C’est déjà le matin.

Assise sur le bord de mon lit, je m’arrache difficilement de mon sommeil. Il faut dire que la route a été longue (et chaude(1)) hier.

Je me nomme Rachelle, j’ai 19 ans. Je suis plutôt timide et réservée, mais mes dernières rencontres m’ont désinhibée et j’ai maintenant l’envie irrésistible de vous narrer mes petites aventures.

Commençons par cet été.

Me voici de retour dans la maison familiale. Cela fait près de deux ans que je n’étais pas revenue. Une fois le BAC en poche, je suis partie en étude à 900 km de chez moi dans le seul établissement de France proposant la formation que je souhaitais.

Il ne m’était pas facile de revenir pour simplement deux-trois jours. Et pendant les vacances, j’avais un petit job pour améliorer l’ordinaire.

Deux ans d’études, mais aussi de fête. Je suis partie vierge de chez mes parents et me voici maintenant plutôt sexuellement aguerrie. J’ai quelques histoires intéressantes à vous raconter. Mais plus tard. Commençons par mon retour pendant ces vacances d’été.

Je finis enfin par me lever, puis j’attrape, dans la pénombre de ma chambre, la première nuisette qui me tombe sous la main, dans l’armoire. Je me dirige péniblement vers la porte-fenêtre de ma chambre pour en ouvrir les grands volets. Une lumière intense m’éblouit, le soleil me semble déjà haut dans le ciel. Je me retourne pour regarder l’heure sur mon réveil-matin.

Le temps que mes yeux fassent la mise au point : bon sang !, déjà 11h15, je vais devoir me bouger moi.

Me trouvant toujours devant ma porte-fenêtre j’attends que mes yeux s’habituent à la lumière et fais deux pas sur la terrasse, déjà bien chauffée par le soleil.

La maison est située sur un grand terrain en haut d’une petite colline. En bordure du terrain, nous avons un champ que mes parents louent à un voisin. En contrebas du champ, un petit ruisseau, puis de cet endroit, une nouvelle colline démarre : la parcelle du voisin.

Ce paysage me fait penser à deux immenses seins, gentiment caressés par la brise. 

Ahhh, ce petit ruisseau, où j’aimais jouer régulièrement étant adolescente, m’attira inexorablement pour m’y rafraîchir les pieds. Allez!, j’ai encore le temps, je chausse une paire de sandales restée au pied de la piscine et j’y vais.

Je traverse notre terrain et au moment où je suis arrivée dans le champ, je m’aperçois que ma nuisette est transparente.

On distingue parfaitement au travers, mes adorables petits seins fermes, légèrement écartés et pourvus d’auréoles moyennes d’une couleur à peine plus sombre que celle de ma peau mate. Prenant le vent de face, le tissu frôle mes tétons qui se retrouvent ainsi légèrement gonflés.

On discerne bien le dessin de mon entrejambe et les courbes de mon corps. De même que le léger tissu marque bien la raideur de mes tétons qui pointent généreusement.

Heureusement, j’ai le pubis parfaitement et méticuleusement rasé, il me semble ainsi impossible de le distinguer en transparence. 

Bien que cette nuisette soit très fine et translucide, il faudrait être suffisamment proche pour apercevoir la petite fente, parfaitement dessinée de mon sexe.

Et puis, en pleine campagne, il n’y a personne pour m’apercevoir.

J’entreprends donc de continuer jusqu’au ruisseau.

Tout en marchant, la légère brise arrive à faire découvrir, de temps à autre, mes fesses, rondes et bien pommelées. Mes fesses sont bien rebondies et parfaitement bien proportionnées à ma ligne mince et galbée.

Ma nuisette arrivant à la bordure de la pomme de mes fesses, il est facile de les apercevoir au plus petit soulèvement du tissu. 

J’avoue que je ne déteste pas sentir le vent fouetter mon corps au travers du mince tissu. Je sens maintenant mes tétons gonfler à leurs maximums, plaisir qui ne me laisse pas de marbre. Je ressens un picotement dans mon bas ventre, descendre jusqu’à ma vulve qui commence à s’humidifier.

Arrivée au ruisseau je quitte mes sandales et plonge directement mes pieds dans l’eau. Quel plaisir. Des frissons parcourent mon corps et attisent la moiteur de mon sexe. Je me caresserai bien, mais il est temps de remonter, quand une lueur dorée attire mon regard dans le ruisseau : une chaînette dorée.

Ma chaînette dorée !

Elle s’est certainement détachée de ma cheville droite lors de mon bain de pieds. Je me penche pour la récupérer, mais celle-ci reste coincée dans l’interstice d’une roche tapissant le fond du ruisseau.

Je me positionne de meilleure manière pour pouvoir l’atteindre. A quatre pattes, le bras droit dans l’eau et la main gauche sur le rebord.

Le vent vient flirter avec ma moulette parfaitement bien exposée. Décidément, les éléments ne m’aident pas à rester impassible.

Mais concentrons-nous avant toute chose sur la récupération de ma chaîne, car malheureusement, c’est maintenant ma main, une fois le poignet rentré dans la cavité de la roche, qui ne veut plus sortir.

Tout d’un coup, je ressens comme un vent plus chaud sur ma moulette. Certainement pas la brise. Je donne un coup de tête pour voir.

Ah, c’est juste Goupille, le Beauceron des voisins. Un beau mâle d’au moins une quarantaine de kilos.

Il m’a reniflé l’entrejambe comme certainement pour me dire bonjour à la manière des chiens, me provoquant quand même un sacré frisson qui ne fait qu’augmenter la lubrification de mon sexe.

Mais? Si le toutou est là, j’espère que son maître n’est pas dans le coin pour me voir dans cette tenue et cette position?

Je fais ce que je peux pour regarder aux alentours. Rien. Tout semble aller pour le mieux.

Pendant ce temps là, Goupille, lui, me fait une fête mémorable, tournant et jappant autour de moi. Même si je n’aime pas trop cela, je ne peux que difficilement échapper à ses léchouilles qu’il veut me faire au visage. 

C’est alors qu’il retourne de nouveau derrière moi pour me sentir les fesses.

Non, non Goupille, on ne sent pas le cul des filles, allez, pousse-toi.

Je le pousse avec ma jambe pour qu’il aille sentir ailleurs. Je suis consciente que l’odeur qui doit être dégagée de mon sexe humide l’attire. Mais il est hors de question que Goupille me sente comme l’une de ses congénères.

Il part quand je le pousse, mais revient à l’attaque systématiquement. Difficile en plus pour moi d’appeler quelqu’un dans une telle position.

C’est lors que sa truffe se colle directement sur les lèvres de mon sexe, me gratifiant d’un coup de langue partant du haut de ma fente vers la raie des fesses. Je laisse échapper un petit cri de surprise et proteste après Gribouille.

Seulement, ce coup de langue n’arrange rien, je sens mon sexe mouiller de plus belle, mes lèvres gonflent de plaisir et je n’ai qu’une envie : me caresser pour assouvir mes pulsions.

Il faut absolument que je chasse ce chien et puisse me dégager la main. Mais il retourne à la tâche et me lèche de nouveau le sexe sans arrêter maintenant.

Non ! Arrête ! va-t’-en !

Mes mots ne font rien, plus il me lèche, plus je tortille du bassin pour le dégager et plus cela semble le motiver. Chaque passage de sa langue me donne du plaisir que je ne peux pas accepter.

Mes lèvres commencent à s’ouvrir sous les coups de langue répétés pour commencer à atteindre mon clitoris. Chaque passage sur mon petit bouton me provoque une décharge de plaisir.

Non, non, il faut que je pense à autre chose, cela n’est pas possible. Mais le désir monte, monte en moi, ma chatte mouille énormément et je commence à m’affaisser comme pour me laisser envahir de cette langue qui commence maintenant à bien pénétrer mon intimité à chaque passage.

Je me retrouve de fatigue la tête au sol, ne pouvant plus me reposer sur mon seul avant-bras gauche. Toujours à quatre pattes, j’ai le bassin bien en hauteur et le dos cambré à son maximum.

Cette position décuple mon plaisir de recevoir ce cuni-canin tout en m’offrant comme une vulgaire chienne à ce molosse.

Enfin, je ne ressens plus la langue de Goupille. Mon corps ne veut pas, mais je dois tenter de me dégager et de le chasser.

Il recommence à tourner autour de moi, mais très énervé, quand je remarque son sexe rouge pour partie sortie de son fourreau. Je comprends avec effroi dès lors qu’il va certainement tenter de me monter.

Cela ne tarde pas, il me saute sur le dos, mais par le côté. Je tente de me tourner pour le faire glisser, cette manoeuvre ne fait qu’empirer les choses et le mettre bien dans l’axe de mon cul.

Il commence à s’activer : donner quelques coups de reins. Je sens son sexe glisser dans ma raie des fesses ultra-lubrifiées par ses coups de langue précédemment donnés, mélangé à mes sécrétions vaginales. Je fais mon possible pour me dégager, qu’il ne puisse pas trouver l’entrée de mon vagin ou anus. 

Il recommence, violemment et de plus en plus déterminé. Ma chatte est tellement huileuse que je crains que son pénis rentre tout seul s’il tombe sur mon trou. Son sexe passant maladroitement sur ma vulve et finissant dans ma raie des fesses me fait un bien inavouable. Mon esprit refuse, mais mon corps se tortille et ne demande que cela.

Lorsque, d’un seul coup brutal, il s’enfonce au plus profond de moi, me faisant gémir intensément.

Je ressens son membre dans mon ventre, ces vas-et-viens incessants, me font lâcher des râles de plaisir me provoquant un orgasme éclatant.

J’ai maintenant les jambes et les lèvres bien écartées, ses parties génitales butent contre mon petit bouton, je reçois son pénis jusqu’au plus profond de moi me faisant gémir de plaisir. Je mouille terriblement, il me défonce comme une bête, je lui tends mon cul au maximum pour recevoir le plus de plaisir possible. Je suis maintenant sa chienne et j’aime terriblement cela.

C’est alors que son noeud vient de passer en moi et de me verrouiller de l’intérieure. Mon vagin est à son maximum, rempli par tout l’appareil sexuel de ce chien assoiffé de me culbuter encore et encore. Je suis à l’extase, comme traversé par la foudre de l’intérieur.

Je sens sa semence chaude commencer à couler à l’intérieur de mes entrailles et je subis une nouvelle secousse orgasmique. Il me remplit de son sperme chaud.

Bloqué dans cette position, le mélange de ma cyprine et de son sperme coule un peu le long de mes cuisses. J’ai les jambes qui flageolent, les fesses en l’air et le chien bloqué sur mon dos. Pourvu que personne ne me découvre dans cette position de chienne prise par son mâle. Les minutes sont interminables.

Il se dégage enfin et commence à lécher le liquide visqueux qui coule de mon trou. Retombé sur le côté, fatigué et sous le choc, je ne bouge plus et me laisse faire. Les lèvres fortement rosies, je les écarte de nouveau avec mes doigts pour apprécier les derniers coups de langue et frisson que cela me procure.

Plusieurs sentiments se battent en moi. Furieuse contre cette situation que je désapprouve, mais très excité d’avoir été la femelle de ce brave toutou et connaître une nouvelle forme de plaisir de cette première expérience zoophile. Le temps me permettra certainement de répondre à mes interrogations.

Je me rends seulement compte maintenant que les coups de culbute de Goupille ont arraché ma main, endolorie, de son piège récupérant au passage mon bracelet de cheville.

Il est temps pour moi de remonter vers la maison, j’espère que mes parents ne sont pas encore arrivés.

Arrivée devant ma porte-fenêtre, celle-ci est fermée. Certainement un courant d’air. Je dois faire le tour de la maison pour rentrer par la porte principale qui elle, doit être ouverte.

Mais j’entends un véhicule qui s’approche. Puis s’arrête. Que faire ?

La sonnette retentit !

Je ne peux tout de même pas aller voir dans cette tenue !

Je tente de me cacher sur le côté de la maison, quand, tout d’un coup : Mademoiselle ! Mademoiselle ! Je vous ai aperçu à travers la fenêtre. Vous m’entendez ?

Je suis prise au piège et tente de faire la morte, mais la personne se déplace et le bruit de ses pas vient dans ma direction…

(1) voir prochainement l’histoire : Le Voyage

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