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Une vie peu ordinaire pour un étudiant ordinaire. – Chapitre 1




Lundi… on prend les mêmes et on recommence. Vous connaissez ce genre de lundi d’octobre sombre ; froid et pluvieux, ceux qui vous font détester l’association des termes fin avec week-end et qui ne vous donnent qu’une seule envie : celle de rester emmitouflé sous votre couverture pour faire une grasse matinée ? C’est précisément le cas de ce lundi.

Mon réveil sonne, et me tire du doux pays des rêves, il est 7 heures. Je pourrais juste me rendormir, acheter un autre ticket intitulé voyage gratuit dans le pays des songes, mais à quoi bon ? Cet instrument du diable appelé communément réveil déciderait sournoisement de me soustraire à ce magnifique pays paradisiaque afin de me ramener dans cet enfer appelé réalité par la peau des fesses.

J’ouvre les yeux, tout me semble flou, je les referme, je les frotte, et je porte mon regard sur mon environnement c’est-à-dire la chambre de mon petit appartement. Je porte un regard sur mon téléphone pour vérifier la date (lundi 5 octobre), et je décide de bander mes muscles pour faire cet effort insurmontable qui consiste à se lever le matin. J’ouvre mes volets. Un frisson traverse mon corps, ne vivant pas en colocation, je me suis couché nu hier soir pour être plus à l’aise, et j’en paie les conséquences ; le mercure du thermomètre indique qu’il fait 0° à l’extérieur, et un voile de ténèbres couvre la rue à l’extérieur. Il faudra attendre encore une heure pour voir la lumière du jour pointer. On prend les mêmes et on recommence, Une nouvelle journée de travail qui s’annonce après un week-end délicieusement reposant.

Je prends rapidement une douche pour me réveiller. Je me déshabille, et l’eau chaude à un effet revigorant sur mon organisme, je fais glisser le savon sur chaque partie de mon corps, et je laisse mon esprit vagabonder… Cette douche c’est une petite parcelle de paradis qui vient éclairer un morose lundi. Je sors de ma douche, j’enroule mon corps dans un peignoir de bain blanc, je sèche mes cheveux, et je m’habille. C’est seul dans mon appartement que je prends un rapide petit-déjeuner tout en observant d’un il quelque peu apathique les nouvelles du matin avant de préparer mes affaires pour sortir de chez moi.

Je ne me suis toujours pas présenté depuis tout ce temps. Je m’appelle Gabriel, j’ai 21 ans, et je suis étudiant en histoire. Au risque de décevoir les lecteurs de ce récit, j’ai un physique tout ce qu’il y a de plus ordinaire, type caucasien, des cheveux bruns plutôt coiffés courts, des yeux marron, je mesure 1 m 80 pour 70 kilos, une barbe de 3 jours. Je n’ai pas de signes distinctifs particuliers, ni tatouages, ni piercings, ni accessoires vestimentaires spécifiques. Je porte des chaussures noires, un jean gris, une chemise verte, le tout sous un grand manteau noir afin de me protéger du froid. J’aime les plaisirs simples comme les sorties entre amis, rire, me mettre dans ma bulle pour regarder une série, bouquiner ou encore les plaisirs de la chair même si mon expérience sexuelle est somme toute limitée. J’incarne en somme l’étudiant normal que l’on croise par milliers dans un campus universitaire.

Comme chaque lundi matin, je fais le trajet pour me rendre à l’université, un trajet que je fais à pied et qui est court n’étant qu’à dix minutes de celle-ci. Un trajet dans lequel toutes les personnes que je croise semblent être dans leur monde, les yeux rivés sur leur téléphone, mal réveillées, et probablement fatiguées de devoir sortir d’un reposant week-end pour entrer dans un lundi éreintant.

Il est 8 h 25, je prends place dans l’amphithéâtre froid et gris, avec mes 4 amis pour un cours d’Histoire Antique. Bon… le terme amis est peut-être un peu exagéré, on se connaît que depuis 15 jours, le terme connaissances serait peut-être mieux choisi, mais disons qu’il y a naturellement une bonne alchimie entre nous. Pour les présenter rapidement, Charles est un jeune homme extraverti blond aux yeux bleus d’1 m 70 assez fin, Baptiste est du genre discret, brun aux yeux verts, il mesure environ 1 m 80 comme moi, il est assez sportif et souvent affublé d’une casquette de baseball sur sa tête, Laure est une petite brune aux yeux marron, 1 m 60, pas du genre sophistiquée, mais avec beaucoup d’humour et un amour pour les piques un tantinet acerbes et enfin Sarah.

On échange des banalités, on se demande comment s’est passé notre week-end. Je suis entièrement absorbé par le récit de Sarah, elle nous fait le récit d’une nuit torride avec un bel homme rencontré samedi dernier dans un bar et qui semble être un très bon coup. A dire vrai ce n’est pas tant son récit somme toute assez commun qui exerce cette fascination… c’est plutôt sa personne. Magnifique métisse d’1 m 75, brune, des yeux noirs, un nez fin, des lèvres pulpeuses, des formes magnifiques mises en valeur par un magnifique haut noir, sans tomber pour autant dans la vulgarité, un maquillage discret juste ce qu’il faut sans plus, et très naturelle dans son comportement. Elle est extravertie, décomplexée sur ce qu’elle raconte, mais sans être trop exubérante, elle aime beaucoup rire, tout en étant capable d’être assez sérieuse, si je devais la décrire en un mot c’est une spontanée tout en étant raffinée. Oui, vous avez compris je pense qu’elle m’a tapé dans l’il comme on dit.

Je suis célibataire, mais cependant, je ne me fais pas trop d’illusions, elle et moi on ne joue pas dans la même cour.

Plongé dans mes rêveries et à mille lieues de la conversation qui se déroule, je suis interrompu par Charles.

Tu en penses quoi ?

Hein quoi ?

Tu n’es vraiment pas du matin toi ! Je te demandais ce que tu pensais du dernier Call of Duty.

Il est pas mauvais, mais un peu répétitif dans le scénario, ce genre de jeux reste plus intéressant entre amis.

Oui tu n’as pas tort, on devrait se refaire une soirée jeux vidéo tu sais, peut-être demain soir, toi moi et Baptiste, Sarah n’a visiblement pas la tête à faire une soirée jeux vidéo, et Laure… Elle aime bien sortir entre amis, mais les jeux vidéo c’est pas son délire.

Pourquoi pas, on en reparlera après les cours, le prof arrive.

A 10 h 30 nous sommes obligés de nous séparer, nous n’avons pas opté pour l’apprentissage de la même langue, mes amis ont pris anglais, j’ai pris espagnol. On est en petit comité, c’est normal le nombre d’élèves qui choisissent espagnol en langue obligatoire est extrêmement réduit, l’avantage c’est que le groupe change peu d’une année sur l’autre. Je croise là-bas Chris, un grand brun de 1 m 90 assez baraqué, avec des yeux gris souris, et un tatouage étrange sur la main dont j’ignore la signification. Chris et moi… on se connaît depuis l’an passé il est du genre très social, très extraverti, un mec assez cool, cependant, on a jamais fait de soirées ensemble nos rapports sont exclusivement cantonnés à la fac. C’est assez paradoxal, il donne l’impression d’être très accessible, mais il semble souvent cacher quelque chose en même temps. Il décide de m’aborder pour discuter avant que le prof arrive :

Salut Gab, comment ça va ? T’as passé un bon week-end ?

Ouais super week-end ! Toi comment ça va ?

J’ai passé un week-end du tonnerre mec ! Si tu savais…

Comment ça ?

Disons que… c’est secret j’ai pas vraiment le droit d’en parler, du moins pas ici, je dirais juste que j’ai été à une fête étudiante qui était assez chaude.

Ahah, si tu le dis, cependant tu en fais toujours des caisses !

Je vis d’un coup le regard de Chris s’assombrir et devenir beaucoup plus sérieux, une forme de sérieux que je n’ai jamais vu chez lui.

Je rigole pas, c’est vraiment du lourd je peux pas en parler à la fac, par contre prends-ça et jettes-y un il, mais seul.

Chris me tendit une enveloppe tout ce qu’il y a de plus ordinaire, blanche, de taille normale.

Je pris l’enveloppe sans dire un mot.

Midi, le cours d’espagnol se termine, je m’isole aux toilettes (pas très glamour ni très érotique, mais bon… ) pour voir le contenu de cette enveloppe : une simple feuille, avec un petit motif représentant un serpent enroulé autour d’une pomme.

Gabriel, j’ai eu loisir de pouvoir observer qui tu étais durant l’année passée, tu es une personne d’intelligente, cultivée. Tu es plus raffiné que tu le crois derrière une apparence passe-partout, j’ai également le sentiment que tu es plus ouvert d’esprit que ce que tu laisses transparaître, même si tu pourrais mieux choisir tes amis. J’occupe le noble rang de parrain dans la confrérie alpha-omega. Depuis cette année je dispose du droit de nominer une personne de mon choix pour qu’elle intègre cette prestigieuse organisation. Si tu acceptes, tu pourras t’élever au sein de cette école, bénéficier d’un réseau souterrain de personnes prêtes à t’aider et à t’accorder des passe-droits en nombre de circonstances et devenir ainsi quelqu’un. Le sentier qui jalonne la réussite cependant se doit de se passer de certains sentiments tels que l’amour ou l’amitié pour toute personne hors de ce cercle, cependant crois-moi, ce n’est pas cher payé. Tu pourras également comprendre en détail ce qu’il se passe dans nos soirées qui sont tenues secrètes pour les non-initiés. Libre à toi de nous rejoindre, mais souviens-toi, cette confrérie est secrète, personne n’en connaît la simple existence à l’université, si tu nous rejoins tu dois garder ton appartenance secrète, si tu refuses… disons que les refus ne sont pas courants, mais si tu refuses, cela voudrait dire que j’ai fait erreur sur toi. Dans ce cas, tu pourras continuer ta vie d’avant, mais tu devras tenir l’existence de cette confrérie secrète autrement crois-moi nous avons les moyens de te faire taire. Tu as jusqu’à demain matin huit heures pour me donner ta réponse par SMS. Un SMS court et concis disant juste oui ou non sans smileys, sans autres mots, un simple oui ou non tout ce qu’il y a de plus neutre. Ta soirée d’initiation sera demain soir en cas de réponse positive.

" Signé C.

J’étais sous le choc, abasourdi, une confrérie secrète, je pensais qu’il n’y avait que dans les films que ces choses existaient. Le petit logo était suffisamment évocateur pour comprendre la nature de ces réunions, le serpent, la pomme, la religion, Eve…

Toute une invitation à la luxure et au péché, je trouvais ça un peu effrayant dans un sens. Après tout je n’étais qu’un jeune étudiant ordinaire, sans réelle expérience sexuelle, hormis une petite copine que j’ai eue au lycée, et on ne peut pas dire qu’on soit resté très longtemps ensemble ou qu’il y ait eu de souvenirs sexuels réellement mémorables. En plus ces gens ne semblent pas du genre à rigoler, comment savoir si je ne m’engouffre pas dans je ne sais quel piège, peut-être que ces personnes font des orgies sataniques, sacrificielles. Peut-être qu’ils sont adeptes de viol en réunion et qu’ils cherchent des victimes et commettre leur forfait en sachant que ces victimes seront seules, isolées, sans personne pour savoir ou elles se trouvent… non Gabriel arrête là tu te fais des films, mais toute cette affaire reste étrange.

Je décidais de mettre cette histoire de côté et d’aller déjeuner avec Laure, Baptiste Sarah et Charles, rien de particulièrement notable, cependant le regard de Sarah semblait se poser sur moi plus que de raison par moments, mais je me fais peut-être des films. Sarah… si je rejoins cette confrérie je peux faire une croix sur elle d’ailleurs et ce serait bien dommage.

Le reste de la journée se déroula sans encombre particulière, deux cours d’histoire plutôt ennuyeux portant sur la philosophie des lumières, ainsi que l’histoire de l’Etat. Dieu bénisse les sénéchaux dans le Saint-Empire romain germanique !

C’est épuisé que je prenais le chemin de la maison après avoir dit au revoir à mes amis lorsque j’entendis des pas courir derrière moi. Je me retournais et vis Sarah qui arrivait en courant, les cheveux soulevés par le vent, le visage fatigué, mais laissant entrevoir une joie et un soulagement manifeste :

J’ai cru que j’allais pas réussir à te rattraper Gab, tu avais oublié ton téléphone.

Je me maudis d’être aussi ridicule et tête en l’air.

Merci Sarah, c’est gentil… je suis vraiment con parfois.

Non c’est pas grave c’est juste un oubli, je te sentais un peu distrait aujourd’hui tout va bien ?

Oui oui, tout va bien ne t’inquiètes pas, c’est juste que parfois je suis… vraiment dans mes pensées.

Ahah, oui je vois ça, parfois ça m’arrive aussi.

Toi ? Non sérieux… tu es toujours très dynamique, très dans le présent, j’ai du mal à t’imaginer comme ça, tu es plus du genre fêtarde que introvertie et perdue dans tes pensées.

Parfois je m’évade autrement tu sais, je ne l’ai dit à personne du groupe, mais il y a quelques semaines j’ai eu une rupture assez douloureuse avec mon copain, du coup je me suis mis en chasse pour m’évader… tu sais, aller dans un bar, draguer le premier mec qui sort un peu du lot et s’envoyer en l’air pour tout oublier en se faisant ramoner par une bonne queue comme une salope de bas étage… excuse-moi je suis un peu trop cash.

Mon cerveau en resta tétanisé, un peu trop cash ? La fille qui incarne les fantasmes qui me hantent dans mes séances de masturbation commence à m’expliquer qu’elle a une vie sexuelle débridée pour s’évader. J’ai les couilles pleines depuis 1 semaine vu que je ne me suis pas branlé comme je le fais de façon hebdomadaire, et une fille magnifique me raconte sa vie sexuelle… Je dois surtout éviter de me mettre à bander en pleine rue, ce serait trop gênant.

Ça va Gab ? Tu t’es arrêté d’un coup de marcher.

Oui ça va j’ai cru voir… peu importe, tu disais quoi déjà ?

OK tu me rassures, je sais plus où j’en étais. Ah oui, parfois tu sais c’est difficile de trouver quelqu’un à qui parler, Charles et Baptiste me semblent trop geeks je pense pas qu’ils comprendraient. Laure, je pourrais lui en parler, mais je suis pas sûr qu’elle aurait suffisamment d’empathie pour comprendre et je sens qu’avec toi ce serait beaucoup plus naturel. Le cul c’est plaisant, mais les sujets personnels c’est pas le genre de choses dont je peux parler avec mes partenaires sexuels.

Euh je… enfin oui…

C’est super que tu comprennes ça, pas mal de mecs auraient vu ici une occasion pour essayer de me draguer, mais toi tu restes gentleman !

Gentleman… tu parles je suis surtout tétanisé au point d’avoir du mal à sortir une phrase cohérente, j’essaie surtout de ne pas montrer mon excitation.

Heu… merci c’est gentil Sarah.

Non, c’est pas gentil, c’est la vérité tu te comportes comme un vrai ami ça te dirait qu’on se voit demain soir en ville pour boire un verre ensemble ?

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Un contenu pas forcément très érotique pour introduire les personnages cela changera dans les prochains chapitres, mais petite surprise pour vous les lecteurs je vous propose de pouvoir décider de la suite de l’histoire en laissant un commentaire favorable à une des options ci-dessous. La première option qui verra 3 commentaires positifs de 3 personnes différentes viendra influer sur la suite de l’histoire. A la place de Gabriel que feriez-vous concernant la soirée de demain soir ?

1) Rejoindre la mystérieuse confrérie de Chris, Gabriel n’aura sans doute plus jamais l’occasion de connaître ce genre d’univers en cas de refus, même si ça veut dire faire une croix sur une amitié durable avec Charles Baptiste Sarah et Laure.

2) Aller boire un verre avec Sarah, elle a besoin de réconfort.

3) Les confréries secrètes très peu pour moi, je veux garder mes amis. La Friendzone très peu pour moi donc soirée jeux vidéos avec Baptiste et Charles.

4) Je préfère rester seul demain soir chez moi, avec mon ordi et réfléchir aux événements de la veille.

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