Après mon histoire avec un des soldats de mon mari, je suis restée quelque temps sans sortir de chez moi de peur de le rencontrer. Après quelques semaines, il semblerait qu’il ait gardé notre histoire pour lui. Je dois avouer que cela m’avait beaucoup excité et que de temps en temps je me touchais en y repensant.
Fin juin, avec le beau temps, dans le régiment où travaille mon mari, ils décident de faire les portes ouvertes pour permettre aux gens de la région (nous sommes dans le var) de découvrir le régiment avec des stands, buvettes et manèges. Tous les militaires sont en tenues et il y a des activités pour les enfants. Pour l’occasion, mon mari doit être présent toute la journée et porter son treillis de parade : képi, médailles et ses galons de capitaine. Pour l’accompagner, j’ai choisi un petit ensemble string en dentelle blanc avec soutien-gorge assorti qui met en valeur ma peau hâlée, une petite robe beige qui s’ouvre dans le dos et qui arrive à mis-cuisses et des talons hauts beige avec un petit foulard rouge, bref très classe mais limite provoquante.
J’ai quarante ans, blonde avec un carré très court, du haut de mon mètre soixante cinq pour soixante kilos avec ma généreuse poitrine (90D) on me dit très désirable et souvent les hommes se retournent derrière moi.
— "et ben, tu veux plaire à qui comme ça ?" Plaisante mon mari.
— "tu vas exciter tous mes petits soldats habillée de la sorte."
S’il savait, ce n’est pas peu dire.
Ce week-end est particulièrement chaud pour la saison. Nous arrivons au régiment, il y a foule et la musique est forte. Mon mari n’arrête pas de discuter à droite et a gauche. Souvent on le salue de façon très martiale. Tout à coup je l’entends dire énervé.
-" Alors, tu ne présentes pas tes respects à ton capitaine, caporal ?"
Le soldat se retourne, c’est lui, mon ancien client, pourvu qu’il ne dise rien.
-" Mes respects mon capitaine."
-" C’est mieux et attention à toi caporal, compris. T’as pas un travail à faire ? Allez va."
Il nous regarde puis fait demi-tour. J’ai vu dans son regard un mélange d’énervement et de désir.
Puis plus loin, mon mari me dit.
— "Il va, enfin, quitter le régiment dans quelques jours, il n’est pas bon et il est très indiscipliné."
Je me sens rassurée, après notre dernière rencontre., de savoir qu’il va quitter la région.
Au milieu de l’après-midi je commence à avoir très chaud et j’ai la tête qui tourne un peu avec le vin bu à table. Je vois les regards des hommes, mais surtout celui des soldats sur moi. Du coin de l’il je les vois me déshabiller du regard et faire des commentaires entre eux et j’avoue que cela m’excite beaucoup.
Mon mari n’arrête pas de s’absenter et je me retrouve une fois de plus seule à déambuler dans le régiment. Tout à coup j’entend derrière moi qu’on me parle.
-" T’es bandante dans ta petite robe, t’es venu nous exciter hein ?"
Je me retourne et me trouve face au soldat de tout à l’heure.
-" Écoutez, ne faite pas d’histoire sinon…"
-" Sinon quoi ? Tu vas appeler ton mari ? Tu veux que je lui montre un petit film ?"
Mon cur fait un bond, il a tout gardé.
-" Maintenant tu vas me suivre tranquillement. Passe devant et fais comme ci tu te promenais, compris."
— "D’accord mais je vous en pris ne dites rien."
J’avance et lui, quelques mètres derrière, m’indique discrètement le chemin à prendre.
Il ne peut s’empêcher de faire des commentaires crus.
-" belles cuisses bronzées… Hum t’as mis une culotte ou pas ?…"
Il me dirige jusqu’à la compagnie de mon mari et on monte à l’étage ou il y a toutes les chambres des soldats. Là au bout du couloir se trouve la sienne. À l’intérieur il y a deux lits avec des armoires, un bureau.
-" c’est là que je dors avec un jeune première classe qui vient d’arriver un peu bête mais pas méchant…"
Puis il rajoute.
— "Ton mari m’a fait viré du régiment tu sais et il n´arrête pas de me rabaisser, avec "mes respects" par la, "mes respects " par ici. Alors avant de partir il va les avoirs mes respects…"
Il a un regard narquois et je vois bien à son regard lubrique que je vais être l’objet de sa vengeance.
— "allez fous toi à poil, depuis que je t’ai croisée ce matin, je n’arrête pas de penser à ça…"
mon cur s’accélère.
-" Non, mais ça va pas, pas question."
-" écoute, la pute, regarde bien."
Et là, il me montre sur son portable, son film, ou l’on me voit nue les jambes écartées et lui qui me pénètre sans ménagement.
— "t’as le choix, alors tu décides quoi ?"
je le regarde, j’ai presque envie de pleurer mais d’avoir vu ce film, je commence à mouiller.
J’enlève mon foulard, le pose sur un siège et doucement face à lui, je baisse la fermeture éclaire de ma robe qui se trouve dans le dos puis je la fais glisser doucement parterre. Je me retrouve devant lui en talons haut, string et soutien-gorge…
-" Et ben voilà, tu vois quand tu veux. Putain t’es pas mal comme ça, une vraie petite salope de bourgeoise…"
Je rougis de honte mais étrangement, cette situation m’excite de plus en plus.
Il se lève et tourne autour de moi tout en faisant des commentaires sur moi.
-" beau cul en string, hum les gros seins, ouais un cul de salope… putain qu’est ce que tu es bandante".
D’abord derrière moi, il me caresse les fesses, puis c’est mains se posent sur mon ventre et remontent vers mes seins qu’il malaxe avec force.
-" merde ça c’est des nibards."
Il m’enlève mon soutien-gorge et toujours collé contre mon dos, il reprend ses caresses. Il me presse les seins et joue avec mes tétons qui rapidement durcissent.
-"hum, t’as vraiment des seins d’actrices de cul toi. On dirait que ça te plait ce que je te fais hein?".
Il se place devant moi et baisse son treillis et sort son sexe.
-" allez à genoux et suce moi la bite t’entend."
Je me mets à genoux je prends son sexe en bouche. Je fais tourner ma langue autour de son gland. Je sens son sexe prendre de l’ampleur dans ma bouche, je le lèche sur toute sa longueur pour le reprendre en bouche. Une fois qu’il est en pleine érection, son sexe atteint une dimension comme jamais : il doit bien faire 22 cm. Ce grand bout de chair glisse entre mes lèvres, je le masturbe en même temps, il était vraiment dur et épais. Cela dure quelques minutes.
— "aller arrête maintenant, enlève moi ton string "
je le vois qui se déshabille et je me retrouve en hauts talons nue devant le soldat de mon mari.
-" allez allonge toi sur mon lit et écarte les cuisses."
À ce moment là, j’étais complètement trempée, je savais que j’allais passez un sacré moment. Il bande comme un fou, il s’installe entre mes cuisses et commençe à me lécher avec sa langue. Ce n’était vraiment pas le beau black rêvé, mais ses doigts et sa langue font des merveilles. Je me mets rapidement à gémir de plaisir, sa langue joue avec douceur et force avec mon clitoris.
Puis il se relève me regarde les bras et les jambes écartés totalement ouverte à lui.
Je le vois maintenant qui ajuste son sexe sur l’entrée du mien, Je sens son gland marron disproportionné écarter les lèvres de ma chatte. Je l’implore d’arrêter mais en même temps j’écarte les cuisses, pour qu’il me laboure les entrailles, puis il m’attrape par les hanches et m’enfile d’un seul coup, je sens son gros membre chaud progresser en écartant les parois de mon vagin et m’envahir complètement. Je lâche un râle de plaisir.
J’écarte les jambes au maximum et me laisse aller à la copulation. Il me possède totalement, son pieu s’est enfoncé jusqu’aux testicules. Il se retire doucement presque totalement et d’un coup sec me pénètre de nouveau sans ménagement et a chaque fois, il répète la même chose
— "mes respects mon capitaine, mes respects mon capitaine…"
Et encore et encore.
A chacun de ses coups de butoirs mes gros seins s’agitent et lui continu en haletant.
-" Mes respect mon CAPITAINE."
Et Han ! une autre pénétration et ainsi de suite. Je commence à prendre du plaisir. Il me baise littéralement de cette manière un bon quart dheure, enfin la délivrance, je jouis dans un grand cri et, presque simultanément, les soubresauts de son sexe mindiquent quil jouit, jen prend plein l’utérus, je sens qu’il répand une grosse quantité de sperme chaud en moi.
À cet instant la porte s’ouvre. Je n’ose bouger.
— "Ah pardon caporal, je ne savais pas que vous étiez là."
Et la porte se referme aussi vite.
Lui se met à crier toujours entre mes jambes et je sens son sexe qui vibre figé dans mon vagin.
— "Oh, oh le première classe, vient ici tout de suite, c’est un ordre."
La porte s’ouvre à nouveau.
— "Désolé caporal je voulais juste prendre un briquet, je savais pas que vous étiez là avec votre copine."
-" C’est pas ma copine, c’est la femme du capitaine"
-" hein, vous vous foutez de moi ?"
il se lève, je sens son sexe qui me libéré et son foutre couler entre mes lèvres et mes cuisses que je referme devant le regard ébahie du première classe. Je tente de me cacher avec les draps.
— "Entre le première classe et ferme la porte."
Je le vois pour la première fois, à peine 20 ans,rouquin et petit dans les 1,65 mètre, rondouillard, il n’a pas l’air très futé.
Le caporal tend son bras et m’arrache les draps.
-" Oh putain, la femme du capitaine… Vous baisez la femme du capitaine ?"
— "et ouais, je baise sa femme…"
j’essaie de me cacher le corps comme je peux, c’est alors que le "caporal" intervient.
-" oh tu fais quoi là, c’est pas fini, allez, allonge toi pour que mon soldat puisse bien te voir."
-" mais arrêtez, c’est la femme du capitaine"
— "t’as gueule, c’est un ordre le puceau… Regarde."
— "alors tu t’allonges ? Et écarte bien les bras et les cuisses, sinon…"
La menace tombe de nouveau, je n’ai pas d’autre choix que de lui obéir.
Le 1er classe est subjugué et n’arrête pas de dire
— "oh putain, la femme du capitaine, c’est pas vrai ?"
— "alors le puceau, ça fait quoi de voir une femme à poil pour de vrai ? Hein, ça change de tes bouquins de cul. Regarde moi ses gros seins de salope. T’as pas envie de les toucher ? de la baisser ?"
Le jeune n’ose pas répondre. Et son caporal continu de lui donner des ordres.
-" allez profites en, tu verras elle est super bonne. Je te dis d’en profiter. Dépêche toi.!"
— "oui caporal"
Le première classe, aux ordres, se déshabille et se retrouve nu devant moi déjà en érection. Il est un gras et son sexe semble assez petit, il a des poils roux.
— "Ben qu’est ce que tu attends vas y, c’est un ordre."
Le jeune grimpe sur le lit, et s’allonge sur moi.
— "Vous êtes très belle madame"
-" C’est bon, t’es pas là pour discuter." Répond le caporal.
Sans attendre, il me soulève une jambe et de façon malhabile il cherche l’entrée de mon vagin, l’objet de tous ses envies et quand enfin il trouve l’accès, il s’y enfonce immédiatement et imprime un rythme soutenu sans ménagement. Cela dure quelques dizaine de secondes, puis il se met à maugréer en se retirant.
-’’Putain! Sa chatte est pleine de sperme! C’est dégueulasse!’’.
-’’T’as qu’à lui mettre dans le cul, elle aime ça’’.
-’’Non..!..Pas.. là!..’’, je bafouille
-’’Comment ça, pas là ?’’ rugit le caporal .
-’’T’aimais ça la dernière fois pourtant, petite salope, pousse toi soldat.’’,
Il me retourne et me fait mettre à quatre pattes. il est derrière moi. je sens qu’il me met deux doigts dans la chatte, les ressorts gluants de sperme et les enfonce complètement dans mon anus. Je m’agrippe aux draps.
-’’Alors? T’aime pas ça ?’’ vocifère t’il. Il se met me branler l’anus avec ses deux doigts. Au début, cambrée sur chaque pénétration, je commence maintenant à me détendre, les yeux clos et la bouche entre-ouverte je commence à jouir doucement.
-’’Oohh, oui t’aimes ça ma salope!! souffle le caporal. ’’Hein petite pute ?"
— ’’Ahhh! Oui ma petite pute!! Regarde comme ton cul aime se faire défoncer’’. Il entre profondément ses doigts et les ressort complètement, doucement, plusieurs fois. L’autre me regarde en se caressant le sexe.
-’’Allez vas y! Fourre lui maintenant dans le cul à la femme du capitaine! Qu’est ce que tu attends ? Au lieu de te branler ’’ lance t’il à son soldat. L’autre ne se fait pas prier. Il se glisse derrière moi jusqu’à mon cul et présente son gland à l’entrée. Il pousse doucement et après deux tentatives infructueuses, réussit à le rentrer. Je sens mon anus de se dilate et qui gobe son sexe. Le jeune première classe s’enfonce doucement en moi,
-"oh oui c’est bon, elle est toute chaude et serrée"
Il effectue quelques va et vient lents, puis se met à accélérer la cadence en malaxant un de mes seins
— "Oh putain elle a de gros nichons et son cul, mince alors regardez, j’encule la femme du capitaine."
Le caporal se branle quelques dizaines de secondes, en matant son soldat qui me sodomise.
puis il lui lâche d’un coup
-’’Attend !’’ gueule t’il. ’’Allonge toi sur le dos, je vais la mettre sur toi! Je veux vous prendre en photo pendant que tu l’encules’’. Il nous fait se rapprocher du bord du lit, allongés dans la largeur. L’autre bougonne un peu, mais s’exécute. Moi, résignée et sous la menace de diffuser le film, je m’allonger sur le première classe qui est maintenant sur le dos. Je me retrouve légèrement en appui en arrière sur les mains, les seins en l’air, les jambes écartées, le cul posé sur le bas du ventre du première classe, qui cherche immédiatement à y entrer sa verge.
-’’Voilà! Allonge toi complètement sur Lui.’’ dit le black en me guidant, alors que son soldat a déjà rentré de nouveau fébrilement son sexe dans mon anus et se remet à me sodomiser. Le caporal m’écarte encore un peu plus les cuisses et recule pour nous prendre en photo.
— "et! le puceau décale toi que je vois ta tête avec ta bite dans son cul et sa chatte ouverte"
— "ouais trop top, bouge pas. voila , oh attends ça donne trop envie quand je vois ça."
et là, il se place devant nous et doucement, il enfonce son sexe dans mon vagin,
je me retrouve avec une queue dans chaque orifice, je me sens complètement remplie. Dans cette position. le caporal s’est penché et me suce les seins. Je commence à gémir de plaisir. Ils tiennent cette position pendant deux, trois minutes, je sens que je vais jouir. Tout à coup, le plus jeune gueule :
-’’Ça va pas, vous êtes trop lourds."
-’’Ok, ok!’’ Réponds, le caporal en se relevant, ’’finis de l’enculer tout seul, je m’en occuperai après’’. L’autre, prenant de l’assurance, me remet rapidement à quatre pattes et me sodomise comme un fou.
-’’Ohh! Tu m’excites trop!’’ souffle t’il en me pilonnant.
-"oh putain j’encule la femme du capitaine, hum c’est trop bon". Quelques dizaine de secondes après, il râle et éjacule dans mon cul.
-’’Ça y est l’éjaculateur précoce’’, glousse le caporal, ’’T’as déjà fini?’’. ’’Pousse toi je vais te montrer comment on encule une femme, surtout celle de ton chef’’.
L’autre grogne un truc incompréhensible et se lève du lit. Le caporal passe derrière moi et m’ordonne avec sa grosse queue à la main.
-’’maintenant! Écarte les fesses avec tes mains !’’.
Je m’exécute devant cet ordre.
— "ouais c’est bien salope, comme ça, bien ouverte."
Et il présente son gros gland devant mon anus,
-’’Ah! Non! C’est…. trop… gros!!..’’ je gémit. Mais il continue à l’introduire, je me cambre. Il stoppe la pénétration, me caresse les fesses avec son gland figé dans mes entrailles puis d’un seul coup, il me claque les fesses ce qui me fait contracter mon anus puis, doucement, il enfonce petit à petit entièrement sa grosse et longue queue. ’’Il sait s’y prendre!!’’ me dis-je, puis je ne peux plus m’empêcher de gémir très fort et de pousser des ’’Oh oui!!’’ réguliers. Il me pilonne maintenant l’anus avec sa grande queue, aussi facilement que s’il le faisait dans mon sexe, aidé sans doute par le sperme que son soldat avait déversé juste avant. Ce dernier s’est d’ailleurs remit à se branler en me regardant me faire sodomiser. Puis d’un coup, le caporal s’arrête, et me dit:
-’’Tu aimes ça que je t’encule!’’ ’’Hein ma petite pute?’’ en se remettant me sodomiser tout doucement. Il s’arrête de nouveau, me toise quelques secondes du regard.
-’’Maintenant, bouge ton cul sur ma queue!’’. Et, clac, une autre claque tombe sur mes fesses. Je n’hésite que deux ou trois secondes et me met à onduler doucement du bassin, faisant rentrer et sortir de mon cul sa queue.
-’’C’est bien ma jolie!’’ gémit le caporal, ’’
Puis il ajoute en me caressant les fesse.
— "C’est pas mes respects mon capitaine, mais mes respects salope…" Puis’’Accélère’’ rugit t’il. ’’Ouais!.. Comme ça’’, et me prenant par les hanches, il se remet à me pilonner.
-"hein mes respects salope"
Je sens ses testicules qui claquent contre mon cul. Je me crispe, serre les draps du lit avec mes mains.
-’’Ahhh! Elle te fait jouir ma grosse queue, hein, petite pute!’’ beugle t’il en accélérant encore la cadence. Je me cramponne toujours le dessus de lit, mais je me mets à haleter et gémir encore plus vite et fort, alors qu’il me défonce l’anus.
Pendant ce temps, l’autre se masturbe devant moi.
" oh arrête de te branler, t’es con, fais toi sucer, c’est un ordre."
-"Oui caporal"
Il se présente devant moi, le sexe tendu et me l’enfonce avec avidité dans la bouche. J’ai presque un haut le cur quand il bute au fond de ma gorge. Puis il se branle dans ma bouche avec ses mains posées chaque côtés de ma tête.
-" oh putain, sa bouche est chaude caporal, c’est trop bon"
— " bien le puceau, tu viens de découvrir la pipe et avec une bouche comme la sienne… Hmm"
-" oh oui, hum ça vient… Oui"
Je sens son sexe se durcir encore plus, ses mains se crisper sur ma tête qu’il immobilise complètement et tout à coup son sperme chaud se répand par saccade dans ma bouche. Ainsi immobilisée je ne peux que me résigner à l’avaler.
-" oh mince, elle a tout avalé."
Et le caporal qui rajoute
-"ouais ça c’est de la salope."
Et je le sens accélérer entre mes cuisses. Il s’enfonce et ressort de plus en plus vite, mes seins bougent au rythme effréné de ses coup de butoir contre mes fesses.
-’’Hein?! T’aimes ça que je te défonce le cul, hein?!’’
J’enfonce ma tête dans l’oreiller pour ne pas crier tellement que c’est bon.
Il accélère encore plus et son souffle se raccourcit. Je sens enfin qu’il se fige et qu’il décharge une grosse quantité de sa semence chaude dans mon cul en gueulant. Puis il se retire fière de lui.
— " alors le puceau, t’as vu comment faut faire ?"
Et le jeune qui répond.
-" ah non je suis plus puceau je viens de baiser la femme du capitaine."
Rapidement je me rhabille et je quitte la chambre sous leurs rires. J’ai juste le temps de passer aux toilettes pour m’essuyer comme
Je peux de tout ce sperme qui coule. Je retrouve mon mari quelques minutes plus tard.
— "tu en fais une drôle de tête, ça va ?"
— "non, pas trop, il fait trop chaud, j’ai mal à la tête, je veux rentrer si tu veux bien".
Nous repartons vers la sortie c’est alors que nous entendons.
-" mes respects mon capitaine, rentrez bien madame, j’espère que vous avez passé une bonne journée ?"
-" Ah il a compris le caporal, il fallait juste qu’il sache de placer ou il faut dans la hiérarchie" dit fièrement mon mari…