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Christine V : Coeur, sexe et imagination – Chapitre 12




Après avoir couché les enfants, j’avais regardé la télévision et comme souvent, je m’étais endormi devant. Le bruit des talons dans l’entrée m’avait réveillé au milieu de la nuit. Un peu comateux, j’avais tout d’abord eu de la peine à comprendre pourquoi Christine s’adressait à Rachel et pourquoi cette dernière était là. En me levant du canapé, j’ai alors aperçu ma femme soutenant Rachel.

Je me précipite et nous allongeons Rachel à plat ventre sur le canapé. J’ai le temps d’apercevoir un détail coquin : Rachel n’a plus de soutien-gorge et ses seins sont parfaitement dessiné sous son pull orange.

Visiblement fatiguée, ma femme s’assied sur l’autre canapé. Je vais chercher une bouteille d’eau et des verres. Je prends place à côté d’elle. Elle dit :

— Au dernier bar, Rachel a bu deux verres assez rapidement et en quelques instants, elle était complètement bourrée. J’ai dû presque la porter jusqu’à la voiture. Elle s’est endormie dès qu’on a commencé à rouler.

— Tu as le numéro de son copain ?

— Elle m’a dit qu’il était en week-end.

— Bon, elle n’a qu’à dormir là, elle rentrera demain. Sinon, la soirée ?

— Super, vraiment. On a beaucoup discuté en évitant volontairement le thème du travail. C’est une chouette fille.

— Et tu peux me dire pourquoi elle n’a plus de soutien-gorge ?

Christine sourit.

— On a bien évidemment parlé chiffons. Je lui ai dit que je trouvais dommage qu’on voit tant son soutien-gorge sous son pull. On était au restaurant et elle a été aux toilettes "pour essayer sans". Et elle est revenue sans. Bon, quand on s’est retrouvée dehors, ça l’a un peu gênée, car ça a pointé un peu !

Elle rit. Je l’embrasse et caresse doucement sa poitrine.

— Et toi ? Tu ne l’as pas enlevé ?

— Mmmh Pour notre prochaine sortie si tu veux

Je déboutonne entièrement son chemisier et passe la main à l’intérieur du soutien-gorge avant de me pencher sur sa poitrine pour la lécher doucement. Christine proteste et murmure soudain :

— Arrête, pas ici ! Allons dans la chambre !

— J’ai envie de rester là.

— C’est une collègue !

— Et ?

Je soulève sa jupe en caressant sa cuisse. Ma femme décroise les jambes. Baisers profonds.

— Enlève ton soutien-gorge

Christine ôte son chemisier, dégrafe son soutien-gorge, le retire puis remet le chemisier. Entretemps, je me suis agenouillé devant elle et lèche son minou. Elle se caresse la poitrine et gémit. Elle jouit. Je reviens à côté d’elle.

— Tu es fou ! Complètement fou !

Néanmoins, Christine n’a pas besoin de moi pour ouvrir mon pantalon et me sucer, agenouillée sur le canapé. Je relève sa jupe pour caresser ses fesses.

Sur l’autre canapé, Rachel bouge. Christine s’assied prestement tandis que je me tourne. Fausse alerte. Christine reprend sa caresse buccale. Rachel fait alors demi-tour alors et se retrouve sur le dos. La jambe gauche pliée sur le canapé, la droite qui en glisse lentement et sa jupe remonte inexorablement. Quand le mouvement s’arrête, je n’en crois pas mes yeux. Je dis à Christine :

— Regarde !

Christine jette un coup d’il puis cesse sa fellation et éclate de rire. Le tableau en vaut la peine : Rachel a les jambes complètement écartées, offrant une vue imprenable sur un string noir transparent. Ma femme me regarde, l’air malicieux, puis elle allume la lampe d’angle, entre les deux canapés.

— On voit mieux comme ça, non ?

Je souris. Christine se penche vers l’entrejambe de sa collègue et dit :

— Elle n’est pas de celles qui se rasent complètement le minou, loin de là. Mais elle en prend soin. C’est parfaitement tondu et

Elle se tourne vers moi et ajoute :

— et le string n’est pas tout à fait en place.

— Tu rigoles ?

— Non. Tu veux constater par toi même ?

Ce sourire un peu pervers, ce regard plein d’envie, Christine ne me propose pas, elle m’ordonne.

Je me lève et m’assieds lentement au bout du canapé occupé par Rachel. Juste entre ses jambes. Son string est effectivement légèrement décalé sur la gauche. Je penche lentement vers la lèvre rose qui dépasse du string. Son sexe est absolument sublime : la toison bien noire, touffue et méticuleusement tondue, contraste avec le rose clair de ses lèvres glabres. Je me redresse.

— Magnifique.

— Elle sent bon ?

Je regarde Christine.

— Et c’est moi qui suis fou ?

Elle rit. Je me penche à nouveau sur l’entrejambe de Rachel. Je ne suis qu’à une dizaine de centimètres. Je retiens ma respiration pour m’approcher encore. Au plus près. J’inspire. Son parfum intime pénètre mes narines. Je frissonne. J’ai tellement envie de la lécher.

— Elle dort à poings fermés, déplace le string.

Je me recule légèrement.

— Tu es folle, c’est sûr.

Du bout des doigts, je prends délicatement le string, juste sous sa vulve, et le soulève à peine, juste de quoi voir complètement son sexe. Le tissu est légèrement humide.

— Vous avez parlé de cul ?

— Un peu.

— Elle a mouillé.

Excité par mon audace, je passe le nez sous le tissu. L’odeur est plus fort encore. Je laisse ensuite le doigt sous le string et descend à son anus.

— Elle a un grain de beauté juste à l’orée de l’anus. C’est adorable.

Je replace doucement le string et me redresse ensuite. Je me lève et reviens vers ma femme. Elle me cherche.

— T’as envie d’elle ?

— Non. De toi, ici, juste à côté d’elle.

Elle sourit. Je retire sa jupe, son string et glisse en elle. C’est excitant de faire l’amour à côté d’une personne endormie, mais Christine regarde trop souvent dans sa direction. Je me retire et lui dis de se mettre à quatre pattes sur le canapé. Ainsi, elle ne pourra plus regarder Rachel. Je reviens dans son vagin et secoue son gros cul avec un plaisir incroyable. J’aimerais qu’elle gémisse plus bruyamment, mais elle se retient.

Dans le feu de l’action, je touche soudain le pied de Rachel. Assez violemment. Je tourne la tête dans sa direction, sans ralentir la cadence. Elle ne se réveille pas, mais se tourne à plat ventre. La jupe reste à sa taille. Son cul rebondit, son string fin, son abricot. Je jouis en regardant le cul de la collègue de ma femme. Christine regarde dans sa direction.

— Elle s’est tournée, je n’ai rien entendu.

Je me retire. Christine se lève et nous allons dans la chambre.

— Je vais lui amener une couverture.

Le temps que Christine revienne, je me suis endormi.

Le lendemain matin, Rachel ne se souvient de rien. Depuis le bar, elle a un black-out complet, se rappelant vaguement le trajet du bar à la voiture. Après, plus rien. Tant mieux.

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