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L'objet familial humain – Chapitre 12




Pour mes 21 ans, mon père s’est enfin décidé à me faire porter des prothèses mammaires. Mon entreprise de féminisation quasi complète, de véritable femelle au foyer, se poursuit. L’opération est une réussite. Je possède désormais une paire de seins aussi beaux et fermes que ceux de ma mère que je suis fier d’exhiber et d’offrir avec des balconnets. Avec les sous-vêtements de ma mère et les courbes gracieuses de ma silhouette, je ressemble, de dos, à la fille que mon père aurait aimé avoir. Mais, à l’entrejambe, le gros clitoris qui pendouille à l’extérieur des trop étroits morceaux de tissu, ne trompe personne. Et, selon lui, c’est bien ce qui rend mon petit cul si désirable. Quel bonheur, pour mes parents, de pouvoir malaxer, à pleine main et à l’envi, mes nichons de salope lascive et docile, en même temps que ma croupe de travesti, mes hanches si féminines et frémissantes entre leurs doigts vicieux,sensuels et nerveux.

  A cette occasion, j’ai l’autorisation provisoire de me défaire de l’instrument de contention qui m’enserre le sexe depuis l’adolescence et mes premières séances de masturbation secrètes sévèrement réprimées par mon père à coups de martinet et d’insultes maternelles. C’est papa qui me branle d’une main agile, douce et lentement en se faisant sucer par ma mère. Nous sommes dans la chambre parentale. Je me tiens debout, jambes écartées, au pied du grand lit. Maman est allongée sur le dos, cuisses ouvertes, face à moi. Je distingue nettement son pubis glabre et ses grandes lèvres vaginales humides qui me font triquer comme un âne. Papa m’astique de sa grosse main droite et dégage la vulve grasse de sa femme de l’autre. Il veut que je gicle adroitement sur et dans la fente maternelle, mais il m’est toujours interdit de baiser ma mère, évidemment. Cela doit demeurer ma plus grande privation! Je sens la tête de mon gland enflé venir, sur injonction paternelle, effleurer, puis frotter les replis naturels et moites de cette belle chatte aussi effrontément exposée à ma concupiscence. Mais, cette dernière est contrariée par la volonté papale.

  Pour une fois, mon père s’est mis en tête de baiser sa femme emplie d’une grosse quantité de mon jus de couilles. Il faut dire que je n’ai pas eu la permission de me soulager depuis plus de deux semaines. C’est trop long! Aussi, après quelques minutes d’une grande ivresse incestueuse, je finis par prévenir mon père de linexorable délivrance mâle que tout le monde attend:

_Papa…je…Je sens que ça vient…

  Il se met alors à lâcher ma hampe bien dure et visqueuse en disant:

_ Vise bien la fente, petite salope. Applique-toi!..Remplis ta mère.

  Je décharge de puissants jets de crème, au coup par coup. Secoué par des tremblements nerveux, je m’efforce de tapisser la chatte maternelle sans trop verser à côté de la cible. Ce qui me serait reproché. Une importante dose de lait mâle s’écrase sur l’intimité femelle de maman qui me regarde, ébahie et amusée, lui faire le plein de cette semence dont elle raffole presque autant que moi. J’ai à peine vidé mes couilles que mon père me pousse sèchement en arrière et s’empresse d’enfiler grassement son épouse. Je le regarde faire. Les bruits naturels de l’utérus maternel ainsi pénétré résonnent dans la pièce. Ils s’enlacent, s’étreignent et s’embrassent avec plus de fougue encore. Je devine comme il doit être bon pour sa cérébralité de pervers de pouvoir tringler allégrement cette mère indigne dont les parois vaginales sont graissées par le fils.

A suivre.

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