Belle fille 11
Sur la route du retour à la maison. Ma petite chérie d’Aurélie me regarde sans arrêt en me caressant le cou. Je quitte de temps en temps le regard sur la route pour lui sourire. Elle me dit :
– Tu es vraiment génial ! Jamais, je n’aurais imaginé possible, tout ce que nous avons fait aujourd’hui !
– À quoi fais-tu référence ? À tes exhibitions, ou bien quand nous étions au cinéma ? »
– À tout ! Même ce que nous avons acheté au sex-shop. Je me sens si bien avec toi ! Au fait, tu étais déjà allé dans ce genre d’endroit auparavant ?
– Oui, il y a longtemps ! Mais ça n’avait rien à voir à l’époque ! C’était sordide, presque crasseux, ça sentait le tabac froid ! Alors que là, c’est plutôt agréable comme lieu et le personnel très charmant !
– Et Qu’est-ce que tu avais été faire là dedans ?
– Il y avait des cabines personnelles, on choisissait son film que l’on pouvait regarder dans l’intimité.
– Oh le coquin ! C’était quoi le dernier que tu aies vu ?
– Hum ! Disons qu’il est en rapport avec ce qu’il y a dans le sac
Aurélie se penche et ouvre le sac pour me montrer le vibromasseur que je lui ai offert. Dénégation de ma part d’un signe de tête.
Elle exhibe ensuite le plug anal.
Nouvelle dénégation.
Avec un sourire entendu, elle me montre la boite contenant le gode à lanières.
– Tu aimes vraiment les films avec des lesbiennes !
– Pas vraiment, c’était l’histoire d’une dame mûre qui s’occupait d’un jeune homme avec un truc comme ça !
– Ah ! Tu vois bien que tu as des fantasmes ! N’hésite pas à m’en parler ! De toute manière, je suis sûre que, bientôt, tu vas vivre celui-là!
Je ne réponds pas. Je me sens excité à l’idée et ressens une complicité extrême avec mon amante de fille. Je n’ai jamais eu ce sentiment avec Brigitte, sa mère.
Quand nous arrivons, Laetitia est à la maison. Elle me saute au cou et nous échangeons un rapide baiser. Les deux surs se retrouvent avec plaisir et Aurélie raconte tout, absolument tout de notre journée. Laetitia n’en crois pas ses oreilles et me lance des regards incrédules.
– Dis Pap , Euh, mon chéri ! Tu l’as laissée s’exhiber, se faire peloter et même doigter la chatte par un inconnu ! Et tu n’as rien dit ?
J’enlace Aurélie et lui dépose un baiser dans le cou avant de répondre :
– J’accepte tout ce qui lui fait plaisir !
Aurélie se blottit davantage dans mes bras, en signe de remerciement de ma tolérance. Laetitia ajoute :
— Et si elle se faisait des mecs devant toi, tu accepterais ?
Je me renfrogne, car la jalousie me reprend. Sans grande conviction, je réponds :
– Si ça lui fait plaisir !
Aurélie se défend :
– Mais, nous n’en sommes pas là ! Nous sommes un vrai couple avant tout ! N’est-ce pas mon amour ! Elle me serre à m’étouffer, mais j’adore tant son contact !
— Bon ! Les amoureux ! Vous voulez bien me montrer vos achats ?
Aurélie sort le plug et lui tend :
– Tiens, ça c’est pour toi ! Ou plutôt pour Florian. Tu diras que l’as acheté. Il devra le garder en lui le plus longtemps possible, a préconisé la vendeuse !
Elle sort ensuite le gode :
– Ça c’est pour nous, les filles ! C’est le modèle le plus vendu, parait-il! Regarde, ça c’est pour le clito, et puis ça bouge, ça tourne, ça vibre ! Il y a plein de fonctions ! La vendeuse a le même et l’utilise tous les jours, a-t-elle affirmé !
Pour le gode ceinture, elle me regarde, puis se tourne vers sa sur :
– Ça c’est pour moi ! Je te le prêterai si tu veux, mais là Je suis impatiente de l’essayer. Tu pourras nous laisser seuls ce soir ?
– Pas de problème soeurette ! D’ailleurs, je ne vais pas tarder !
Son sourire, à mon égard, est entendu !
Quand Laetitia est prête à partir, elle se love contre moi pour un baiser. Son doigt s’insinue entre mes fesses et je la sens exercer de petites pulsions dans ma raie.
Sa complicité m’est agréable, surtout quand elle me souffle à l’oreille :
– J’espère que tu vas aimer autant que moi !
.
La porte refermée, Aurélie me propose d’aller chercher le lubrifiant et de revenir nu.
– Tu ne préfères pas que l’on aille dans la chambre ?
– Non, ça sera mieux ici, ou sur la terrasse, ou dans la cave comme tu préfères, mais pas dans un lit aujourd’hui, d’accord ?
— Entendu ma chérie, je vais chercher ce qu’il faut.
Je me sens à la fois inquiet et excité à l’idée de ce qu’il va très certainement se passer.
Je suis en semi érection à mon retour. Je tiens le tube de lubrifiant et un préservatif pour protéger l’objet d’éventuelles souillures.
Aurélie revient de la cuisine et, sous sa robe courte, le faux sexe dépasse entre ses jambes, soulevant même un pan par cette pseudo érection. Je m’approche pour l’enlacer, mais elle m’appuie sur l’épaule en disant :
— Taille moi plutôt une pipe !
Plus rien ne m’étonne, même d’entendre ces mots sortir d’une aussi jolie bouche.
Sans contester, je me mets à genoux, retrousse sa robe, caresse ses fesses et porte à ma bouche le sexe.
Que je suce ensuite avec application !
– Humm ! Tu es doué ! Tu es un habitué, pas vrai ?
Je réponds par la négative d’un signe de tête, tout en pompant du mieux que je le peux.
– Pourtant, on dirait que tu as fait ça toute ta vie !
Je ne sais pas si c’est un compliment ou si elle en rajoute, par provocation.
Après quelques minutes, elle m’enjoint de me relever et de lui enlever la robe.
Je l’enlace par derrière et lui caresse la poitrine. Elle sent mon sexe tendu sur sa fesse et le roule un peu sur son postérieur, avant de dire :
– Je vais te montrer ce que le mec du cinéma me faisait tout à l’heure, quand il me pelotait
Elle guide mes doigts sur son téton et me le fait pincer entre l’index et le majeur.
– Oui comme ça, serre un peu plus fort !
Elle se contorsionne tant, que j’ai peur de lui faire mal, mais elle apprécie beaucoup, avant de déclarer :
– Viens ! On va aller dans la cave ! Mets moi la capote
Arrivés sur place, elle préfère rester dans l’obscurité. Elle m’attrape le sexe, comme s’il s’agissait d’une poignée et me fait me retourner. Elle me pousse vers l’établi, que je ne peux voir dans ce noir total. J’ai beau connaître le lieu, je me dirige à tâtons alors qu’elle me pousse par les épaules.
— Prends appui et écarte bien les jambes ! Je vais te baiser le cul !
Sa grossièreté inhabituelle doit être calquée sur les mots, que profère souvent sa sur quand elle est prête à jouir, et auxquels je suis si réceptif. Aurélie le sait désormais et elle en joue !
Ses doigts enduits de lubrifiant me tartinent le petit trou et s’insinuent pour me préparer l’anus. Quand elle me prend par les hanches, je sens son bout me forcer, j’ai une petite inquiétude que je dissipe en inspirant à pleins poumons.
Elle entre en moi assez facilement et s’enfonce bien loin. Plus profondément qu’avec le gode de ma femme que les filles ont pu m’insérer ces jours-ci. Sa main graisseuse vient s’assurer de ma bandaison, puis après s’être essuyée le surplus de gel sur mon sexe, elle me reprend par les hanches et se met à s’activer, à me limer plus précisément. Ses mouvements sont précis et parfaitement calqués sur un rythme masculin.
– Alors ? Tu l’aimes ma grosse bite dans ton petit cul ?
– Oui ma chérie, fais moi l’amour !
– Non ! Je vais te défoncer ! C’est bien ça que tu veux, pas vrai ?
— Ouiiiii ! Vas-y ! Défonce-moi !
Ces mots sont sortis spontanément. En effet, je ressens un plaisir nouveau, difficile à décrire ! Un sentiment de perversion ultime ! Je me fais sodomiser ! Par une femme ! Par le fille de mon épouse ! Par mon amante adorée. Je vis un fantasme que je n’osais m’avouer !
– Branle toi pendant que je te nique ! Aller, obéis-moi !
Je m’exécute, mais lentement, je ne veux pas jouir trop vite. Elle me besogne en soufflant fort dans mon dos. Pris de frénésie, je lui quémande :
— Dis moi encore des trucs ! Insulte-moi !
Elle entend bien ce que je souhaite et reprend sa grossièreté.
— Ouah ! Que c’est bon de défoncer ton petit cul de salope ! Je vais te déchirer le fion ! T’aimes ça, te faire enculer, pas vrai ?
— Ouiii ! Continue !
Je suis pris dans une folie incontrôlable et me régale de cette situation indécente. J’ose m’avouer que j’adore me faire prendre, que c’est une révélation fantastique que m’a faite découvrir ma bien-aimée. Déjà, avec le gode c’était bien, mais là, c’est franchement mieux !
Ses jurons fusent alors qu’elle me donne des grands coups de reins, ou me claque les fesses violemment. Puis, brusquement, elle change de rythme, et s’arrête. Elle reste enfoncée et doit être en train de se frotter le pubis ou le clitoris, eu égard aux mouvements de son bassin. Elle se met à haleter, en s’écrasant sur mon dos.
Elle redonne un petit coup de temps en temps, mais se consacre essentiellement à se frotter.
Chaque petit mouvement se propage en moi et la sentir au bord de l’extase me stimule. Je ne peux me retenir plus longtemps et éjacule fortement en râlant.
Elle ne s’arrête pas pour autant de me besogner ou plutôt de se taquiner le bouton en le pressant contre le cuir qui maintient son sexe.
Je glisse difficilement la main en arrière pour lui saisir un téton. Quand je le presse entre mes doigts, elle ne tarde pas à jouir à son tour.
Elle sort de moi, me retourne et nos bouches se retrouvent pour affirmer notre passion mutuelle. Quel pied nous venons de prendre! Chaque jour est un délice, j’apprends de nouvelles choses et ressens un épanouissement croissant.
Pour rejoindre le rez-de-chaussée, cette fois, nous allumons la lumière. En montant l’escalier, je me délecte de regarder les ondulations de son si beau postérieur, sanglé par ces lanières de cuir.
Arrivés en haut, elle me demande en agitant son membre :
– Ça t’a plu ?
— Énormément ! Jamais je n’aurais pensé faire ça un jour !
Ce disant, j’ai saisi son engin d’une main et de l’autre lui caresse la joue pour un tendre remerciement.
Elle me demande :
— C’est une vraie bite qu’il te faudrait ! Tu n’aimerais pas ?
— Je Je ne sais pas
— Tu as remarqué comme tu couinais ! Je suis sûre que ça te plairait
– Euh Non, ça je ne crois pas ! Avec toi, c’est différent ! Ça ne me gêne pas que tu me fasses l’amour de cette façon. En plus, c’est très agréable
– Ouais, ouais, tu dis ça, mais je crois que tu te caches des choses à toi-même ! Il faudrait que tu te libères ! On en reparlera plus tard !
— Tu sais ma chérie, ça va trop vite pour moi ! Tu me fais explorer le sexe à cent à l’heure
– Je le sais mon amour, mais le temps est compté avant que maman ne revienne, alors il faut foncer ! Il y a mille choses à faire ensemble. Notre amour est si fort qu’il faut faire exploser nos désirs !
– Je t’adore Aurélie, je suis prêt à tout pour toi !
– Alors suce moi encore un peu
Dit elle, avec son petit sourire coquin.
Je m’agenouille
Par la suite, nous prenons une douche commune, seulement ponctuée de caresses, lors de notre savonnage mutuel. Elle troque sa robe pour une jupette noire et un haut rose très court qui découvre largement son ventre musclé. Elle est sublime !
Je m’applique à être élégant pour elle, en me revêtant d’un pantalon léger et d’une chemisette blanche.
Nous bavardons sur le canapé et, tel un amoureux transis, je ne cesse de lui déposer des bises. Tantôt sur la main, l’épaule, la joue Elle me fixe de son regard ensorceleur, pour me déclarer :
— Je t’aime, Jean !
C’est la première fois qu’elle m’appelle par mon prénom et ça me bouleverse, je lui bredouille :
— Je t’aime Aurélie. À jamais ! Je ne peux plus me passer de toi ! Ni de tout ce que nous pouvons faire ensemble
— Coquin ! Si tu veux, on se grignote quelque chose vite fait et ensuite, j’aurais envie de .
Elle décrit son désir et là, je suis choqué, interloqué, médusé de sa proposition !
— Oh non ! Pas ça quand même !
— Si, aller ! J’en ai envie ! Juste une fois ! Pour me faire plaisir
Résigné je lui dis :
— Bon, d’accord, si tu veux, on y va ! Nous parlerons des détails sur la route