GLADYS 3

Le lendemain, mon oncle me proposa daller du côté de St Vallier, faire un pique-nique dans la montagne et admirer le panorama, dominant toute la baie de Cannes. Nous arrivâmes sur un terre-plein où il gara la Mercedes. Je pris les paniers en osier où nous avions préparé tout notre pique-nique. Il faisait un temps magnifique et lorage de cette nuit avait disparu, pour laisser la place à un magnifique ciel bleu. Nous partîmes par un chemin rocailleux, mon oncle soufflant avait quelques difficultés à traîner sa grosse masse. Chargé des draps de bains et de deux parasols, je dus lattendre régulièrement afin quil puisse me rejoindre. Javais pour ma part opté pour un short blanc, des espadrilles et une chemisette rouge. Javais rattaché mes longs cheveux en queue de cheval. Mon oncle orné de son chapeau de paille arriva enfin sur un terre-plein qui dominait une crevasse de plusieurs dizaines de mètres de haut.

-On sarrête là la puce je nen peux plus ! Cest très bien tu as vu ce paysage ? Cest super !

-Ok on peut mettre les serviettes entre ces grosses pierres comme cela on sera un peu protégé du vent ?

-Comme tu veux ma chérieAu fait jai eu ta tante au téléphone elle ne rentrera pas avant 2 semaines sa sur ne va pas très bien.

-Cest dommage je ne vais pas beaucoup en profiter !

-Pourquoi tu nes pas bien avec moi ?

-Simais

-Tu as pris ton maillot ?

-Yes il est sur moi

-Tu vas profiter un peu de ce soleil… ; sens-tu cette odeur de thym ?

-Regarde mon oncle comme cest beau ces champs de lavande ?

-Tu pourras aller en cueillir quelques branches si tu le veux

-Jadore en mettre dans le lingecest super.

Mon Oncle allongea sa lourde carcasse sur la grande serviette de bain, tout en ouvrant sa chemise, laissant apparaître un ventre aussi gros que le ballon dAlsace. Diable quil était laid !

Je retirais mon short et ma chemisette, puis menduisis de crème solaire tout mon corps.

-Tu veux que je ten mette sur le dosPitchounette ?

Je mallongeais sur le dos, remontais mes cheveux et dégrafais les bretelles de mon soutien-gorge. Mon oncle avec difficulté se mit sur le côté et saisit le flacon dhuile solaire. Jaimais que lon me masse le dos et cest ce quil fit avec sa grosse main chargée de bagues.

-Tu es déjà mate de peauque veux-tu de plus ?

-Je préfère ne pas attraper de coups de soleil ! Allez masse-moi le dos…

Mon oncle caressa le haut de mes épaules, massant fermement le cou, puis la colonne vertébrale, puis les fesses, dont il profita plus quil nen fallait, sarrêtant juste à la hauteur de la ceinture élastique.

-Tu as vraiment un cul magnifiqueme dit-il en enserrant dans sa main un globe de mes fesses. Puis il sattaqua à mes jambes et à mes mollets. Jaimais cette sensation, même si lhomme qui menduisait dhuile était loin dêtre le play-boy de mes rêves. En remontant il sattaqua à mon entre jambe. Des courants électriques me parcouraient le corps à chaque fois quil arrivait en haut frôlant presque volontairement mon sexe sous le tissu fin du maillot.

-Ta peau cest du vrai satin !

-Mercion mange vers quelle heure ?

— Dans une heure Cest calme ici et lair est loin dêtre pollué Tu devrais retirer ta culotte ?

-Nonmais…je ne suis pas une exhibitionniste !

Il remit de lhuile dans le creux de sa main et sans men demander lautorisation il souleva ma culotte et enduisit mes fesses.

-Allez retires le personne ne passe ici !

-Nonje ne veux pas…

-Cest moi qui commande ici…et puis jai envie de voir ton petit cul !

Il se redressa et comme il me lavait fait dans la cuisine il abaissa dun coup sec mon slip de bain sur mes cuisses, dévoilant à ses yeux mes fesses parfaites, comme aimait me le dire Charlotte. Je me tortillais afin de lempêcher de descendre plus bas ma culotte, dune main jessayais de la remonter sur mes fesses, mais impossible de lutter contre sa force, et ma culotte passa par mes pieds

-Et si quelquun passait ?

-Et alors tu as le droit de bronzer non ? Qui veux tu qui passe par là ?

Ma culotte disparut dans le sac de mon oncle. Qui admirait à présent mon fessier offert sans pudeur à ses yeux. Je me demandais alors que javais enfoui ma tête dans mes bras ce quil allait encore me faire ? A cette idée je sentis que je commençais sérieusement à mouillerune envie soudaine de jouir me traversa la tête, le soleil, la naturepourquoi diable navais-je pas un beau jeune homme à côté de moi plutôt que cette sorte de bête humaine.

Je sentis les mains de mon oncle semparer à nouveau de mes fesses, puis comme il lavait fait dans la cuisine lautre jour, il mécarta les joues de fesse pour mieux regarder mon petit illet que je contractais de peur.

-Quel cul denfer tu as ! Et comme je my attendais son index se posa sur mon illet.

-Ah nontu ne recommences pas !

-Ne dis pas que tu naimes pas cela ?

Sans attendre il poussa ma porte secrète et enfonça son doigt épais dans mon orifice naturel.

-Aiiie tu me fais malallez laisse-moi bronzer tranquillement ou rends moi mon maillot !

Mon oncle fit comme sil ne mentendait pas, continuant son intrusion par petites poussées. Je sentais mon sexe se liquéfier littéralement Je poussais un soupir, le doigt allait et venait alors que je contractais au maximum mon sphincter je me dis que cette chose là se dilatait bien plus facilement que je ne pouvais limaginer. Je ne voulais pas voir, je cambrais un peu les reins afin de lui faciliter à présent lintrusion, restant la tête lovée dans mes bras. Mon oncle soufflait comme un buftant il semblait excité à la vue quil avait et à lintroduction de son index dans mon puits damour. Je sentais le plaisir venir quelque part de ma colonne vertébrale, entre mes cuisses, dans mon ventreles pulsions saccentuaient à mesure quil me masturbait lanus avec cette volonté daller de plus en plus profond. Je le laissais faire à présent ne pouvant éviter de pousser quelques soupirs de plaisir

-Viens ma belleallezviens jouir sur mon doigt… ; comme lautre jour. Son doigt comme un sexe entrait sortait, entrait sortait, dilatant mon petit trou de plus en plus. Puis il sortit son doigt me laissant sur ma faim inavouée. Il entreprit de le passer sur mon sexe et dessayer douvrir mes lèvres vers mon clitoris

Je ne pus retenir un heeennnn de plaisir…

-Mais tu mouilles, cochonne, ton sexe est tout mouillé.

Il essaya dintroduire son doigt dans mon vagin inviolé, mais là je me mis à serrer fortement mes cuisses lempêchant daller plus loin. Il réintroduisit son doigt mouillé par mon plaisir dans mon petit trou et recommença à me pilonner de plus en plus fort marrachant à présent des cris de plaisir.

Bon sang, jallais jouir

-Ouiiii ouiiii contunuuuuee je viens je vais jouiiiir aaaaaahhh

Mon bassin se soulevait pris de convulsions, je balançais mes fesses dans lequel son doigt restait planté entièrement, je jouissais là comme une femelle en chaleur, terrassée par le plaisir qui me fit presque pleurer

-Tu aimes çapetite excitéetu en auras autant que tu voudras…

Jétais ko le sexe en feu les fesses meurtries par ce doigt tel un marteau-piqueur quil maintenait toujours enfoncé au plus profond de moi.

-Retire-toi sil te plaitretire ton doigt jai mal

Délicatement il retira son doigt de mon fourreau et lessuya sur sa serviette de bain

-Allez repose toi chérie…on cassera la croûte dans une bonne heureJadore tentendre jouir

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