La famille de Jean-Charles vivait dans ce pavillon depuis des années, coin très "bobo-chic" où seule la partie très aisée de la population locale avait accès à ces demeures. D’immenses villas, avec piscines, jacuzzis, saunas, le luxe d’un hôtel 5 étoiles pour domicile fixe à l’année : le pied !

Jean-Charles aimait sa petite vie de bourgeois tranquille, il allait à l’école supérieure privée de la ville d’à côté, il étudiait le design pour ensuite se diriger vers l’ingénierie.

Après l’école et ses devoirs, il jouait à la console, enfin aux consoles, il avait vraiment tout ce qu’il voulait, enfant gâté mais assez responsable, il échappait de justesse à l’image du petit con qui n’en fait qu’à sa tête.

Pendant les vacances de Noël, les voisins d’en face déménagèrent, pour une "meilleure opportunité de vie", ce qui voulait dire un encore plus gros salaire dans une autre ville, laissant la belle propriété vacante.

Quelques jours après, regardant par la fenêtre de sa chambre, il aperçut les nouveaux voisins, tout juste arrivés en taxi.

Il fut frappé par une chose : c’était une famille de "personnes de petite taille" pour rester dans le politiquement correct, ou de "nains" si l’on était plus vulgaire.

Il n’en avait jamais vu par le passé, ou alors seulement à la TV, ces émissions débiles où on les traitait comme des animaux de foires.

Le déménagement se passa et quelques jours après, tout le lotissement était invité chez eux pour faire connaissance, la famille de Jean-Charles y alla donc.

Jean-Charles pour information avait 1 sur, 1 frère et ses 2 parents.

Arrivés à la "fête", ils mangèrent tous et firent connaissance. Il se surprit à se dire "Mais ils sont normaux en fait", seul la taille et un corps un peu moins bien proportionné changeait la donne mais c’était une famille civilisée, le père avait fait fortune dans l’industrie, il avait monté une entreprise de mécanique et avait pu en créer plusieurs par la suite, sachant toujours où était la demande.

Leur famille était identique à celle de Jean-Charles, 1 frère et 1 sur, mais un peu plus vieux qu’eux.

Les semaines passèrent et pendant les vacances scolaires de février, sous un déluge intense, Marie et Vincent, les voisins, apparurent à la porte de Jean-Charles.

Trempés, ils lui demandèrent de pouvoir s’abriter à l’intérieur, car ils avaient oublié leur clé et les parents ne rentraient que le soir.

Jean-Charles leur dit d’aller prendre une douche pour se réchauffer avant d’attraper la crève ou pire, la grippe.

Il vaquait à ses occupations tandis que les voisins allaient se doucher.

"Jean-Charleeeeeees" cria de l’étage Marie !

Il monta et demanda à la porte si tout allait bien.

"Oui oui, tout va bien, je n’arrive juste pas à attraper le pommeau de douche, il est trop haut".

En effet, de son mètre 20, elle n’aurait jamais réussi à attraper le pommeau tout en haut, utilisé par le père de Jean-Charles qui devait mesurer facilement 1m95.

Il entra et tomba nez à nez (enfin façon de parler) avec Marie en culotte et topless devant lui.

"Oh mince … désolé … je ne savais pas …"

Elle n’était pas gênée, elle.

"Mais ne t’en fais pas, j’étais retournée de toute façon !".

Il n’avait rien vu mais apercevait tout de même ces petites fesses dans cette petite culotte, qui rebondissaient quand elle essayait d’attraper le pommeau.

Il s’approcha tout en faisant attention de ne pas regarder Marie et attrapa le pommeau tout en haut pour le descendre.

Dans sa maladresse pour bien faire et ne pas regarder Marie, ses chaussettes glissèrent dans la grande douche à l’Italienne et en tombant, il enclencha le jet d’eau brulant, qui vint le toucher.

Marie se précipita pour éteindre l’eau et dévoila donc sa poitrine, qu’elle cachait avec ses mains.

2 petits seins tout mignons, un peu pendant, un petit B avec de longs tétons.

Cette vision causa une érection au niveau de l’entrejambe vierge de Jean-Charles, malgré le contexte atypique, sa non-connaissance de l’anatomie féminine rendait ses sens totalement fous.

"Je te fais de l’effet on dirait" dit Marie timidement.

Avec hésitation, elle posa sa main sur le pantalon trempée de Jean-Charles et caressait le membre qui grossissait dans le caleçon.

"Je … je … personne ne m’avait déjà touché avant" dit Jean-Charles, essayant de se calmer dans tous les sens du terme.

"Je fais de mon mieux, je ne l’ai pas fait souvent" répondit Marie qui agrippait maintenant la queue de Jean-Charles.

Elle sortit le membre du pantalon et continua la branlette de Jean-Charles qui n’en pouvait déjà plus.

"Attends, je … est-ce que … je peux voir sous ta culotte ?"

"Heu oui d’accord", question bizarre, ambiance bizarre, mais Marie s’exécuta.

Elle fit glisser sa culotte et dévoila une toison pubienne brune assez développée, elle était bien poilue (d’où le port d’une culotte large), qui cachait sa chatte mais qui suffisait amplement à Jean-Charles qui était devant son premier minou.

Elle reprit sa masturbation et trop-plein d’excitation, Jean-Charles lâcha un petit cri et déversa un flot important de foutre sur lui-même et sur les mains de Marie.

Elle se releva et s’assit sur le tabouret de la salle de bain, elle mit ses pieds sur les bords et écarta les jambes, laissant une vue imprenable sur des poils humides à Jean-Charles.

Elle écarta ses lèvres et commença à se toucher le bouton, elle dégoulinait sur le tabouret et Jean-Charles n’en ratait pas une miette, puis au bout de quelques secondes, elle jouit, si fort qu’un jet gicla vers Jean-Charles et l’éclaboussa.

Toute cette mouille avait eu pour seule conséquence une nouvelle érection et une bite bien dressée chez Jean-Charles.

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