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Mes jeunes années Algéroise – Chapitre 2




Après la journée passée chez notre tante et Y…..,de retour chez nous il était 17h15 environ M-C ne tenait pas en place.

’Qu’y a-t-il pourquoi ne restes-tu pas en place’

’Ben voilà depuis que je vous ai vus toi et Y…. tout à l’heure,j’ai moi aussi une grosse envie et je me disais que si tu voulais bien avant que les parents n’arrivent se serait super’

’Oui je veux bien,mais il faut que l’on ferme la porte d’entrée’

’Non laissons là ouverte comme d’habitude sinon cela risquerait d’attirer l’attention’sur ce plan elle avait entièrement raison du fait que les portes sont toujours ouvertes sauf la nuit lorsque nous dormons.Elle se deshabilla aussitôt et ce corps nu me fit bander immédiatement,elle prit ma queue en bouche sur le champ et commença à me pomper ma bite avait doublé de grosseur entre ses lèvres et malgré mon âge elle avait néamoins quelques difficultés à le prendre à fond dans sa gorge.Quand je fus bien en forme pour pouvoir l’enfiler je la retourner la mettait en position et présentais ma bitte à son oeillet.A l’instant même ou j’allais le perforer je vis apparaitre F…. dans l’encadrement de la porte,surprise autant que nous,ma soeur le visage collé au dessus de lit moi debout la bitte en l’air et elle la bouche ouverte de stupeur ,nous ne savions que dire,mais ce fut elle qui prit la parole.

’Rhabillez-vous tous les deux et vite’,ce que nous fimes sans demander notre reste.’Toi M-C lui dit-elle tu sais ce que tu risques,je vais te le dire,tu peux ètre enceinte à ton âge car tu es déjà une jeune fille c’est ta mère qui me l’as dit,une petite goutte de son liquide est un vrai danger pour ton ventre et est-ce que vous l’avez déjà fait par devant’.

’Non nous n’avons encore rien fait sauf l’autre nuit mais uniquement derrière’

’Bon je vais vous laisser,je venais simplement te dire que dimanche tu passes la journée avec nous,et surtout attention à ce que vous faites’.Et elle s’en alla en tirant la porte d’entrée derrière elle.Qu’allions nous faire maintenant.

’Si jamais elle raconte aux parents ce qu’elle a vu il est sur que nous serons enfermés toi chez les frères et moi chez les soeurs’.

’Non elle ne dira rien sinon elle nous aurait séparés en attendant l’arrivée des parents,on continue retires ta petite culotte et montres moi tes fesses regardes comme j’ai envie’.Je lui présentais ma queue raide tandis qu’elle otait sa petite lingerie,passant une main entre ses cuisses je constatais qu’elle mouillait abondament et je me mis à promener mon gland le long de sa fente qui une fois bien lubrifié je présentais à son petit trou que je n’eusL’ aucun mal à investir en totalité.L’ayant saisit par les hanches je la faisais coulisser le long de ma bitte de plus en plus vite et lui envoyais tout mon foutre dans ses intestins.Quand tout fut terminé elle m’embrassa et alla changer de culotte.Les parents arrivèrent et à table nous fumes questionnés sur notre journée qui pour tous avait été agréable pleine de jeux et autres que nous fimes passés sous silence bien évidement.

’Nous avons renconté le mari de F…. ce matin et il nous a demandé de te dire que tu étais son invité pour ce dimanche avec notre accord bien sur,nous avons accepté pour toi’,’Bien maman’ lui répondis-je

’Votre travail est-il terminé pour demain’,’oui nous avons-fini’,’Allez faire votre toilette et au lit,nous allons d’ailleurs en faire de même car nous avons eu une dure journée’.Ce qu’ils firent dès que nous fumes au lit,leur chambre étant contigue à la mienne,je percevais des sons bizares et j’eus envie de tendre l’oreille ou plutôt de la coller au mur.Maman gémissait et papa hahanait.

’Oui vas y prends moi,met la moi bien à fond’disait elle et ce la me donna envie de me masturber,chose que je fis aussitôt sans m’appercevoir que M-C était entrée dans ma chambre je fus surpris et faillit hurler de peur.

’T’es pas un peu folle ’.

’Non t’entends pas le boucan qu’il font ’ et elle grimpa sur le lit et colla son oreille au mur,et moi j’en profitais pour lui peloter les fesses que je découvrais nues.

’Et elle veut qu’il la prenne par derrière’et moi dont,je me plaçais contres son cul et présentais ma queue de façon à l’enfiler et lentement je fis pénétrer ma bite dans son anus acceuillant mais elle m’échappa et me dit

’Non arrette car si nous faisons autant de bruit qu’eux ils vont nous tomber dessus et elle préferra me pomper le noeud et tout avaler,à côté c’était la fête le coup de la fatigue nous saurons la prochaine fois ce que cela voudra dire.Puis tout rentra dans l’ordre M-C retourna dans sa chambre,les parents se firent silencieux et moi j’eus bien du mal à m’endormir.En me levant le lendemain je pensais déjà à dimanche comment cela allait-il se passer,nous étions samedi et ma principale occupation était de mettre à jours mes maths en vue de la prochaine interrogation,mon passage en seconde sera automatique et donc point d’inquiétude de se côté.vers 15 hrs tout était fait et je décidais d’aller retrouver mes amis de foot et en sortant de chez moi je fus intercepté par F…..

’Tu peux venir chez moi j’ai un petit problème’Je suivi F…chez elle.

’Quel est ton problème?’

’En fait il n’y a pas de problème mon mari est partit dans son village à St C…… voir sa famille et ilne rentrera que tard ce soir,et je voulais te voir avant qu’il ne rentre’.Aussitôt elle se colla à moi et m’embrassa,me carressa la queue qui se mit au garde à vous scéance tenante et elle la mis à jour pour me pomper rapidement,lui maintenant la tête je donnais des coups de bassin et elle resserant ses lèvres autour de mon noeud,c’étais comme si je baisais sa bouche et en pême temps elle aspirait quand je me reculais à ce rytme je ne fus pas long à lui remplir la gorge de mon sperme elle avala le tout,durant tout ce temps elle ne voulut pas que je la touche.Je lui en demandais la raison et elle me dit que tant que son mari serait là elle ne ferait pas l’amour avec moi.

’Normalement je pense qu’il va devoir repartir,je crois même qu’il n’est là que pour une quinzaine de jours si j’ai bien compris’.Je lui demandais alors si les retrouvailles s’était bien passées.

’Pour nous les femmes dans notre religion il n’est pas question de plaisir,seul devoir d’une femme satisfaire son mari et faire des enfants’

’Mais quand il te fait l’amour il te fait jouïr quand même’

’Absolument pas,il bande et se vide les couilles soit devant soit derrière et barka,hier il est venu me retrouver il bandait bien ferme,j’étais nue car on doit toujours être prète,il m’a mise à genoux et m’a prise par le cul d’abord et il m’a retourné et m’a baisé par devant et il est partir dormir dans sa chambre,tu comprends pourquoi j’aime le faire avec toi maintenant,allez va maintenant laisse moi’ et je partis retrouver mes potes.Le dimanche se déroula de façon admirable il ne manquait rien tant en couscous qu’en douceurs orientales que je ramenais en quantité plus que suffisantes à la maison pour mes parents et soeurs.Il y avait aussi à cette petite fête une superbe jeune fille de mon age et qui n’était autre que la cousine de F…..et elle s’appelait M….. elle était grande de ma taille environ et son corsage admirablement gonflé.S’approchant de moi F….me dit.

’Elle est belle ma cousine elle a seize ans bientôt et elle te trouve mignon c’est elle qui me l’a dit,mais là c’est dommage pour toi elle ne sort jamais seule,même pour aller au collège sa mère ou ses frères l’accompagne,mais si tu es sage je pourrais m’arranger à la recevoir quelques jours si M…. retourne en france’.les jours passaient mais pas assez rapidement à mon goùt,il est vrai que j’eus le droit a bien d’attention de la part de ma tante qui s’était arrangée pour encore oublier cette fois de passer chez le teinturier,ma cousine Y…… me posa quelques questions insidieuses à propos de sa mère,du genre .’comment trouve-tu maman?’,’tu l’aimes bien n’est-ce pas?’et pour conclure ’après tout je m’en fiche’.Ce samedi nous étions à une semaine des vacances scolaires d’été et aussi jour de départ pour M….. qui s’en retournait en france ses vacances étant terminées,je voulus le saluer mais il était déjà parti,et je trouvais F….. assez souriante elle me servit un thé à la menthe et me fit signe de me taire,je compris immédiatement qu’elle n’était pas seule et que nous devions nous méfier.Je me tenais sagement assis sur le tapis,le thé fumant distillait un agréable parfum de menthe,F…. s’installa face à moi et de la porte de la chambre apparut la cousine je me levais pour la saluer et lui tendis la main.

’Bonjour’lui dis-je et refusant ma main elle me claqua une bise sur chaque joue,puis elle alla s’asseoir auprès de sa cousine.Au lieu de s’asseoir sur ses talons elle se mit en tailleur et j’avais alors une vue plongeante sur sa petite culotte et je pouvais même distinguer les poils qui en débordaient,elle doit avoir une sacrée touffe pansais-je.

’Comment le trouves-tu,il est mignon n’est-ce pas?’

’Oui il est très sympa’

’Et toi que penses-tu de ma cousine elle est belle,et je crois que tu lui plais’,’Voyons F…. ne dis pas de bétises tu vas me faire rougir’

’Ce ne sont pas des bétises pourquoi t’aurais-je invitée’et elle se pencha et lui parla à l’oreille,M…… se leva s’excusa et se rendit dans la chambre.F…. me dit alors.

’Tu vas avoir une surprise,viens avec moi’Je suivis F…… dans sa chambre pour découvrir M……. allongée sur le lit,’approche-toi n’ai pas peur c’est elle qui a voulu cela je n’ai rien fait pour l’influencer.Chez nous il n’est pas rare qu’une jeune fille ait des rapports avant le mariage certaines se font prendre par leurs frères et quelques fois par leur père mais toujours par derrière car la virginité et sacrée.’Elle releva la robe et elle n’avait plus de culotte,ce que j’avais entrevu auparavent était bien réel une toison bien fournie et bien noire recouvrait son pubis ne laissant voir la chair au travers.

Je posais ma main sur sa cuisse et amorçais une caresse elle résista légèrement lorsque je voulus lui écarter les jambes,durant ce temps F…… m’avait débraguetter et mastiquait la colonne lentement lorsque je fus en état elle même plongea sa tête entre les cuisses M…… pour lui brouter le minou très conscencieusement du clito à son anus,relevant la robe de F…… je lui plantais ma bitte dans la chatte et me mis à la ramonner.

’F……. mais que fait-il? il est entrain de te baiser’,’Laisse faire ça va ètre ton tour dans pas longtemps aller mets-toi à genoux’.Prenant la position indiquée par sa cousine dont je quittais le vagin la tige bien lubrifiée je calais mon gland contre la pastille et poussait de l’avant pour la pénétrer F…. veillait à ce que je ne dérape pas vers la grotte d’amour qui devait rester intacte.La place fut investie d’un seul coup de boutoir elle poussa un cri tandis que je la pistonner à grands coups de reins pour lui exploser dans le ventre.je mis bien quatre à cinq minutes avant de pourvoir déculer les muscles de ses sphincters s’étant resserer autour de mon noeud.

’C’était bon M….. ?’,’Oui super mais j’aurais aimé devenir une femme’,’Oui mais là ce n’est pas possible tu dois rester vierge pour ton futur mari’

’Et toi pourquoi tu te fais prendre alors que tu as un mari’,’oui mais tu comprendras quand tu seras mariée’,’Je comprendrais quoi?’.

’Que tu ne seras pour lui qu’une bonne à tout faire,le linge,les repas,lui faire des enfants surtout des males et entretenir sa maison,le plaisir c’est lui qui le prendra toi non’.

’Je peux te demander si ce n’est pas indiscret,tu disais tout à l’heure que les filles bien souvent était prise par leurs frères et quelques fois même par leur père.Est-ce que toi tu t’es faite prendre et par qui et quand?’.’Moi pour ma part j’ai été prise très tôt j’avais à peine onze ans et c’est mon grand père qui m’a enculé le premier,le jeudi maman préparait le repas que je devais lui portais à la pature des moutons je l’aimais bien grand père car après avoir manger il me prenait sur ses genoux et me racontait des histoires,mais un de ces jeudi confortablement instalée à califourchon sur ses cuisses j’ai senti quelque chose de dur battre contre ma fente et mes fesses nues car nous étions pauvres et par manque d’argent nous n’achetions que le nécessaire,les culottes étant portées sous les robes n’étaient pas jugées indispensables donc nous n’en portions pas,et je demandais à grand père qu’elle était cette chose.Passant sa main entre nos corps il ouvrit sa djelaba et me fit découvrir la chose et je dois dire que malgré son age il avait plus de soixante ans il était bien gros et bien dur et il mit de la salive dessus et me soulevant il me pointa son gros morceau dans le derrière et quand il eut fini me renvoya à la maison,où ma mère compris immédiatement ce qui m’était arrivé à ma façon de marcher j’avais terriblement mal à mon petit trou alors elle m’allongea sur le tapis de la chambre et me nettoya et me passa une crème qui calma la douleur et me demanda de taire ce qui venait de m’arriver et que certainement j’aurais à supporter d’autres assauts de sa part et peut-ètre d’autres personnes,certes grand père recommença mais il y eut aussi mon frère qui profitant de l’absence de mes parents me viola alors que je n’avais que quatorze ans.Ceux-ci s’étaient absentés pour les funérailles d’un oncle et restés seuls à la maison avec mon grand frère il en profita pour se glisser dans mon lit durant mon sommeil et du fait que je dormais nue il n’eut aucun mal à se satisfaire,déja élargie par les assauts de grand-père qui était bien pourvu lorsque je me réveillais mon frère était séjà entrain de me bourrer les fesses ne pouvant lui résister je me laissais faire et à un moment il sortit son membre de mon cul il alla le nettoyer à la salle de bains et vint me rejoindre dans mon lit et m’obligea à le carresser pendant qu’il pelotait mes seins qui étaient gonflés et terriblement durs une de ses mains se faufila entre mes cuisses et même ma petite fente qui je dois l’avouer était trempe de désir,là je resserais mes jambes et bloquais sa main ce qui le mit en colère et plus fort que moi il me força à ouvrir le compas de mes cuisses et il se glissa entre elles et pesait de tout son poids sur mon ventre je ne pouvais me débattre et je sentais sa queue qui cherchait le chemin de ma chatte qu’elle n’eut aucun mal à trouver et lubrifier comme je l’étais elle s’y engouffra et d’un coup de reins brutal il fit de moi une femme en me traitant de ’P-te’ et de ’Chienne’ mais il eut le réflexe de se retirer pour cracher son venin en me disant’Tu as de la chance d’ètre ma soeur mais surtout ne dit jamais à qui que se soit que c’est moi qui t’es baisée sinon je te défigure’,c’est lui qui m’a fait épousé M….. son ami et j’ai simulé mon dépucelage avec la complicité de ma mère que j’avais mise au courant.S’adressant à F…..,S….. lui dit’Figure-toi que ton cochon de frère a essayais de me coincer il y a seulement deux semaines mais je l’ai dit à ta mère qui l’a menacé de tout raconter à mon père et je te garantie qu’elle ne plaisantait pas.Mais j’aimerais bien le faire si tu as pu simuler pourquoi pas moi’,et durant tous ces palabres entre les deux cousines j’étais là toujours bandant F….. se tenait à genoux aux côtés de S…. me positionnant en arrière de ses fesses je pointais ma bite à l’entrée de sa fente et m’y engoufrais d’une seule poussée et me mit à aller et venir dans son précieux fourreau dans lequel je me déversais’Tu devrais faire attention à force il finira par te mettre enceinte’,’Je ne risque rien,après tout M…… m’a fait l’amour tous les soirs pendant ses vacances,et je crois que je l’été déjà à son arrivée car j’avais du retard’.La journée se termina admirablement après promesse de nous revoir .

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