Je rentre chez moi en pensant à Kong Mi et à ses seins énormes et fermes. Je suis tellement excité en arrivant que je saute grivoisement sur ma femme en lui faisant comprendre que j’ai envie mais comme d’habitude elle ne répond pas à mes attentes.

    Du coup j’ai beaucoup moins de remords concernant mon écart, surtout qu’elle était assez demandeuse et que du jour au lendemain plus rien, à se demander si elle ne s’amuse pas de son côté, à ce moment je décide que je m’occuperai de ma libido comme j’en ai envie et je pense encore plus à ma petite cambodgienne à la peau dorée.

    Ma nuit émaillée de rêves salaces et de fantasmes bien hardcores, je pars au boulot avec déjà un début d’érection qui ne me quitte plus, les problèmes de priapisme de certains hommes m’ont toujours amusé mais là je peux constater qu’ à force c’est gênant, enfin je suis au restaurant, en disant bonjour à tout le monde je croise le regard brillant de Kong Mi, je m’approche d’elle et lui susurre à l’oreille.

— Dans mon bureau, tout de suite salope, je t’attends.

-Oui monsieur, me répond-elle doucement et lascivement.

    J’ai l’impression que sa nuit a été aussi agitée que la mienne car je vois ses gros tétons pointer à travers son gilet, j’entre dans mon bureau et elle me suit de près. La porte à peine refermée je lui attrape brutalement les cheveux et lui tire la tête en arrière.

— Aujourd’hui tu vas bosser dans cette pièce, interdiction d’en sortir, compris? Je m’arrangerai avec tes collègues.

— Oui monsieur, je ne sors pas de la pièce, dites moi ce que vous voulez de moi.

    Encore une fois son ton obséquieux sans l’être réellement est terriblement excitant, je commence déjà à m’imaginer les scénarios les plus hards et humiliants pour elle, je lui chope brutalement ses super mamelles et je lui tord ses tétons proéminents, elle gémit autant de douleur que de plaisir.

— Tu vas te mettre nue petite pute, interdiction de t’habiller de la journée, je veux te voir offerte et soumise en permanence, une bonne salope prête à servir, et pas que pour ma queue, c’est compris?

    Elle me sourit de toutes ses dents, elle a compris qu’elle allait être utilisée comme un objet sexuel et ça la rend clairement heureuse, je n’en reviens pas malgré l’intermède de la veille, j’ai du mal à imprimer qu’une fille aussi jeune soit également une des plus grandes salopes de la terre. Car sa façon d’ôter ses vêtements en quelques secondes me prouve qu’elle n’attend que ça, elle est au milieu de la pièce, entièrement nue, impudique au possible et en attente de mes caprices.

— A genoux petite pute, croise les chevilles derrière toi et met les mains dans le dos.

    Elle s’exécute et ouvre la bouche en grand, elle a à priori les bons réflexes au bon moment et encore une fois je me demande comment elle peut être aussi chienne à son âge, elle tire la langue en même temps, je sors ma bite et pose mon gland sur sa langue puis j’attends, elle lève les yeux et me regarde implorante, elle veut que je la défonce quel que soit le trou c’est clair.

    Je lui prends la tête fermement dans les mains de manière à ce qu’elle bouge le moins possible car je sais qu’elle aura le réflexe de reculer bien qu’elle en ait furieusement envie, je glisse brusquement sur sa langue et je parviens à lui enfoncer ma bite entière dans la gorge, comme je l’avais prévu, elle essaye de se dégager mais je la tiens bien et des larmes apparaissent aux coins de ses yeux tandis que de la bave commence à couler de sa bouche.

— Tu retireras ta tête quand je l’aurai décidé sale pute, tire plus la langue.

    Elle obéit et j’arrive à pousser mon sexe plus profond, elle râle, je sens ma queue glisser dans sa gorge avec la main que j’ai sur son cou, ma bite qui n’est déjà pas petite prend de l’ampleur, ça fait presque une minute que je la tiens, je veux voir combien de temps elle supporte de se faire maltraiter la gorge sans respirer.

    Au bout de presque 2 minutes je vois ses yeux commencer à se révulser, je retire mon engin et elle reprend directement une grande inspiration, mais à peine a t’elle repris son souffle que je remet mon gland au chaud dans sa gorge d’un seul coup et une fois de plus je la force à garder mon pieu bien au fond, mais je suis trop excité et je lâche la purée un peu prématurément, Kong Mi est bien docile et avale tout sans discuter, puis je lui libère la gorge.

— Elle est bonne ma bite salope? Tu aimes te faire remplir la bouche comme ça hein?

— Oui monsieur, j’aime qu’on me fasse mal monsieur, ça me rend folle de cul.

    Je vois à ses yeux qu’elle est déjà dans un univers de lubricité où elle est prête à accepter les pires humiliations.

— Tu a compris qu’aujourd’hui tu vas faire la pute je pense?

— Oui monsieur, je me doute bien que vous ne pouvez pas me baiser toute la journée, je m’y attendais et j’espérais un peu aussi que vous y penseriez.

    Encore une fois elle parvient à me surprendre, elle avait anticipé que j’allais l’offrir à mon personnel masculin, du coup j’ai une idée immédiate, je sais de source sûre que Ilian, un de mes cuisiniers a un calibre hors du commun, je suis curieux de voir ça. J’appelle la cuisine et lui demande de venir.

    Ilian frappe, je lui dis d’entrer, il obtempère referme la porte et à ce moment là voit Kong Mi à genoux, les mains dans le dos et la bouche grande ouverte car je lui ai ordonné de garder la position, nue, ses lourdes mamelles luisantes car son excitation est extrême.

— Elle te fait bander Ilian?

    Il reste un peu scotché avant de me répondre, les yeux exorbités, fixés sur ses seins qui sont encore plus impressionnants quand elle est nue qu’habillée.

— Faudrait être difficile patron, et depuis qu’elle est là j’ai envie de la baiser en attrapant ses gros nibards.

— Ok, tu lui fais tout ce que tu veux mais devant moi et tu l’encules en premier, j’y tiens et elle aussi je crois.

    En entendant ça Kong Mi rayonne, elle connaît les histoires sur le sexe de Ilian et a hâte d’y goûter. Ilian a sorti sa queue et commencé à se masturber, en 10 secondes il a dépassé mes 20 cm et il ne bande pas complètement, je regarde hypnotisé, quand sa turgescence est complète je vois un truc incroyable aussi long et large que mon avant bras, approximativement 30 cm, bien droite, plus fine au bout, un sceptre qui cherche son fourreau.

    Je lève Kong Mi par les cheveux en la faisant crier de douleur, elle garde ses mains dans le dos comme une bonne chienne obéissante.

— Tu reste debout, écarte bien les jambes pour qu’on voit bien ton petit trou, penche toi bien en avant.

    Elle obéit, écarte tellement les jambes qu’elle en tremble, ses énormes seins tombent presque jusqu’au sol, avec cette position ils ont l’air démesurés. Je prend Ilian à part et lui dis doucement afin qu’elle n’entende pas.

— Prend de l’huile d’olive et badigeonne toi, je veux que tu lui perces le fion en lui faisant le plus mal possible.

— Ok patron, je vais la faire gueuler, faites moi confiance.

    En voyant le monstre qu’il a entre les jambes je n’ai aucun mal à le croire, je remet mon gland devant la bouche de Kong Mi et elle me prend immédiatement et goulûment en bouche, elle a vu la bite de Ilian et n’a pas une once d’appréhension, incroyable, je ne pense pas qu’elle se rende compte de ce qui va lui arriver.

    Ilian pose son gland brillant d’huile sur sa rondelle, je retire ma queue de sa bouche car je veux entendre sa réaction quand elle va se prendre le démonte-pneu dans le cul. Il a à peine entré le bout que Kong Mi cherche déjà son souffle, je vois qu’il a entré 5 cm et elle a visiblement du mal à le prendre en elle, puis il pousse sa bite enduite de matière grasse, Kong Mi pousse un grand cri.

— Haaaaaaaaaa! Oui, vas y ! Met la moi, fais moi mal.

    Il n’en demande pas tant et lui perce brusquement son petit orifice, je vois son énorme matraque disparaître entre ses deux fesses alors qu’elle hurle sans discontinuer. Son sexe distendu entre de force dans son cul, elle crie, elle a mal, mais je vois ses yeux éperdus de bonheur et je comprends qu’elle est en train de prendre son pied, il ressort son sexe d’un coup, elle crie encore, puis il lui remet, aussi brutalement qu’auparavant jusqu’au bout, à ce moment j’entends un bruit comme si de l’eau tombait par terre et je vois une flaque sous Kong Mi, elle vient de jouir comme la chienne qu’elle est et une flaque de cyprine s’est formée sous elle.

— T’aimes ça sale pute ? Tu prends ton pied ? Il est 11h du matin, on est là jusqu’à minuit, t’es prête à encaisser salope ?

— Haaaaaaa ! Oui, faites moi tout ce que vous voulez, je suis votre pute monsieur, punissez moi, haaaaa !

    L’énorme bite est en train de lui ravager le ventre, Ilian a attrapé ses tétons et a fait passer ses seins dans son dos en tirant dessus, il fait des aller-retours très brutaux en sortant et entrant en entier à chaque fois, elle crie de douleur et de bonheur, en 5 mn elle a déjà jouit deux fois de par cette sodomie monstrueuse.

— J’aimerai bien lui mettre dans la bouche maintenant patron.

    J’ai un doute, lui entrer ce truc énorme dans le cul c’est une chose, dans la bouche je n’y crois pas trop car celle de Kong Mi est assez petite, mais il y tient et comme je lui ai dit de faire ce qu’il voulait il sort sa bite la retourne et lui présente sa queue luisante sous le nez, elle ouvre docilement la bouche.

— Putain patron j’ai jamais vu une salope comme elle, vous savez qu’on pourrait se faire du fric avec cette pute.

    Tout en parlant il a entré son gland dans sa bouche, les mains de Kong Mi n’ont pas quitté son dos et je réalise que Ilian a raison et qu’elle est probablement une des meilleures salopes qui soient, prête à s’offrir à toutes les bites que je lui amènerais. Elle essaye d’elle même de prendre la queue géante dans sa gorge mais a du mal, je lui tiens bien la tête pour qu’elle ne puisse pas bouger.

— Vas y Ilian, enfonce, bien profond, je la tiens bien.

    Il pousse mais n’arrive pas à aller plus loin que la moitié, elle a besoin de s’entraîner pour avaler un truc pareil, ce sera pour une autre fois. Du coup il la retourne, la jette sur la table et lui enfourne son mandrin dans la chatte mais encore une fois il ne rentre pas en entier, il peut s’enfoncer dans son colon mais pas dans son utérus, alors il lui reperce le cul, d’un seul coup, elle crie encore, il la ramone quelques minutes et je vois qu’il part dans son cul, bien à fond.

    Ca doit faire longtemps qu’il n’a pas baisé car je vois du sperme sortir de son cul alors qu’il est encore bien enfoncé, il devait avoir une sacrée réserve, mais vu sa taille il doit avoir du mal à trouver chaussure à son pied. Il se fait laver la bite par la langue de Kong Mi puis repart au boulot.

    Elle est langoureuse, lascive à souhait, demandeuse à l’extrême, je vois ses trous avides de bite qui palpitent, surtout son anus qui s’ouvre spasmodiquement comme pour réclamer d’être rempli, et je me dis que je vais pouvoir être enfin comblé voire plus.

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