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Chroniques immortelles – 2525 – Chapitre 2




Vous êtes frustrés que je n’aie pas développé davantage cette séance de baise entre femmes incestueuses ? Moi aussi ! Mais le boulot, c’est le boulot. Les filles doivent être dans la merde à l’hosto, faut que j’aille les dépanner, je suis aussi là pour ça.

Comment vais-je mhabiller aujourd’hui ? La matinée va être douce, la journée sera chaude. L’hiver est fini et il a été assez long et froid comme ça. C’est que le climat a un peu changé depuis votre époque. Le taux de CO2 est retombé, les températures moyennes ont baissé de deux degrés et il est courant d’avoir trente centimètres de neige pendant deux à trois mois d’hiver même en bord de mer.

Mais j’en ai marre des anoraks et des chandails. Il ne fait pas assez chaud pour se balader à poil comme presque toutes le font en été, alors j’opte pour une robe s’arrêtant au genou, mais suffisamment translucide pour dévoiler une partie de mon physique. J’ai envie d’être belle, j’ai envie d’être séduisante… même si ça ne sert pas à grand-chose.

Juste avant de sortir, je lance un regard où la frustration se mêle à l’envie aux trois femmes en pleine orgie. C’est des cris, des gémissements, putain, elles m’excitent ! Je ne sais pas pourquoi, mais je suis dans tous mes états quand je vois la matriarche s’embrasser langoureusement avec une de ses petites filles. Vous aussi apparemment… Allez, dehors !

Peut-être êtes-vous étonnés de ce manque apparent de pudeur, de ces comportements incestueux qui semblent étrangement naturels ? Ou par la tenue que je porte qui m’aurait valu d’être violée en moins de trois minutes à votre époque ? C’est que le tissu social entre autres a bien changé. D’une part, l’absence totale d’hommes fait que les femmes ne peuvent assouvir leurs envies sexuelles qu’entre elles.

D’autre part, de nos jours, les vêtements n’ont plus qu’une fonction décorative ou fonctionnelle. Absence d’hommes prédateurs, pas de retenue, aucune pudeur. Il est habituel pour les femmes de se déplacer nues en été, ou alors très légèrement habillées soit par pure coquetterie, soit parce que d’un âge certain, d’autres éprouvent la nécessité de maintenir une poitrine assez forte… ou tombante.

Vous êtes surpris, dérouté ? Je peux comprendre ça. Alors je vous invite à prendre place à mes côtés. Je vais vous servir de guide dans ce monde qui a un peu changé. Imaginez-vous que vous m’accompagnez dans ce qui va suivre. Je vais partager avec vous ce que je vais voir, faire ou entendre. Personne ne saura que vous êtes là, sauf moi.

L’aérocar file rapidement vers la capitale… Marseille, surnommée « la ruche »… La plus grande ville de la Confédération Occitane avec ses quatre-vingt mille âmes… Oui, je sais à votre époque, c’était un million… Mais ça, c’était avant. Je soupire souvent de résignation en survolant les ruines abandonnées de ce qui était autrefois les quartiers nord, envahies par la végétation où la vie sauvage a repris ses droits.

Le centre-ville, de nos jours, est bien réduit. On descend vers l’aire d’atterrissage de l’hôpital Marie Curie en laissant sur la gauche les hauteurs où se trouvent les cellules royales, là ou se trouvait Notre Dame de la garde… C’est là que vivent les couples résistants, choyés et bichonnés, veillant à ce qu’ils ne manquent de rien. Puis on passe au-dessus de ce qui est toujours le vieux port avec le palais du gouvernement, l’ancien palais du Pharo. Et dés que les turbines se sont arrêtées et l’aérocar garé à sa place, direction l’accueil. Venez, suivez-moi.

Ben oui… c’est comme ça. C’est un autre monde.

Bonjour Isa, je ne suis pas trop attendue ?

Non Madame la directrice, vous arrivez pile pour les premières patientes. Les infirmières ont préparé le matériel et les doses dans la salle 2. Les dossiers sont dans le communicateur du bureau.

Merci.

Je me change rapidement. Je passe la tenue habituelle du personnel hospitalier. Je prends le communicateur sur le bureau et pousse la porte de la salle d’attente. Plusieurs femmes sont déjà présentes. A la première de ces dames.

Je procède aux dix premières inséminations tambour battant. J’ai l’habitude ! Quoi ? Vous êtes un peu frustré ? Vous n’avez rien vu ? D’accord. Pour la dernière, on va prendre notre temps. De toute façon, je n’ai rien de prévu pour le reste de la journée.

Eh bien, à vous à présent, Madame. Venez.

C’est une toute jeune femme vêtue d’une longue tunique translucide laissant deviner un corps quasi parfait, et un peu intimidée. Manifestement, elle n’a pas l’habitude des hôpitaux.

Entrez, et détendez-vous Madame. Cest votre première insémination ?

Oui docteur. Mais euh… excusez-moi. Il me semble que je vous connais ? Mais oui ! Vous ne seriez pas… la ministre de la Santé ???

Oui. Mais aujourd’hui, je suis seulement le médecin. Les fonctions gouvernementales n’interdisent pas les activités professionnelles.

Eh bien quoi ? Ne faites pas cette tête-là ! Oui, je suis également le ministre de la Santé du gouvernement de la confédération occitane. Fermez votre bouche, on aura l’occasion d’en reparler.

Pendant que la jeune femme se dénude, je parcours rapidement son dossier.

Vous vous appelez Séverine… vous avez vingt ans… première insémination. La date de vos dernières règles, OK, cycles réguliers… Bien. Vous êtes une « Xm » ?

Oui Madame. Et vous ?

La question me déroute. C’est bien la première qui me pose cette question depuis longtemps.

Je suis une « X0 ». Ça vous pose problème ?

Oh non, Madame, pas du tout. Ma mère est une X0. Je suis juste étonnée, vous ne l’avez pas encore lu dans mon dossier.

Avec un peu d’entraînement, dis-je, on reconnaît la différence entre une Xm et un X0. C’est très subtil, question d’habitude.

Vous n’avez rien compris ? On y reviendra. Je reprends.

C’est très jeune pour une insémination… D’habitude, on attend quelques années. Vous ne vous êtes pas inscrite pour une rencontre avec un homme ? Votre dossier est excellent ?

Oh non, Madame ! D’abord, j’ai très envie d’avoir un bébé rapidement.

C’est tout à votre honneur.

Et puis, je vous avoue que ça me ferait un peu peur, dit-elle en rougissant.

Peur ? De quoi ?

Eh bien… des hommes, tout ça…

Tout ça quoi ? dis-je, amusée.

Eh bien… de leur taille, de leur force… Ils sont tellement plus grands et plus forts que des femmes. Et ils sont tout pleins de poils, comme des gorilles. Et puis… on dit qu’ils peuvent faire du mal, qu’ils peuvent être brutaux…

J’ai un grand sourire. Cette fille m’attendrit. Pas vous ?

C’est vrai, dis-je, ils sont plus grands, plus forts, plus poilus. Comparés aux femmes, ils nous dominent physiquement. Mais en fait, ce sont de gros nounours qui peuvent être très doux malgré leur force, soyeux malgré leur imposante pilosité et très tendres dans leurs manières. Ils ont cette voix grave qui fait chavirer les femmes, et si on se laisse dominer partiellement durant les rapports, alors ils peuvent nous faire atteindre des sommets dans la jouissance. Et c’est vrai aussi qu’au bord de l’orgasme, ils peuvent perdre le contrôle de leurs gestes et nous faire une douleur, mais elle s’atténue rapidement et ils sont les premiers à se faire pardonner.

Ça c’est dans l’idéal, inutile de lui dire que dans le paquet, il y a quelques vrais cons. Mais ceux-là, ils sont dûment catalogués et surveillés. Je reprends le communicateur.

D’ailleurs, je vois dans le dossier celui dont vous avez choisi les gènes. Un Eurasien ? C’est inhabituel, mais c’est un bon choix. Il est très beau. Vous aurez une fille magnifique. On y va ?

Comment on fait exactement ? demande-t-elle timidement.

Je vais d’abord voir où vous en êtes de votre ovulation. Allongez-vous, on va regarder ça.

Pendant qu’elle s’installe, je la détaille. C’est vraiment une très belle jeune femme : poitrine généreuse, longs cheveux bruns ondulés, taille bien proportionnée, hanches larges… cette fille est faite pour avoir des bébés, je ne sais pas ce que vous en pensez.

Ah oui, ses piercings… C’est une sorte de mode de cette époque, les femmes ont tendance à se faire percer un peu partout. D’entrée, j’avais remarqué ses trois rangs de boucles d’oreille et son spot dans le nez. Comme presque toutes les femmes, elle a également un anneau à chaque téton, un pendentif au nombril, encore un anneau sur le clitoris et encore un sur chacune des grandes lèvres de sa chatte. Le jour de son accouchement, il faudra les enlever, mais on n’en est pas encore là.

Moi ? Oui, moi aussi, enfin plus ou moins. J’ai seulement un anneau à travers mon clitoris et un double anneau à chaque sein. Je passe sur mes boucles d’oreilles. C’est une sorte de standard chez les femmes de notre époque. D’autres en font carrément des tonnes ! Certaines ressemblent à des magasins de quincaillerie ambulante. Je trouve ça un peu excessif…

Il y a un jeu qui fait fureur entre femmes qui consiste à nous relier l’une à l’autre via de petites chaînes, tétons de l’une attachés aux tétons de l’autre, et clito de l’une au clito de l’autre. Ensuite, on s’introduit des godes simples ou double, vibrants ou non pour faire l’amour, et si on s’excite trop et qu’on oublie la présence de ces « sacrés liens » comme on dit, une douleur brève, mais violente nous ramène rapidement sur terre !

Sauf que dans ces moments-là, en général, on jouit, et là c’est l’enfer…

Bon ! Gardons la tête froide ! Il y a un boulot à faire. J’ai pris un petit appareil, un boîtier relié à une sonde grande comme un stylo de votre époque. Un écran virtuel est apparu au-dessus du corps de la patiente. Qu’est-ce que c’est ? L’équivalent de ce que vous appeliez l’échographie, mais à un niveau bien plus perfectionné. Je m’installe à côté de la jeune femme, positionne la sonde sur son pubis et tourne mon regard sur l’écran.

Vous faites quoi, Madame ?

Je regarde où en sont vos ovaires, dis-je en déplaçant lentement la sonde sur sa peau. OK, la trompe gauche… je remonte, j’arrive à l’ovaire… Hum, rien de ce côté là. Bon, je reviens sur l’utérus, la trompe de droite… Ah ! Là ! Tu vois ce petit grain insignifiant ? C’est un ovule tout frais. C’est parfait ma belle, il n’attend plus que les spermatozoïdes pour donner une jolie petite fille.

J’ai quel pourcentage de chance pour que ça marche du premier coup ?

Environ soixante-dix pour cent. Mais on peut recommencer autant de fois que nécessaire. L’essentiel est que ton organisme soit aussi réceptif que possible.

On m’a dit que c’était d’autant plus efficace si on venait de jouir pendant l’insémination ?

Oui, c’est vrai, parce quavoir un orgasme dilate et prépare tous tes organes sexuels à faciliter le transit des spermatozoïdes. Tu peux te caresser pour y arriver si tu veux ? J’ai le temps, tu es ma dernière patiente.

Elle a commencé à se caresser. Une main sur sa chatte, l’autre sur ses seins. Les yeux fermés, elle laisse monter le plaisir en elle, devant nous sans le moindre gène. Ça vous étonne ? Oui sans doute, mais comme je l’ai dit naguère, la pudeur entre femmes a presque totalement disparu. Elle est belle, pas vrai ? Elle ondule sous ses caresses, sa chatte soigneusement épilée ressemble à un abricot juteux. Je regarde avec gourmandise son petit trou qui a encore été peu forcé. Presque vierge. Vous voudriez bien y mettre un coup de langue pas vrai ?

Madame, vous… vous pouvez m’aider ?

Tu parles que je veux. Non, désolée, pas vous. Vous n’êtes pas vraiment là, mais moi : si… alors je passe ma main sous la sienne, commence à insinuer mes doigts dans sa chatte bien lubrifiée. Elle commence a avoir de grands soupirs. Son jus coule sur mes doigts. J’approche mon visage, mets quelques petits coups de langue qui la font gémir. Alors j’y vais franchement, la pénètre lentement de ma langue, je bois tout son jus. Elle a retiré sa main, triture ses seins, tire sur les anneaux. Elle m’abandonne sa chatte. J’agace son clito via l’anneau qui le transperce. J’ai introduit deux doigts profondément dans son vagin, je la dilate progressivement.

De mon pouce libre, je presse son petit trou. Il résiste, puis cède lentement. Je la pénètre, mes doigts toujours dans sa chatte, ma langue affolant son point sensible, elle halète, elle gigote, ça ne va pas tarder. J’introduis la canule de l’injecteur dans son vagin, la pousse jusqu’au col de l’utérus…

Son corps se tétanise. Elle jouit avec des petits cris de souris. J’attends que le frisson s’estompe et j’actionne la détente.

Elle a un cri de surprise. Elle a senti le jet de semence frapper la paroi du vagin, la remplir. Je retire la canule. Elle se calme, se détend, reprend son souffle.

Et voilà ma belle, c’est fait. Ne bouge pas, reste comme ça quelques minutes, le temps que les bébêtes se mettent en mouvement vers leur cible et que tes organes se détendent. Tu vas mettre cette culotte absorbante aussi qui recueillera l’excédent de sperme.

Je commence à remballer le matériel pendant que la jeune femme récupère ses forces et ses esprits. Mais la jeune femme a envie de parler.

Madame, je voulais vous demander…

Oui ?

Comment ça a commencé, tout ça ?

Comment ça, « tout ça » ?

Eh bien pourquoi il n’y a presque plus d’hommes, comment notre monde est devenu un monde sans hommes ?

Oh putain…

Tu n’as pas appris ça en cours d’histoire ?

Si… un peu, répond-elle en rougissant. Mais je n’ai pas bien écouté, ce n’était pas ma matière préférée !

J’ai un soupir de lassitude. Même quand j’étais Jacques Gautier, j’avais toujours du mal à intéresser une nouvelle classe à l’histoire de notre monde… Bon, j’ai le temps, alors pourquoi pas : allons-y.

Tout a commencé au début des années 2050, dans ce qui était à l’époque le Danemark, l’actuel royaume du Jutland. Au cours de ce siècle dans presque tous les pays existait ce qu’on appelait les « réseaux de surveillance sanitaire » regroupés sous le contrôle d’une organisation appelée l’OMS. Et cette année là, le Danemark, suivi de très peu par les autres pays scandinaves, a lancé un bulletin d’alerte inattendu : la quasi-totalité des hommes de ces pays sembla être frappée par une vague d’impuissance…

A suivre…

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