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Les Transports – Chapitre 1




Je vis en couple depuis quelques années, mon ami me comble, malgré le fait qu’il n’est pas bien monté, mais sait bien s’en servir.

Malgré cela, je n’ai pu me passer d’une vieille habitude, de me faire mettre la main aux fesses dans les transports, pour les frotteurs plus audacieux me faire peloter, voire même, caresser.

Certains soirs, je retire ma culotte au bureau pour leur laisser un libre accès. Je sais qu’en rentrant, je vais être satisfaite et mon excitation en est d’autant plus forte.

J’aime bien l’hiver, je mets un grand manteau fendu derrière et rien en dessous. Quand je me fais branler, je laisse ma cyprine sur leurs mains.

Un soir, après avoir fait l’amour, juste avant de dîner, mon copain m’apprend qu’il doit partir en province pour une période indéterminée, que le sexe risque de me manquer.

Il doit partir dans une semaine, nous en profitons pour faire l’amour plusieurs fois par jour (au moins trois fois), le matin, quand je rentre et le soir avant de s’endormir (plusieurs fois certains soirs).

Nous passons le dernier week-end au lit sans même se lever pour les repas.

Sur le départ, mon copain m’offre un gode à peu près de la taille de son sexe pour que je me contente le soir en son absence.

Mais je n’arrête pas de me faire caresser dans les transports.

J’ai pris l’habitude, en rentrant de travailler et après avoir pris une douche, de mettre le gode dans ma chatte jusqu’au matin.

Un soir, dans le métro, je suis collé contre un grand black, il me tarde pas à me caresser les fesses. Il faut dire que je l’ai provoqué un peu. Ce n’est pas la première fois que je le vois, il fait à peu près le même trajet que moi et surtout à la même heure.

Les soirs suivants, je l’attends pour prendre le métro, je m’arrange toujours pour être bien collé pour qu’il en profite un peu.

Un soir, notre manège a été remarqué par les agents du métro, qui l’arrête pour lui demander ses papiers. Je viens à son secours en prétextant que c’est mon mari.

Les agents du métro nous laissent partir, mais nous font remarquer que le métro n’est pas là pour cela.

Je demande à mon « frotteur » s’il est pressé. Comme personne ne l’attends nous nous retrouvons dans mon petit appartement. Je sais que je vais être satisfaite, car ma main aussi a été le caresser, je me suis aperçu qu’il est bien monté.

Je lui fais visiter mon appartement et lui propose un verre pour se rafraîchir. Puis nous nous retrouvons tous nus dans la chambre (je sais que ça devait finir comme cela).

Je m’allonge sur le lit, il m’embrasse et sa langue descend sur mon corps pour embrasser mes seins. Il me mordille les tétons. Sous ses caresses, ma chatte est de plus en plus mouillée. Je sais que je vais jouir (je suis un peu en marque).

Il me suce le clitoris. Je commence à sentir l’envie venir dans mon bas-ventre, je vais jouir et envoyer un jet de cyprine sur son visage. Mais cela n’a pas l’air de le gêner puisqu’il continue.

Ayant jouir, je lui demande de se mettre sur le ventre pour le caresser et le masser à mon tour.

Je m’allonge et caresse son corps musclé du haut en bas avec mon ventre et mes seins, je fais glisser mon corps contre le sien, mes mains massent sur ses jambes et sur ses fesses.

Mes seins, l’un après l’autre, entrent entre ses fesses comme ci, je l’enculais, je vois qu’il aime cette position, ce qui, moi aussi, m’excite.

Je me retourne pour que mon dos soit en contact avec le sien, mes mains trouvent les siennes et nos doigts s’entrelacent.

Je me retourne pour pouvoir masser son dos et ses fesses pour qu’il sente mes seins et mon corps une nouvelle fois. Je m’allonge sur lui, embrasse son cou et l’oreille (ma main s’égare entre ses fesses et sur son entrejambe).

Je sens sa virilité, alors je lui demande de se retourner pour caresser sa poitrine et surtout son gros sexe. Je mets ma jambe droite entre les siennes et mon ventre enfin caresse sa grosse bite entre mes seins.

Je commence à le branler et ma bouche se trouve à la hauteur que son pénis. Instinctivement, je passe ma langue sur son frein. Je masse à nouveau cette belle queue avec ma poitrine. Je mords son oreille, puis je me laisse embrasser, nos langues se mélangent.

Je me retourne pour prendre sa queue dans ma bouche et que ma fente soit près de son visage.

J’ai envie d’avoir sa langue dans ma fente.

Sa langue suce mon clitoris, je ne tarde pas à envoyer un jet de cyprine sur son visage.

Il veut mettre sa langue dans mon petit trou, alors j’écarte bien les jambes pour lui laisser la place.

Mon petit trou s’écarte bien (il a l’habitude) et retirant sa langue, il introduit un doigt puis deux enfin pour y mettre les quatre. J’ai déjà essayé la main entière, mais j’ai vraiment eu très mal, alors je me contente des doigts ou d’une bite.

Le chevauchant, je saisis sa belle queue et la présente à l’entrée de ma grotte. Il n’a plus qu’à pousser pour la faire entrer en moi. Je sens cette énorme bite dans mon vagin et commence des va-et-vient.

Il ne va pas tarder à jouir, je sors sa bite et je me mets sur le côté, il se positionne derrière moi, j’écarte bien ma jambe pour qu’il ne pénètre bien.

La position n’est pas parfaite, je n’ai pas entièrement sa queue en moi.

Je lui demande de sortir pour la mettre dans mon petit trou déjà bien large, ce qu’il fait immédiatement.

Il entre en moi entièrement. C’est surtout la largeur que je sens, mais pas tellement la longueur.

Je jouis plusieurs fois, avant qu’il m’envoie toute sa semence bien chaude au fond de mon ventre.

Nous recommençons plusieurs fois pour que je jouisse bien avant qu’il me quitte, en me disant :

— Au revoir, à demain dans le métro.

Le lendemain, j’ai envie que la journée se termine pour retrouver mon inconnu dans le métro.

Pendant une quinzaine de jours, chaque soir, nous nous retrouvons et je laisse ses doigts me pénétrer.

Je l’emmène chez moi de temps en temps, quand je suis trop en manque.

Un soir, il me dit :

— Demain, il y aura une surprise.

J’ai hâte à être le lendemain pour connaître la surprise.

Le soir, j’attends, il arrive accompagné d’une jolie black, me présente son amie, nous prenons le métro tous les trois.

Je suis serrée entre eux, je fais face à mon inconnu, sa main caresse mon ventre et ma fente.

Alors que son amie est derrière moi, je sens sa main sur mes fesses. Je bouge un peu pour mieux en profiter.

Après quelques minutes de plaisir, je leur dis :

-Allons chez moi.

Je crois que je vais entrer dans le monde de la bisexualité

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