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Mamie Geneviève – Chapitre 8




Mamie Geneviève 8

Ma fille Virginie est tombée dans le traquenard que je lui ai tendu. Ses enfants et moi lui avons montré toute notre perversion et en jouissant avec son fils, elle s’est rendue désormais complice de notre lubricité familiale.

Je ramasse nos culottes sur le sol et hume la sienne avant de les tendres aux enfants.

D’abord Christelle profite de nos parfums, puis David utilise la mienne pour finir de s’essuyer.

Je quitte mon chemisier et demande :

« Virginie, tu veux bien enlever mon soutien-gorge ? »

« Mais Maman ! »

Je lui tends mon dos et ses doigts s’affairent sur l’agrafe. Je suis plutôt fière de ma poitrine qui se tient encore bien malgré mon âge.

J’enfile mon chemisier et le reboutonne. Je sais que la transparence du tissu laisse mes auréoles apparentes et Virginie reste muette quand je lui expose ma poitrine.

« Ca te plait ma chérie ? »

« Oh ! Maman ! »

« Tu peux en profiter si tu veux »

Elle reste figée encore abasourdie par tant de révélations. Christelle s’est approchée de moi et sa paume effleure un téton avec une douceur indescriptible. Je me tourne vers elle avec reconnaissance et elle se penche pour m’embrasser. Elle a le goût de la semence de son frère mais sa langue agile me le fait oublier rapidement.

Je sens une autre main pétrir mon autre sein, ce doit être David. Quand je peux regarder, je constate que David tient le poignet de sa mère et que c’est elle qui me pelote.

Christelle se recule et David lâche sa mère et cette dernière ne délaisse pas mon sein pour autant. Elle semble résignée à me caresser.

J’approche mon visage du sien  et elle me regarde, effarée, craignant la suite. Pourtant, quand nos lèvres se touchent, elle ne se recule pas et me laisse l’embrasser.

Si c’est nouveau pour moi le baiser entre femmes, j’avoue y prendre goût. Surtout qu’elle y met  plus d’entrain.

Le baiser terminé. Je me redresse et annonce qu’il faut passer à table.

Ma fille est toute chancelante et Christelle l’aide à rejoindre la table.

Petit à petit, elle se détend mais n’ose pas poser de questions. Hormis David, nous n’avons pas beaucoup d’appétit.

Comme je m’y attendais, les enfants souhaitent retourner chez eux, tant que leur père est absent. Alors qu’ils sont montés préparer leurs affaires, Virginie ose briser le silence.

« J’ai honte maman, que va-t-il arriver maintenant ? »

« Ne t’inquiètes pas ma chérie, profites de la vie ! Tes enfants que tu juges peut-être pervers sont en réalité d’excellents amants. Et puis tu as vu comment David est équipé. Quand tu as ça dans le derrière, je t’assures que tu le sens passer. »

« Tu veux dire que »

« Une fois, c’est tout ! Mais je suis prête à recommencer ! Et puis, toi tu aimes ça, n’est-ce pas ? »

« Oh ! Maman, ça me gêne que tu parles comme ça »

« Ecoute Virginie, on va pas faire des manières. Papa te l’a fait aussi, avant même ton mari, pas vrai ? »

« Euh, oui, je suis trop gênée de te dire ça ! Papa aimait  »

« T’enculer ! Et Tu aimais ça ?»

« Pas au début, j’avais mal. Après . »

« Tu vas voir que ton fils est doué et ta fille également ! »

« J’ai peur maman ! »

« Ils vont savoir s’occuper de toi, tu le mérites ! Viens dans mes bras»

C’est maternellement que je l’enlace quand les enfants réapparaissent.

J’ai un pincement au cur quand nous faisons nos adieux. David me glisse à l’oreille :

« Si tu veux que je vienne, envoie moi un texto »

Quant à Christelle :

« J’ai mis quelque chose sous ton oreiller, tu verras »

Quand la voiture s’éloigne, je retourne à la cuisine faire la vaisselle. La maison est vide et ça me fait tout bizarre. Je vais dans la chambre de David et la range un peu. Je vais ensuite dans la mienne, me rappelant les mots de ma petite-fille.

Quelle n’est pas ma surprise de découvrir, sous l’oreiller, un godemiché très réaliste. Il est de moindres dimensions que le sexe de David, mais pas mal quand même !

Je tourne une molette à la base et le sexe artificiel se met à vibrer. J’arrête la chose et porte le gland aux lèvres. Je glisse ma langue sur le bout, le long de la hampe, puis l’enfourne pour une fellation improvisée. Le goût est différent d’un sexe d’homme, mais ma bouche est bien remplie.

D’une main je caresse ma poitrine, puis remets le dispositif en marche en glissant ce faux sexe sur mes mamelons. La molette permet de régler la vitesse et les pulsations se propagent vite sur mes tétons durcis. Je pose une jambe sur le lit, relève ma jupe et glisse le membre vibrant sur mon clitoris, puis rapidement dans ma vulve déjà trempée.

Je ne l’ai enfoncé que de quelques centimètres que l’on sonne à la porte. J’hésite à aller répondre, alors que j’ai tant envie de me pénétrer.

Résignée, je repose l’engin dans ma table de nuit. Je prends alors conscience que l’on peut voir mes seins au travers de mon chemisier débraillé. J’enfile donc à la hâte un tablier que je boutonne mal, en allant ouvrir la porte, encore cramoisie de mes libations.

Je pensais qu’il pouvait s’agir de Virginie ayant oublié quelque chose, mais non !

C’est Bastien, le mignon blondinet, copain de David.

« Bonsoir madame, David m’a envoyé un texto pour me demander de passer vous voir, tout va bien ? »

« Quel sacré énergumène ce David ! Je ne le savais pas ! Maintenant que tu es ici, entre »

Il me fait la bise sans excès et je l’invite à rejoindre le canapé. Zut ! Mon soutien gorge est resté coincé entre les coussins. Je me sentais si bien sans le porter, que je l’avais oublié.

Bastien l’extrait, l’observe et me le tend avec un petit regard complice. Ca en rajoute à mon émotion !

« Je pense sans arrêt à vous ! Je repense à nos baisers ! Je vous aime madame ! »

« Tu es gentil Bastien, mais avec ta mère, comment tu t’en sors ? »

« Je n’y arrive pas, j’ai peur ! Je ne l’ai jamais fait et avec maman, c’est trop dur ! »

« Et avec moi, tu penses pouvoir y arriver ? »

Il a pris ma main pour y déposer une bise, puis une autre. Il me caresse l’intérieur de l’avant bras en y déposant de nombreux baisers, puis remonte progressivement à mon épaule.

Il s’en sort très bien pour me faire taire et surtout faire remonter la chaleur de mon corps.

Je lui tends mon cou qu’il bise avec douceur. Se sentant encouragé, il converge vers ma bouche et quand nos lèvres se rencontrent, je sens monter la fièvre. Je lui saisis la nuque pour qu’il ne s’échappe pas au baiser. Il n’en a pas l’intention car nos langues s’activent longtemps pour mon plus grand plaisir.

Il me caresse les seins avec ardeur et je le laisse faire, lui prodiguant quand même quelques conseils.

Je retire mon tablier avec difficulté lui indique de déboutonner mon chemisier. Il le fait de ses mains tremblantes sans oser en écarter les pans. Après le dernier bouton, je l’encourage et il écarte le tissu et reste béat devant ma poitrine.

« Vas y Bastien, ta maman est à toi, finis de me déshabiller. »

Je me relève quitte mon chemisier et lui indique l’agrafe de ma jupe.

Je ne suis plus qu’avec mon porte-jarretelles et mes bas, les fesses à l’air.

Il ne bronche pas mais respire bruyamment.

« Tu peux me toucher si tu veux !»

Je meurs d’envie de sentir ses mains sur mon corps, mais il reste trop intimidé ou contemplatif.

« Aller mon chéri, fais plaisir à ta maman »

Mes derniers mots ont raison de son blocage. Sa main tremblante se pose sur le galbe de ma fesse et en parcourt la surface. Je me retourne pour lui faire face et son regard se fixe sur ma toison, abondante il est vrai.

« Touche le minou de maman ! »

Il caresse avec douceur ma pilosité, je me saisis de sa main pour la glisser vers ma fente. Je lui fait découvrir mon clitoris, puis l’entrée de mon vagin. Il n’ose pas enfoncer son doigt et je n’insiste pas. Après tout, il réussit bien à taquiner mon petit bouton. Surtout qu’à la façon dont je réagis il devient vite expert.

C’est à mon tour de perdre haleine. Je le fais se relever, lui ôte son tee-shirt. Outre qu’il a un beau torse, sa peau est extrêmement douce, sans le moindre poil.

Je presse un peu son entrejambe et sens une barre de fer sous mes doigts. Je m’agenouille et il s’empresse de m’aider à le déshabiller. Le dernier rempart de son slip tombé, sa verge se dresse au ciel.

Il est moins bien gâté que David, mais bien rigide. Je lui frôle les testicules, m’empare de sa tige que je pétris. Je lui demande avec innocence :

« Tu veux que maman te suces mon chéri ? »

Je n’attends pas sa réponse pour le gober. Son gland frétille sous ma langue. Ses mains se posent sur ma tête et il trouve naturellement les coups de reins pour faire l’amour dans ma bouche.

« Oh maman, maman ! Oh maman !!! »

Vu l’accélération de son rythme, il risque de ne pas pouvoir attendre bien longtemps.

Je me relève, marche quelques pas et m’adosse au mur. Je lui fais signe d’approcher et quand il est près de moi, je lui enlace le cou et pose ma jambe sur son bassin.

Je veux qu’il me prenne debout. Ca sera une première fois pour moi, en fait, pour nous deux.

J’attrape sa hampe et guide son bout vers mon entrée. Le reste suit et m’envahit. Il me cramponne les fesses et entame un va et vient rapide.

« Doucement mon chéri, il faut que ça dure longtemps ! »

Mes paroles sont vaines, il est tellement excité qu’il éjacule rapidement en moi, mais son érection perdure et c’est moi qui souhaite en profiter. Je m’allonge sur le sol froid et l’attire entre mes jambes ouvertes. Il me pénètre à nouveau, sa semence s’échappe à chaque coup de reins. Il m’embrasse, joue avec mes seins et surtout me laboure comme je l’aime.

Quand je crie mon extase, mon jeune amant s’interrompt, inquiet, mais d’un mouvement de bassin, je lui signifie de continuer. Je crois que ma jouissance provoque la sienne, car il se contracte en moi en hurlant : « Oh ! Maman !! »

Nos corps sont en sueur, mais je l’attire pour un autre baiser, son corps allongé sur le mien.

 « Alors Bastien ? Tu as aimé faire l’amour avec ta maman ? »

« Oh madame, c’était génial ! »

« Appelle-moi Geneviève ou Maman ! Tu vois, ce n’est pas difficile, tu es presque prêt ! Il faut que tu apprennes d’autres choses, et surtout, à te maîtriser ! »

« Vous pouvez m’apprendre encore ces choses ? Demain ? »

« Il ne faut pas que ça devienne une habitude, mais d’accord pour demain, à quelle heure ? »

Vivement demain !  

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