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le tout début – Chapitre 1




Je m’appelle jean et cette histoire vraie s’est passée en 1993.

J’étais en train de divorcer d’avec ma femme et j’avais le moral à zéro. Je décide donc d’aller passer un moment sur la plage naturiste à côté de la station balnéaire ou je possédais un appartement. Arrivé sur le parking de la plage, je me déshabille et me dirige vers la plage. Elle est bourrée de monde et je vois une jetée de pierres sur laquelle il n’y a presque personne. Je trouve une grande place plus ou moins d’aplomb et y étale ma serviette. Je comprend pourquoi il y a si peu de monde. Il est presque impossible de trouver ou se mette sur ces énormes rochers entassés. Je commence à somnoler quand jentends une voix me demander.

— Puis je me mettre à côté de vous s’il vous plait, il n’y a plus de place.

Un peu contrarié de devoir laisser un bout de rocher, je m’écarte un peu pour laisser la place d’une serviette.

— Merci. Je m’appelle André et toi?

— Jean.

L’homme s’installe à côté de moi. Il est grand, à peu prés 40 ans, bien fait mais surtout il a un sexe énorme. je connaîtrais plus tard les mensurations, 5 cm de diamètre et 23 cm de long en érection.

J’avais déjà fantasmé sur des sexes d’hommes, imaginant me faire prendre mais là je ne pense pas pouvoir m’enfiler ça.

Au bout d’un moment, l’homme se retourne vers moi et me dit.

— Je ne t’ai jamais vu ici, il y a longtemps que tu es là.

— Je viens rarement dans l’enceinte du village naturiste, il y a trop de monde. En général je me mets de l’autre côté du chenal du port mais depuis quelques temps les flics passent et nous emmerdent parce que nous sommes à poil du mauvais côté du chenal.

— Je vais me baigner, tu viens?

— Ok j’arrive.

Nous descendons avec prudence vers l’eau. Elle est super, autour de 25 à 26°. J’ai de l’eau jusqu’au dessus des épaule et je reste immobile savourant la température de l’eau. André est à 2 mètres de moi les mains sous l’eau. Il s’approche et passe très près de moi. Je sent comme un bout de bois me frôler la cuisse. Il bande le salaud, c’est moi qui lui fait cet effet? Il s’éloigne et revient vers moi. Là il me tourne autour et une fois derrière moi se plaque contre mon dos. Son sexe glisse entre mes cuisses et vient me toucher les couilles. Je reçois une décharge dans le sexe.

— On dirait que tu aimes.

— Je doit dire que ça me fait de l’effet mais je n’ai jamais toucher un sexe d’homme à part quand j’avais 10 ans et que l’on jouait au docteur avec mes cousins et cousines.

— Touches.

Je porte ma main vers mon sexe et je rencontre son gland. Je le caresse, le soupèse et fini par m’en saisir à pleine main. Il est beaucoup plus gros que le mien et j’ai du mal à refermer ma main sur sa hampe. Je le masturbe un peu pendant qu’il me caresse les fesses en glissant de temps en temps un doigt entre elles, histoire de m’exciter le fion. Il y parvient et je commence à bander sérieusement. Il plonge sous l’eau et je sent une bouche se refermer sur mon sexe. Il me pompe quelques secondes et remonte à la surface.

— Tu n’est pas un champion de l’apnée André.

— Non mais j’ai d’autre qualités. Tu as aimé.

— Oui, très.

— J’ai loué un petit studio dans les immeubles, tu viens boire une bière?

— Ok.

Nous sortons de l’eau après avoir laissé le temps à nos bites de revenir à une configuration normale.

Je sais que la bière n’est qu’un prétexte mais il y a trop longtemps que j’ai envie de goûter à un homme. Cette occasion ne se représentera peut être pas de sitôt.

Nous arrivons à un escalier extérieur très étroit.

— C’est l’escalier de secours mais il donne directement sur mon studio. Passe devant.

Je le précède et je sent une main sur mes fesses.

— Quel beau cul, tu me fais bander.

En effet je constate que sa verge commence à prendre des proportions incompatibles avec l’environnement. Il est temps qu’on arrive.

Arrivé au dernier étage, il me fait signe qu’on est arrivés et ouvre une porte. On entre dans un studio avec un lit, une petite cuisine et une terrasse en plein soleil.

— Assieds toi.

Comme les chaises sont sur la terrasse et assez encombrantes, je m’assied sur le lit. Il sort deux bouteilles de bière, les décapsulent et m’en tend une. Je bois sans trop de plaisir car je n’aime pas particulièrement la bière. Je pose la bouteille par terre et m’allonge sur le dos. André s’approche, se penche sur moi et commence une fellation d’enfer. Je sent mon sexe gonfler sous sa langue experte. il me titille le gland, me mordille la verge, me lèche les couilles, les prend dans sa bouche et aspire. Je suis au septième ciel.

— Putain c’est bon, c’est la première fois que je me fais sucer. J’aime, continue c’est bon.

André continue et se positionne pour que je puisse prendre sa bite dans ma bouche. J’avance vers ce monstre dressé vers le ciel et essaie de le gober. Impossible, il est trop gros. De plus je n’ai jamais fait ça et j’ai une légère répulsion.

— Ça va

— Oui mais tu es trop gros.

— C’est pas grave, c’est vrai qu’il est au dessus de la moyenne.

— Au dessus de la moyenne, mais il lexplose la moyenne, il est hors normes.

— C’est gentil de me dire ça.

Non seulement c’est une énorme bite, mais en plus elle possède un gland au moins 1 fois et demie plus gros que la verge. Il doit friser les 8 cm de diamètre.

Il continu à me sucer jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche. Il avale tout et en se redressant il me dit.

— Tu verras, plus tard tu aimeras aussi boire du sperme.

Je me détends sur le lit pendant qu’il va finir sa bière.

Il vient s’asseoir à côté de moi et me caresse doucement. Il est extrêmement doux et attentionné.

Je me sent bien et je tend ma main vers son sexe. Il est encore en demi érection et je le sent se redresser sous ma main.

— Et dans mon cul, tu crois qu’il va rentrer?

— Tu as vu le morceau? ton cul est vierge, tu risques de le sentir passer.

— Je pense que pour une première fois j’ai besoin de quelqu’un de confiance. On se connait depuis deux heures mais je ne sais pas pourquoi, je sais que je peux te faire confiance.

— Ok mais je vais te préparer. retourne toi et met toi à quatre pattes.

J’étales ma serviette sur le lit d’André et je m’exécute. Je sent sa langue sur mon cul. Il commence par me lécher puis, il insère sa langue dans mon cul. Au bout d’un moment un doigt vient prendre le relais et commence à me pistonner. Il lubrifie ma rondelle et introduit un deuxième doigt. Je sent mon cul résister mais paradoxalement mon plaisir va en augmentant. Il me pistonne et ajoute un troisième doigt. Ses va et viens sont de plus en plus amples et mon sphincter se dilate petit à petit. Quand il me sent près, il enfile une capote et présente son braquemart devant l’entrée de mon fondement.

— Attention, j’arrive. Si la douleur est trop importante, tu me préviens et j’arrête.

— Ok, vas y.

Il pousse tout doucement et je sent mon cul s’ouvrir.

— Doucement s’il te plait. Continu mais doucement.

Il reste un petit moment immobile puis, il reprend sa poussée. Le gland avance en écartant mes chairs et tout à coup mon sphincter se referme sur lui. André s’immobilise, je sent les battements de mon cur à travers mon cul. Je ne suis plus qu’un cul. Je pense cul, je vis cul, j’agis comme un cul.

— Tout va bien?

— Oui, je sent que je viens, je vais jouir avec une bite dans le cul, c’est le pied.

Je ne sais pourquoi, mais ces mots déclenche ma jouissance et j’arrose copieusement ma serviette.

André se retire et me caresse les fesses. Il met deux doigts dans mon cul et les fait tourner de gauche à droite. Je le laisse faire en récupérant.

— Vient prendre une douche.

Je me lève et le suit dans la salle de bain. nous prenons notre douche ensemble en se savonnant l’un l’autre. Pour être sur que je suis nickel, il me lèche la bite et le cul. Je le retourne et pose ma langue sur son cul. c’est la première fois que je fais ça et je trouve que ce n’est pas désagréable du tout, bien au contraire.

Nous sortons de la douche et je lui dit.

— Tu n’as pas été jusqu’au fond, est ce qu’on pourra essayer demain.

— Bien sur mais ça dépend de l’état de ton cul.

Il commence à faire tard, j’ai une femme qui m’attend, il faut que je rentre.

— A demain.

— A demain et prépare ton cul.

mais ceci est une autre histoire

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