Depuis quelques mois je sors avec une nana de 28 ans, vachement bien foutue. Blonde comme les blés, aux yeux marrons, avec de gros nichons (90 bonnet D) et surtout un cul à damner un saint. Qui plus est, elle adore baiser et s’éclate quand je la pilonne en levrette. Seul point négatif : "JAMAIS de sodomie" m’a t elle dit la première fois !! "Ça fait trop mal et j’ai envie de rester ferme à cet endroit."
Un peu déçu sur le coup, je dois dire que j’ai accepté à regret cette idée. Malgré tout, nos ébats sont fabuleux. Une vraie coquine, elle adore sucer et s’applique toujours à malaxer mes grosses couilles pendant les fellations. "C’est pour mieux faire monter la sauce", dit elle. Et surtout elle est d’accord pour que je lui éjacule dessus régulièrement.
Elle adore ça ! Sur les seins, le cul, le ventre, sur son minou tout lisse. Elle garde même des photos de ça dans son téléphone… Mais ça s’arrête là !
Jamais de faciale ni de sodo. Niet, nada, que dalle. Elle fut même choquée le jour où je proposais l’idée…
Autre point négatif : sa mère !! Elle ne me porte pas dans son cur, et n’aime pas la façon dont je parle à sa fille. Je dois dire que je ne me gêne pas pour balancer à ma copine des petites piques ("gros cul" et "bouche à pipe" sont des exemples parmi d’autres). C’est un jeu entre elle et moi, et cette dernière rassure tant bien que mal sa mère sur cela.
Ma belle mère, une femme d’une cinquantaine d’années mesurant 1,66 mètres, que je devine encore bien gaulée pour son âge malgré tout, et encore plus blonde que sa fille, semble exécrer le sexe.
"-Françoise, vous n’aimez pas ça ? lui demandais-je un jour.
-Si j’aime ça mais je suis plus sage dans mes rapports. Pas de pratiques aussi crues que celles que vous faites avec ma fille ! Surtout avec un "engin" aussi gros que le votre !"
Elle et ma chérie se racontent tout. Ma copine ayant décrit mon anatomie à sa mère dans le moindre détail, ainsi que tous nos ébats, ce qui me laissa perplexe la fois où Françoise me l’avoua.
"C’est parce que vous n’êtes plus en couple c’est tout", lui rétorquais je d’un air supérieur.
La fin du repas se passe sans une parole échangée. L’ambiance est tendue.
Le lendemain, ma copine me dit qu’elle doit aller en ville faire des courses puis chez le médecin juste après.
"Je n’en ai pas pour longtemps, dit elle. À peine une heure, une heure et demi à tout casser.
Du coup, je vais te demander de rester là… avec ma mère !! Elle s’ennuie toute seule, ça lui fera de la compagnie". Le couperet tombe.
Ma réaction ne se fait pas attendre. "OH NON !! lâche je d’un coup. Ta mère ne m’aime pas, elle me critique sans cesse."
"Et bin sois gentil avec elle, et tu verras que ça ira mieux", conclue t elle sèchement, en s’éloignant déjà afin de mettre son manteau.
Après quelques minutes, je suis donc seul avec Françoise. Afin d’éviter de gâcher encore plus la situation, je lui annonce simplement que je vais prendre une douche.
"Faites donc ça", répond elle d’un ton peu enjoué.
Un instant plus tard, après une bonne douche bien chaude, je file dans la chambre de ma copine afin de m’habiller pour redescendre ensuite auprès de ma belle mère…
"Oh putain… !!" Je reste bouche bée. Françoise est dans la chambre, appuyée sur ces coudes, étendue sur le lit, les jambes écartées ! Quelle vision de rêve : des seins énormes beaucoup plus imposants (au moins du 100 E) que ceux de ma meuf, et une chatte lisse comme jamais. Très appétissant tout ça. Je bande aussitôt.
Elle se passe la langue sur les lèvres en voyant ma bite.
"Elle est encore plus grosse que ce que m’a dit Marie. Des couilles lourdes, une verge bien large et surtout un gland offrant une prise en bouche parfaite. J’ai eu envie de la pomper dès qu’elle m’en a parlé !! Tu sais je suis une bonne grosse salope en fait, j’adore la baise bien crade, et surtout j’adore m’en prendre plein le cul ! REMPLIS MOI, crie t elle, DÉFONCE MOI LE CUL !!!"
Neufs jours que je n’avais pas baisé, Marie étant moins en demande ces derniers temps, j’avais donc heureusement les couilles bien pleines.
À peine eut elle finit sa phrase qu’elle se jette sur mon chibre, maintenant tendu à bloc, et commence à me sucer avec vigueur.
Elle est douée en effet !
Elle mordille légèrement mon gland, se le passe sur les lèvres et comment à me branler doucement. Sa langue experte fait des vas et viens rapides sur mon membre, essayant de l’enfoncer au plus profond dans sa bouche.
"Je suis une championne des pipes baveuses tu va voir", dit elle en empoignant mon gourdin à deux mains. "Je cache mon jeu quand je suis avec ma fille, mais j’adore la pine. Je vais te vider les couilles jusqu’à la dernière goutte. Quand je pense que tu maltraites ma fille alors qu…"
Je ne lui laisse pas le temps de terminer sa phase. J’attrape ses énormes pastèques à pleine main, elle s’appuyant avec les siennes sur mes cuisses, et lui rétorque : "Tu me critiques encore grosse pouffiasse ? Tiens prends toi ça ma salope !"
Je lui administre de sévères coups de bite !!
Elle couine comme une folle pendant que je la pilonne par tous les trous. Elle en redemande, hurlant de plaisir, suppliant que je lui démonte la rondelle. "ENCORE, VAS Y DÉTRUIT MOI L’ANUS BÉBÉ, OH PUTAIN J’ADORE TA GROSSE BITE !" crie Françoise.
Mes couilles vibrent sous la montée de sperme qui s’annonce épique !!
Au moment où je m’apprête à éjaculer, elle se retourne face à moi, se met à genoux et dit : "balance la purée, gicle moi tout dans la bouche. J’ai envie d’en prendre plein la gueule et de tout avaler !!!"
Elle ouvre grand la bouche et tire la langue pour en récupérer le maximum, tout en se doigtant la chatte. Cette attitude fut une bénédiction pour moi !! Enfin une qui accepte tout ça, me dis je intérieurement.
Un énorme jet de foutre chaud s’abat sur ses lèvres, puis une multitude de salves s’ensuit. Elle avale autant de nectar qu’elle peut, se délectant de chaque jet qui tombe sur sa figure. Françoise à le visage souillé de jus de couilles, du front au menton et même dans les cheveux !! Elle est comblée. Un ange tout blond inondé de foutre gluant.
"Merci", dit elle. "Y’a bien longtemps que je ne m’étais pas faite déboîter le cul. Et qu’elle quantité de sperme mon dieu, y’en avait plein. Mais pas encore assez à mon goût", ajoute t elle, encore dégoulinante de sperme.
"Si tu en veux plus il faudra attendre plus longtemps la prochaine fois", lui dis je avec un clin d’il en prime.
"Plus longtemps ? On va surtout recommencer tout de suite !! Et je vais te montrer ce que je peux faire quand je suis au maximum de mon potentiel…"