Après ma nuit avec Louis, nous rentrâmes tous chez nous et pendant quelques semaines ma vie sexuelle se résuma au néant. J’avais réalisé que j’étais souvent passif lors de mes ébats, et je voulais tenter de nouvelle chose. La fois où j’avais enculé le pote de Timothée m’avait bien plus, et je voulais absolument réitérer l’expérience.
Heureusement pour moi, je connaissais la personne parfaite pour ce rôle. J’avais un ami à part de ma bande de copain habituelle, que je connaissais depuis mon enfance. Il s’appelait Clément et était d’une grande innocence. Ses grands yeux bleus lui donnaient un regard angélique, ses cheveux blonds cendrés ne faisaient que renforcer cette impression tandis que son corps élancé et mince me faisait bander directement quand je voulais me branler en pensant à lui. Le connaissant depuis mes trois ans, je l’avais vu mainte fois en maillot de bain et un jour, quand nous étions en cinquième, nous nous étions même branlés à côté. C’était la seule chose qui s’était produite et j’en voulais plus.
Ainsi, un week-end où mes parents s’étaient absentés, je décidai de l’inviter à passer la nuit à la maison. La soirée se passa bien, nous regardâmes un film sur mon lit deux places puis la discussion commença à tourner vers les soins. Je saisis l’occasion et dirigeai la conversation vers le sujet du rasage. Au bout d’un moment, je lançai:
"Et, est-ce que tu te rases la bite toi?
-Heu.. ouais des fois, répondit Clément pas vraiment rassuré.
-Moi j’ai trop de mal en fait, j’ai trop peur de me couper je te jure!
-Bah c’est simple tu prends juste le rasoir et c’est parti.
-Enfin pour moi c’est plus compliqué. Ca serait chaud si tu me montrais comment tu fais ou pas? Parce que j’aime bien l’avoir rasée correctement, demandai-je d’un ton désinvolte."
Clément hésita puis finit par accepter. Nous nous rendîmes dans la salle de bain où nous attendait le rasoir. Là, je descendis mon pantalon sans crainte et fit tomber le boxer peut après. Mon sexe de taille respectable était encore mou, mais plus pour longtemps je le savais. J’aperçus Clément qui jetait un coup d’oeil à ma queue et il finit par se déshabiller à son tours. Une touffe de poil brun ornait son pénis, cela tombait parfaitement bien.
"J’ai vu sur un site que c’est plus pratique de se raser quand on bande, c’est vrai? demandai-je au blondinet.
-Ah je sais pas, c’est vrai que des fois je le fais ça à l’air plus simple!
-Ok bah si c’est plus facile alors…, continuai-je."
Ma main se mit à coulisser sur ma bite qui se dressait déjà à la vue de celle de Clément. Je sentais mes couilles se durcirent, mon engin se dresser devant le regard timide de mon ami qui lui aussi me suivait déjà et se faisait bander. Nous branlâmes nos tiges bien dures pendant quelques minutes en silence, puis Clément saisit un rasoir et commença à m’expliquer ce que je savais déjà.
"Tu vois là tu tiens bien tes couilles et puis tu passes, tout simplement.
-Comment? fis-je d’un air innocent.
-Comme ça, expliqua Clément en me montrant. Il saisit ses couilles à une main puis de l’autre vint raser le dessous de sa queue. Je frémis d’excitation et essaya à mon tours. Tu vois, c’est simple, enchaîna le blondinet."
Nous finîmes donc de raser nos queues bandées puis nous retournâmes dans le lit. Là, je n’attendis plus. Je savais qu’il fallait que j’agisse pendant que l’excitation était encore à son comble pour que les choses se réalisent.
"Putain je bande trop maintenant, tu veux pas qu’on se branle? Je suis chaud là moi, m’exclamai-je mine de rien.
-Heu… bah comme tu veux… ouais, me répondit Clément, indécis."
Je n’attendis pas qu’il se décide pleinement. Pour la deuxième fois de la soirée je libérai ma queue, prit mon ordi portable et mit la première vidéo porno qui me tombait sous la main. Cette dernière commençait déjà à titiller ma bite au son des cris de l’actrice qui se faisait démonter. Clément se toucha à son tours, lentement pour débuter en n’insistant que sur son gros gland rose. Pour ma part, je saisis mes boules en faisait exprès de gémir plus que de besoin pour exciter mon ami. Il bandait dur, cela se voyait, et mon envie prit le dessus, je fis glisser ma main le long du torse du jeune homme. Les yeux bleus affolés de Clément croisèrent mon regard et je le rassurai de quelques paroles avant de prendre sa bite en main. Je sentis tout le corps de mon pote se contracter au fur et à mesure que je descendais le long de ce chibre parfaitement rasé. Ma main opérait des mouvements tantôt rapide, tantôt lent, et j’insistais bien sur le gland comme j’avais vu qu’il le faisait. Tenté, je finis par saisir ses boules et par les malaxer tandis qu’il poussait des gémissements de plaisir.
Bientôt, ma main ne me suffit plus. Cela faisait déjà trop longtemps que je branlais Clément et la vidéo porno s’était arrêtée mais il ne semblait pas l’avoir remarqué. Je me penchai alors le long de sa queue et la prit en bouche sans lui demander son avis. Le jeune homme se redressa et fit mine de vouloir me dégager au début mais lorsque ma langue entra en contact avec son gland, il renonça à toute action et me laissa faire. Mes lèvres parcouraient ce morceau de chair tant désiré, mes mains caressaient son torse qui commençait à être musclé après quelques séances d’entraînements. Ma bouche alla mordiller son téton déjà dur puis descendis le long de ses abdos pour finir sa course sur la bite du blondinet. Je pris le gland avec plus de force tout en branlant, commençant à accélérer le mouvement. Ma bouche embrassa le bout de la tige puis descendis jusqu’en bas en léchant, finissant par prendre les boules que je suçais avec force. La bite de Clément était collée à mon visage, cela m’excitait terriblement car je sentais l’odeur de sexe qui atteignait mes narines. Mon ami commençait à se sentir plus en confiance et avait glissé une main auprès de ma tête pour m’encourager dans mes mouvements. Je sentais que ma langue qui se tortillait le long du pénis lui offrait un plaisir salvateur auquel je voulus goûter. Je me relevai et vint mettre ma bite devant Clément. Il la prit à son tours en bouche et je me mis à crier sans me retenir. Je sentais qu’il avait attendu ce moment trop de fois déjà. Clément adorait ce qu’il prenait, cette longue bite. Je décidai de devenir plus violent pour voir sa réaction. Alors qu’il s’habituait au contact de mon gland contre ses lèvres, je lui fis renifler et finit par bifler le jeune homme qui fit une tête étrange. Quand il la reprit dans la bouche, je me mis à effectuer des mouvements de vas et viens, mes deux mains contre la tête de Clément. Il voulait prendre à son rythme, mais j’imposais le mien. Je finis par le forcer à me faire une gorge profonde. Une vague de plaisir me submergea et je finis par éjaculer dans la bouche du garçon sans prévenir, le sperme venant couler contre les lèvres du garçon.
"Putain t’aurais pu me prévenir que t’allais venir, maintenant c’est à mon tours, me dit Clément à ma grande surprise. Où était passé mon ami réservé et chaste?"
Je descendis alors le long de son chibre et continuai ma pipe, enchaînant les gorges profondes pour lui offrir une pipe excitante. Au fur et à mesure, je finis par rebander et quand Clément éjacula dans ma bouche en criant, je bandais déjà. J’avalai le sperme en le regardant comme une salope puis, sans même lui donner un peu de répit, je relevai le garçon et le mit en position de levrette. Ma bouche alla rencontrer son cul tandis que je le voyais froncer les sourcils. Des poils bruns entourés son magnifique petit anus que je me mis à lécher. Ma langue vint opérer quelques allers retours à l’intérieur de son intimité, alternant avec mon majeur. C’était la première fois que je prenais le temps de faire un véritable anulingus et ce n’était pas pour me déplaire. Ma main vint toucher son sexe pour le faire durcir à nouveau tandis que mes coups de langues continuaient, toujours et encore. Très vite, les choses s’accélérèrent et je sortis une capote de mon tiroir. Clément se redressa tout de suite, alarmé:
"Qu’est-ce que tu fais?
-Je prends une capote, pour t’enculer ça sera plus simple, répondis-je simplement.
-Mais je veux pas que tu m’encules moi Gaël, c’est trop chaud là, en plus je vais avoir trop mal!
-N’importe quoi, regardes comme tu es entrain de kiffer ce que je te fais là, ça va être la même mais en encore mieux. Aller, s’il te plait Clément, tu peux pas t’arrêter là maintenant!"
Il hésita puis mes supplications le convainquirent et il retourna pour se remettre en levrette. Mes mains caressèrent un peu son cul avant que je n’enfile la capote rapidement. N’y tenant plus, je poussai mon gland contre son anus puis, avec une dernière impulsion, je parvins à entrer. Mon ami se mit alors à crier de douleur: j’avais peut-être minimiser la peine de la première fois. Il était vrai que quand Antoine m’avait enlevé mon pucelage, j’avais pleuré. Clément me demanda d’arrêter mais je lui jurai que cela irait mieux. Je finis par continuer mes vas et viens sous les grimaces du blondinet qui tentait de me stopper. Ma bite se frayait un passage dans ce cul vierge avec délice, mon corps se contractait au fur et à mesure que j’enfonçais mon chibre. J’accélérai les mouvements pour accentuer mes plaisirs et caressai le torse, la bite de mon ami pour lui faire oublier sa douleur.
"Allez, endures Clément, je te jure que tu vas kiffer !"
Il se mordait la lèvre, ne voulant pas trop crier et je me mis à aller encore plus vite. Je le martelais de coup de hanches, et son trou avait du mal à se dilater à chaque fois. Mes couilles rebondissait contre son cul galbée qui me faisait envie. Des vagues de plaisir me submergeaient alors que je crachai sur ma bite pour qu’elle coulisse plus facilement. Nous changeâmes de position car je voulais voir le visage de Clément qui commençait à aimer ce que je faisais: pour preuve, il bandait à nouveau. Je poussais encore et toujours mon gland, le sentent compressé, tout en caressant les cuisses musclées de Clément, adepte de VTT. Au bout de vingt minutes passées à le pilonner, j’arrêtais le tout, sentant que notre excitation atteignait son paroxysme. Très vite, j’enlevai le préservatif puis finit par éjaculer contre son anus brûlant. Clément lui, exécutait de grands mouvements rapides sur sa bite et il finit par lâcher quatre gros jets de semence sur son torse. Je léchai le liquide avec délice pendant quelques instants encore, puis me rallongeai à côté de lui: décidément, j’avais des amis plus que cochons au final!