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Police polissonne – Chapitre 40




Onze heures du matin, la neige a étendu son manteau blanc ; c’est Noël ! Même si Sonia et Bob ne sont pas des adeptes des événements religieux. Ils en ont malgré tout profité pour fêter cet événement dans la cathédrale du vice. Bob a mis son petit Jésus dans la crèche de Sonia qui par plaisir, lui a également élargi encore plus le trou de balle après s’être fait lécher ses orteils. Mais c’est la sensation de l’anneau pénien qui en glissant contre ses parois vaginales, qui lui procura le plus de plaisir. Sonia a découvert la véritable personnalité du sergent qu’elle qualifie de : « plus grand vicelard et plus grand baiseur du monde ». Le sergent s’est levé depuis longtemps à cause d’un coup de téléphone qui l’oblige à rentrer à la caserne, il a commandé le petit-déjeuner.

C’est le « Service, service ; je peux entrer ? » qui sort Sonia de sa torpeur. Elle s’étire comme une chatte, mais constate rapidement que tout son corps est encore douloureux et très chaud.

Elle découvre Chloé avec le chariot, portant un copieux petit-déjeuner. Instantanément, Chloé voit Sonia et son corps portant encore les traces de ses exploits de la nuit.

Bonjour, tout le monde, alors cette soirée de réveillon … Sonia ? Mais que s’est-il passé, tu as vu dans quel état tu es ? Mais par contre, les piercings aux tétons c’est … Waouh… !

Bonjour, Chloé, ne t’inquiète pas, c’est moi qui ai demandé, je vais te raconter cela quand tu auras un moment.

Je pense que tu ne vas rien raconter, coupe le sergent, car j’ai été rappelé par la caserne ; il y a un souci et je dois prendre mon service plus tôt que prévu. Donc nous allons devoir partir.

Bah oui, mais j’ai commandé un truc et je ne l’aurais que demain ; et puis je voulais bosser mon code dans le calme.

Ah, je comprends. Je vais voir avec la réception s’ils ont une autre chambre jusqu’à la fin de la semaine.

Bob, l’hôtel est plein à craquer, et si vous partez aujourd’hui ; la patronne sera vachement contente, car elle a un souci. Sonia, si cela te tente, tu peux venir passer la semaine chez moi ; comme je travaille, tu seras au calme pour bosser ton code.

Ah oui, c’est une bonne idée ; qu’en penses-tu Bob ?

Pour moi, c’est parfait, et puis un peu de repos te fera le plus grand bien ; enfin, s’il y a repos, reprit-il avec un sourire au coin des lèvres.

L’affaire est conclue et une fois le petit-déjeuner pris, et tous deux habillés, ils se présentent à la réception où la patronne les accueille à bras ouverts.

Oh, vous ne pouvez pas savoir comment votre départ me rend service ; j’avais un gros problème avec un fidèle client qui a avancé son séjour de deux jours. Je vais vous faire une remise, et vous Mademoiselle, je vous offre un massage ; car d’après Chloé, vous en avez besoin.

Merci Madame, dit Sonia en voyant arriver Chloé.

Ah, Chloé ! Vous allez prendre une heure ou deux pour l’accompagner chez vous et lui faire ce massage si urgent, prenez les pommades nécessaires dans la réserve…

Mais, je ne suis pas … intervient Sonia.

Ma chère amie, coupe la patronne de l’hôtel. Ne me racontez pas de sottises, car j’étais dans cette boîte libertine hier soir, j’ai pu assister à toutes vos prestations ; et je dois vous avouer que vous m’avez donné plein d’idées. Mon mari et moi avons passé une fin de nuit très … Très agitée, si vous voyez ce que je veux dire.

Et comment fait-on pour la ramener à la caserne ? demande Bob.

Je m’en chargerais, répond Chloé.

Après avoir rassemblé ses affaires dans un sac de voyage offert par la patronne (cadeau normalement réservé aux clients VIP), elle rejoint Chloé à l’accueil en minijupe, tee-shirt et baskets. Après un au revoir sensuel avec Bob, elle suit Chloé jusque sur le parking où est garée sa « Smart » rouge. Direction l’appartement de Chloé.

Tu sais, je suis ravie que tu viennes passer quelques jours avec moi ; ça va me faire du bien.

Oui, et moi, je vais pouvoir bosser mon code.

Tu pourras te servir de mon ordinateur pour trouver des sujets d’examen, et le soir, quand je rentrerais ; nous nous amuserons.

Super, tu vas voir ; je vais te montrer…

Rien du tout, tu es chez moi, je suis la plus vieille et donc tu feras ce que je voudrais.

Humm… Mademoiselle veut se venger ; alors c’est d’accord.

Tiens, nous sommes arrivées.

Chloé la précède jusqu’à son appartement. En ouvrant la porte, elle fait découvrir à Sonia un petit appartement de deux pièces, simplement meublé, mais douillet. Chloé propose de lui passer de la crème et une fois Sonia nue, Chloé s’interroge.

Mais qu’est-ce qui t’est arrivé, c’est Bob qui t’a massacrée comme ça ?

Non, c’est moi qui ai demandé pour me tester ; je te raconterai ça ce soir.

Chloé étale généreusement le baume qui va aider à effacer les traces encore rougeâtres.

Voilà qui est fait, tu vas être obligée de rester toute nue jusqu’à ce soir pour que la crème fasse effet.

Ce n’est pas grave, cela ne me dérange pas du tout, il faudra que je mette une serviette sur les sièges pour éviter de tout salir.

C’est vrai, il y en a dans le meuble de la salle de bains. Bon, je vais te laisser, si tu as faim, il y a tout ce qu’il faut dans le frigo ; et si tu as la patience de m’attendre, je rapporterai quelques restes.

Je t’attendrais, et en attendant, je vais bosser.

Chloé s’en va après lui avoir indiqué où se trouvaient les doubles des clefs de son appartement au cas où elle voudrait sortir. Elle est seule, nue et visite le petit appartement. Elle regarde par la fenêtre qui donne sur l’immeuble d’en face, ne voit rien de particulier sauf dans l’appartement en vis-à-vis, elle distincte nettement la silhouette d’un homme attablé devant son ordinateur. Discrètement, elle l’observe, et après quelques minutes, elle a la certitude que l’homme est entièrement nu et à sa posture bien droite, indique qu’il est en train d’écrire. Il place son coude sur la table, pose son menton sur la paume de sa main, il semble lire et corriger ; puis reprend sa frappe. La vue de cette scène l’amuse et lui donne quelques idées.

Elle prend son livre du Code de la route, s’installe sur le petit canapé, et lit le livre d’un bout à l’autre. Grâce à son extraordinaire mémoire visuelle, elle enregistre tous les panneaux, toutes les explications, les règles, et même les numéros des articles du Code de la Route cités en référence. Une fois persuadée de tout connaître, elle se cherche un en-cas dans le frigo, puis elle ouvre le couvercle de l’ordinateur portable de Chloé. Il démarre. Après quelques secondes, une page apparaît et Sonia la regarde avec étonnement. Le haut est d’un rouge très foncé et à gauche ,elle lit : « Xstory Le site de l’histoire érotique », à droite de la page, un avatar qui est la photo d’une femme entièrement nue ; sans tête et sans pieds.

Même si la photo ne représente que le tronc de la jeune femme, Sonia ne la reconnaît pas. Elle poursuit son exploration. À côté de la photo, un pseudo : Chloe23. Curieuse, elle clique sur le pseudo et une liste apparaît avec : Ma page publique ; elle clique à nouveau et découvre une nouvelle page. Cette fois en haut de la page, elle peut voir l’image d’une plage avec une femme nue au bronzage intégral parfaitement régulier, elle est à quatre pattes sur sa serviette et offre la vue de sa vulve et de sa rondelle brunâtre. Aucun doute à avoir, elle reconnaît le joli cul de la gentille masseuse de l’hôtel. Sonia, surprise par cette découverte, s’exclame intérieurement :

, Mais c’est Chloé ! Humm… la coquine ! Tu caches bien ton jeu, je pense qu’on va bien s’amuser ce soir… !

Alors emportée par la curiosité, elle parcourt la page et découvre toutes en bas, deux histoires. La première porte le titre de : Initiation à l’exhibe. Elle la lit, s’en amuse et se surprend à se caresser la minette, au fil des mots ; elle mouille de plus en plus. À la seconde histoire : Bondage et cuissardes de cuir elle ne peut s’empêcher de se masturber jusqu’à l’orgasme. Puis elle poursuit son exploration et tombe sur des discussions où la fameuse Chloe23 a ouvert un post en posant la question qui est de savoir dans quelle tenue les auteurs écrivent-ils. Elle avoue aimer se mettre toute nue pour rédiger ses histoires et que Xstory est son jardin secret. Dans d’autres discussions, elle fait part de son penchant pour les femmes et se dit plutôt adepte de la soumission et exhibitionniste dès qu’elle peut le faire.

Eh bien, si je pouvais m’attendre à ça ! Attends ce soir, je vais rire !

Après ce petit moment de bonheur, Sonia recherche un site d’apprentissage du Code de la route ; elle trouve et passe toute l’après-midi à s’exercer. Il est dix-sept heures et la nuit tombe rapidement. Elle allume la lumière et se dirige vers la porte-fenêtre, donnant accès à un balcon, pour se décontracter l’esprit, les yeux, et prendre un bol d’air frais. Pour ce faire, elle ouvre en grand les rideaux et regarde le paysage nocturne qui se limite à l’immeuble d’en face. Son regard perçant découvre l’homme d’en face, caché dans l’obscurité ; il est visiblement en train de la mater. Elle s’en amuse, fait celle qui n’a rien vu et commence à se caresser.

Pour aller plus loin, elle ouvre la fenêtre et malgré le froid, elle va sur le balcon ; cette fois, elle fait un signe de la main à l’homme qu’elle voit reculer puis s’avancer tout près de sa fenêtre. À cause de l’obscurité, elle ne le distingue pas bien, mais une chose est certaine : il se touche, alors elle lui fait de grands signes pour lui faire comprendre qu’elle l’a vue et qu’elle aussi veut le voir. L’homme disparaît un instant, puis la lumière de son appartement s’illumine et l’homme revient entièrement nu ; elle le voit et constate avec surprise :

Putain, c’est un vieux !

Effectivement, l’homme n’est pas tout jeune, dégarni et rondouillard. Son ventre descend un peu sur son pubis, sa poitrine supporterait facilement un soutien-gorge avec des bonnets A ; mais ce qui plaît le plus à Sonia, c’est qu’il bande. Alors elle ne se dégonfle pas et toujours par gestes, elle lui fait comprendre qu’elle voudrait aller chez lui ; mais l’homme semble refuser. Elle insiste et toujours par geste, elle lui propose une fellation, l’homme accepte par un pouce levé et lui fait signe de venir chez lui. Sonia confirme, rentre dans l’appartement, enfile sa minijupe, son tee-shirt et ses baskets ; elle attrape les clefs de l’appartement et dévale les quatre étages. Les deux immeubles sont séparés par une rue et les entrées sont face à face. Elle monte les escaliers quatre à quatre, arrive au quatrième étage, s’oriente et sonne à la porte qu’elle juge être celle de l’appartement de l’homme.

La porte s’entrouvre et elle le découvre en peignoir, le visage sympathique, souriant, il lui dit :

Bonsoir, Mademoiselle, pardonnez-moi, mais je suis un peu gêné …

Ne le soyez pas, c’est moi qui vous ai provoqué ; alors je viens terminer ce que j’ai commencé. Et puis c’est Noël et vous êtes seul. Moi, c’est Sonia, on se fait la bise ?

Oui, entrez.

Il s’efface pour la laisser pénétrer chez lui puis reprend :

Eh bien, appelez-moi Pat. Lui fait la bise et poursuit : je vous offre à boire ? Et si je peux me permettre, de ce que j’ai vu, vous êtes ravissante.

Merci, je veux bien trinquer avec vous, répond-elle en se déshabillant entièrement.

Et comme ça, vous me trouvez comment ? rajoute-t-elle.

Vous êtes magnifique, vous faites du sport ?

Oui, et vous ; montrez-moi, car vous ne semblez pas timide.

Oh moi, vous savez ; je ne suis plus celui d’il y a quarante ans, dit-il en ôtant son peignoir.

Il offre à Sonia la vue de son corps un peu grassouillet, mais intégralement bronzé, surprise, Sonia demande :

Humm…, mais vous êtes tout bronzé, c’est très sympa ; vous faites des UV, je suppose ?

Non, pas du tout, je pratique le naturisme ; j’adore vivre nu. Je pars très souvent me balader plus dans le Sud avec mon Van, je vais en camping naturiste ou dans des coins sauvages où il n’y a personne.

Et comme cela, vous pouvez mater les petites nanas.

Oh, vous savez, il ne me reste plus que ce plaisir, regarder toutes ces belles créatures nues dans la lumière, s’ébattant dans l’eau claire d’un lac en pleine nature ; ou bien escaladant des rochers puis sauter d’en haut et de plonger dans la mer. Ah… ! Que de souvenirs … Bon, assez discuter ; voulez-vous un alcool fort ou bien du champagne ?

Plutôt du champagne, mais pas trop, je ne supporte pas bien l’alcool.

L’homme se lève et se dirige vers la cuisine. Sonia trouve cet homme plutôt séduisant avec ses rondeurs qui n’ont en réalité rien d’inquiétant. Il lui inspire la sérénité et la sagesse, elle se dit qu’il doit avoir vécu plein de choses. En attendant, elle fait le tour de la pièce du regard et constate qu’elle est, à part la déco, identique à celle de Chloé. Puis il revient avec une bouteille de champagne, deux flûtes et une assiette de « Biscuits Roses de Reims ». Alors qu’il verse le liquide doré et pétillant, il lui présente une érection naissante ; il tend une flûte à Sonia en lui disant :

Gouttez, vous m’en direz des nouvelles ; il vient d’un cousin producteur.

Alors à votre santé, je vois que je vais pouvoir m’occuper de vous…

Tu sais qu’on pourrait se tutoyer, c’est plus sympa, dit-il en levant son verre.

Oui, faites-le si vous voulez ; mais pour moi, c’est impossible.

Dommage, mais je comprends, et puis nous ne sommes pas obligés de faire des choses ; te regarder et discuter me suffit.

Alors elle l’interroge, ils se mettent à parler de lui et de son passé ; elle reste vague sur sa vie, mais le temps passe et Chloé ne va pas tarder à rentrer.

Je vais devoir partir, car mon amie va arriver.

Dommage, j’aurais aimé encore discuter avec toi.

Alors, je peux revenir demain après-midi, si vous voulez.

Avec plaisir, et pourquoi pas demain midi, je préparerai un bon petit repas, et un gâteau que nous pourrions déguster avec le reste de champagne.

Eh bien, c’est d’accord, si cela vous tente, ce soir, je vais vous offrir… un petit spectacle ; restez dans le noir et surveillez la fenêtre d’en face.

Sonia le quitte avec la promesse de revenir le lendemain midi. Elle a tout juste le temps de remonter chez Chloé que cette dernière arrive.

Coucou ma belle, dit-elle en poussant la porte d’entrée.

Coucou Chloé, bien travaillé ?

Oui, je suis crevée avec tous ces clients qui veulent tout et vite ; et toi ce code ?

Bien, j’avance, mais tu vas commencer par te déshabiller.

Chloé, ravie de cette demande, s’exécute et se met nue.

Bien, maintenant, approche et assieds-toi au bureau.

Mais pourquoi ? demande Chloé avec une certaine inquiétude, un doute vient de lui traverser l’esprit.

Ouvre ton ordi.

Chloé commence à stresser, car elle a maintenant la certitude d’avoir oublié de fermer le site d’histoires :

« Purée, quelle gourde, j’ai oublié de fermer Xstory avant de partir et elle a tout vu, j’en suis certaine ! » pense-t-elle.

Elle soulève le couvercle et dès que l’écran se rallume, elle obtient la confirmation de ses doutes. Démasquée, elle se sent tout à coup mal à l’aise, ridicule avec sa photo, le cul à l’air, et Sonia qui ricane derrière elle en commençant à lui peloter les seins.

Alors comme ça, tu as ton petit jardin secret, tes fantasmes d’exhibition et de soumission ; tu veux savoir si les autres auteurs écrivent nus et se caressent en écrivant.

Non, attends, ce n’est pas ce que tu crois, c’est juste pour passer le temps… je …

Taratata, la Chloé qui voulait se faire passer pour une sainte-nitouche est en réalité une sacrée coquine, vicieuse, exhibitionniste et j’en passe… Elle écrit des cochonneries sur le site d’histoires sous le pseudo de : Chloe23 ! Alors ?

Penaude, Chloé reprend :

Oui Sonia, j’avoue que c’est moi, mais tu ne peux pas savoir comment ces échanges virtuels font du bien parfois.

Bon, après tout, tu es majeure et tu fais ce que tu veux. J’ai aussi vu que tu écrivais et bien par-dessus le marché ; alors tu sais ce que tu vas faire ?

Non, dis-moi ; je te promets que je le ferais, mais par pitié, je te demande de n’en parler à personne. Mais tu ne peux pas savoir comment cette situation m’excite.

Tu vas écrire l’histoire de notre rencontre, pour le faire, tu seras obligatoirement nue, avec un gode dans ta petite chatte et un dans ton cul. Pour les scènes de sexe, tu devras te caresser pour te faire jouir, et tu devras l’écrire.

Quoi, tu es folle ; je ne vais pas crier sur tous les toits que je me caresse en écrivant !

Si, autrement, j’ouvre un compte et je raconte tout à tout le monde.

Non… Tu ne vas pas faire ça, je ne vais jamais pouvoir écrire avec ces trucs-là.

À toi de te débrouiller… autrement…, et en titre, tu mettras : « Sous le charme d’une policière polissonne».

Bon, d’accord ; et maintenant, on fait quoi ?

Eh bien, commence à taper sur ton traitement de texte.

Chloé ouvre son logiciel Libre Office Writer et commence à taper, sauf qu’avec Sonia, a décidé de la peloter. Sous les caresses, les pincements et les mains baladeuses de Sonia, pour Chloé, écrire devient alors une mission totalement impossible.

Alors tu n’arrives pas à écrire ? Dans ce cas, viens devant la fenêtre, embrasse-moi, caresse-moi et on va faire l’amour sur ta table de salle à manger.

Mais tu es folle, le voisin d’en face doit être chez lui et il va nous mater ; tu sais, je crois qu’il est un peu voyeur, car il regarde souvent vers ici.

Pourquoi, tu te balades à poil dans ton appart ?

Oui, ça m’arrive ; mais tu m’as tellement excitée que je viens, et sur le balcon ; car c’est un truc que j’ai envie de faire depuis longtemps.

Eh bien, c’est ce que je disais ; tu es une sacrée coquine.

Dans le noir absolu, l’homme d’en face découvre le balai érotique des deux jeunes femmes. Elles s’embrassent, se caressent, se lèchent la chatte à tour de rôle ; l’une se retrouve allongée sur le dos sur la table. L’autre lui fouille l’abricot avec ses doigts puis enfouit sa tête dans l’entrejambe. Ensuite, elles lui offrent une partie du Kamasutra en ombres chinoises. Lui est nu derrière ses carreaux, la bite à la main et l’autre qui caresse tous ses points sensibles ; il se masturbe lentement. Quand les deux filles reviennent sur le balcon où pour elles, il ne fait pas particulièrement froid, l’homme allume la lumière et s’exhibe sans pudeur.

Merde, il nous a vues ! s’exclame Chloé.

Et alors, c’est ce que tu espérais depuis longtemps ; je me trompe ?

Non, c’est vrai, viens dans la lumière pour qu’il nous voit bien.

À l’intérieur, elles se caressent, s’embrassent à nouveau, se frottent la foufoune et se masturbent ; l’homme saisit son mandrin à pleine main et se branle. Elles jouissent ensemble ; l’homme éjacule dans sa main et Chloé le voit :

Sonia, tu as vu comment il nous a matées, et comment il s’est exhibé ! s’exclame Chloé.

Oui, je crois que cela doit être un vieux vicelard et que de regarder deux belles minettes comme nous ; ça l’a mis dans tous ses états. Je prends même le risque d’aller lui rendre visite demain pour manigancer un plan cul. Ça te dirait de te faire le vieux ?

Oh oui, je n’ai jamais fait ça surtout avec un … ancien. Si demain, tu arrives à le convaincre, tu m’envoies un texto et je me débrouille pour me libérer.

OK, je m’en occupe demain matin et je t’appelle ?

Oui, c’est ça ; on fait comme cela et j’espère que ça va marcher. Bon, je suis crevée ; alors on va se coucher ?

Enlacées dans les bras l’une de l’autre, elles s’endorment rapidement.

[À suivre]

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