Nous nous trouvons en banlieue d’une grande ville française. Une bande de 5 amis, des amis d’enfance, ont enfin réussi à réaliser un de leur projet les plus cher : vivre tous ensemble, en collocation, sous le même toit. Après de longues démarches administratives pour obtenir des aides financières, d’interminables visites pour trouver « L’Appartement », les 5 amis finissent enfin, après beaucoup de disputes, à se mettre d’accord sur un appartement plutôt grand, chacun ayant sa propre chambre. Deux salles de bains côte à côte, une belle cuisine et un large salon. Le fait qu’ils puissent le louer réside dans la faiblesse de l’endroit : c’est un appartement abandonné depuis des années, et ça se voit ! L’humidité aux murs, le sol détruit à certains endroits, des trous dans les murs, des insectes… Vraiment, c’est une drôle d’affaire.

Mais les 5 gars ont passé leur été à le retaper, et à la rentrée universitaire, il est quasiment habitable. Reste les plus gros dégâts, les trous dans les murs. Mais c’est lors de leur crémaillère que ces trous vont s’avérer très utiles. Une soirée très arrosée. Mais en soit, la soirée n’a que peu d’intérêt, ce qui nous intéresse, c’est l’after.

Gabriel, l’un des plus jeune, complètement bourré, se trouve dans la salle de bain de droite. Alors qu’il pisse, il regarde le trou qui se trouve à sa droite, et se dit qu’il est pile à la même hauteur que son pénis. L’alcool aidant, il s’amuse alors a tester : il glisse son pénis dans le trou et se colle au mur. Mais il ignorait une chose : son pénis, entré à travers ce trou, ressortait dans l’autre salle de bain… où se trouvait Kevin…

Effectivement, Kevin n’était pas en très bon état. A moitié allongé par terre, dans son délire, silencieux. Mais même dans cet état, une queue qui sort d’un mur ne laisse personne indifférent. Surpris, il donne une tape au sexe. En silence. Mais, plutôt que de se retirer, la personne derrière le mur semble apprécier et en redemande, son zizi se transformant petit à petit en un véritable bâton.

Kevin comme Gabriel ignorait totalement qui était le mystérieux partenaire.

Pour Gabriel, ça ne pouvait être qu’une belle salope restée endormie dans la salle de bains, et dont sa queue avait réveillé son appétit sexuel ! Gabriel adorait ce genre de nana qui s’habillent de façon très provocatrice, il adorait encore plus leur donner ce qu’elles voulaient, à savoir être massacrée par une belle matraque de chaire humaine. Son fantasme l’aveugla et il VOULAIT que ce soit une coquine, ça ne pouvait être qu’une belle coquine baveuse !

Pour Kevin, c’était seulement une belle queue. L’alcool aidant, il se dit que c’était son occasion, à ne pas louper. N’étant pourtant pas attiré par les hommes, qui n’a jamais rêvé de goûter à la bite. Sentir un gland bien éveillé se glisser entre ses lèvres, lécher le frein avec sa langue humide, et sentir ce corps s’enfoncer dans sa gorge. Le rêve de tout un chacun !

La tape ayant donné un résultat encouragent, Kevin s’approcha et doucement, commença à baver sur cette courge. Au contact de la salive, elle se raidit subitement, le gland humide tapant de ce fait le menton du jeune Kevin. L’odeur, sous son nez, le rendit dingue. Il s’empara alors de la base de cet engin et ni une ni deux, la fit glisser dans sa bouche, s’appliquant à bien sucer, sa langue tournant autour de ce pylône.

Un râle commençait à se faire entendre, mais Kevin n’y pensait pas. Il savait seulement qu’il faisait du bon boulot. Il se rendait surtout compte à quel point la sensation -plus que le goût en lui même, l’homme en face ayant une hygiène peu notable…- était excitante, et lui procurait du plaisir, si bien qui dû, au bout d’un moment, se libérer lui même de son jean et de son boxer, car son sexe tendu lui faisait mal.

Kevin se mit a essayer de branler la queue toute frémissante qu’il avait devant les yeux. C’était moins évident de son point de vue actuel. Il avait l’impression de soit trop serrer, soit au contraire être trop lâche. Le gars s’agitant en va et vient. Mais les cris ne sarrêtait pas. Kevin était en transe, mais il redescendu vite sur terre. Pourquoi ? Quelqu’un venait-il d’entrer dans la salle de bains et l’avait surpris ? L’homme mystérieux s’était-il mit à regarder par le trou pour qui était le propriétaire de ces gestes délicieux ?…

Rien de cela. Mais alors que Kevin branlait jutesement cette tige, l’orgasme vînt inexorablement, et il fût assommé par le choc, la quantité, l’odeur, la consistance de ce qu’il venait de recevoir dans lil droit puis dans le cou… du sperme bien dense et chaud. Il n’osa y toucher, il fonça sous la douche. Gabriel quant à lui, tomba raide dans l’autre salle de bains, crevé par l’alcool, la fête, et l’orgasme provoqué par une pipe de qualité…

Le lendemain, quand Jean et Cris allèrent se laver, il ne restait aucune preuve de lévénement de la nuit. Seul le petit tissu cachant le trou… qui n’était pas remit correctement. Ce fut à cause de cet espace libre que Jean pu voir Cris se laver sous la douche chaude… Enfin, c’était plutôt Karina, sa jeune sur, qui s’en occupait, lui lavant particulièrement le gland à l’aide de ses gros seins mousseux…

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