Divorcée depuis 10 ans déjà, j’ai consacré toutes ces années à élever Elodie, ma fille unique qui vient de faire sa rentrée en terminale. Je ne me suis jamais remariée ni même recherché des aventures. J’ai mené une vie quasi religieuse, je dis quasi parce qu’il m’arrive régulièrement de soulager ma frustration sexuelle en m’adonnant à la masturbation. C’est une pratique que j’avais beaucoup utilisée pendant mon adolescence, mon corps s’étant éveillé très tôt à la sexualité malgré une éducation très sévère. Bien entendu, il n’était pas question de côtoyer les garçons mais, dans le fond ce n’était pas grave car la masturbation me suffisait pleinement.

    Avec Elodie j’ai essayé d’être différente et de l’élever dans une totale liberté en ne lui cachant rien. Si bien qu’un jour, elle devait avoir alors une douzaine d’année, elle me parla des désirs qui la tenaillaient et des caresses qu’elles s’était alors prodiguées jusqu’à l’explosion finale. Elle me demanda si ce qui lui venait d’arriver était normal. Bien entendu, je l’ai rassurée en lui expliquant que se caresser était naturel, que le même phénomène s’était produit sur moi au même âge et que cela pouvait se prolonger dans le temps sans aucune incidence sur la santé. D’ailleurs, ai-je ajouté pour la réconforter et la déculpabiliser, il m’arrive encore, à mon âge, de pratiquer la masturbation, car c’est le nom que l’on donne à cette pratique.

    Elodie fut contente des explications et pratiqua, comme je l’avais fait à son âge, une masturbation quasi quotidienne car, bien qu’elle fit cela dans l’intimité de sa chambre, ses râles et gémissements étaient parfaitement audibles. Je dois avouer que de l’entendre créait chez moi une certaine excitation et il n’était pas rare que je sois obligée de m’isoler, moi aussi, dans ma chambre pour me soulager.

    Revenons à mon adolescence : jusqu’à mes 18 ans, la seule sexualité que je connaissais était celle fournie par mes doigts. J’avais réussi mon baccalauréat et mes parents m’autorisèrent à partir, avec Martine, ma meilleure amie, en camp de vacance pour le mois de juillet. Etant les plus âgées, nous partagions la chambre de notre monitrice, une ? grande ? de 20 ans. Celle-ci, une belle jeune fille, grande, bien proportionnée, avait la fâcheuse habitude de se promener à peine vêtue et même, quelquefois, entièrement nue. Nous étions subjuguées par sa poitrine très développée. J’avais aussi un regard intéressé pour ce qui se cachait sous la toison qui ornait son bas-ventre car, jusqu’à présent, le seul sexe que je connaissais était le mien.

    Chaque soir, il nous arrivait d’entendre un bruit de frottement régulier de tissu en provenance du lit de la mono et, les soirs de pleine lune, nous distinguions une bosse qui se déplaçait sous le drap, au niveau de l’entrejambe. Tout cela s’accompagnait de légers feulements. Martine me demandait ce qu’elle pouvait bien faire. Je le savais et je l’enviais car cela faisait maintenant presque 8 jours que nous étions ici et que je ne m’étais pas masturbée tout du moins, comme j’avais l’habitude de le faire chez moi, tranquillement dans mon lit. J’avais bien été me soulager une ou deux fois dans les toilettes par une masturbation à la va-vite, en ayant peur à chaque instant de me faire découvrir, mais l’orgasme n’avait pas la même saveur que celui que j’atteignais habituellement.

Ne sachant pas si Martine connaissait les plaisirs solitaires, je lui répondis que je n’en savais rien mais qu’elle pouvait toujours lui demander.

J’avais répondu cela comme une boutade mais Martine, qui a toujours été plus intrépide que moi, questionna la monitrice sur ses activités nocturnes. Lucie, c’était son prénom, nous regarda comme si nous étions des extra-terrestres.

— Vous ne vous branlez jamais dit-elle?

Martine m’a regardée en se demandant de quoi pouvait elle voulait parler.

Pour ne pas me trahir, je pris, comme elle, un air ahuri. Lucie tomba dans le panneau et s’adressa à nous comme si nous étions de véritables ignorantes sur le sujet.

    – Moi, à votre âge, il y avait belle lurette que je connaissais la masturbation? Reprit Lucie.

Et la monitrice partit dans des explications limpides pour moi mais bizarres pour mon amie. Elle semblait seulement avoir retenu qu’il s’agissait de caresses sur notre minou. Martine, toujours elle, finit par demander:

    – Lucie, ce n’est pas très clair, si tu nous faisais une démonstration!

La monitrice ne se fit guère prier. Avec le recul, je suis même sûre qu’elle n’attendait que cela et que ses masturbations nocturnes à peine dissimulées et sonores n’avaient eu pour but que de nous faire réagir. Soit nous connaissions les plaisirs dits solitaires et dans ce cas nous aurions été très vite tentées de l’imiter ou, comme ce fut le cas, elle aurait éveillé notre curiosité.

Lucie dénuda le bas de son corps et s’assit en bouddha sur le lit, face à nous. Notre regard découvrit très vite que, sous la toison, il y avait une fente comme la notre mais là s’arrêtait la comparaison car cette fente était encadrée par des petites lèvres d’un rouge foncé étonnement proéminentes et regorgeait d’un liquide visqueux. Quand un de ses doigts la parcourut de bas en haut, nous vîmes apparaître une petite boule sortant de sa gangue.

    – Maintenant dit-elle, faites-moi voir votre chatte.

J’attendis la réaction de Martine car je ne voulais pas paraître plus délurée qu’elle et quand elle se mit dans la même tenue et position que Lucie, je l’imitais. Lucie nous regarda d’un oeil lubrique. Initier deux pucelles devait l’exciter un max. Moi, intérieurement, je riais car je présumais de la suite et je jubilais déjà de pouvoir enfin me masturber autrement que dans l’anonymat. Cela ouvrait une nouvelle voie dans ma sexualité.

    – Bien. Maintenant faites comme moi.

C’est comme ça que Martine et moi nous nous sommes branlées. Pour une première fois, elle montra de sérieuses prédispositions. Dès son premier orgasme, le plaisir fut si violent qu’elle ne tarda pas à recommencer, nous entraînant vers une série de jouissances qui nous épuisa. Nous sombrâmes dans un profond sommeil sous le regard amusé de la monitrice, heureuse de nous avoir dévergondées. J’avoue que depuis ce jour les liens d’amitié qui nous unissaient Martine et moi, furent plus solides encore.

    Les soirs suivants Lucie venait s’asseoir au pied de notre lit et nous racontait des histoires excitantes : comment avec une amie, dans la salle de classe, pendant les cours, elles se touchaient le minou ou bien qu’ici, à la colonie, parmi les gamines bien plus jeunes, plus d’une, se croyant à l’abri des regards, jouaient à touche-pipi dans un coin isolé du parc. Lucie arrivait à assister incognito au spectacle et trouvait cela si excitant qu’elle se caressait le sexe jusqu’à l’orgasme.

    Bien entendu les récits de Lucie ne nous laissaient pas de bois et tandis qu’elle parlait, nos doigts s’activaient. Nous pouvions avoir jusqu’à trois orgasmes successifs et quand Lucie voyait que nous étions repues, elle nous demandait de la caresser. J’avoue, pour Martine je ne sais pas, mais pour moi, branler une autre chatte me plaisait beaucoup.

    Au retour des vacances, Martine et moi avons continué nos jeux sexuels puis, deux mois plus tard, à cause des études, nos routes se sont séparées.

    Jusqu’à ce que je rencontre mon futur mari, j’ai continué mes séances de masturbation. Même pendant le mariage car, avec mon époux, je n’aie jamais connu ce véritable plaisir que j’arrivais à me donner ou celui que j’avais connu avec mon amie Martine.

Revenons à l’instant présent : un soir, ma fille revint de l’école toute affolée.

    – Maman! J’ai fait une grosse bêtise.

    – Tu as volé, tu as tué, tu t’es battue? Demandai-je affolée

    – Non maman j’ai…j’ai…bégaya-t-elle.

    – Bon, allons, allons, du calme, assieds-toi, respire fort. Il n’y a pas de problème sans solution.

    – C’était pendant le cours de gymnastique ou plutôt à la fin du cours. Nous venions de faire une montée de corde et tu sais, ou du moins tu t’en doutes, la corde frotte très fort entre les cuisses et l’exercice m’a échauffé le minou.

    – Oui, approuvai-je, ça me faisait la même chose.

    – Lorsque j’ai rejoint le vestiaire, j’ai un peu traîné, pour rester la dernière et, une fois seule, assise sur un banc, j’ai passé ma main dans mon short et je me suis masturbée pour évacuer mon trop plein de tension.

    – Je comprends ta hâte lui dis-je, mais tu aurais pu au moins aller t’isoler dans les toilettes! Ensuite ?

    – Tu as raison, mais je croyais qu’il ne me faudrait que peu de temps pour arriver au dénouement. Arriva le moment où je commençais à savourer le plaisir qui montait inexorablement, je fermais les yeux un court instant et, lorsque je les rouvris, madame la directrice me regardait.

    – Ca, c’est plus gênant dis-je, tu as dû avoir droit au sermon…

    – Et bien non, justement, elle a fait demi-tour et elle a disparu. J’ai l’impression que, d’ici peu de temps, tu recevras une convocation du collège à mon sujet.

    – Je ne pense pas, assurai-je, elle te l’aurai sûrement dit mais il serait préférable de crever l’abcès, car tu risques d’être mal à l’aise chaque fois que tu la croiseras. Espérons seulement qu’elle n’en a parlé à personne. Je vais aller la voir dés demain. Le plus difficile sera de lui faire comprendre que je suis au courant de tes ? activités ? et qu’il serait préférable qu’elle oublie purement et simplement l’incident.

    Je me suis donc rendue au collège et ai demandé à voir Mme la directrice. La secrétaire, une jeune femme au visage avenant mais aux formes plus qu’épanouies – franchement grosse même – me fit patienter dans son bureau et alla frapper à la porte du bureau adjacent pour annoncer ma visite.

    – Madame la directrice dit-elle, Mme G. désire un entretien… Bien… Mme G. si vous voulez vous donner la peine ajouta-t-elle en s’effaçant.

    Je pénétrais dans la pièce. La dame qui se trouvait derrière le bureau avait une tête qui ne m’était pas inconnue. Elle même me regarda avec un air bizarre. Au bout de quelques secondes, toutes deux, d’une voix unanime, nous avons presque crié:

    – Ce n’est pas possible! Mais c’est…

    – Martine!

    – Julie!

    Comme nous faisions chacune notre vie sous notre nom d’épouse, elle ne pouvait pas imaginer que j’étais Julie son ancienne amie, ni moi, que Mme R. était Martine mon ancienne copine.

    – Quel plaisir de te revoir me dit Martine, et dire que nous habitions la même commune. Assieds-toi. Que deviens-tu?

    Je lui débitais brièvement ma situation actuelle.

    – Donc continua la directrice, Elodie G. est ta fille alors je me doute du but de ta visite.

    – Vous savez, madame la …

    – Allons Julie, pour toi je suis toujours Martine !

    – Bien sur Martine, mais ma démarche est assez délicate et elle est plus destinée à la directrice qu’à l’amie.

    – Bon! Je vais t’aider. Tu veux me parler de ta fille que j’ai surprise hier en fin d’après-midi dans une situation ne souffrant d’aucune équivoque.

    – Oui répondis-je dans un souffle, comme soulagée d’un lourd fardeau. Je voulais vous…te dire que j’étais au courant des pratiques solitaires d’Elodie mais que, bien entendu, je n’étais pas d’accord pour qu’elle le fasse n’importe où, au risque de se faire surprendre.

    – Je te comprends, acquiesça Martine et tu as de la chance que ce soit moi qui l’ai surprise. Je suis suffisamment large d’esprit pour savoir qu’à cet âge, que nous avons traversé toi et moi n’est-ce pas, le corps a des exigences difficiles à contenir. Tu te souviens pour nous…

    Ces mots me firent faire un bon de plus de 20 ans en arrière. La colonie, Lucie la monitrice, notre complicité, tout cela refit brusquement surface.

    J’en étais là de mes réflexions quand la voix de Martine me fit reprendre contact avec le présent. Bien sur, tout ce dont je venais de me souvenir s’était déroulé en quelques secondes mais suffisamment longtemps pour que Martine me dise:

    – Tu te souviens de la colo, avec Lucie? Ces quelques semaines ont joué un grand rôle dans notre vie future. Mon dieu! Quelles jouissances nous avons eues! Nous sommes alors devenues très complices puis la vie nous a éloigné l’une de l’autre.

    – Si tu savais comme ta présence m’a manqué, avouai-je. Je peux te le dire maintenant, il y a prescription, mais combien de fois je me suis caressée en pensant que c’était ta main et combien de fois j’ai pu jouir en t’imaginant jouir sous mes caresses.

    Je lui racontais brièvement ma vie.

    – Et depuis ton divorce, comment vont tes amours?

    – C’est le grand vide et je ne m’en plains pas.

    – Tu ne vas pas me dire que tu mènes une vie de nonne quand même?

    – Et bien si ! Mais une vie de religieuse est-elle réellement chaste…?

    – N’ajoute rien, commenta Martine, j’ai compris. Et cela te suffit ?

    – Il faut croire que oui puisque je ne recherche rien d’autre. Mais toi, qu’as-tu fait pendant toutes ces années?

    – Lorsque le destin nous a séparé, je me suis retrouvée pensionnaire dans un lycée. Tu dois te douter que dans mon lit, chaque soir, je me donnais du plaisir et je n’étais pas la seule. Tu ne peux pas savoir le nombre de filles qui se masturbent. Aussi, au bout de quelques semaines nous ne prenions même plus la peine de nous cacher. Même les filles qui se plaisaient à nous affubler de tous les noms peu élogieux, finirent par succomber à notre vice. Chaque soir, l’une d’entre nous, racontait son histoire, vraie ou inventée, peu importe, et cela finissait par une masturbation collective. Puis, petit à petit des affinités nous réunirent par couple ou par trio, rarement plus et nous avons passé le cap supérieur. Il était fréquent que nous passions une partie de la nuit à deux dans un lit et grâce à quelques revues pornos qui circulaient, nous avons fini par nous faire jouir mutuellement non seulement avec les doigts mais aussi avec la bouche, pratique que nous n’avions jamais abordée ensemble. Si tu savais, Julie, les fabuleux orgasmes que cela procure.

    Martine s’échauffait en parlant, le rappel de ces croustillants souvenirs semblait l’émoustiller. Elle croisait et décroisait de plus en plus souvent ses jambes. Moi-même, je l’avoue, j’avais la chatte brûlante.

    – Il n’y avait pas de surveillante ?

    – Si, bien sur, continua Martine, mais elle faisait leur tournée tôt et nous nous comportions comme des petites filles modèles alors, l’âme sereine, elle allait se coucher, du moins le croyait-on, satisfaite du devoir accompli. Mais un soir, la surveillante passée, les pensionnaires commençaient à chuchoter et à se caresser quand je fus prise d’une envie de vomir. Je fonçais vers les toilettes et j’y restais une bonne demi-heure. En revenant, empruntant le couloir menant au dortoir, il y avait un renfoncement avant l’entrée de la chambre commune et, dans la pénombre, je remarquais une présence adossée au chambranle de la porte entrouverte. Je crus reconnaître Annick notre surveillante. Comme j’étais nu-pied, elle ne remarqua pas ma présence et elle continua à faire ce pourquoi elle était venue. Sa main, logée entre ses cuisses, s’activait franchement. Annick se branlait. Je ne sais pas si elle faisait cela chaque soir, mais elle semblait prendre un réel plaisir à se masturber en écoutant les autres filles. Maintenant je comprenais mieux pourquoi nous n’étions jamais dérangées. Annick y trouvait son compte. A ce moment deux alternatives s’ouvraient à moi, ou je battais en retraite vers les toilettes ou je…

    – Oui, dis-je, attendant la suite avec impatience, ou tu…

    – Ou je remplaçais sa main par la mienne.

    – Te connaissant, tu as choisi la deuxième solution…

    – Gagné ! Mais j’avais quand même pris la précaution de lui mettre mon autre main sur la bouche pour éviter qu’elle n’ameute toute la chambrée non pas pour le geste en lui même car de se faire branler par une autre main devait la démanger depuis quelque temps, mais par l’effet de surprise Approchant mes lèvres de son oreille, je lui dis de rester tranquille, et comme mes doigts fouillaient déjà son intimité et qu’elle devait trouver cela agréable, elle opina du chef pour me faire signifier son accord. J’ôtais ma main et Annick me murmura de la suivre dans sa chambre. Pendant plus de deux heures nous nous sommes aimées. Lorsque je regagnais le dortoir, toutes dormaient. Au matin personne ne posa de question sur mon absence. Entre Annick et moi ce fut le grand amour durant toute ma scolarité. Au début, mes copines de chambrée trouvèrent mon comportement bizarre, moi qui avais été une branleuse acharnée, je m’étais tout à coup assagie puis, avec le temps, elles me laissèrent tranquilles. Par contre une chose était sure, j’étais devenue lesbienne.

    – Et après demandai-je vivement intéressée?

    – J’ai fait des études supérieures. Séparée d’Annick, j’étais malheureuse. Je cherchais donc d’autres amours pour m’étourdir et me faire oublier mon premier grand amour. Il ne me fut pas difficile de trouver une remplaçante car parmi les étudiantes, les lesbiennes ne manquaient pas. Ensuite, dans ma vie professionnelle, ma position d’enseignante puis de directrice m’a permis de rencontrer moult jeunes femmes ou jeunes filles. J’avoue cependant, surtout maintenant avec les années qui passent, que mes choix s’orientent plus volontiers vers les tendrons. Que veux-tu, je me suis découvert une âme d’initiatrice, un peu comme notre Lucie de la colo.

    – Tu n’as jamais eu de problèmes avec les jeunes filles que tu as réussi à attirer dans tes filets?

    – Non! D’abord je les choisissais toujours majeures car, à la crainte d’être dénoncée et de ruiner ma carrière, je n’aurais pas aimé être condamnée pour pédophilie. Jusqu’à maintenant j’ai toujours su les choisir parfaitement pour qu’aucune d’elles n’aient envie de chercher à me nuire. Par contre, je peux te dire que ces jeunes filles, quasiment ingénue, dés que tu leur as appris à se lâcher sexuellement, elles deviennent de véritables bombes.

    – Et en ce moment, tu as une compagne attitrée?

    – Malheureusement non! C’est ma première année dans ce lycée. Par comble de malchance, il y a très peu de jeunes filles majeures et parmi celles-ci, je n’ai pas encore trouvé le moyen d’en séduire une.

    – C’est pour cela, je suppose, que tu hantes les vestiaires de la salle de gym et que le comportement qu’a eu ma fille dans les vestiaires, la désignait comme une de tes victimes potentielles.

    – Pourquoi te le cacher, Julie, j’y ai songé, surtout qu’elle vient d’avoir ses 18 ans. Je pense que ta fille fait partie de celles qui ont de gros besoins sexuels mais que le jeune âge et la timidité empêchent d’assouvir pleinement.

— Merci de ta sincérité, mais tu comprendras que je n’adhère pas à ton choix. Non pas parce que je ne souhaite pas voir ma fille plonger dans une relation homosexuelle, si cela devait être son choix je ne m’y opposerais pas, mais surtout parce qu’il s’agit de toi, que je te connais.

    – N’ai aucune crainte, me rassura Martine, je la laisserai tranquille.

    – Excuse moi si, pendant quelque temps encore, tu devras te contenter de cette bonne vieille méthode qui consiste à te soulager seule…

    – Pas totalement. J’ai une solution de remplacement et bien qu’elle ne me convienne pas entièrement, elle me permet de prendre du plaisir autrement qu’avec mes doigts.

    – Ah, fis-je curieuse et quel est cet autre moyen?

    – Tu vas voir, je vais te montrer comment j’ai agi hier après avoir assisté à la masturbation de ta fille et que je me suis retrouvée dans mon bureau passablement excitée.

    – Sandra, je sais que tu nous écoutes, l’oreille collée à la porte, veux-tu venir un instant.

    La porte du bureau s’ouvrit aussitôt et la secrétaire entra.

    – Sandra, referme la porte et approches toi. Madame ici présente est la mère d’Elodie. Tu te souviens, Elodie est la jeune fille dont je t’ai parlé hier en fin d’après-midi, celle qui m’avait tant excitée.

    Sandra ne savait quoi répondre, je sentais qu’elle savait très bien de quoi la directrice voulait parler mais hésitait à parler en ma présence. Elle se contenta de hocher la tête.

    – Ne crains rien continua Martine, Julie est une amie. Alors dit lui, dans quelle position j’étais quand je t’ai appelé.

    Sandra ne savait plus où se mettre. Elle était devenue toute rouge et se balançait d’un pied sur l’autre.

    – Allons Sandra, arrête tes simagrées. Vois-tu Julie, Sandra est une grosse cochonne non seulement à cause de son obésité mais parce qu’elle ne pense qu’à se faire jouir. N’est-ce pas Sandra, dis-le?

    – Oui, madame la directrice, finit-elle par dire les yeux rivés sur ses chaussures, c’est vrai, je suis une vilaine branleuse.

    – Au début de l’année scolaire reprit Martine, je m’ennuyais dans mon bureau et tout naturellement je m’octroyais une petite branlette quand Sandra entra sans frapper.

    – Oh, fit-elle, excusez-moi, madame la directrice.

    Sandra restait figée sur le seuil de mon bureau.

    – Bon, fis-je, vous m’avez vu, je suppose que vous savez ce que je fais alors décidez-vous, entrez ou sortez mais fermez cette porte.

    A ma grande surprise Sandra referma la porte en restant dans le bureau.

    – Que veux-tu maintenant que j’arrête ou que je continue?

    – Oh, madame, s’il vous plait, continuez! Depuis le temps que j’en rêve.

    Sandra m’expliqua que très jeune elle dût subir les caresses du concubin de sa mère divorcée et que, malgré la honte qui l’habitait, elle y prenait beaucoup de plaisir. Jamais son beau-père ne l’obligea à le toucher et jamais il n’abusa d’elle non plus, il se contentait de la caresser et de se masturber en sa présence. Malgré tout, elle se sentait mal dans sa peau et sombra dans la boulimie, pensant que son obésité l’enlaidirait et ferait fuir l’ami de sa mère. En effet, elle était devenue si grosse qu’il ne s’occupa plus d’elle mais les plaisirs qu’elle avait connus sous ses caresses lui manquaient et elle s’adonna à la masturbation intensive. A ce jour, à 21 ans, elle m’avoua se masturber quatre à cinq fois par jour au minimum, qu’elle aimait se donner du plaisir en regardant des revues et films pornos qu’elle recevait par courrier sous emballage discret. Elle finit son récit en m’avouant que son rêve était de connaître une personne comme elle qui pourrait partager son goût pour les plaisirs solitaires.

    – Pendant le récit de Sandra, continua Martine, je continuais à me caresser et au fur et à mesure qu’elle avançait dans son histoire, ma position devenait de plus en plus obscène. Sandra, tout en parlant, fixait ma main qui me branlait furieusement. Es-tu satisfaite, lui demandai-je, tu vois, moi aussi j’aime me branler et toi, qu’attends-tu?

    – Je peux ? demanda timidement Sandra.

Et, sans attendre mon accord, elle souleva sa robe, baissa sa culotte et enfouit sa main entre ses fesses. Moins de 15 secondes plus tard, son corps fut secoué par un violent orgasme puis, moins d’une minute après elle jouit de nouveau mais cette nouvelle jouissance ne sembla pas la calmer et elle continuait à se branler furieusement. J’étais frustrée car, à cause de son obésité je ne voyais pas grand chose, j’entendais simplement les clapotis engendrés par sa mouille. J’ai demandé à Sandra, de s’allonger sur la moquette et d’écarter bien ses cuisses pour que je puisse voir sa grosse moule.

La vision de sa chatte a déclenché mon orgasme et le troisième de Sandra.

Depuis ce jour Sandra est toujours partante pour une séance de masturbation et n’hésite pas un instant à me gamahucher la moule si je lui demande. En échange je la branle. C’est meilleur que toute seule n’est-ce pas Sandra.

    – Oh oui, madame la directrice me branle bien !

    – Tu es une gentille fille, approche, tu as droit à une récompense.

    Dés que la secrétaire fut à côté de Martine, cette dernière passa sa main entre les fesses de Sandra.

    – Mais tu n’as pas de culotte ma cochonne et tu es toute mouillée!

    Et, s’adressant à moi:

    – Depuis que nous nous connaissons intiment Sandra ne porte plus de culotte continua Martine. C’est plus pratique. Regarde Julie comme elle aime cela.

    En effet, Sandra ondulait du bassin de plus en plus vite et jouit bruyamment. Espérons que le bureau soit suffisamment insonorisé me dis-je.

    – Tu vois Julie, Sandra est une rapide et elle peut jouir un nombre incalculable de fois. Tient, essaye. Tu veux bien te faire branler par mon amie, n’est-ce pas ma petite Sandra?

    Sandra ne répondit pas mais combla les deux mètres qui me séparaient d’elle en un temps record. Je jetais un regard interrogateur vers Martine qui, d’un mouvement de menton me fit signe d’y aller.

    Un peu hésitante pendant quelques secondes, je me rappelais le plaisir que je prenais quand je pouvais masturber Martine. Pourquoi hésiter, n’en rêves-tu pas lors de tes séances de masturbation.

Alors, comme mon amie avant moi, je glissais la main entre ses cuisses inondées par sa précédente jouissance et atteignit sa chatte brûlante. Je fus surprise par la taille démesurée de ses petites lèvres ainsi que par la longueur et la raideur de son clitoris. Voyant mon air ébahi, Martine sourit et me dit:

    – Ce n’est pas tous les jours qu’on branle une telle chatte hein!

    Il ne me fallut guère plus de temps que Martine pour amener Sandra à la jouissance. J’ôtais ma main enduite de mouille mais la secrétaire restait plantée au même endroit.

    – Bien, Sandra, dit Martine, tu peux nous laisser maintenant.

    La secrétaire laissa retomber sa robe à regret et sortit. Martine me tendit un kleenex pour m’essuyer la main encore pleine du jus de Sandra. Je sentais mon amie très excitée, tout autant que moi d’ailleurs et je la sentais prête à m’entraîner vers une masturbation mutuelle comme au temps de notre adolescence mais, bien que l’envie de jouir me tenaillait le bas-ventre, je pus résister à mon désir et quittais le bureau en promettant à Martine de nous revoir bientôt. Pour rejoindre la sortie je dus passer à nouveau devant le bureau de la secrétaire qui, en me voyant, ne fit aucun effort pour arrêter le mouvement de son bras dont la main était glissée sous la table. Je me suis donc arrêtée un instant devant elle jusqu’à ce qu’une grimace m’indique qu’elle venait de jouir. Avant de passer la porte, j’eus juste le temps d’entendre, à l’interphone, la voix de Martine qui disait:

    – Sandra, viens vite, j’ai besoin de tes services.

    Je fis semblant de sortir et revins en marchant sur la pointe des pieds. J’entrebâillais la porte du bureau. Martine était assise sur son fauteuil les fesses en avant et, à quatre pattes sous la table je voyais le gros cul de Sandra dont la tête était plongée entre les belles cuisses de Martine. Je n’ai pas pu résister. A mon tour je me suis mise à me branler. Martine et moi avons joui simultanément.

    Je regagnais ma voiture avec difficulté, mes jambes avaient du mal à me supporter. A peine assise, sans même savoir si quelqu’un pouvait me voir, je me suis encore branlée et la jouissance arriva vite, fulgurante. Le trajet de retour se fit dans un brouillard complet et une fois dans le maison, je me suis vautrée sur le canapé et je me suis faite jouir encore une fois, lentement, en repensant à l’histoire de Martine et à celle de Sandra, me remémorant sa chatte juteuse avec son énorme clito. Ce troisième orgasme m’anéantit et je sombrais dans un profond sommeil. Je ne sais combien de temps s’était écoulé mais j’étais restée dans une position pas très décente quand je sentis une main me secouer l’épaule et entendis une voix me parler.

    – Maman, ça va?

    J’ouvris les yeux et regardais effarée le visage de ma fille penchée sur moi qui me découvrait dans une posture des plus gênante.

    – C’est toi Elodie, excuses-moi de me montrer ainsi, quelle honte!

    – Heureusement que c’est moi. Imagine qu’il s’agisse du facteur!

    – N’empêche, j’ai honte.

    – Allons maman. Je suis grande maintenant. Cela fait un sérieux bout de temps que je sais que tu t’adonnes à la masturbation. Tu ne m’as pas jugé quand je t’ai avoué que je la pratiquais alors pourquoi te jugerais-je maintenant. Malgré tout je suppose que tu dois avoir de bonnes raisons pour avoir fait ça, ici, au salon, en pleine après-midi?

    Je me mis à raconter ma visite au lycée. Les retrouvailles avec mon ancienne meilleure amie. L’évocation de nos souvenirs. J’éludais complètement l’homosexualité de Martine ainsi que l’épisode Sandra. Je lui expliquais que mon excitation était liée à ses fameux souvenirs évoqués ensemble.

    Elodie se contenta de mes explications vaseuses, ne voulant pas, par tact, me mettre dans une situation embarrassante et je l’en remercie.

    – Bien, finit-elle par dire et pour mon histoire de vestiaire?

    – Terminée, affaire classée.

    – Merci Maman chérie.

    Elodie me fit un gros smack sur la joue et monta dans sa chambre faire ses devoirs. Moi, je fis un tour vers la salle de bain afin d’effacer les traces de mes jouissances et finis dans la cuisine pour y préparer le repas du soir.

    Le soir même, je m’endormis comme une souche mais mon sommeil fut particulièrement agité. Dans mon rêve le visage de Sandra me hantait ; enfin, quand je dis visage, mes visions se situaient bien plus bas… J’avais l’impression de sentir sous mes doigts la grosse moule de la secrétaire. Je me réveillais couverte de sueur et le minou trempé. Martine avait eu raison quand elle m’avait demandé si j’avais déjà connu une telle chatte. Non seulement maintenant j’avais une furieuse envie de la toucher à nouveau mais j’avais également une furieuse envie de la voir et même de la lécher bien que ce serait une pratique que je n’ai jamais expérimentée. Pour me rendormir je dus une nouvelle fois faire appel à la dextérité de mes doigts et au souvenir pas si éloigné de la moule de Sandra et je jouis en criant son prénom.

    Le soir même je fis le guet à la sortie du lycée et dés que la secrétaire franchit le portail, je l’abordais.

    – Sandra excusez-moi.

    La jeune femme me regarda surprise. Bien sur, elle aussi, je l’appris plus tard, avait beaucoup pensée à moi la nuit précédente, mais jamais elle n’aurait imaginé qu’une femme, telle que moi, puisse, une seule seconde, s’intéresser à elle.

    – Oui, madame, si c’est au sujet de ce qui s’est passé hier après-midi, oublions voulez-vous. Ce fut agréable mais j’ai fait cela dans un état second. Vous aurez sans doute compris que je suis entièrement sous la coupe de madame la directrice, elle annihile toute ma volonté. Je suis grosse, je suis moche, comment voulez-vous que je résiste dés qu’une personne quelque peu avenante semble s’intéresser à moi. Pourquoi croyez-vous que je sois obligée de m’aimer moi-même? Pourquoi suis-je obligée de me soulager plusieurs fois par jour? C’est simplement parce que mes orgasmes bien que satisfaisants, n’atteignent pas la qualité de ceux procurés par quelqu’un d’autre alors je suis dans l’obligation de les multiplier. Sur ce, bonsoir madame.

    Sandra tourna les talons et partit d’un bon pas. Je la sentis malheureuse et en quelques enjambées, je la rattrapais et lui saisis le bras, l’obligeant à me faire face.

    – Sandra, écoutez-moi sans m’interrompre. Si je vous ai attendu ce soir ce n’est pas du tout pour vous demander d’oublier, au contraire ! J’ai eu une forte envie de vous revoir et ce n’est pas par compassion non plus et encore moins par pitié. J’ai simplement envie de mieux vous connaître et pourquoi pas, devenir votre amie, voilà.

    – Excusez-moi madame d’avoir été aussi désagréable mais, ça fait beaucoup trop d’années maintenant que je subis les sarcasmes des gens et j’essaie de me constituer une carapace.

    – Vous êtes excusée Sandra, je n’aurais peut-être pas dû vous aborder aussi cavalièrement. Alors pour repartir sur des bases saines, comme je vous ai appelé par votre prénom, vous allez m’appeler Julie. Si nous allions boire un verre?

    – Vous devez vous en douter Julie, je n’aime guère fréquenter les lieux publics, allons chez moi si vous le voulez bien, j’habite à deux pas. C’est tout petit mais coquet, vous verrez.

    Une fois chez elle, bien installée dans un confortable fauteuil, après avoir bu une tasse de thé et mangé quelques petits fours, je me mis à lui raconter ma vie, comme je l’avais fait hier à Martine mais j’insistais un peu plus sur les relations libres qui nous unissaient ma fille et moi.

    – Avec ma fille disais-je, nous n’avons pas de tabous. Dés qu’elle eut compris que des caresses pouvaient faire vibrer son corps elle m’en a parlé. De mon côté j’ai essayé de la déculpabiliser en lui faisant comprendre que son cas n’était pas unique. Je n’ai jamais éludé aucune de ses questions même les plus intimes et c’est certainement la raison pour laquelle Elodie est maintenant très à l’aise dans sa sexualité.

    – Et c’est pour cela que vous étiez au courant de sa mésaventure du vestiaire.

    – Oui et dans le fond, bien que je ne puisse entièrement souscrire à son acte, je dois reconnaître qu’il m’a permis de vous rencontrer, Martine et vous.

    – Et toi!

    – Comment?

    – Arrêtez de me vouvoyer. Il m’a permis de vous rencontrer Martine et toi.

    – Si tu veux mais tu me tutoies également même si j’ai presque le double de ton âge. Tu aurais pu être ma fille.

    – J’aurais aimé être ta fille. Peut-être aurai-je maintenant une sexualité plus épanouie car, comme te la fait comprendre ma chère directrice, je suis une grosse cochonne qui ne pense qu’à se donner du plaisir.

    – Et alors, il n’y a pas de mal à se faire du bien. Mais avant de tomber sous la coupe de Martine, n’as-tu jamais essayé avec les garçons?

    – Si bien sur, tu penses ! Mais, avec mon physique je ne pouvais guère être difficile. Avec les 2 ou 3 gars que j’ai connus, je n’ai servi que de vide-couilles. Aucun ne s’est préoccupé de mon plaisir et, à chaque fois, je devais me soulager seule. Alors, autant rester seule, au moins là, je ne suis pas obligée de simuler. Avec Martine c’est différent, bien sur elle aime m’humilier mais avec elle, au moins, je prends mon pied et pas besoin d’utiliser de moyens contraceptifs et puis j’aime aussi la faire jouir.

    – Oui, je sais. Hier je suis revenu sur mes pas après avoir entendu Martine t’appeler et en entrebâillant la porte du bureau, je t’ai vu, à quatre pattes sous la table. Ca m’a beaucoup plu, un instant j’aurai voulu être à la place de Martine et, au point où nous en sommes, je peux bien te l’avouer, en vous regardant je me suis caressée. Il faut dire que juste avant, avoir assisté à ta masturbation derrière ton bureau, m’avait déjà échauffé les sangs.

    – Julie…

    – Oui Sandra…

    – J’ai envie.

    – Moi aussi.

    Pendant que je m’installais sur le divan, Sandra prit une K7 dans l’armoire et l’inséra dans le magnétoscope puis, munie de la télécommande, vint s’asseoir à côté de moi.

    – Comme l’avait souligné Martine, ajouta Sandra en démarrant le magnétoscope, j’ai une vraie collection de films X. Tu verras, celui-ci, il est essentiellement axé sur la masturbation. Je ne me voyais pas, après s’être avouées avoir envie, nous lancer dans une masturbation, comme cela, sans préparation. Je pense que la vision de ces images nous aidera à y venir de façon naturelle.

    – Sacrée Sandra. Je reconnais bien là la spécialiste en plaisirs solitaires. Tu penses à tout et…

    – Chut ! Le film commence.

    Sur l’écran, une chatte rasée apparaît en gros plan puis des doigts se positionnent à droite et à gauche. Ces doigts augmentent l’ouverture des grandes lèvres puis des petites qui brillent d’humidité. Les index convergent vers le sommet et dégagent le clitoris. Une bouffée de chaleur m’envahit. Je me tourne vers Sandra. Sa bouche est entrouverte, ses narines pincées. Se sentant regardée, elle se tourne vers moi. Simultanément, nous passons notre langue sur nos lèvres. Nos regards se dirigent à nouveau vers la télé et, sur l’écran, la caméra prend du champ. La splendide jeune femme apparaît en totalité.

    – C’est à ce moment là, dis Sandra, que je commence.

    Elle souleva sa robe sur ses grosses cuisses qu’elle écarta au maximum tout en soulevant, d’une main, la masse de chair de son bas ventre pour pouvoir, de l’autre main, atteindre son minou. Comme à son habitude elle ne portait pas de culotte. Elle devait avoir atteint sa chatte car, aussitôt, elle se mit à gémir.

    – Julie, regarde moi! J’ai aimé hier quand tu m’as regardé. Regarde moi et laisse moi jouir sous ton regard.

    Je me laissais glisser à terre et me mis face à elle.

    – Montre moi ta chatte, avance ton cul sur le bord, ouvre toi.

    Enfin, je vis sa moule qui dégoulinait de mouille. Elle l’astiquait de ses doigts boudinés.

    – Oh Julie! C’est trop fort, je vais jouir.

    Sandra eut le corps secoué de spasmes. Cela faisait à peine 30 secondes qu’elle se branlait et déjà elle jouissait.

    – N’arrête pas Sandra, continue à te branler !

    J’attendais le moment où elle s’attaquerait à son clito. Elle plongea ses doigts au plus profond d’elle et ramena une énorme quantité de mouille dont elle enduisit son bouton. Hier je n’avais pu qu’apprécier partiellement la taille de son organe mais aujourd’hui je le voyais dans toute sa splendeur. Quel clitoris! Aussi gros et long que mon pouce. Elle le dégagea entièrement de son capuchon et l’exhiba, consciente qu’il agirait sur moi comme un aphrodisiaque. Et ça marchait. J’avais la chatte en feu.

    – Sandra, reste comme ça.

    Je me relevais, soulevais ma jupe et enlevais ma culotte puis je m’accroupis de nouveau, jambes écartées. Sandra exhibait toujours sans bouger, son énorme clito. Ma main s’activa et je me mis à jouir presque aussitôt mais, comme Sandra, mon orgasme, au lieu de me soulager, me donna plus envie encore de me branler.

    – Julie, c’est bon, j’espère que nous deviendrons de bonnes amies, je sens que toi aussi tu aimes te donner du plaisir.

    – Oui Sandra, moi aussi je suis une vilaine branleuse, je me branle tous les jours…

    Mes paroles excitaient Sandra qui, continuant à m’exposer sa chatte et son clito, se mit à jouir sans avoir fait un seul mouvement et m’expédia une énorme quantité de mouille à la figure. Aussitôt un deuxième orgasme me secoua. Le film continuait à se dérouler. Sur l’écran, à présent, plusieurs jeunes femmes assises en rond en position de bouddha, se masturbaient.

    – Regardes ces cochonnes Julie, comme j’aimerai créer une communauté de femmes où l’on pourrait se réunir et, comme elles, se branler en commun. Tu ne trouverais pas cela jouissif ?

    Je répondis un oui machinal, non pas que je trouvais sa question idiote mais simplement qu’après avoir joui intensément deux fois, je n’avais guère la tête à tout ça. En cet instant, une seule chose m’attirait, son clitoris. Ma tête plongea entre ses cuisses et mes lèvres gobèrent sa grosse tige raide.

    Ma brusque attaque prit Sandra de court un instant mais ma bouche devait avoir trouvé les caresses qu’il fallait car Sandra se mit à &eacu

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