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On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche – Chapitre 7




Avec mon équipe, nous venions d’arriver à Moscou. J’étais déjà venu ici, une belle ville mais ce que j’y préfère, ce sont les femmes moscovites. La seule fois où j’y étais allé, j’y ai passé l’une des plus belles nuits de ma vie. On est parti à l’hôtel et, alors que je déposais mes affaires, Frank, le petit nouveau de l’équipe, a frappé à ma porte. Ce petit jeune de vingt-quatre ans me ressemblait beaucoup, il était physiquement très proches de ce que j’étais quand j’ai débuté. J’avoue que ça a joué quand je l’ai choisi parmi tous les candidats.

— Victor ! Je peux entrer ?

— Oui bien sûr.

— Il faut que je te parle . Voilà j’ai entendu les autres parler tout à l’heure . Il parait que le client va nous offrir une fille à chacun pour la nuit ?

— Oui, enfin, il n’y est pas obligé mais c’est l’usage lors de ce genre de négociation. Pourquoi tu demandes ça ? tu sembles nerveux ?

— C’est que Je n’avais pas prévu et

— Tiens prend ça, lui ai-je dit en lui donnant un préservatif que je gardais dans ma poche au cas où, sachant que j’en avais une pleine boite dans ma valise.

— . Merci mais .

— Mais quoi ? Tu ne sais pas comment t’en servir ?

— En théorie si mais .

— Comment ça en théorie ? Oh ! Ne me dis pas que tu es .

— Puceau ? .. Si.

— . OK, Bon déjà j’apprécie ta franchise. C’est le genre de truc pas facile à dire.

— Si je l’ai fait c’est parce que je sais que je peux te faire confiance.

— OK, Tu t’es dit « entre gros » ça n’a pas dû être facile pour moi aussi ? Ou au moins tu as pensé que je pouvais comprendre ce que tu traversais ?

— J’y ai pensé.

— T’as pas tort et dans une certaine mesure ça continu encore pour moi. Tu sais, les filles qu’on va avoir sont des professionnelles. Ce ne sont pas des putes de banlieue au rabais. Ce que je te conseil, une fois dans ta chambre avec elle, tu lui dis. De toute façon, elle s’en serait rendu compte et elles savent qu’on va remplir une enquête de satisfaction. Alors si elle fait mal son boulot, elle sait qu’elle ne sera plus conviée à d’autres soirées de ce genre, qui lui rapporterait pas mal d’argent.

— OK, merci.

— C’est dingue que tu me demande conseil à moi alors qu’on se connait à peine.

— Je n’allais pas demander conseil à mon père. Tu m’imagines me ramener le dimanche : « salut papa, je pars pour Moscou où je vais me taper une pute. Un conseil à me donner pour ma première fois ? »

— Hehehe ! Oui, dis comme ça . Quoi qu’autrefois les pères amenaient leur fils au bordel dans la haute bourgeoisie pour les déniaiser.

— Oui mais non. Mes parents sont cathos et un peu coincés. Quand à mes amis . On s’est un peu perdu de vue.

— Je vois. En tout cas même si tu es nerveux, ça va bien se passer.

— Ok merci . Tu gardes ça pour toi hein ?

— Garder quoi ? tu m’as dit quelques choses ? Je ne m’en souviens pas.

— Merci

Je ne m’attendais pas à faire du coaching. Je me voyais dans ce gamin. Non, espèce de pervers, je ne me voyais pas en train d’abuser de lui mais il me faisait penser à moi étant jeune. J’ai fait avec lui ce que j’aurais aimé que l’on fasse avec moi.

Le soir, nous étions cinq au bar de l’hôtel. Pour Frank, c’était sa première sortie professionnelle de ce genre et les trois autres de l’équipe lui décrivaient certaines anecdotes croustillantes. On était en train de discuter quand le commanditaire de notre client est arrivé. Accompagné de cinq superbes jeunes femmes. Comme à mon habitude, je m’étais placé derrière mes boys. Pourquoi ? Parce que ça m’amuse de voir la tête des filles quand elles découvrent que derrière ces jeunes hommes, il y a un « vieux » qui approche le demi-siècle et qui arbore fièrement ses cent trente kilos dans son costume de luxe. De là où j’étais, je voyais les cinq filles qui regardaient les jeunes, même Franck semblait avoir droit à quelques sourires de politesse. C’est là que la soirée a commencé.

— Bonsoir, je suis Igor kirinzky, je suis mandaté par M Ivanov. Lequel d’entre vous est M Victor Grimbert ?

— Je suis là. Ai-je dit en sortant de derrière mes collègues.

Mon arrivé a effacé ce si joli sourire sur le visage des jeunes filles quand elle m’ont vu. Moi j’étais habitué et à part Franck, mes autres gars aussi étaient au courant de cette pratique qui me faisait rire. Avec moi, les escort girl c’était comme ce que décrivait le personnage principal de ce film à succès sur le nord de la France : les filles, elles pleurent deux fois. La première quand elles me voient ; du genre « Non je ne veux pas coucher avec lui. Il est gros et moche ». La deuxième, c’est quand on se sépare ; « T’es sûr que tu dois partir maintenant ? T’es sûr que tu ne veux pas remettre un dernier coup avant de partir ? ». Bah oui ! Grâce à l’actrice porno qui avait parfait mon initiation, à l’époque de mes études, plus l’expérience que j’ai acquise durant toutes ses années, j’ai appris comment donner du plaisir aux femmes et en prendre en même temps par la même occasion. En ce moment, j’ai des rapports épisodiques avec des étudiantes ou des femmes en galère financière que j’aide financièrement. Si c’était si désagréable avec moi, elles ne reviendraient pas me voir.

Parmi ces filles, il y avait une blonde absolument sublime qui, discrètement, tentait de se cacher derrière ses collègues, pas rassurées non plus car elles savaient que j’avais la primeur de choisir en premier. Quand je lui ai tendu la main en lui disant « Mademoiselle, je serais ravi de vous tenir compagnie cette nuit », elle n’a pas pu se cacher et c’est avec un sourire de complaisance qu’elle m’a rejointe. Parmi elle, j’ai de suite remarqué que l’une d’elle semblait un peu plus âgée que les autres. Je me suis permis de la choisir pour Frank. Une première fois c’est toujours mieux avec quelqu’un de plus expérimenté et comme, habituellement, l’expérience vient avec l’âge ..

Durant tout le repas, c’est principalement moi qui dialoguais avec notre émissaire. En tant que chef d’équipe c’est mon rôle. Frank, lui, m’écoutait religieusement pendant que les autres préféraient taper la discute avec celles qui leurs faisaient les yeux doux. Une fois le repas terminé, notre émissaire nous a quittés. Il était dur en affaire. Je sentais que ça allait être difficile pour nous d’atteindre le rendement qu’il nous demandait mais bon. J’aime les défis et on nous paye suffisamment cher pour ça. Après tout cela, c’était l’heure des réjouissances. Chacun avait sa compagne du soir avec lui mais je sentais que la mienne, Olga, n’était pas aussi joyeuse que les autres. Je la maintenais contre moi avec mon bras dans son dos et ma main sur ses fesses que je faisais parfois vagabonder sur sa raie à travers le tissu de sa robe. Ça la mettait mal à l’aise visiblement. On s’est bu un dernier vers et chacun est parti vers sa chambre. Quand j’ai vu Franck se dirigé vers l’ascenseur, je lui ai fait signe d’encouragement de la tête avant que la porte ne se referme.

Alors que nous traversions le couloir pour aller à ma chambre avec Olga, nous croisions des couples et même des familles dont les parents semblaient se poser des questions en nous voyant. Des questions qu’ils ne se posaient plus une fois nous avoir dépassé car on voyait nettement ma main sur les fesses de la demoiselle ; ce qui en disait long sur mes intentions. Une fois la porte ouverte, J’ai fait entrer Olga, et dès que je l’ai refermée derrière moi et que je l’ai verrouillée pour qu’on ne soit pas dérangé, je me suis retourné vers elle qui me tournait le dos et je lui ai dénoué les lanières qu’elle avait sur les épaules et qui maintenaient sa robe en place en lui glissant à l’oreille « laisse-moi te mettre plus à l’aise ».

Cette délicieuse créature était presque toute nue. Elle ne portait plus qu’une fine culotte en dentelle. Avec mes mains sur ses hanches, je les ai remonté sur le devant, jusqu’à atteindre ses seins qui étaient absolument magnifiques. J’ai alors commencé à l’embrasser dans le cou pendant que mes mains lui massaient de plus en plus frénétiquement ces globes. Elle s’est alors retournée pour m’embrasser et j’ai pu contempler cette uvre d’art qu’était son corps. Connaissant son boulot, elle ne tarda pas à s’agenouiller devant moi. J’ai alors retiré mon pantalon et pendant qu’elle commençait à me sucer, je me suis débarrassé de mes vêtements.

Cette fille était en train de me sucer la tige avec une gourmandise que j’avais rarement connue. On n’avait pas l’impression que mon physique la dégoutait. Si, si, je suis lucide. Je sais que je ne plais que moyennement au premier regard. Quand je lui ai dit d’arrêter elle s’est presque sentie insultée, comme si ça ne m’avait pas plu. Je l’ai alors allongé sur le lit, je lui ai retiré sa culotte et j’ai commencé à lui rendre la pareille. Sous mes coups de langue, je l’entendais gémir des mots en russe que je ne comprenais pas. J’étais là, la tête entre ses cuisses, ma langue devenue plus qu’experte avec l’âge en train de la faire frissonner de plaisir et mes mains sur ses seins. Quand je me suis arrêté, je voyais dans son regard qu’elle aurait bien voulu que je continue mais la nuit n’était pas finie. Je me suis avancé à quatre pattes sur elle comme un gros matou vers sa proie. Une fois au-dessus d’elle je l’ai embrassé et c’est quand je l’ai pénétré qu’elle m’a plaqué contre elle en me serrant. Sous mes coups de reins, je la voyais soupirer de plus en plus fort. Puis je me suis retiré, je l’ai retourné et je l’ai prise en levrette. Je la sentais qui prenait son pied. Ne parlant pas russe et elle ne parlant pas français, on dialoguait en anglais quand nos bouches n’étaient pas déjà occupées. Je l’entendais dire des « davaï, davaï ! ». Un des rares mots en Russe que je connaissais qui voulait dire « plus vite ». Elle en oubliait presque son anglais avant de se reprendre. J’ai continué jusqu’à la jouissance et me suis ensuite allongé sur le lit à côté d’elle.

Elle avait le sourire aux lèvres et s’est blottie contre moi. On a discuté et à chacune de ses phrases elle m’appelait « Honey » ou « my love ». C’était flatteur. Je ne sais pas si elle a vraiment pris son pied ou si elle avait simulé mais moi en tout cas j’avais passé un bon moment. Elle s’est endormie allongé sur moi comme sur un gros coussin. Le lendemain, quand elle s’est réveillée, je venais d’entrée sous la douche. J’étais en train de me savonner quand elle est entrée dans la cabine avec moi. Elle a commencée à me caresser les épaules, le torse, mon gros bide et pour finir mon entrejambe. Puis, pendant que pelotais ses nibards, elle m’a dit « viole moi, prend moi comme une brute ». D’abord surpris, je n’ai pas mis longtemps pour la plaquer contre le mur et lui faire ce qu’elle m’a demandé. Je l’ai prise par devant, puis je l’ai enculé bien profond pour ensuite me terminer dans sa bouche. Visiblement elle avait aimé notre nuit et avait voulu un baroud d’honneur.

Comme à chaque voyage de ce genre, j’ai bien tiré mon coup. Quand j’ai rejoint mon équipe j’ai remarqué qu’il manquait le petit nouveau, Franck. C’est plus tard qu’il nous a rejoint avec un sourire jusqu’aux oreilles. Visiblement ça c’était bien passé pour lui aussi. On avait l’impression d’être en face d’un autre homme.

De retour de Russie, je me suis souvenu de cette fille que j’avais rencontrée lors de la soirée anniversaire. Elle avait vingt-sept ans, elle était blonde, un corps plutôt bien proportionné, . J’avais comme l’impression qu’elle n’était pas venue à moi, lors de la soirée anniversaire de la banque, uniquement pour parler finance. Je l’ai donc rappelé et on a convenu d’un rendez-vous chez elle, un soir après le boulot.

Quand je suis arrivé chez elle, elle aussi devait revenir de son travail. Elle portait un charmant tailleur et ce que je voyais de l’ouverture de son chemisier n’était pas désagréable à regarder. Elle m’a offert un café et on s’est assis pour discuter. Je savais déjà qu’elle s’appelait Karen mais durant cette discussion, j’en ai appris plus. Elle était réceptionniste dans un grand hôtel de luxe franchisé et ce qu’elle comptait me confier, c’était toutes ses économies. Je lui ai fait l’étalage des placements que je pouvais lui faire en tant que particulier mais elle ne semblait pas comprendre. Les mots employés étaient-ils trop techniques ? Toujours est-il que notre rendez-vous s’éternisait. Quand je lui parlais, je la voyais mettre en avant ses attributs mais de manière assez discrète. Puis à un moment, j’ai senti comme une gêne dans mon pantalon : une forte érection incontrôlée. Même si je me suis imaginé des choses sur elle durant un instant, jamais ça n’aurait pu m’exciter comme ça en temps normal. Soudain nous avons été interrompus par un coup de téléphone. Elle s’est levée et moi je me suis dirigé vers l’évier pour me servir un verre d’eau. Je ne comprenais pas d’où me venait cette bouffée de chaleur et cette érection. C’est quand elle est revenu et qu’elle m’a vu debout avec mon manche au garde-à-vous qui faisait une bosse dans mon pantalon qu’elle est venue me voir.

— Visiblement vous aviez soif ?

— Euh oui. Excusez-moi mais je me suis servi. Lui ai-je répondu en tentant de cacher mon état avec ma veste.

— Il n’y a pas de problème . C’est moi qui vous mets dans cet état ?

— Quel état ?

— Ça ! me dit-elle en me mettant la main au paquet.

— Je suis désolé si ça vous met mal à l’aise. Vous êtes une jolie femme et d’ordinaire je me contrôle mais je ne comprends pas pourquoi ..

— Chut ! pas d’explication. Si vous avez envie de prendre du bon temps avec moi il fallait me le dire. Ma chambre est à côté. Dit-elle en déboutonnant son chemisier.

Je me retrouvais devant cette fille en soutien-gorge devant moi, dans une situation inattendue. Toutefois elle ne semblait pas si surprise que ça de la tournure des évènements, au contraire. Elle m’a alors roulé une bonne pelle et pendant qu’on s’embrassait je voyais ma tasse de café sur la table. Je commençais à penser qu’elle avait dû y mettre quelque chose dedans. Que ce soit le cas ou non, elle était visiblement partante pour une bonne partie de jambe en l’air alors autant en profiter. On s’est alors dirigé vers sa chambre où elle m’a dit « va z y ! Fais-toi plaisir ». J’avais une telle gaule que je ne me suis pas embarrassé de préliminaire et je l’ai prise directe. De son côté elle commençait à mouiller un peu alors, une fois à l’intérieur j’ai pris mon temps pour faire durer cet instant. Heureusement que j’ai toujours une précaution sur moi. Sinon je me serais retrouvé sur la béquille.

Je l’ai prise dans plusieurs positions, à des cadences différentes entrecoupées de petits moments buccaux. Je n’avais pas prévu de coucher ce jour-là. Ce fut une bonne surprise. Quand on en a eu fini, on s’est retrouvé à poil sur son lit à s’embrasser. Ok elle m’avait fait passer un bon moment mais il y avait deux mot qui me venait à l’esprit : Comment et pourquoi.

Elle m’a alors avoué qu’elle avait effectivement mis un puissant aphrodisiaque dans mon café, n’étant pas sûre que je sois dans les meilleures dispositions. Elle m’a avoué que ce rendez-vous pour des placements n’était qu’un prétexte pour m’attirer chez elle. Elle m’a aussi dit en avoir un peu marre des hommes de son âge. Elle parlait des beaux et grands jeunes hommes musclés qui, sûrs de leur potentiel de séduction, consomment des filles comme des mouchoirs jetables. Elle m’a dit préférer un homme qui sera heureux d’avoir une jolie fille, qui ne la quittera pas et qui fera tout pour la garder. Elle m’a également dit que même si je n’avais pas un physique avantageux, elle me trouvait quand même quelques chose de charmant dans mon allure générale. Bien sûr le fait que je l’ai fait grimper aux rideaux n’était pas pour lui déplaire.

Cette révélation était plaisante mais je la trouvais inexacte ou plutôt incomplète. Tout ça, elle aurait pu le faire avec le premier mec rencontré dans un bar. Elle n’osait pas me l’avouer mais jétais certains que ce qu’elle entendait par « faire tout pour la garder » voulait aussi dire « avoir les moyens pour gâter cette jolie demoiselle ». Cette fille cherchait un homme avec un confort de vie et une bonne situation, c’était évident et je suis certains que jamais elle ne m’aurait fait son numéro si j’avais été Smicard. Je n’ai pas réfléchi longtemps pour y voir les avantages. Par contre j’étais loin de m’imaginer qu’elle me préparait une histoire genre Soap-opéra américain.

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