnent des coups de tête qui mont fait mal, par contre jai bien aimé avec les chiens. Avec le recul je crois jaimais surtout ma position de me faire lécher par un chien devant lui qui rigolait et qui se branlait. Un jour un des chiens est monté sur moi et ma pris, cétait un petit chien mais jétais partagé entre le plaisir que ça ma fait et la peur quand javais ce sentiment dêtre collé au chien ; Bien que javais aimé on a pas recommencé.
Il y a eu dautres moments extraordinaires car dès que lon pouvait essayer dautres choses on le faisait, je me suis habillé en fille avec les vêtements de sa tante, je me suis baigné dans un torrent avec de leau à 10°, javais le sexe qui rentrais littéralement dans mon ventre, nous avons joué avec la pluie la boue, il me faisait faire du sport dans la grange entre porter des poids, grimper à la corde tout ça nu.
Il na jamais été méchant ou violent quand on jouait même si cétait un peu
« SM » il était toujours gentil et doux.
Ce qui a été surprenant cest que je ne l’ai jamais vu nu ni torse nu ni en short, je connaissais son sexe et ses couilles cest tout.
Aujourdhui je me rends compte que j’aimais cette situation, il me commandait, me palpait, me jugeait etc… Jétais bien, j’avais ce sentiment de lui appartenir et d’être compris, sécurisé j’avais confiance en lui, il m’est même arrivé de m’endormir blotti dans ses bras.
Sauf si avec l’âge j’ai embelli la période et la rencontre avec cet homme je crois que je l’aimais beaucoup.
Jattendais beaucoup de la troisième année mais un accident de tracteur la emporté, je ne sais cest ce qui serait arrivé aux vacances suivantes mais jimagine bien quil maurait vraiment pris comme une femme car moi javais évolué et en ville javais trouvé des revues qui parlaient et présentaient des hommes entre eux, javais vu également des images de relation de domination qui mavait convaincu que nous vivions cette situation sans le savoir, il me dominait cest certain et jétais son jouet.